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Catherine et Charlette

Chapitre 5

Hétéro
Il commence à se faire tard, Charlette se lève et se dirige vers la cuisine.–Je prépare le repas, tu restes sur la terrasse ?–Non, je viens t’aider.Nous nous affairons à la cuisine.–Dis donc, tu n’es pas un boécien en cuisine ?–Non, pas vraiment, j’ai écrit un livre.–Un livre ?–Oui, « le livre des recettes ». Une compilation de recettes de chef et de ma grand-mère, remises au goût du jour par mes soins.–Tu as écrit un livre de recettes et tu me laisse faire la cuisine ?–Oui, et sans vergogne comme tu peux le constater.–Vas dans le salon.Elle me sourit et se penche pour déposer un baiser sur mes lèvres.–Prépare l’apéritif, je boirais bien un Martini blanc, j’en ai pour deux minutes.Je prépare l’apéritif pendant que Charlette s’occupe du repas. Je la laisse faire, elle se débrouille très bien. Nous prenons l’apéritif tranquillement quand je me souviens de sa fatigue un peu surprenante.–Dis donc, tu m’as parue bien fatiguée tout à l’heure, tout va bien au niveau santé ?Elle éclate de rire.–Qu’est ce qui te fais penser que ça ne pourrais pas aller ?–Je ne sais pas, tout à l’heure tu as dormi bien longtemps, ce n’est pas ton genre.–Si j’ai dormi tout à l’heure, c’est que j’étais fatiguée, très fatiguée même. J’ai passé la nuit avec Catherine et ça a été plus que fatiguant. Tu as failli tomber sur elle, elle était partie depuis moins de cinq minutes quand tu es arrivé, à tel point que j’ai eu le temps de faire ma toilette, mais pas le temps de m’habiller ni de faire le lit.–Je vois, j’espère que tu as gardé des forces pour cette nuit ?–Oui, mais il va falloir être raisonnable, je conduis sept heures demain. Au fait, elle m’a parlé de votre travail de vendredi, je crois que tu es en passe de gagner sa confiance, bravo, je ne pensais pas que tu y arriverais si vite.–Heureusement que son camion est tombé en panne, ça a permis le rapprochement. Au fait, tu ne vas pas charger ton camion ?–Non, c’est un autre chauffeur qui le fera, il a dû prendre mon camion aujourd’hui et il le charge dès qu’il rentre. Je suis libre pour toi mon chéri.–Tu lui a parlé de nous ?–Non, je ne pense pas que ce soit le moment, d’une part, je ne veux pas la rendre jalouse, d’autre part, attendons qu’elle soit plus proche de toi dans le boulot.
–Tu es un fin stratège, bravo.–J’ai vu votre document et il me semble que vous n’avez pas assez pris en compte le cabotage, ce n’est pas exactement comme les grandes tournées ou l’international, j’ai fait une remarque, nous en parlerons demain, ce n’est pas le moment.Elle me sourit. Nous sommes côte à côte sur le divan, nus, à nous caresser tendrement. Nous n’avons pas besoin de sexe, juste de nous toucher, de nous sentir, de respirer le même air, d’être l’un contre l’autre.–Je suis bien.–Moi aussi.Nous dinons et allons nous coucher assez vite, elle se love contre moi.–Pourquoi chéri ?–Pourquoi quoi ?–Nous, pourquoi nous, il y a tant de possibilités, tant de combinaisons, et nous voilà réunis.–Tu sais, je suis devenu fataliste, je ne cherche plus à comprendre ce qui se passe, je me contente de le vivre.–Maintenant que j’en connais un peu plus sur toi, je te comprends, mais je ne peux m’empêcher de penser à ça.–Tu ne préfère pas faire l’amour plutôt que de discuter philosophie ?–Toujours aussi terre à terre.–Non, peau à peau.Elle rit et se jette sur moi.–Peau à peau, comme tu aimes.Elle se trémousse sur moi, ses cuisses me serrent le sexe qui réagit et se redresse doucement.–Je sens la petite bête monter, monter, bientôt elle sera dans la niche.Quand ma bite est bien raide, elle se laisse glisser dessus. –A la niche.Je reste immobile, elle ondule sur moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue batifole dans ma bouche et se dispute avec la mienne, le combat est homérique. Son sexe s’active sur le mien jusqu’à ce qu’elle se crispe sur moi.–Viens, viens.Je ne suis pas prêt, je ne peux pas jouir pendant qu’elle explose dans un orgasme fou. Je la mets sur le dos, lui écarte les jambes et plonge sur son sexe qui palpite toujours de l’orgasme qui vient de la secouer. Ses mains se posent sur ma tête.–Oui, fais-moi jouir encore.Ma langue explore ses lèvres, sa vulve pour atterrir sur son clitoris. Elle ne met pas une minute pour repartir dans un second orgasme. Elle tremble toujours quand, après être remonté sur elle, je lui plante mon sexe dans la vulve.–AAAAAHHHHH.Je la pistonne de toutes mes forces, le plus vite que je peux et elle repart dans un troisième orgasme pratiquement instantanément. Depuis Danielle, je n’ai jamais vu une femme jouir autant de fois en si peu de temps. Je me vide en elle, ce qui décuple, si c’est encore possible, son orgasme.–HHHHHOOOOO, AAAAARRRRRGGGGG.Je reste sur elle sans bouger, j’attends qu’elle retrouve un rythme plus calme. Quand elle respire normalement, je descends sur le côté.–Ou lala, qu’est-ce que tu m’as fait.–L’amour bien sûr.–Oui, j’avais compris, mais comment.–J’ai suivi les ordres de ton corps.–Tu ne vas pas recommencer.–A quoi, à te faire jouir ? Bien sûr que je vais recommencer et le plus souvent possible.–Non, avec les ordres de mon corps.–C’est pourtant vrai. C’est ton corps qui m’inspire.–Ok, j’espère qu’il restera longtemps ta muse.–Et moi donc.–Ce n’est pas tout ça, mais il faut dormir, demain lever cinq heures, tu restes ?–Bien sûr, je prendrais le boulot plus tôt que prévu, c’est tout.Elle se penche sur moi, me couvre de baisers sur tout le corps. Elle remonte le long de ma poitrine pour atterrir sur mes lèvres. Après un long baiser, elle se couche sur le côté.–Bonne nuit mon chéri à demain.–Bonne nuit chérie.Nous nous mettons dos à dos et nous finissons par nous endormir assez vite.
Le lendemain matin, réveil cinq heures, Charlette remarque mon état de forme et m’attire sur elle.–Fais-moi l’amour, ce sera peut-être la dernière fois avant vendredi.J’ai un peu de mal à la pénétrer au début, j’y vais doucement, elle n’est pas assez lubrifiée, mais très vite la situation s’améliore, elle ne bouge pas, se laisse faire sans un geste.–Aimes moi, aimes moi, je suis ta chose, aimes moi.Je m’active sur elle en surveillant ses réactions, quand je sens son bassin bouger, je sais qu’elle commence à participer, quand ses mains se crispent sur ma peau, je sais qu’elle ne va pas tarder à jouir, c’est le premier indice de l’arrivée de son orgasme. Quand ses narines palpitent, elle est au bord de l’orgasme, c’est à ce moment que j’amplifie mes mouvements d’aller-retour. Elle se cambre, soulève ses fesses et part dans un orgasme violent. Elle est secouée dans tout son corps, ça déclenche ma jouissance.–Oui, en moi, oui, oui, jouis en moi, je t’aime, je t’aime.Nous finissons par nous calmer. Elle réalise d’un seul coup qu’elle va être en retard si elle ne réagit pas vite. Nous prenons une douche rapide, sans minette, à son grand regret. Après le petit déjeuner, nous prenons chacun notre voiture pour aller à la boite. Je fais un détour de quelques kilomètres pour arriver un quart d’heure après elle, juste au moment où elle quitte la société au volant de son semi. Catherine est toujours là, je me dirige vers elle.–Tu n’es pas encore partie ?–Non, les mécanos finissent la réparation de la pompe haute pression. Je pars dans une heure à peu près.–Ok, ça t’intéresse de voir les réactions des chauffeurs qui m’ont rendu le document ?–Oui, bien sûr.Nous nous rendons dans mon bureau, il y a les trois quart des documents distribués. Presque tous sont rendus vierges de toutes annotations avec l’accord du chauffeur. Cinq ou six sont raturés avec des suggestions. Toutes ne sont pas réalistes, mais deux peuvent s’intégrer, dont celle de Charlette, ce que nous faisons immédiatement. Nous laissons le document en attente de toutes les réponses. Le camion n’est toujours pas prêt, la réparation est plus longue que prévue. Le propose à Catherine de venir boire un café dans mon bureau, j’ai une cafetière perso. Nous buvons notre café, Catherine me regarde intensément.–Tu fais ce boulot depuis longtemps ?–Trois ans, c’est la quatrième boite que je guide dans l’obtention de la certification. Dans six mois, je ne serais ici que trois jours par semaine et j’aurais une autre société à guider en parallèle.–Comment tu fais pour travailler dans des sociétés différentes en même temps.–Question d’organisation, de plus je choisi des sociétés qui n’ont rien à voir entre elles, qui agissent dans des domaines différents. L’année dernière, je travaillais dans trois sociétés en même temps, il y en avait une dans le transport, l’autre dans le stockage et la troisième dans le médical, ce qui implique d’autres contraintes. C’est assez dur, mais passionnant.–J’imagine.Un des mécanos arrive et entre dans le bureau. –Bonjour Jean, Catherine, ton camion est prêt, tu peux y aller, excuses nous pour le retard.–C’est pas votre faute, t’en fait pas.Elle se lève, me sourit et quitte le bureau. Deux minutes plus tard, je la vois partir avec son semi décoré d’un magnifique paysage des Pyrénées sous la neige. Elle retourne à Milan.
La semaine se passe bien, je trouve de plus en plus pénible le fait de ne pouvoir être avec Charlette le soir. Jusqu’au retour de tournée de Charlette le mercredi après-midi. Elle vient dans mon bureau comme tous les jours pour examiner les réponses au document de pannes. Elle ferme la porte.–Tu peux venir ce soir, Cindy veut bien faire la connaissance du monsieur qui rend maman heureuse.–C’est comme ça que tu m’as présenté ?–Oui, je lui ai dit que j’avais rencontré un monsieur très gentil qui me rendait heureuse et que j’aimerais qu’elle le connaisse.–Qu’est-ce qu’elle a dit ?–Elle a dit oui, mais en plus elle m’a demandé si nous allions dormir ensemble comme son papa et la dame qui le rend heureux. Je lui ai répondu que oui évidemment. Elle est d’accord.–Super, maintenant il va être difficile de passer inaperçu dans la boite, ma voiture devant chez toi ne va pas passer inaperçue.–Et alors ?–Ok, moi je suis à ta disposition.–Ok, j’y vais, je dois aller chercher Cindy à la crèche, je t’attends ce soir chez moi, préviens Patrick que je t’enlève.–Ok, à ce soir.Je préviens Patrick que je ne serais pas là ce soir pour diner, mais je n’annule pas ma chambre. En fin de journée, au moment de quitter le bureau, je reçois un coup de téléphone de Catherine pour me demander s’il y a quelque chose à charger sur le retour. Je suis étonné, ce n’est pas moi qui m’occupe de ça. Après renseignements, je lui dis que non et qu’elle peut remonter direct. Elle me dit qu’elle sera à la société demain en fin de matinée. Je note sur le tableau et prends ma voiture pour me rendre chez Charlette. Quand j’arrive vers dix-neuf heures, elle prépare le repas de Cindy. La petite me regarde.–Maman, c’est le monsieur qui te rend heureuse ?Je ne peux m’empêcher de rire.–Oui ma chérie, c’est le monsieur qui me rend heureuse, il s’appelle Jean, dis-lui bonjour.–Bonjour monsieur.Je m’approche d’elle.–Jeune fille, ce n’est pas comme ça qu’il faut me dire bonjour, il faut dire bonjour Jean, c’est mon nom et je veux que tu m’appelle par mon nom. Moi je te dis, bonjour Cindy, et toi ?–Bonjour Jean.–Je peux te faire une bise.–Oui.Elle me tend sa joue sur laquelle je pose délicatement mes lèvres.–Et toi, tu me fais une bise.Elle tend ses bras pour me faire descendre à sa hauteur, me les met autour du cou et me fait deux bises, puis elle se retourne et va vers sa mère. Charlette me sourit, elle a l’air détendue, visiblement tout se passe bien. Personnellement, je ne sens pas bien la situation, j’ai l’impression que la gamine se force pour faire plaisir à maman. Je fais mine de rien et viens vers sa mère pour l’embrasser, et là je vois que la gamine n’est pas si heureuse que ça. Charlette l’installe pour la faire manger. Je m’empare de l’assiette la passe derrière moi.–Surprise, plus d’assiette, comment tu vas manger ?Cindy me regarde en riant.–Elle est derrière toi, je l’ai vu.–Non, moi je ne sais pas où elle est, mais peut être qu’elle va revenir si tu y pense très fort en fermant les yeux.Entretemps, Charlette est passée derrière moi pour prendre discrètement l’assiette et la cacher derrière Cindy.–Non, je sais que tu la mise derrière toi.–Tu es sûre ?–Oui, je l’ai vu, montre tes mains.Je lui fais voir mes deux mains, elles sont vides. Elle me regarde étonnée.–Tu vois bien que je ne l’ai pas, tu n’as pas voulu fermer les yeux, l’assiette est perdue.–Non, je veux manger.–Regarde derrière toi.Elle se retourne et vois son assiette. Elle se retourne vers moi.–Comment tu as fait ?–Tu le sauras plus tard, maintenant il faut manger, tu veux que je te donne à manger.–Oui, si tu ne fais pas disparaitre mon manger.Charlette et moi éclatons de rire.–Bien sûr chérie, je ne ferais pas disparaitre ton manger, je vais te le donner.Je la fais manger en lui faisant de temps en temps une petite farce, ce qui la fait éclater de rire à chaque fois, à la fin du repas, nous sommes les meilleurs amis du monde. Charlette la prend dans ses bras.–Aller, au lit maintenant, tu dis au revoir à Jean.–Non, il vient avec toi pour me coucher.Je n’en demandai pas tant, je me précipite avec elles et nous couchons Cindy qui est aux anges, sa mère et le monsieur qui le rend heureuse sont à son chevet. Je lui fais une bise et comme avec ma fille, je lui prends la main, reste à côté d’elle en la regardant et j’attends qu’elle s’endorme. Elle me regarde, elle essaye de résister, mais ses yeux se ferment petit à petit, et le sommeil gagne. Charlette est à côté de nous et me regarde d’un drôle d’air. Petit à petit Cindy s’endort, je sens sa main lâcher prise doucement. Je ne lâche sa main que quand je suis sûr qu’elle est vraiment endormie. Cela nous a pris un quart d’heure. Nous sortons de sa chambre.–Comment tu fais ?–Quoi ?–Et bien ça, endormir une petite fille qui ne te connait pas simplement en lui tenant la main ?–C’est ce que je fais avec ma fille, elle a huit ans, mais ça marche toujours. Il faut que l’enfant sache que tu ne vas pas le laisser avant qu’il ne dorme, elle l’a senti, c’est tout.–Incroyable, tu ne la connais même pas.–Non, mais elle, elle a senti que j’allais rester jusqu’au bout sans bouger, elle, elle me connait.–Je ne sais pas, mais moi, j’ai envie de toi, tout de suite, là, maintenant.Elle me déshabille tout en se déshabillant, résultat sans que je n’ai quoi que ce soit à faire, nous nous retrouvons nus dans son lit.–Baise-moi.–Non, je ne supporte pas ce genre de langage, entre nous c’est de l’amour, pas de la baise. Je t’aime, tu m’as dit que tu m’aimais, de l’amour chérie, de l’amour et rien d’autre.–Excuses moi, je suis un peu retournée par ce qui vient de se passer. Je ne sais plus où j’en suis.–Qu’est ce qui te perturbe tant ?–Tu ne te rends pas compte, ce que tu viens de faire, je pensais être la seule à pouvoir le faire, même son père ne peut pas. Et toi, tu arrives, tu lui prends la main, la regarde et elle s’endort en un quart d’heure là où quand je mets vingt minutes je suis contente. Avoue que c’est troublant.–Il ne faut rien voir de spécial là-dedans, simplement les enfants me font confiance, c’est comme ça, je ne sais pas d’où ça vient, mais je l’ai constaté. Mon ex-femme ne peut endormir ma fille qu’en trois quart d’heure minimum quand elle prend son temps, sinon, si elle est pressée, elle part avant qu’elle ne soit endormie, elle se réveille et ça prend des heures. Moi, jamais je ne suis parti avant qu’elle ne soit endormie, jamais, résultat, maintenant elle me fait totalement confiance et s’endort tout de suite en moins d’un quart d’heure. Un enfant a besoin d’une présence quand il s’endort, beaucoup ont peur de s’endormir, il leur faut une présence rassurante, si en plus tu leur tiens la main, ils ont ce contact physique qui les rassure.–J’en prends note, ceci dit, j’ai toujours envie de toi.–Ok, on fait l’amour, on ne baise pas.–Oui chéri.Elle se love contre moi, une jambe repliée sur mon ventre. Sa main droite parcoure mon corps, l’autre s’occupe de sa vulve. Quand je bande, elle pivote pour présenter son sexe à ma bouche. Elle monte sur moi et me gobe le sexe.–Le dernier qui jouit a gagné.Elle me titille le sexe, je lui aspire la vulve, lui mordille les lèvres, arrive sur le clitoris et excite ma langue dessus. Sa technique de fellation est vraiment au point, je commence à ne plus savoir ce que je fais, je m’applique pourtant sur son clitoris, mais c’est elle qui gagne, je jouis le premier en lui inondant la bouche.Je la mets sur le dos, lui écarte les jambes et plonge sur son intimité. Je me déchaine sur sa vulve, l’aspire pour boire son jus, remonte sur son clitoris pour la faire exploser. Elle jouit en silence, sa fille est à côté, mais elle y met la même ardeur. J’enfonce un doigt dans sa vulve pour lui planter aussitôt dans l’anus. Elle se cambre, me soulevant d’un seul coup. Je replonge deux doigts dans sa vulve pour les lubrifier et lui plante dans l’anus.–Oui, chéri, j’aime, encore.Je recommence plusieurs fois avec deux doigts, quand je sens qu’elle les accepte sans broncher, j’en ajoute un troisième. Je la pistonne de plus en plus vite en lui titillant le clitoris avec ma langue. Elle finit par se cabrer et jouir, mais pas comme d’habitude, comme si elle était dans un autre monde plus doux, plus soft.–Ton sexe, je veux ton sexe.Cette atmosphère m’a refait bander, je la retourne sur le ventre, je trempe mon vit dans sa vulve et me positionne sur sa rondelle.–Oui chéri, vas-y, je l’attends.Je pousse doucement, mais je n’arrive pas à la pénétrer, je ne veux pas forcer de peur de lui faire mal. Je me retire, crache sur sa rondelle et représente mon vit qui cette fois entre doucement. –Oui chéri, oui, j’aime.Je m’enfonce jusqu’aux pubis.–Oui, tes couilles sur mes fesses, jamais je n’aurais cru que ce soit si bon.Je lui fais l’amour dans son cul, sa main est sur son clitoris et elle part très vite dans un nouvel orgasme qui me fait me vider en elle. Nous finissons par nous allonger l’un contre l’autre. Elle se retourne un peu sur moi, repli une jambe sur mes cuisse et pose un bras sur ma poitrine.–Ca y est, j’ai fait jouir un homme avec tous mes trous.–Ca a de l’importance pour toi ?–Oui et non, oui parce que je voulais le faire depuis longtemps, mais mon mari n’a jamais voulu, il ne trouvait pas ça normal, non parce que je considère ça comme naturel. Je n’avais même pas essayé avec mon gode, je voulais un vrai sexe d’homme pour la première fois. Elle m’embrasse et se retourne.–Bonne nuit chéri.–Bonne nuit chérie.Nous finissons par nous endormir.
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