Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 90 J'aime
  • 2 Commentaires

Catherine et Charlette

Chapitre 7

Hétéro
Nous nous installons autour d’une table basse, toutes ces dame montrent leur cuisses, voire plus, et c’est assez agréable. Les filles se font de temps en temps une bise, mais sans plus. Nous mangeons très bien. La soirée se déroule dans la bonne humeur, Jean Luc et Laura sont des hôtes attentionnés. Vers minuit, Charleen se lève péniblement de sofa dans lequel elle est, elle travaille à six heures, elle doit rentrer, cela donne le ton et tout le monde prend congés. Nous rentrons chez Charlette tranquillement.–Comment as-tu trouvé cette soirée. –Je dois te dire qu’au milieu de tous ces canons je ne savais plus où donner de la tête, heureusement que de temps en temps je pouvais te regarder, tes baisers m’ont fait du bien. Tu as raison, Laura est fabuleusement belle, je comprends pourquoi tu m’as dit que ses cheveux me plairait. Mais c’est de toi dont j’ai envie, juste toi.–Tu crois que cinq jours avec Catherine, tu ne vas pas craquer ?–Je ne sais pas chérie, c’est vrai que je la trouve très belle, mais je suis bien avec toi, je ne veux pas tout gâcher.–Chéri, tu m’as prévenu dès le début, tu n’es pas fiable, tu te laisses parfois aller à tes envies, je l’ai assimilé. Moi, ce que je veux, c’est que tu me reviennes, je ne suis pas jalouse de Catherine ou de Charleen. Ce sont mes sœurs de cœur. Avec elle je peux tout partager, y compris toi. Ca ne te choque pas ce que je dis.–Non, pas du tout, je dois dire que je suis rassuré, je ne veux pas te perdre, et je me connais, il m’arrive de ne pas résister.–Donc, ce voyage avec Catherine, appréhende le comme un voyage normal, avec une très belle fille ou il peut se passer des choses agréables. Je peux te dire que c’est très agréable de faire l’amour avec Catherine. A la limite, je te le souhaite.–Tu es extraordinaire, tant d’amour.–Je t’aime, je veux ton bonheur, comme je sais que tu veux mon bonheur.–Oui, je veux te rendre heureuse.–Et tu y parviens très bien pour l’instant. Bon nous arrivons, je suis crevée, vivement le dodo.–Tu crois qu’on va dormir tout de suite ?–Ça, ça m’étonnerai.Nous entrons dans sa cour et elle gare sa voiture. Nous allons directement dans la chambre, nous sommes quand même un peu fatigués. Une fois à poil, nous nous allongeons sur le lit, tous les deux sur le dos à contempler le plafond. Charlette pivote sur elle-même et me monte dessus, elle me présente sa vulve devant la bouche et je sens une bouche m’engloutir ma verge pas très en forme. Elle se redresse assez vite pendant que ma bouche s’occupe du puits d’amour de Charlette. Je la bois, j’aspire, la lèche, je me délecte de ce liquide que j’adore. Elle me suce, me mordille, me lèche tant et si bien que, la fatigue aidant, je me vide dans sa bouche. Elle n’a pas jouit, je la fait passer sur le dos, me jette entre ses jambes et m’active une nouvelle fois sur son sexe. Elle ne résiste pas longtemps avant de jouir et de m’inonder le visage de sa cyprine odorante. Je remonte le long de son corps pour être à côté d’elle, je la prends dans mes bras et l’embrasse tendrement. Nos langues se chamaillent dans nos bouches, nos mains parcourent nos corps, nous sommes bien.–Je t’aime tu sais.–Moi aussi mon chéri.Nous réussissons à nous endormir dos à dos.
Le lendemain, il faut préparer la venue de Catherine et Charleen, nous nous levons assez tôt pour un samedi, vers sept heures. Je vais tout de suite lancer le fumet de poisson, il faut quatre heures de mijotage. Je rejoins Charlette dans la chambre vers huit heures et nous allons tout de suite à la douche ou je lui fais comme d’habitude une somptueuse minette qui la fait crier de plaisir. Elle me prend la tête, me fait remonter le long de son corps en plaquant ma bouche sur sa peau que je lèche tout le long de la remontée. Arrivé à sa bouche, elle m’embrasse. Pendant son baiser, je sens sa jambe gauche se lever, une main m’attraper la bite et la diriger vers son sexe. Elle redescend dessus.–Aime-moi.Je fais bouger mon bassin lentement, je ne suis pas pressé, je veux profiter de ce moment le plus longtemps possible. Ses mains parcourent mon corps, sa bouche de déchaine sur la mienne, nos langues bataillent, s’enlacent, s’emmêlent, se lèchent, s’attirent et se repoussent, elles s’aiment. Je ne peux plus reculer le moment de jouir.–Viens chérie, viens avec moi, je vais jouir.–Je t’attendais, j’arrive.Nous jouissons ensemble, violemment, secoués de toutes parts, enlacés, les bouches collées l’une à l’autre dans un voluptueux baiser. Quand nous revenons sur terre, elle redescend sa jambe, m’enlace et pose sa tête sur mon épaule.
–Je t’aime chéri, je t’aime.–Moi aussi je t’aime ma chérie.Nous sortons de la salle de bain pour aller prendre notre petit déjeuner. Il fait déjà chaud, nous restons nus.
Je prépare le repas tranquillement, j’ai le temps. De temps en temps Charlette ma pince une fesse, pose ses lèvres sur les miennes, mon cou, une épaule, une fesse. La matinée se passe comme ça. A midi moins le quart, tout est prêt, la table est mise sur la terrasse sous un immense parasol rectangulaire, le repas n’attend plus que les dernières étapes, l’apéritif est sur la table basse sous un autre parasol à côté de la piscine, Charlette a sorti que le stricte nécessaire, connaissant le goût de ses amies. On sonne, et Charlette va ouvrir, toujours nue.–Salut les filles.–Ok, je vois que le ton est donné.–Tu vas t’en plaindre Catherine.–Non, bien au contraire.–Bonjour Charlette.–Bonjour Charleen.Les filles entrent.–Ou est Jean ?–Dans la cuisine.–En tenue de soirée ?–Oui.–Ok, je reviens. Suis-moi Charleen.Elles se dirigent vers la chambre de Charlette et en ressortent nues. Elles viennent me dire bonjour.–Hum, voilà de belles fesses bien nerveuses. Je sens une main me tâter la fesse gauche, je me retourne et me retrouve face à face avec Catherine. Elle se met sur la pointe des pieds, m’enlace le cou de ses deux bras et me dépose un baiser appuyé sur les lèvres.–Bonjour toi.Charleen arrive derrière et me fait la même chose.–Qu’est-ce que tu nous prépares ?–Tu verras bien tout à l’heure. Tout est prêt, on peut prendre l’apéro.Nous nous rendons sur la terrasse, en la suivant, je peux mieux regarder Catherine nue. Ses fesses sont lisses et fermes, aucunes traces de cellulite, ses jambes sont superbement galbées. Quand elle arrive sur la terrasse, elle se retourne pour nous faire face. Là, je peux admirer ses seins, bonnet B, fermes lisses et bronzés, son ventre plat, et son pubis lisse et bronzé aussi. Elle est superbe, une vraie miniature merveilleusement faite. Ses cheveux blonds ondulés lui font un visage d’ange, ce qu’elle n’est pas. Nous nous installons autour de la table basse et Charlette sert l’apéro.–Jean, je vois que tu es aussi naturiste.–Oui, je vais à Agde.–Holà, le coin le plus chaud de la côte.–Oui, c’est chaud, des fois même très chaud.–Tu y vas quand ?–De mi-juillet à mi-août, au moment le plus chaud, dans tous les sens du terme.–J’aimerais bien y faire un tour un de ces quatre.Elle me regarde en souriant. Je suis au milieu de trois splendides femmes, nue, qui m’exposent leurs chattes sans complexe, engoncées dans leurs transats replié. J’ai du mal retenir ma bite qui veut montrer sa satisfaction. Caché derrière mes lunettes de soleil, je peux observer ces trois femmes et je remarque que le clitoris de Catherine sort lentement de ses lèvres qui elles même se développent. Sa chatte commence à briller quand elle se lève et entre dans l’eau. En regardant Charleen, je remarque la même chose un peu moins flagrant quand même, mais elle suit sa copine dans l’eau. Elle s’enlace et s’embrassent. Charlette se penche sur moi, me dépose un baiser sur la bouche et va rejoindre ses copines. Un amas de femmes se créé dans la piscine, elles se caressent, s’embrassent, s’enlacent. Je les regarde sans y aller, je sens confusément qu’il faut que je reste à la table, que je ne les rejoigne surtout pas. Au bout d’un bon quart d’heures, elles sortent de l’eau Catherine en tête.–Merci de n’être pas intervenu.Elle se penche sur moi pour déposer un baiser encore plus appuyé que les autres sur mes lèvres. Charleen l’imite et Charlette rabat le transat pour m’allonger et vient se coucher sur moi pour un long baiser. Là, je ne peux pas résister et ma bite se redresse lentement. Le sentant, Charlette s’interrompt et me libère juste à temps pour rester « décent ». Nous finissons l’apéritif et passons à table. –Mesdames, je suis votre serviteur, personne ne bouge.Les filles sont aux anges, je leur sers la mousse d’asperges aux crevettes. Elles apprécient sans retenues, suivent les filets de rougets marinés-grillés. Là, elles se demandent si c’est bien moi qui ai fait ça. Au saumon à l’oseille elles me regardent avec un regard admiratif.–Putain quel cuisinier, Charlette, il faut que tu me le prête.–Catherine, tu ne crois pas que tu exagère un peu ?–Non, non, pas du tout. Je voulais inviter Jean Luc et Laura, si Jean pouvait faire la cuisine, je serais sûr de moi.Charlette me regarde amusée.–Qu’en dis-tu Jean.–Quand tu veux Catherine, je suis ton esclave pour un repas.–Mon esclave, j’ai bien noté.Tout le monde rigole, et le repas se termine dans la bonne humeur. Il règne quand même une ambiance très sexy, sans être exprimé, le sexe est là, il plane au-dessus de nous, il est dans la tête de tout le monde, mais tout le monde fait semblant. Nous allons sur la table basse pour le café, là Catherine s’installe à côté de Charleen, en face de moi et reste les cuisses écartées. Je peux voir son sexe luisant de cyprine, quand je regarde Charleen, c’est la même chose, son sexe brille comme une étoile dans la nuit. Elles me regardent toutes les deux, je soutiens leurs regard un petit instant jusqu’à l’arrivée de Charlette qui détend l’atmosphère. Nous prenons notre café, je suis un peu fatigué, et j’ai envie de faire une petite sieste.–Je vais m’allonger une petite heure.–Ok les filles, vous avez votre chambre en haut, je vais avec Jean, j’ai envie de me reposer aussi, je suis assez fatiguée.–Tu parles, je vois très bien une sieste crapuleuse.–Et alors, tu n’a qu’à monter avec Charleen, elle n’attend que ça.–Tu crois que je vais m’en priver ? Viens Charleen, nous allons nous reposer aussi.Catherine va vers Charleen, lui prend la main, la tire pour la faire lever et se plaque contre elle pour l’embrasser fougueusement. Charlette sourit.–Elles sont belles hein ?–Oui, très belles.Elle me prend la main et m’entraine vers la chambre. Nous sommes à peine entrés que Catherine nous devance pour récupérer leurs affaires qu’elles avaient laissées sur le lit. Elle disparait en jouant beaucoup de ses fesses. Nous nous allongeons côte à côte. Elle se tourne un peu sur moi, une jambe repliée sur ma cuisse, un bras sur mon torse.–Elle te drague.–Tu crois ?–Oui, je la connais, tu lui plais c’est évident, comme tu plais à Charleen, mais elles ne feront rien avec toi si je ne suis pas d’accord.–C’est toi qui mène la barque.–Non, c’est elles qui m’aiment et qui ne veulent pas me faire de mal.–Ce sont de vraies amies.–Je sais.Contre toutes attentes, nous nous endormons sans faire l’amour, la fatigue nous a terrassés. Nous nous réveillons vers dix-huit heures, quand nous arrivons sur la terrasse, Charleen et Catherine sont en position de soixante-neuf sur la première marche de la piscine, dans cinq centimètres d’eau. Elles s’activent goulument sur la vulve de l’autre. Notre arrivée ne les gênent pas du tout et elles continuent jusqu’à ce qu’elles jouissent ensemble et roulent dans la piscine. Charlette est un peu secouée par le spectacle.–Viens.Elle m’entraine dans la piscine, me plaque contre une paroi juste au niveau de la perte de pied, me prend la bite et s’occupe de la faire se redresser. Quand elle est bien droite, elle se presse contre moi et s’empale dessus, elle se tourne de manière à se retrouver dos à la paroi de la piscine, me laissant le soin de lui faire l’amour. Mon bassin fait des va et vient lents et profonds, Charlette s’agrippe à moi et remonte ses jambes sur mes hanches pour bien dégager son sexe. Charleen et Catherine n’arrêtent pas de plonger derrière moi pour voir de plus près mon sexe dans celui de leur amie. Cette situation nous excite tous les deux et je finis par me vider en elle. Elle se raidi, en me serrant contre elle, ses jambes croisées derrière mon dos.–Oui chéri, j’aime quand tu te vide en moi, j’aime ton sexe dans le mien.Catherine et Charleen sont de chaque côté de nous, elles embrassent Charlette chacune sur une joue.–Tu as été heureuse ma chérie.–Oui, très, j’aime tant faire l’amour avec Jean.Elles me font une bise sur chaque joue.–Tu as intérêt à continuer à lui faire plaisir, sinon tu auras affaire à nous.–Je meurs de peur.–Tu devrais.C’est Catherine qui me parle, son regard est dur quand elle me dit ça, elle est très sérieuse.–Doucement Catherine, Jean m’aime, je l’aime, mais nous n’avons ni l’un ni l’autre d’exclusivité. S’il le désire, il peut aller voir ailleurs, jamais je ne pourrais le retenir, et ce n’est pas mon intention, le tout, c’est qu’il me revienne. Nous en avons discuté, nous savons à quoi nous en tenir. Tu as bien passé une nuit ici, avec moi, depuis que je le connais, et pas seulement pour dormir, Jean le sait et ça n’a rien changé à notre amour.–Disons que je n’ai rien dit.Je l’attrape par le cou, l’attire vers moi et lui dépose une bise sur la joue.–Sans rancunes ?–Sans rancunes.Elle s’éloigne en me souriant. Nous sortons tous de la piscine, Charlette me tient la main, elle se dirige vers la chambre.–J’ai encore envie de toi, viens. Les filles vous restez là.Nous nous dirigeons vers la chambre. Elle me jette sur le lit et plonge sa tête entre mes cuisses, droit sur ma bite. En quelques secondes elle est raide et prête à l’emploi. Elle me monte dessus et se laisse glisser doucement.–Oui, entre doucement belle verge, j’aime te sentir t’enfoncer dans ma chatte et la remplir.Elle commence des mouvements de va et vient sur moi, son bassin ondule d’avant en arrière, sur les côtés, de manière à me faire monter vite en pression, elle est pressée, son corps a envie de jouir et elle veut que je vienne avec elle. Mais je viens de jouir et c’est beaucoup plus long. Elle finit par se raidir, son corps est parcouru de tremblement, elle se couche sur moi, me serre.–Ho, je jouis, je jouis, que c’est bon.Elle se calme doucement, c’est à ce moment que j’entre en scène, je la retourne sur le dos et me déchaine sur elle. Je la pistonne le plus rapidement possible. Elle cri.–Oui, vas-y, viens avec moi, je vais jouir, je vais jouir.Elle explose dans un terrible orgasme en même temps que je me vide en elle.–HHHHHAAAAARRRRRGGGGG, oui, ho oui.Elle écarte les jambes au maximum en les relevant pour m’offrir son sexe grand ouvert.–HHHAAARRRGGG, ton sexe, ton sexe.Je ne ralenti que quand je la sens s’apaiser pour finir allongé sur elle nos bouches soudées dans un long baiser.–Bravo, c’était superbe.Je me retourne et je vois Catherine et Charleen de chaque côté du lit, qui nous regardent l’air attendries.–Qu’est-ce que vous faites là ?–On voulait vous voir faire l’amour, vous étiez tellement pris dans votre désir de faire jouir l’autre que vous ne nous avez même pas vu entrer, c’est magnifique le visage de Charlette quand elle jouit, cet abandon, cette joie dans ses yeux, cet amour pour toi, c’est superbe, je l’envie.–Tu n’as pas à m’envier, nous nous entendons très bien avec Jean, mais tu le vivras toi aussi.–Avec qui ?–Qui sait. Aller, dehors les filles, laissez-nous.Les filles quittent la pièce. Charlette me regarde avec un sourire complice. Elle se penche à mon oreille et me souffle très doucement.–Tu lui feras bien l’amour en Italie j’espère ?–Charlette.–Je sais que vous ferez l’amour, c’est inévitable, je te l’ai déjà dit, je veux seulement que tu me reviennes. Je lui dirais que je suis d’accord.–C’est toi que j’aime chérie, pour l’instant je ne pense pas à ce voyage en Italie.Nous nous levons pour rejoindre les filles. Elles sont sur la terrasse et boivent un pot.–Il se fait tard, quelqu’un a faim–Oui, nous avons toutes faim.–Une grillade, avec salade ça vous va–Parfaitement.–Je vais laver la salade.Je vais à la cuisine pour laver et préparer la salade. Une fois la salade lavée, je prépare la grillade avec des aromates. Je suis entrain de préparer la viande quand j’entends un gémissement, je retourne sur la terrasse, et je m’arrête sur le pas de la baie vitrée stupéfait. Charlette est sur un transat, les jambes grandes ouvertes avec la tête de Catherine sur son sexe et la bouche de Charleen sur ses seins. Elle est au bord de la jouissance. Ses narines palpitent, je me précipite vers elle pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre les yeux un peu inquiète, mais quand elle reconnait ma langue sur la sienne, elle se laisse de nouveau aller au plaisir. Je libère ses lèvres, Charleen aspire un de ses seins, je m’occupe de l’autre pendant que Catherine s’occupe de son sexe. Elle lève la tête, me regarde d’un air complice.–Tu veux ma place ?–Absolument.Nous inter changeons nos places, je me jette sur sa vulve liquide. Je bois cet élixir de vie, titille son clitoris, lui mordille, l’aspire jusqu’à ce qu’elle se raidisse.–Oh mes chéris, oui, oui, quel bonheur, je jouis, je jouis avec tous mes chéris, oui.Ma langue s’excite de plus en plus vite sur son clitoris. Elle hurle.–HHHHHHHHHAAAAAAAAA.Tout le village est au courant, c’est sûr. Nous ne nous arrêtons pas, les filles sont toujours sur ses seins, je monte sur elle et lui plante mon sexe raide comme la justice. Elle hurle de nouveau.–OOOOUUUUIIII.Mon bassin bouge pas trop rapidement pour entretenir, mais pas déclencher l’orgasme, rien n’y fait, elle part de nouveau dans un sublime orgasme, elle hurle sa joie.–HHHHHAAAAA.Si ne l’était pas encore, le village est maintenant au courant.Charlette est arque boutée, les fesses à quinze centimètres du transat. Son corps est secoué dans tous les sens, elle a de la peine à respirer, ses narines palpitent comme des folles, elle jouit comme jamais je l’ai vu jouir, la bouche ouverte à rechercher de l’air. Les filles se redressent et s’embrassent, Charlette se remet doucement, elle attire les filles vers elle en mettant ses bras derrière leurs fesses et en tirant. Leurs sexes se trouve juste devant ses lèvres et elle les embrasse l’un après l’autre. Je me redresse, j’ai le visage couvert de la cyprine de Charlette.–Je peux Charlette ?Elle sourit à Catherine.–Bien sûr ma chérie.Catherine vient vers moi et me lèche le visage. –Quelle merveille, ton jus est une pure merveille.–Merci ma chérie.Charlette est allongée sur le transat, les yeux fermés, elle savoure les jambes toujours écartées, son sexe ruisselle toujours et Charleen en profite pour aller s’abreuver. Elle aspire, lèche, mordille son clitoris ce qui a pour effet de déclencher un nouvel orgasme à Charlette, plus cool, mais intense. Cette fille est faite pour l’amour, son corps est extrêmement sensible à la moindre sollicitation. Tout le monde est devenu calme, Charleen a toujours sa tête à côté du sexe de Charlette et donne des coups de langue de temps en temps, lentement, sur toute la longueur des lèvres. Charlette a les yeux fermés, un large sourire sur les lèvres, elle respire doucement, amplement, elle jouit du moment en toute plénitude, elle est heureuse, et donc, je suis heureux. Catherine se penche à mon oreille.–Elle est belle hein ?–Magnifique.–Elle m’a dit que tu voulais qu’elle se laisse pousser les cheveux ?–Oui, j’aime mieux les cheveux comme les tiens sur une femme, je trouve que c’est plus beau. Tu es très jolie, mais tes cheveux t’embellissent encore.–Merci beaucoup. Charleen, tu ne vas pas la manger toute crue quand même.–Si je pouvais.–Et bien, je ne suis qu’un plat pour vous ?–Non, un festin.
lagatois34@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live