Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 56 J'aime
  • 0 Commentaire

Catherine et Charlette

Chapitre 9

Hétéro
Nous sommes tous épuisé, et nous nous retrouvons allongés les uns à côté des autres pour nous reposer. Je suis entre Charleen et Catherine, quand Charlette s’en aperçoit, elle vient se mettre sur moi, de tout son long.–Dis donc Charlette, tu n’as pas le droit, c’est mon jour.–Je sais, mais je n’ai pas dit que ce n’était pas mon jour aussi.–Et moi ?–Catherine, ma chérie, tu auras cinq jours, patiente encore une semaine et il sera à toi pour cinq jours.Elle bouge son bassin sur mon ventre, les cuisses écartées, sa vulve sur mon pubis frottant sur mon sexe qui réagit et se redresse lentement. Quand il est droit, elle glisse sur le côté de Catherine.–A toi ma chérie, il est à toi, je te l’ai préparé.Charleen se met sur moi et s’empale lentement sur mon sexe, elle est trempée, sa cyprine m’inonde le pubis. Elle pose sa tête sur mon épaule.–Aimes moi.Je me dégage, la retourne sur le dos, lui remonte les jambes sur mes épaules et l’empale d’un seul coup, violent, au fond de son sexe liquéfié. Je la pistonne violemment, sans retenues, en appuyant mes coups. Elle se cabre, se raidi, m’attrape les hanches et tire pour que je m’enfonce en elle le plus possible. Son sexe me serre, elle jouit dans un grand cri.–HHHHHAAAAA, MMMMMMMMMMMJe me vide en elle une nouvelle fois, je n’en peux plus. Quand elle est calmée, elle m’attire pour me faire coucher sur elle.–Que c’est bon un homme malgré tout.–Tu n’aimes pas les femmes ?–Imbécile, un homme est un homme, une femme, c’est autre chose, c’est la tendresse, la douceur. Toi tu viens de me défoncer la chatte à grands coups de bites, ce n’est pas la même sensation.–Je comprends parfaitement, mais moi, je suis mort, je tire le rideau jusqu’à cet après-midi.–Ok, on te laisse. Les filles me quittent, non sans avoir laissé une trace de leur passage, un baiser, une petite morsure sur ma bite molle, une caresse sur mes fesses. Je finis par m’endormir pendant une heure. Quand je me réveille, j’entends des bruits d’eau, elles doivent se baigner. Je me lève, me dirige vers la piscine, et là, Charleen est sur un transat, les jambes grandes ouvertes sur la bouche de Charlette qui lui mange la chatte. Catherine est dans l’eau, allongée sur les marches et se masturbe en les regardant. Je suis abasourdi, elles n’arrêtent jamais, ce sont des bêtes de sexe.–Coucou les filles.Personne ne bouge, elles continuent leur activité comme si de rien était. Charleen me regarde et me sourit, elle pose ses mains sur la tête de Charlette.–Oui ma chérie, je vais jouir avec ta langue, oui, continu, je viens, je viens, ça y est ma chérie, je jouis, je jouis ma chérie HHHHHAAAAA.Je la vois se raidir et partir dans un super orgasme, je me retourne vers Catherine qui ferme les yeux, elle est arque boutée sur les marches, son sexe est hors de l’eau, sa main s’active fébrilement dessus, elle jouit en même temps que sa copine. Je vois que Charlette a sa main droite sur son clitoris. Elle se redresse d’un coup, son corps tremble, elle jouit debout, la bouche ouverte, les narines palpitantes. Je viens vers elle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser. Ses lèvres ont le goût de Charleen, mais sa langue est très active. Une fois tout le monde calmé, j’aide Catherine à sortir de l’eau.–Les filles, je vois que vous vous amusez bien, mais il faut songer à manger. Qui vient m’aider.–C’est ma journée, je ne fais rien.–Je suis la patronne des lieux, je ne fais rien.
–C’est bon Catherine, tu es volontaire d’office.–Ok, je te suis.Nous allons dans la cuisine pour préparer les grillades et une salade. Nous sommes nus tous les deux, de temps en temps, nos corps se touchent, une telle fille à côté de moi, dont les fesses touchent les miennes de temps en temps, ça ne peut pas me laisser indifférent. Evidemment, ma bite se redresse un peu de temps en temps pour ensuite retomber doucement.–Je vois que je te fais de l’effet.–Oui, c’est évident, le contraire serait préoccupant.–Moi, je peux voir l’effet que je te fais, mais toi tu ne peux pas voir l’effet que tu me fais. Je suis trempée, j’en ai des trainées sur l’intérieur des cuisses, regarde si tu ne veux pas me croire.Je me penche un peu, elle écarte légèrement ses cuisses et je peux voir des traces humide jusqu’à mi-cuisses.–Effectivement.–Vivement dimanche prochain.–Pourquoi dimanche.–Parce qu’on part dimanche à vingt-deux heures, dès que les poids lourds peuvent rouler. C’est pour ça qu’aujourd’hui je vais vous quitter vers seize heures pour me préparer et charger le camion, comme chaque dimanche.–Il faut donc que je sois ici vers vingt et une heure dimanche prochain.–Oui, et tu n’as pas intérêt à être en retard, sinon je t’étripe. Tu ne seras pas là le week-end prochain ?–Non, je vais voir ma fille, j’ai aussi besoin de la voir.Je vais faire cuire les grillades, Catherine va prendre une douche avant de dresser la table. Nous mangeons tranquillement à l’ombre d’un grand parasol. L’ambiance est joyeuse, tout le monde est repu de sexe pour l’instant. Je vais dans la chambre pour m’allonger, j’ai un peu mal au dos. Je suis allongé sur le dos les mains derrière la tête depuis à peine une minute que Charleen arrive.–Je peux m’allonger à côté de toi, juste pour être là, contre toi, te sentir.–Bien sûr, c’est ta journée.Elle me sourit et s’allonge à côté de moi, se tourne vers moi, repli une jambe sur ma cuisse, pose son bras sur mon torse et sa tête sur mon épaule.–Je suis bien, et toi ?–Oui, ta peau est douce, j’aime sentir ton sein sur mes côtes, c’est très agréable.Nous restons près d’une demi-heure comme ça, Charleen semble dormir, sa respiration et calme, je sens les battements de son cœur contre ma peau. Tout à coup, sa main se déplace sur mon corps. Elle parcoure mon torse, descend sur mon ventre pour atterrir sur mon sexe mou.–C’est tout l’effet que je te fais ?–Tu veux que je te montre l’effet que tu me fais ?–Oui.Je la mets sur le dos, monte sur elle et glisse ma bite molle entre ses cuisses pour la frotter sur son clitoris légèrement gonflé. L’effet escompté se produit et mon sexe gonfle rapidement pour devenir raide et pointer devant sa vulve qui bouge de plus en plus. Un coup de rein et elle s’introduit dans une grotte chaude et accueillante.–Oui, aimes moi.Je la pistonne comme un fou, le plus vite possible. Elle réagit très vite, elle se cambre, me soulève comme une plume et explose dans un fulgurant orgasme. Ça a été tellement rapide que je n’ai pas eu le temps de jouir. Elle retombe sur le lit et m’enlace. Elle couvre mon visage de baisers.–Que c’était bon, tu ne m’a jamais fait jouir deux fois de la même manière, c’est très agréable d’être aimée comme ça.–Ton corps m’inspire.–Merci.Nous restons encore une bonne heure dans le lit, côte à côte, légèrement tourné l’un vers l’autre, ma main parcourant son corps en de légères caresses. J’entends des gémissements sur la terrasse, Charlette et Catherine s’en donne à cœur joie. Charleen les entend aussi et petit à petit son corps bouge sous les effets de mes caresses. N’y tenant plus, elle me renverse sur le dos et se jette sur mon sexe. En un tour de main elle transforme une guimauve pendante en bâton bien droit. Elle me chevauche et s’empale sur ma bite raide. Son bassin va et vient, ses mains sur mon torse, droite. Je tends les mains pour me saisir de ses seins. Je les caresse doucement.– Pince-les, pince-les fort.Je saisi les tétons entre le pouce et l’index et je presse de plus en plus fort. Son ventre se crispe, elle renverse sa tête en arrière.–Oui, fais-moi mal, j’aime, continu, je viens, je viens, viens avec moi.Elle se repli, se couche sur moi, son sexe serre le mien et elle part dans un nouvel orgasme en m’entrainant dans son plaisir. Je me vide en elle par de puissant jets de sperme, n’ayant pas joui tout à l’heure, j’avais de la réserve.–Oui, ton sperme, ton sperme, fécondes moi.A ces mots, je me tétanise, j’ai un mouvement de recul. Charleen m’agrippe et me maintient en elle. Quand elle se calme, je la mets sur le côté et me redresse.–C’est quoi ce « féconde-moi ».–Juste une expression, une manière de m’exprimer, de te dire ma joie de sentir ton sperme m’inonder le sexe.–Rien de plus.–De toute manière, si c’est le cas, c’est mon problème.–Tu ne crois pas que je pourrais être un peu tenu au courant de tes intentions ?–Je n’ai aucune intention particulière, je ne veux pas d’homme dans ma vie, j’aime baiser avec eux, mais jamais je ne pourrais vivre avec un homme. D’un autre côté, je veux un enfant, de moi, pas adopté, un morceau de mes tripes. Je ne prends pas la pilule, mais jamais je ne t’embêterais avec ça, tu peux me faire confiance.–Tu aurais pu quand même m’avertir avant.–Je te pris de m’excuser.–Ouai, facile après coup.Je me lève un peu furieux, d’autant que ce n’est pas la première fois que je me vide en elle. Charleen ne sait plus quoi faire, elle se rend compte qu’elle a peut-être été un peu loin. Je rejoins les filles, elles sont sagement allongées sur leur transat, les jambes repliées. Soudain, je remarque un drôle de bruit, en y regardant de plus près, elles ont les yeux fermés, leurs ventres sont secoués de tremblement et surtout, je vois quelque chose dépasser au niveau de leurs sexes. Elles se godent avec un vibromasseur, et laisse monter le plaisir petit à petit sans intervenir. Je m’approche doucement de Charlette et lui pose mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre les yeux juste au moment où elle jouit. Ses yeux se révulsent, son visage s’éclaire, ses jambes serrent le vibromasseur, son ventre se soulève.–HHHHHOOOOOCe son rauque qui sort de sa bouche a un effet déclencheur sur Catherine qui jouit à son tour sans un bruit, je le remarque juste en observant sa respiration, son ventre et ses narines. Les deux filles se calment doucement et leurs corps se détendent petit à petit. Je dégage le vibro du sexe de Charlette, lui allonge les jambes en les écartant légèrement. Elle ouvre les yeux et me regarde étonnée, mais à mon expression, elle comprend qu’il s’est passé quelque chose. Je m’allonge sur elle, mon sexe un peu mou se cale entre ses cuisses, juste au niveau de sa vulve. Elle bouge son bassin, ses mouvements plus la cyprine ruisselante de son sexe m’excitent, je rebande doucement. Quand je suis prêt, je m’enfonce dans cette grotte chaude, accueillante et dégoulinante. Mon sexe glisse sans efforts, à tel point que je ne ressens pas grand-chose, mais ce n’est pas le but, je veux me détendre en faisant l’amour à la femme que j’aime et arrêter la journée de Charleen. Elle m’enlace et se laisse aimer en me chuchotant des mots doux à l’oreille.–Oui mon chéri, oui je suis à toi, aimes moi comme je t’aime, mon corps t’appartient, il vibre pour toi, pour ton plaisir.Son sexe fini par se resserrer et elle jouit en silence, son corps secoué de spasmes, je me vide en elle, je n’en peux plus, je suis crevé, lessivé, je me demande comment j’ai pu jouir encore une fois, juste par l’amour que je porte à Charlette. Nous restons un long moment l’un sur l’autre, sans bouger, j’allège un peu mon poids sur son corps en me tenant sur les coudes. Le bruit d’un gros V8 qui démarre nous fait sortir de notre torpeur. Charlette se lève et se dirige vers la porte extérieure juste pour voir la voiture de Catherine s’éloigner.–Elles sont parties, c’est normal pour Catherine, mais Charleen ?Je lui explique ce qui s’est passé, elle ne comprend pas très bien les motivations de Charleen.–Je lui en parlerais demain, je lui passerais un coup de fil en fin d’après-midi.–Ce n’est pas la peine, demain je la vois au déjeuner et je lui demanderais des explications plus sérieuses.–Si tu veux.La journée se termine en douceur, je suis lessivé et je passe le reste du temps allongé sur un transat ou dans l’eau. La soirée se passe bien entre nous deux, nous faisons l’amour, mais nous nous couchons assez vite. Le sommeil a raison de nous assez vite.
Le lundi matin, j’arrive au bureau dans la voiture de Charlette, ce qui ne passe pas inaperçu. Jérôme me demande de venir le voir. –Tu sors avec Charlette ?–Oui, nous avons une liaison, mais je ne vois pas ce qui justifie cette question.–Simplement que j’aime beaucoup Charlette, tu ne vas rester que quelques mois, et je ne voudrais pas la voir souffrir à cause de toi.–Tout est clair entre nous, je lui ai bien dit jusqu’où je voulais aller et elle s’en accommode très bien.–Ok, cette fille est super et je voudrais la voir heureuse.–Je m’en charge.–Ok, ok, à part ça, ou en ais tu de la démarche qualité ?–Ça avance, nous allons déterminer les procédures à mettre en place en plus des trois obligatoires. Je suis agréablement surpris, il n’y a pratiquement pas de réfractaires.–Et Catherine ?–Elle a réfléchie, c’est une fille intelligente, je pense même qu’elle va devenir un moteur pour tout le monde avec Charlette.–Tant mieux.–Je te quitte, le devoir m’appelle.Je sors du bureau, décidément, cette boite est bien paternaliste. La matinée est consacrée à la rédaction de la liste des procédures indispensables. Vers midi, je vais déjeuner à mon hôtel. Je monte dans ma chambre pour me changer. Je suis sous la douche quand on frappe à la porte. Je n’ai pas le temps de réagir que j’entends la porte s’ouvrir et se refermer.–C’est moi, Charleen, je voudrais te parler un instant.–Ok, j’arrive.Je sors de la douche et vais dans la chambre en m’essuyant. Charleen est là, un peu embêtée. J’enfile une chemise et un pantalon.–Je te demande encore de m’excuser pour hier. J’aurais dû te faire confiance et te dire ce que je comptais faire. La proposition de Charlette m’a surprise, et j’y ai vu l’occasion de me faire faire un bébé, j’en ai envie depuis plusieurs années.Je prends un ton un peu énervé.–C’est vrai, tu aurais pu m’en parler, qui te dis que j’ai envie de faire un gosse à quelqu’un. Je n’ai pas envie de semer des mouflets un peu partout en France. J’ai déjà deux enfants, peut être trois, ça me suffit amplement. Ton attitude est complètement irresponsable, si je le voulais, je pourrais porter plainte contre toi, et te faire une vie d’enfer. Et puis, tu vas élever un gamin toute seule, sans l’aide d’un père, je ne serais plus là, et tu sais que c’est inéluctable. Charleen est au bord des larmes.–Je sais, mais j’ai tellement envie d’un bébé que j’ai perdu la tête, j’ai fait n’importe quoi. Je veux un enfant pour moi, rien que pour moi, je ne veux personne d’autre pour l’élever, ce sera le plus heureux des enfants sur terre. Je te demande encore une fois de me pardonner, s’il te plait, dis-moi que tu me pardonne.Elle éclate en sanglots. Je m’approche d’elle, la prends dans mes bras, et dépose un baiser sur chacun de ses yeux.–Bien sûr que je te pardonne, mais vraiment tu as fait n’importe quoi. Aller, calme toi, j’espère que ce sera un beau bébé si j’ai réussi à te féconder.–En tout cas c’était le bon moment, et si j’ai cet enfant, il s’appellera Jean.–Tu n’es pas obligé.–Si.La semaine se déroule normalement, le week-end, je vais à Toulouse voir ma fille. Je retourne chez Charlette dimanche en fin d’après-midi juste pour aller prendre le camion de Catherine, pas possible de faire l’amour, Cindy est là et ne nous décramponne pas. Nous couchons Cindy, mais l’heure passe et un peu avant vingt et une heures, je dois les quitter pour rejoindre Catherine et partir pour l’Italie. Charlette me fait un long baiser.
–Profites bien de ces cinq jours, ils vont souder notre amour ou le détruire, mais la vie ne sera plus la même après.
Je la quitte le cœur un peu serré, elle me regarde m’éloigner et je sais qu’elle souffre malgré ce qu’elle m’a dit. Quand j’arrive, Catherine est déjà prête, je camion est sur les starting-blocks, il ne reste plus que moi à installer. Je mets mon sac dans la cabine, sur la couchette du dessus que m’a libéré Catherine.–D’habitude, c’est mon débarras, mais j’ai fait un peu de ménage. Elle me regarde avec tendresse, je sens qu’elle est partagée entre un sentiment d’impatience vis-à-vis de moi, et de remord vis-à-vis de Charlette. Elle est en jean seconde peau avec un tee shirt trop petit. Je ne peux distinguer aucun sous vêtement.–Et oui, ni soutif, ni culotte.Je la regarde en souriant.–C’est plus rapide.–Non, plus rapide c’est une robe ample, mais pour bosser, c’est un peu délicat.–Tu n’en a pas apporté ?–Si bien sûr, mais c’est pour le soir, quand je vais manger. Je suis toujours habillée en femme, c’est-à-dire, jupe corsage ou robe avec des chaussures à talon. Je te préviens, je suis très connue en Italie, « la française frigide », car j’ai toujours refusé qu’un mec me drague, je ne veux pas avoir à faire avec des routiers qui ne sont jamais au même endroit et dont je cannais les mœurs. Ce ne sont pas des exemples de fidélité.–Et comment ils vont prendre le fait que je sois avec toi, on fait comme si on était que des collègues ?–Non, au contraire, on affiche bien qu’on est ensemble, d’une part, ils te respecteront plus, tu te fais la « française frigide », et après, je serais plus tranquille, c’est gagnant-gagnant pour moi.–Ok, tout est prêt ?–Oui, encore dix minutes avant l’heure du départ.–On n’est pas à dix minutes près quand même.–Nous non, mais les flics oui, ils ne sont pas loin, si on déboule un peu avant, on est bon pour un manche et quelques points en moins.–Ok, je monte dans la cabine.
La cabine est très confortable, le tracteur est un Volvo FH16, le haut de gamme de la marque, moteur puisant, cabine très ergonomique, deux super lit assez larges pour une personne, petit frigo, tout ce qu’il faut pour rouler confortablement. Au bout de cinq minutes, Catherine monte à bord et démarre le moteur. Je suis étonné du peu de bruit dans l’habitacle, l’insonorisation est parfaite. Le moteur chauffe un peu et elle enclenche la première.–C’est parti pour un tour, accroches toi, ça va tourner sec au début.–Quel est le programme en Italie ?–Nous voyons trois clients, le premier client est à Milan, nous lui livrons vingt et une palettes et en rechargeons dix-huit que nous transportons pour lui jusqu’à Naples. Là, nous déchargeons la semi en entier car la seconde partie est pour lui aussi et nous chargeons trente-trois palettes, toute la semi, pour Rome. Nous déchargeons toute la semi, Chargeons treize palettes pour la France et rechargeons vingt palettes. Nous retournons au premier client ou nous les déchargeons, complétons la semi et retourner chez nous. Ces trois clients nous commandent du transport, c’est pour ça que la démarche qualité les intéressent. Ils veulent tous augmenter le volume, et veulent des garanties. A terme, il faudra quatre ou cinq camions pour assurer le trafic.
Comme l’a dit Catherine, les trente premiers kilomètres sont assez pénibles, sur une route départementale pas très large. Heureusement, à cette heure-ci il n’y a pas grand monde. Nous rejoignons l’autoroute et « roule ma poule ».
lagatois34@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live