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Catherine et Charlette

Chapitre 6

Hétéro
Le lendemain, levé cinq heures, préparation de Cindy, dépôt à la crèche et au boulot. Elle part pour la journée avec son semi. En fin de matinée, Catherine arrive dans la cour de la société. Elle descend de son camion un peu énervée. Elle vient direct me voir.–Il faut qu’on parle.–Ok, ferme la porte et assied toi. Que se passe-t-il ?–Beaucoup de mes clients parlent de qualité, je leur ai dit que nous entamions une procédure de qualification, pas mal sont intéressés et voudrait voir la personne qui dirige ça. Ils m’ont fait comprendre que c’était la condition sine qua non pour la reconduction du contrat.–Pas de problème, allons voir le boss.Nous allons voir le directeur qui boit un café dans la salle de réunion.–Bonjour Jérôme, Catherine a un retour de tournée à t’exposer.Catherine lui expose les faits.–Pas de problèmes, Jean, tu peux accompagner Catherine sur une tournée ?–Bien sûr.–On peut faire ça quand ?–Pas la semaine prochaine, ce serait trop tôt. La semaine d’après, comme ça Catherine pourra prévenir ses clients.–Bon, Catherine, la semaine prochaine tu en parles à tes clients, tu leur dit que le responsable qualité, non, plutôt le directeur de la qualité, ça fait plus sérieux, t’accompagnera pour les voir. Ok ?–Ok, je prépare ça avec Jean.–Très bien, à bientôt.Nous quittons la salle pour aller dans mon bureau et discuter de ce qu’il y a à dire, et surtout ne pas dire. Il est temps d’aller manger et Catherine m’accompagne chez Patrick.–Bonjour Patrick.–Bonjour ma belle, viens dans mes bras.–Bien sûr mon chéri.Elle va vers lui pour l’embrasser affectueusement en passant son bras derrière son dos. Il la serre dans ses bras. On sent qu’ils s’apprécient beaucoup. Nous nous installons pour manger.–Vous vous connaissez depuis longtemps ?–Nous avons fait notre primaire et secondaire ensemble, pendant plus de douze ans, oui, on peut dire qu’on se connait depuis très longtemps, il est comme mon frère.–J’ai vu.Nous déjeunons tout en discutant de mon voyage en Italie. Je lui fais confiance sur l’itinéraire et la sélection les clients les plus délicats. A la fin du repas Catherine me regarde.–Tu te sens bien dans cette société.
–Oui, ça a l’air de se passer mieux que je ne l’espérais, la démarche qualité à l’air d’être assez bien intégrée, en tout cas pour le personnel non roulant. Et toi, ou en es-tu ?–De quoi ?–De ton intégration de la démarche qualité ?–Je suis le mouvement, il faut bien. J’ai bien réfléchie et je crois que je me faisais une idée fausse de la qualité. J’avais peur que ça n’aboutisse à des contraintes supplémentaires. Or, vendredi dernier, je me suis rendue compte qu’en fait c’est nous qui sommes au centre. J’avoue que j’ai été un peu troublée. En plus, avec ce qui se passe en Italie, je dois y aller à fond. –Voilà ce que j’espérais entendre.–On retourne au boulot ?–Pourquoi, on n’a pas travaillé ici.–Oui, bien sûr, mais je n’ai pas trop l’habitude de ces conversations de travail autour d’une table. –Tu t’y feras, j’en suis sûr. –Je vais payer Patrick.–Non, c’est un repas de travail, c’est la société qui paye. Aller au boulot comme tu dis.Elle rigole et nous retournons à la boite. L’après-midi se passe bien, Charlette arrive comme d’habitude vers seize heures, passe au bureau, charge son camion et va chercher Cindy. En fin d’après-midi, je vais voir Catherine. –Tu bosse demain ?–Oui, je bosse ici, j’ai quelques papier à mettre en ordre, j’en ai pour une heure à peine, après je suis disponible, pourquoi ?–J’aimerai mettre en place un système de communication direction-chauffeurs. Tu veux y participer ?–Oui, bien sûr.–Charlette sera des nôtres l’après-midi.–Parfait, compte sur moi, à demain.Le soir je vais chez Charlette. Cindy me saute au cou pour m’embrasser, je la prends par la main et nous allons rejoindre sa mère dans la cuisine. Charlette a enfilé une robe courte et ample. Je remarque qu’elle est nue dessous. –Tu sais que Jean sait très bien faire la cuisine ?–A bon, les papas savent faire la cuisine ?–Oui, mais il ne veut pas la faire ici.–Je n’ai pas dit ça, tu es chez toi, et c’est toi qui fais la cuisine, je ne la fais que sur demande expresse.–Et bien cette demande, je te la fais officiellement, samedi, j’ai l’intention d’inviter Charleen et Catherine, tu peux nous faire quelque chose de bon ? Juste nous quatre.–Je vais être au milieu de trois belles filles, je ne vais pas survivre.–T’en fais pas, je veillerais à ce que tu survives.–Ok, midi ou soir.–Les deux, elles dormiront là, mais je ne veux qu’un seul « bon » repas, plutôt à midi.–Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?–J’y réfléchi, je te dirais ça demain soir, on a le temps. Tu peux aussi me faire de suggestions. Viens m’aider à faire manger Cindy, il faut la coucher dans une demi-heure.Nous faisons manger Cindy, toujours avec mes blagues qui la font rire, je vais seul la coucher après qu’elle ait embrassé sa mère. Elle s’endort en un quart d’heure, je rejoints Charlette dans la cuisine et la prends par la taille, lui dépose un baiser dans le cou.–Je n’en reviens toujours pas.–De quoi ?–Ton rapport avec Cindy, elle est en général un peu plus sauvage que ça.–Que veux-tu, je plais aux gosses.–Je vois, mais tu plais aussi aux mères.Elle se retourne et nous nous trouvons enlacés et bouche à bouche, s’ensuit un long baiser doux et tendre. Elle me pousse avec son corps pour me faire reculer vers sa chambre. Je fini à plat dos sur son lit. Elle entreprend de me déshabiller, je me laisse faire, et quand je suis nu, je la fais tomber à côté de moi pour lui arracher sa robe qui vole au-dessus de sa tête. Nous nous embrassons, je descends le long de son corps pour terminer sur son clitoris qui pointe entre ses petites lèvres. Je le mordille, j’adore ça, le suce, l’aspire comme pour le lui arracher, elle ne résiste pas longtemps avant de jouir. Elle est en plein orgasme que mon vit la transperce d’un seul coup.–AAAARRRRGGGG.Je lui défonce la chatte à grand coup de bassin, elle s’agrippe à moi, jouit sans interruption le corps secoué dans tous les sens, sa tête s’affole de gauche à droite, elle commence à se calmer quand je jouis en me déversant dans sa vulve.–Oui, oui, je jouis.Elle repart dans un autre orgasme. Quand je me retire, elle est anéantie, pantelante sur le lit, les yeux dans le vague, la respiration rapide. Elle ne peut plus bouger. Moi-même je suis sur les genoux. Je m’allonge à côté d’elle, je pose une main sur sa poitrine, lui embrasse chaque sein, ça me redonne envie, je descends vers le nombril, arrive sur le mont de vénus quand une main me pousse sur son sexe. Ma langue sort, lèche, titille, mes lèvres aspirent, mes dents mordillent et son bassin s’agite, ses mains me plaquent sur son sexe, son ventre se soulève et elle repart dans un quatrième orgasme encore plus puissant que les précédents. Son corps part dans tous les sens elle balaye l’espace avec ses jambes, se cabre, se repli, le tout en silence. Quand elle réussit à se calmer, elle reste sur le dos les bras et les jambes écartés. Je monte sur elle, je bande comme un âne, une fois complètement sur elle, elle pose ses mains sur mes fesses et appui pour faire pénétrer mon sexe dans le sien. –Oui, ton sexe, encore ton sexe.Je m’active le mieux possible dans son sexe, je veux faire durer mon plaisir, mais elle ne m’en laisse pas le temps, elle jouit de nouveau, je n’ai pas le temps de jouir. Je reste en elle pendant sa jouissance en la pistonnant sans arrêt. Après une courte détente, son corps revit. J’ai de la ressource ayant joui, je peux mieux résister, je me déchaine dans son sexe pour la faire jouir la plus vite possible, mais elle résiste un peu et c’est moi qui cède le premier, immédiatement suivi par elle. Nous jouissons ensemble, elle est tellement dans son plaisir qu’elle ne se rend pas compte qu’elle me donne un grand coup de genou dans le ventre. Quand elle émerge, je suis toujours plié en deux par la douleur.–Que se passe-t-il mon chéri ?–Tu viens juste de me donner un grand coup de genou dans le ventre.–Excuses moi chéri, je n’étais pas dans mon état normal.Elle se penche pour m’embrasser le ventre.–Plus bobo.Je la fait remonter jusqu’à mon visage et l’embrasse.–Je t’aime tu sais.–Je crois savoir.–Que m’arrive-t-il ? Jamais je ne me suis comportée comme ça, jamais je n’ai joui à répétition comme ça. Jamais je n’ai eu tant envie de jouir comme ça, je ne pense qu’à ça depuis que tu es là.–Tu n’aimes pas ?–Bien sûr que j’aime, j’adore même, mais c’est très fatigant et je ne me sens pas le courage de me lever pour aller manger.–Et bien on dort un petit peu et on mange après.–Ok, bon dodo mon chéri.Elle dépose un baiser sur mes lèvres, se retourne et met tout juste une minute à dormir. Je le suis assez rapidement. Nous nous réveillons vers onze heures, dinons très vite et retournons au lit. Elle se met sur le dos, jambes écartées, je me place au centre et plonge sur le fruit défendu qui s’épanoui sous ma langue. Elle jouit très vite, elle est assez fatiguée et ne peut résister longtemps. Je me mets à côté d’elle et nous nous endormons dos à dos.
Le lendemain, réveille comme d’habitude, elle amène Cindy à la crèche avec les affaires pour le week-end avec son père. Nous arrivons au boulot en même temps, ce qui fait sourire deux chauffeurs de cabotage. La journée est consacrée à la recherche de la meilleure manière de faire passer les consignes aux chauffeurs. Le matin, nous ne sommes que trois au début, ensuite arrive Catherine suivi de Jean Luc et de deux autres chauffeurs. Charlette arrive vers midi moins le quart, juste pour manger. Nous allons tous chez Patrick au frais de la société. Nous terminons nos travaux vers seize heures par la conclusion qu’il faut mettre en place des casiers individuels avec code d’accès personnel, plus l’équipement de certains camions qui partent la semaine, voire plus, de radio satellite. Un document est mis au point pour la direction. Tout le monde part à part Catherine, Charlette et Jean Luc qui vient me voir.–Je vois que ça va beaucoup mieux avec Catherine.–Oui, grace à sa panne de camion la semaine dernière. Tu avais raison, c’est une fille intelligente, elle a réfléchi et tiré les conclusions qui s’imposent.–Tant mieux, je dois y aller, bon week-end, à la semaine prochaine.–Bon week-end.Je vois Charlette et Catherine qui parlent ensemble et rigolent, je ne sais ce qu’elles se disent, mais ça a l’air marrant. A dix-sept heures, Charlette vient dans mon bureau avec Catherine.–Tu laisse ta voiture dans l’atelier, ce n’est pas la peine de prendre deux voitures pour le week-end, je n’ai pas Cindy, son père l’amène directement à la crèche lundi.Catherine me regarde en souriant.–Petit cachotier va.–Je ne pense pas que c’était à moi de t’en parler.–C’est vrai. Bon, j’y vais, à samedi, je n’amène pas de maillot de bain, ce n’est pas la peine à priori.–Exacte.Elle nous quitte en faisant bien rouler ses superbes petites fesses serrées dans un jean plus que moulant.–Elle est belle hein ?–Superbe, petite, mais superbement faite.–Tu n’as rien vu, elle est encore plus belle nue.–Tu n’es pas jalouse que je la regarde comme ça ?–Même si tu faisais l’amour avec elle, je ne serais pas jalouse, je t’aime et je ne veux que ton bonheur. Je sais que tu ne vas pas rester ma chose à moi toute seule, je l’assume, je t’aime c’est tout. Mais j’aime aussi être avec elle, j’ai de plus en plus besoin de ses caresses.–Holà, tu ne tombes pas amoureuse toi ?–Je ne sais pas, j’ai une drôle de sensation en sa présence et j’ai l’impression que c’est réciproque. Je ne suis sûre que d’une chose, j’ai toujours envie de toi, de toucher ta peau, de te caresser, de me faire caresser par tes mains, de me faire pénétrer par ton sexe.Je me lève, m’approche d’elle pour déposer un léger baiser sur ses lèvres.–Attention, nous sommes dans la boite.–Oui, c’est pourquoi je ne t’ai pas fait l’amour, là, tout de suite, sur le bureau. Je rentre ma voiture à l’atelier et je te rejoints dans ta voiture.Quand j’arrive à sa voiture, elle est à la place du passager.–Je sais que tu adore conduire ces voitures, prend le volant.Nous rentrons chez elle. J’aime bien cette voiture, elle est puissante, elle tient relativement bien la route, elle est douce à conduire si on veut se promener et c’est une bête si on veut s’amuser. Vraiment elle a tout pour me plaire. Charlette fait la liste des courses à faire pour le week-end, je ne m’occupe que du repas de midi, et nous allons dans l’hyper marché du coin. Je trouve de l’oseille et des filets de saumon. Je demande des arêtes de poisson, des têtes, de la peau pour faire un fumet. Je trouve aussi des filets de rouget grondin, ça fera pour l’entrée. En plus je prends des crevettes, du mascarpone et des asperges vertes en bocaux, ça fera pour la mise en bouche. Ce sera un repas de la mer. En entrée, mousse d’asperge aux crevettes, suivi de filets de rougets marinés-grillés ensuite saumon à l’oseille, fromage et dessert. Le tout accompagné d’un très bon blanc, un Meursault. Nous rentrons après les courses, il faut encore plus chaud que d’habitude, le week-end est annoncé chaud et ensoleillé, tant mieux. Nous nous déshabillons pour aller nous jeter dans la piscine. L’eau est presque chaude, ça nous fait du bien. –Aller, il faut se préparer, nous sommes invités chez Jean Luc.–Chez Jean Luc ? Il ne m’a rien dit. –C’est parce qu’il ne sait pas que tu viens.–Comment ça ?–Comme souvent, depuis que je suis seule, lui et sa femme m’invite à diner le vendredi, je lui ai dit que j’avais un copain, il en était très heureux et m’a dit de l’amener, il ne sait pas que c’est toi voilà tout.–Ca va lui faire une sacrée surprise.–Je pense, mais tu vas voir un autre canon, je te préviens. Il a une des plus belles femmes du coin, sinon la plus belle.–Comment peut-elle être plus belle que toi ?–Arrête tes flatteries, il faut s’habiller.–Allons-y, je choisi ta tenue.–Et tu peux laisser aller ton imagination, Laura est toujours super sexy, elle aime bien que je m’habille sexy comme elle.–Ok, allons-y.Nous arrivons dans sa chambre, j’ouvre les deux premières armoires.–Pas la troisième ?–Non, ça ne sert à rien.Je fouille dans les robes, j’en avais repéré quelques-unes qui me paraissaient intéressantes. J’en sors trois ou quatre. Je tombe sur une robe ocre courte, mi-cuisse, dans un tissu un peu élastique avec une fente derrière assez haute. –Tu peux enfiler ça ?–Bien sûr.Une fois dedans, elle est magnifique, cette robe lui sert de seconde peau, la fente derrière arrive juste en dessous de l’amorce de ses fesses, dès qu’elle se penche en avant, on devine sa nudité.–Magnifique, tu la garde, d’accord ?–Bien sûr, et sans rien d’autre je présume. –Tu présume bien.–Tu n’avais même pas besoin d’ouvrir la seconde armoire. Je vais me maquiller.Je m’habille rapidement, j’ai apporté quelques affaires ici, je ne vais que rarement à l’hôtel maintenant. Je songe sérieusement à annuler mes réservations, nous sommes trop bien ensemble et il n’est pas question que nous dormions chacun chez soi. Charlette sort de la salle de bain, elle a un sens inné du maquillage, elle sait l’assortir à sa tenue, elle est superbe. Je remarque son rouge à lèvre moins foncé que la dernière fois.–Je peux t’embrasser ?–Evidemment.–Ce n’est pas toujours le cas.Je m’approche pour déposer juste un baiser sur ses lèvres. Je la prends par la taille.–Tu es magnifique, tu arrives à avoir un visage doux, même avec tes cheveux courts.–Ils ne te plaisent pas.–J’avoue que chez une femme, j’aime mieux les cheveux plus longs, par exemple comme ceux de Catherine, sur les épaules.–Tu sais, je me suis coupé les cheveux juste après le départ de mon mari, c’était plutôt par réaction, mais si tu aimes les cheveux longs, je vais les laisser pousser. –Charlette, tu fais comme tu veux.–J’ai envie de te faire plaisir, et puis c’est vrai, moi aussi j’aimais mieux avant. Tu vas aimer ceux de Laura, je ne t’en dis pas plus.Nous sortons de la maison, elle me laisse conduire jusqu’à chez Jean Luc. Quand nous arrivons chez lui, il y a deux voitures, la Mégane de Charleen et une Mustang 1970 que je ne reconnais pas.–Ha, je vois que Catherine est arrivée, il y a sa Mustang. –Comment ça, c’est une réunion syndicale de la boite ou quoi ?–Non, Jean Luc invite toujours mes copines quand il m’invite, il est le seul avec sa femme à connaitre notre véritable histoire. Devant lui, on ne se gêne pas, sans exagérer bien sûr.–Ok, ça va être chaud.–Non, aller détends toi.Nous sortons de la voiture, Charlette me précède et frappe à la porte de la maison. Elle me met devant la porte au moment où Jean Luc l’ouvre. Il me regarde étonné.–Merde alors, c’est toi l’heureux élu ?–Et oui.–Entrez. Laura, je te présente Jean, le responsable qualité de la boite.Laura s’approche passe son bras derrière mon cou et me pose ses lèvres sur les miennes. Elle se dégage, me sourit et va en faire autant à Charlette. Charleen vient me faire la même chose et se dirige vers Charlette. Je regarde Charlette un peu étonné.–C’est la tradition chez Jean Luc et Laura, on se fait une bise sur la bouche.Catherine s’approche à son tour. Elle se met sur la pointe des pieds, passe son bras derrière ma tête et pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser qui se veut chaste, mais que je trouve un peu plus appuyé que les deux précédents. Elle me regarde avec un air malicieux, pour se retourner vers Charlette avec qui elle appui encore plus son baiser.Laura retourne à la cuisine. Je la regarde, c’est sûr, c’est un super canon, grande, très jolie, des yeux bleus ciel, une bouche fine, un nez légèrement retroussé, une poitrine moulée dans un haut seconde peau qui laisse deviner ses seins, des fesses moulées dans une jupe droite, serrée et très courte, des jambe d’enfer, le tout pratiquement caché par des cheveux noirs arrivant bien au-delà des fesses. Charlette a raison, c’est un canon. Mais je remarque un autre canon, une fois habillée en fille, c’est Catherine. Elle est superbe, petite, très jolie, ses yeux bleus nuit expressifs, sa superbe poitrine moulée dans une robe juste au corps qui lui arrive à peine au tiers des cuisses. Evidemment elle est nue dessous, on ne voit que ça. C’est une magnifique poupée vraiment extrêmement bien proportionnée. Charleen n’est pas en reste, avec un corsage crème très léger et une jupe courte fendue sur le côté. C’est une réunion de « bombasses ».–Mesdames, je vous savais toutes très belles, mais jamais je n’aurais pu l’imaginer à ce point.Elles me regardent toutes. Catherine vient vers moi, me regarde droit dans les yeux.–Ça, mesdames, ça mérite un autre baiser.Elle se met sur la pointe des pieds, m’entoure le cou de ses bras, et me plaque ses lèvres pour un baiser un peu plus appuyé, qui dure tout de même quelques secondes. Charleen en fait autant ainsi que Laura. Charlette attend son tour pour m’embrasser passionnément, avec elle ça dure plus longtemps, beaucoup plus longtemps. Elle marque son territoire.
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