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Catherine et Charlette

Chapitre 4

Hétéro
–Vous vous connaissez depuis combien de temps toutes les deux ?–Depuis vingt-six ans, nos mères étaient amies et nous sommes nées à trois semaines d’intervalle, Charleen est l’ainée, c’est aussi pour ça que nous avons presque les mêmes prénoms. Nous avons été élevées pratiquement ensemble, c’est ma sœur. Pourquoi cette question.–Parce que j’ai vu que vous étiez très proche, même très liées, voire plus. Il y a quelque chose que je n’arrive pas à cerner entre vous.–Comment as-tu vu ça ?–Par votre comportement, vos gestes, vos mimiques, tu sais, avec mon métier j’ai intérêt à capter le plus vite possible la personnalité des gens, sinon je suis foutu.Elles se regardent d’un drôle d’air, je n’arrive pas à comprendre leur relation, il y a quelque chose qui m’échappe. Elles se sourient et me regardent. Leur synchronisme est stupéfiant.–Jean, je dois te dire qu’entre nous deux il y a plus que de l’amitié, depuis le temps qu’on vit ensemble, nous nous connaissons par cœur. Toujours ensemble, souvent jours et nuits et ce qui devait arriver arriva. Il y a six ans, une nuit de canicule, nous dormions nues dans le même lit et le contact de nos corps nus a fait le reste, nous nous somme caressées, embrassées et finalement avons fait l’amour. Nous faisons souvent l’amour ensemble depuis. Ce qui n’exclut pas les hommes, tu as pu t’en rendre compte. Je te le dis parce que je suis sûr que tu sauras le garder pour toi, ici, si ça se sait, nous ne pourrons plus y vivre.–Bien sûr que je le garderais pour moi. Je dois dire que je comprends mieux maintenant. C’est ça, les autres expériences sexuelles auxquelles tu as fait allusion vendredi ?–Entre autres.–Charlette, parles lui de Catherine.–Tu crois ?–Oui, Jean doit le savoir au même titre que pour nous deux.–De toute manière, maintenant que le nom est lancé. Je dois te dire aussi que Catherine vient souvent ici pour profiter de la piscine et qu’elle se baigne nue comme nous, elle est aussi naturiste. Un jour elle nous a vus nous embrasser dans la cuisine. La fois suivante quand elle était seule avec moi, elle m’a fait comprendre que je ne lui étais pas indifférente, qu’elle avait envie de sentir le corps d’une femme nue contre son corps nu. Nous sommes allées dans ma chambre et avons fait l’amour. J’avoue qu’elle est d’une douceur extraordinaire dans les bras d’une femme et que nous nous voyons assez souvent toutes les deux ou toutes les trois. Voilà, tu sais tout, ces relations continuent toujours, et elles continueront tant qu’on en aura envie. J’espère qu’elles n’influeront pas sur notre relation à nous deux.–Non, ne t’en fait pas, je ne suis pas un moraliste, et ma philosophie de la vie est de profiter du moment présent, on ne sait pas si on en vivra un autre. Embrasses moi.–Tu sais, pour l’instant je ne sais pas où nous allons aller, Catherine aime les hommes comme moi.–Je n’en doute pas une seconde, surtout pour toi.Charlette sourit, se penche de mon côté et dépose un baiser sur ma bouche, puis, elle se retourne et dépose un baiser sur la bouche de Charleen.–Pas de jaloux.La journée s’est déroulée lentement, au rythme des baisers que Charlette distribuait à ses deux amants. Elle est la reine de la journée et il est évident que ça lui plait beaucoup. Il n’y a pas eu de sexe, seulement de la tendresse. En fin d’après-midi, je les quitte pour retourner à l’hôtel, j’avais quelques documents à préparer. D’autant que Charlette doit charger son camion et récupérer sa fille chez son mari.
Le lendemain, de très bonne heure, je suis dans ma chambre, assis nu au bureau à trier des documents quand, à sept heures, on frappe à la porte, qui s’ouvre instantanément et Charleen apparait avec le plateau du petit déjeuner. Elle entre en regardant quelque chose par terre.–Bonjour Jean. –Bonjour Charleen.Quand elle lève la tête, elle remarque que je suis nu.–Hola, excuses moi.
–Pas grave, tu sais déjà comment je suis fait.–C’est vrai, tu as bien dormi ?–Très bien merci.Elle vient poser le plateau à côté de moi et pose ses lèvres sur ma joue gauche.–Bonne journée Jean.–Merci, pareillement.Je ne vois pas Charlette de toute la journée, elle fait du cabotage et commence à six heures sa tournée. En général, elle termine vers seize heures et rentre à la société pour charger la marchandise du lendemain. Tous les chauffeurs sont sortis, Catherine est partie pour Milan et doit revenir que jeudi en fin de soirée. Jean Luc est en Espagne depuis hier au soir, il doit aller jusqu’à Malaga. Je commence à entrer dans le vif du sujet qualité en recevant tous les collaborateurs un par un pour juger de leur implication dans la démarche. Je suis agréablement surpris, cette démarche est très bien comprise et acceptée par la grande majorité du personnel non roulant. Vers seize heures, Charlette débarque dans mon bureau.–Bonjour monsieur.–Charlette je crois ?–Oui.–J’ai dit à tous les collaborateurs de cette société que je m’appelais Jean et qu’ils pouvaient me tutoyer s’ils le désiraient, pour ma part je tutoie tout le monde. Ferme la porte s’il te plait.Elle ferme la porte avec un petit sourire.–Tu as eu une bonne journée ?–Oui, pas de problème, et toi ?–Juste un client un peu énervé car il m’attendait plus tôt.–Tu l’as noté quelque part ?–Non, ou veux-tu que je le note.–Il va falloir y penser, ça fait partie de la démarche, nous devons connaitre tous les petits problèmes.–Soyons sérieux, tu as récupéré ta voiture ?–Non, elle sera prête demain, c’est un relais du démarreur, ça se trouve facilement. Ce soir je suis à l’hôtel. Cindy va bien ?–Oui, son infection est pratiquement guérie. Je la récupère dans une heure. Si tu as besoin de moi, je suis sur le quai pendant trois quart d’heure, après je vais récupérer Cindy.–Ok, à bientôt.Elle se penche un peu au-dessus du bureau.–Je n’ai pas arrêté de penser à toi aujourd’hui, tu m’as manqué.–A moi aussi, il faudrait qu’on trouve un moyen de se voir de temps en temps en semaine.–Je vais y penser.Elle sort en laissant la porte ouverte. La journée de travail fini, je rentre à l’hôtel pour prendre une douche et me reposer un peu. La soirée se déroule normalement.
La semaine se déroule bien, je vois Charlette tous les jours, mais on ne peut pas se voir en dehors du boulot et ça commence à nous ennuyer sérieusement. Le jeudi vers dix-huit heures, Catherine arrive, elle est furieuse.–On parle de qualité, mais on est incapable de me donner un camion qui fonctionne.En l’entendant, je sors de mon bureau et me dirige vers elle.–Que ce passe-t-il ?–Ce qui se passe ? C’est tout bonnement que je suis tombée en panne deux jours, et que je n’ai pas pu finir ma tournée, vous imaginez une nana seule avec un camion en panne en Italie ? Il faut que j’y retourne la semaine prochaine.–Tu as rempli un document décrivant ta panne ?–On se tutoie maintenant.–J’ai dit à tout le monde que je m’appelais Jean et qu’on pouvait me tutoyer, moi je tutoie tout le monde.–Y compris le boss ?–Oui, et il me tutoie ainsi que sa mère.–Ok jean, c’est quoi ce papier que tu veux que je remplisse ?–Un document qui puisse synthétiser les pannes qui surviennent.–Et il est comment ce document ?–Je ne sais pas encore, comment tu le vois toi ?–Tu n’as pas de modèle.–Non, chaque société est différente, chaque document doit sortir des méninges des collaborateurs, sinon personne n’y adhère.–Ok, ce soir je suis HS, mais ça, c’est une bonne idée. On en reparle demain avec les chauffeurs présents, ok ?–Pas de problèmes.Catherine s’en va, arrivée à sa voiture, elle se retourne pour me regarder. Son regard est beaucoup moins agressif qu’avant. Je crois que j’ai marqué un point. C’est vrai que cette fille est intelligente et qu’elle voit l’intérêt de la boite.
Le lendemain matin, Catherine et trois autres chauffeurs présents bossent sur un document pouvant décrire les pannes survenues à leurs camions. Ils sont dans la salle de réunion et je les laisse faire jusqu’à ce qu’ils coincent sur la mise en forme. Catherine vient me chercher. Je participe à la réunion jusqu’à l’heure du repas. J’invite tout le monde à manger avec moi pour continuer la discussion pendant le repas afin de ne pas perdre le fil de la réflexion. Je les emmène dans ma voiture. C’est une de mes demandes, payer les repas des personnels qui doivent rester à midi avec moi pour le travail. La direction l’a très bien compris et a ouvert un compte chez Patrick qui commence à vraiment bien m’aimer. Après le repas, nous continuons pendant à peu près deux heures pour arriver à un document clair, simple, facile à utiliser. Tout le monde est content d’avoir fait quelque chose qui va leur servir. Je ne dis rien, et à ma grande satisfaction, Catherine intervient.–C’est bien beau ça, mais c’est un document qui nous semble bon, mais est ce que les autres vont être d’accord ?Là, je ne peux qu’intervenir.–Bravo Catherine, tu es la seule à avoir compris l’essence même de la démarche qualité. Il faut l’adhésion d’un maximum de personnes si on veut que ça marche bien. Nous allons tirer ce document et le distribuer à tout le monde. Il est évident que nous ne pourrons pas avoir l’unanimité, mais il faut que tout le monde soit au courant. En tout cas bravo pour votre travail.Catherine me regarde avec un petit air malicieux. Tout le monde quitte la pièce sauf elle.–Tu es quand même très fort. Tu félicite tout le monde, tu as réussi à me faire entrer dans le jeu sans même que je m’en aperçoive.–Tu crois vraiment que je vais croire ces sornettes, tu es parfaitement consciente de ce que tu fais ici, pas à moi. Une fille comme toi ne fait pas quelque chose contre sa volonté et encore moins sans s’en rendre compte.–Tu es encore plus dangereux que je ne pensais. Mais de toute manière je sais que je ne peux aller contre l’orientation de la direction, j’ai eu une semaine pour y réfléchir. Je veux bien marcher avec toi, aller dans ton sens, mais il faudra me prouver le bien-fondé de ce qu’on fera.–Tu le trouveras de toi-même, je te sais assez intelligente pour ça.–Pas de pommade s’il te plait.–Pas de fausse modestie s’il te plait.Elle me regarde et éclate de rire. –Bravo, un zéro.–Ce n’est pas un match, j’ai vraiment besoin de toi pour faire avancer les choses. Tu veux bien ?–Je te l’ai déjà dit, à condition que j’aie la preuve du bien-fondé.–Ok.Nous nous quittons sur ces paroles somme toute rassurantes. En fin d’après-midi, au retour de Charlette, je lui soumets le document en tant que chauffeur et aussi en tant que responsable du comité qualité.–Tu me donne ton avis en tant que chauffeur et responsable comité qualité. –Ok.
Le week-end, je suis obligé d’aller à Toulouse le vendredi soir, je veux passer le samedi avec ma fille de huit ans. Je rentre le dimanche en fin de matinée, je vais directement chez Charlette. Quand j’arrive, elle est seule, nue. Elle se jette sur moi, m’arrache plus que m’enlève mes vêtements. Une fois nu, elle se calme, me prend la main et m’entraine doucement vers sa chambre. Je vois ses fesses rouler devant moi, j’ai envie de les mordre. Le lit est ouvert, prêt à nous accueillir et un peu chiffonné. Elle s’immobilise, se retourne et se colle à moi en m’embrassant. Quand elle est rassasiée, elle me regarde.–C’était l’enfer, une semaine à te voir sans pouvoir te toucher.–Ca a été la même chose pour moi.–Il faut trouver une solution, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.Je pose mes lèvres sur les siennes, je l’entraine doucement vers le lit ou nous tombons l’un sur l’autre. Je bande ferme et naturellement ma bite trouve le chemin du paradis.–Oh oui, que c’est bon.Je lui fais l’amour doucement, je veux apprécier tous les instants de notre fusion. Elle le comprend et se laisse aller à ma fantaisie. Petit à petit nos corps s’enflamment, son ventre bouge, ses mains parcourent mon dos et mes fesses, et d’un seul coup, je me dégage pour plonger tête première sur son sexe. Ma langue s’active sur son clitoris, ce qui la fait jouir instantanément, je me délecte de son liquide d’amour. Elle n’est pas encore calmée que je remonte le long de son corps pour l’empaler de mon sexe toujours raide.–Holala.Je le pistonne violement, elle tremble encore de sa jouissance précédente, mais me serre de toutes ses forces et éclate dans un nouvel orgasme.–AAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRR.Son corps est secoué de tous les côtés, elle secoue la tête, me griffe le dos, me soulève tout entier avec son corps arqué. Elle ne revient sur terre que très lentement, elle me couvre de baiser sur la figure. Quand elle est de nouveau calme, elle m’embrasse tendrement.–Comment as-tu fait ? Je n’ai jamais jouis coup sur coup comme ça.–J’ai suivi les ordres de ton corps.–Menteur.–C’est vrai, tu m’inspire, j’ai envie de jouer avec ton corps.–En tout cas, tu pourras recommencer, j’aime.Nous restons un petit moment côte à côte, juste à nous caresser doucement, pour le plaisir de sentir le corps de l’autre.–Tu m’as dit que Cindy ne serait pas là aujourd’hui, pourquoi ?–Une fois par mois elle part le samedi soir chez ses grands-parents paternels pour la fin du week-end, elle y passe la nuit du dimanche au lundi et ils l’emmènent à la crèche, je ne la récupère que l’après-midi. Nous avons toute la soirée pour nous. Si on allait piquer une tête ?–Charleen ne vient pas ?–Non, elle est venue hier, je lui ai dit que tu venais aujourd’hui et elle a compris le message.–Elle n’est pas bête cette petite. A l’eau.Nous allons nous plonger dans l’eau tiède de la piscine, le soleil l’a chauffé depuis plusieurs semaines, elle est presque trop chaude. Au bout d’un moment, je me m’allonge sur les marches d’accès, elle vient vers moi et me caresse sur tout le corps pour finir sur mon sexe qui retrouve une forme olympique. Elle écarte mes jambes, les met sur ses épaules, passe ses mains sous mes fesses, les soulève pour faire émerger ma bite. –Interdiction de bouger le petit doigt.Sa bouche s’en empare pour une fellation en règle. Sa langue me titille le gland, chatouille le méat, elle me mordille la verge, ses mains s’occupent de mes couilles, je ne fais rien pour résister, je me laisse aller et je finis par me déverser dans sa bouche. Elle me garde en bouche jusqu’à ce que ma verge ramollisse. Elle finit par quelques coups de langue sur le vit.–Un peu salé à mon goût, mais délicieux tout de même.–Heureux que ça te plaise, je n’ai que ça en stock.–J’espère que tu as un gros stock, j’y reviendrai souvent.Elle vient se lover sur moi, je suis en appuis sur les marches, elle sur moi, heureusement que l’eau la porte un peu. –Enfin, mon corps contre ton corps, ma peau sur ta peau. J’attendais ça depuis une semaine. Il faut qu’on puisse se voir pendant la semaine. Je vais parler de toi à Cindy, comme ça tu pourras venir pendant la semaine.–Si tu veux. –Espérons que ça marchera.Nous sortons de la piscine pour aller manger. Après le repas, Charlette me prend par la main et m’entraine vers sa chambre.–J’ai un peu sommeil, j’ai envie de dormir avec toi à mes côtés.–Je ne suis absolument pas contre, bien au contraire.Nous allons dans sa chambre et après deux ou trois caresses, nous nous endormons côte à côte, son bras sur ma poitrine. Je me réveille vers dix-sept heures, elle dort encore profondément. Je trouve ça un peu étrange, mais je sors doucement du lit pour ne pas la réveiller et vais m’allonger au soleil sur un transat. A peine cinq minutes plus tard, elle apparait rayonnante, elle avance vers moi avec sa démarche souple et sensuelle.–J’ai senti une absence à côté de moi, ça m’a réveillé.–Excuse-moi.–Non, comme ça je pourrais plus profiter de toi.Elle s’installe à côté de moi sur un transat qu’elle colle au mien. Sa main parcoure mon corps, je ne bouge pas, je commence à savoir ce qui lui fait plaisir, je sais qu’elle aime caresser un corps immobile et étudier ses réactions. Evidemment, ma bite finit par se dresser au-dessus de mon ventre.–Elle est très obéissante.–Elle connait sa maitresse.Elle se lève, écarte son transat et vient se coucher sur moi.–Tu n’as pas peur pour ton transat ?–Non, ne t’en fais pas, ils sont solides, je les ai déjà éprouvés.Elle s’empale sur ma bite et se fait l’amour. Je ne bouge pas, je suis à l’écoute de son corps, comme elle est à l’écoute du mien. Elle a les yeux fermés, ses narines palpitent, sa respiration s’accélère doucement, son ventre a des contractions de plus en plus fréquentes, ma bite commence à palpiter, je ne suis pas loin quand c’est elle qui prend l’initiative.–Maintenant, vides toi en moi, maintenant chéri, maintenant.Elle se crispe, ses jambes me serrent les côtes, elles veulent me couper en deux. J’ai du mal à respirer, mais j’explose dans son nid d’amour chaud et liquide. Elle se couche sur moi.–Oui, j’aime te sentir te vider en moi, encore, encore.–Je te donne tout ce que j’ai.Elle m’embrasse pendant qu’elle se calme doucement. Je sens de plus en plus son poids sur mon corps, elle s’abandonne, le lui caresse le dos, les fesses, mon doigt glisse entre elles et finit sur son anus qui réagit par de petites contractions.–Oui, caresse-le avec ton doigt, j’aime, c’est nouveau, mais j’aime, je ressens une vibration dans tout le corps.Je recherche un peu de lubrifiant sur les bords de sa vulve occupée par mon sexe et reviens à l’anus, je pousse un peu et mon doigt commence à le pénétrer.–Oui chéri, continu doucement.Je l’enfonce un petit peu, le ressort, le rerentre de nouveau et continu mes va et vient en lubrifiant de temps en temps mon doigt dans sa vulve maintenant libérée par mon sexe.–Plus vite.Elle glisse une main sur son clitoris. J’accélère mes mouvements, jusqu’à ce que je la sente se cabrer en arrière.–Oui, je jouis, je jouis avec mon doigt et mon cul, continu, je jouis, je jouis.Je continu mes mouvements jusqu’à ce qu’elle se redresse, me prenne la tête entre ses mains et m’embrasse.–Que c’est bon, vivement qu’on recommence avec ton sexe.–Quand tu veux.–Ce sera pour plus tard, j’ai envie de me baigner.Nous allons dans la piscine, nous nous amusons comme des gamins et j’ai un coup de vague à l’âme. Charlette s’en aperçoit.–Que t’arrive-t-il ?–Juste un petit coup de déprime, un souvenir très pénible.–Tu peux me raconter, si tu en as envie bien sûr.Je n’ai jamais caché mon histoire avec Sonia, je ne l’ai raconté qu’à très peu de mes femmes, seulement quand elles le demandaient. Je sors de la piscine, elle me suit et nous nous asseyons sur des transats. Je lui raconte en gros ce qui s’est passé il y a presque trente ans. Elle me regarde avec ses yeux remplis de tendresse.–Mon pauvre chéri, je commence à mieux comprendre ta philosophie de la vie. Je respecte ton attitude vis-à-vis d’elle et jamais je ne chercherais à t’en faire changer. Notre histoire aura une fin, je le sais, je souhaite seulement que ce soit le plus tard possible. D’un autre côté, tu m’as fait revivre moi aussi. Je ne sais pas si c’est le moment, nous nous connaissons depuis quinze jours, mais je crois que je peux tomber amoureuse de toi, si ce n’est déjà fait.–Mon amour pour Sonia ne m’empêche pas d’aimer d’autres femmes, différemment, mais de les aimer quand même. Je crois que c’est le cas pour toi, je pense beaucoup à toi, et j’aime tant être avec toi.Elle se lève.–Mon chéri, je t’aime, je t’aime.Elle vient vers moi, me couche sur le transat, me monte dessus pour m’embrasser avec fougue.–Ca durera ce que ça durera, mais je suis trop bien avec toi pour l’instant et cet instant je veux le vivre le plus intensément possible.
lagatois34@gmail.com
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