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Catherine et Charlette

Chapitre 12

Hétéro
Elles se regardent, elles tremblent, se lèvent et se jettent dans les bras l’une de l’autre. S’ensuit un baiser tendre et torride à la fois. Elles se caressent tout en s’embrassant. Je les quitte pour aller chercher une bouteille de champagne que je sais être dans le frigo. Je reviens avec la bouteille et trois flutes, elles sont toujours bouche contre bouche.–Bon les filles, si on buvait un coup.Elles se séparent et viennent vers moi pour déposer un baiser sur ma bouche l’une après l’autre.–Tu savais pour les deux ?–Oui, Catherine m’a dit la même chose que toi, qu’elle voulait vivre avec toi.–Et tu m’as rien dit.–Non, parce que je ne voulais pas dévoiler le secret de Catherine en son absence.–Merci chéri.Charlette regarde Catherine d’un drôle d’air.–Oui, nous avons décidé de nous appeler comme ça en privé, ça te dérange ?–Pas du tout, puisque vous êtes tous les deux mes chéris.Nous nous installons autour de la table basse et buvons quelques flutes de champagne. La fin de soirée se déroule très bien, nous entrons quand la fraîcheur gagne. Je sens qu’elles ont envie de s’aimer et je vais dans la chambre pour m’habiller et les laisser seules.–Qu’est-ce que tu fais ?–Je vais vous laisser seules, je crois que vous avez besoin de vous retrouver.–Pas question que tu nous quitte, j’ai aussi besoin de toi, et puis nous avons toute la vie devant nous pour nous aimer, mais pas avec toi, tu vas partir un jour, et dans pas si longtemps que ça.–Reste avec nous, je ne veux pas te séparer de Charlette.–Ok, je reste, mais si vous ressentez le besoin d’être seules, dites le moi, je comprendrais.–Ne t’en fais pas. Il commence à être tard, si nous allions nous coucher ?–D’accord.–Ok.Charlette me prend une main et Catherine l’autre, elles m’amènent dans la chambre. Comme nous sommes déjà nus, nous nous jetons sur le lit. Je m’arrange pour qu’elles soient côte à côte, elles s’enlacent, s’embrassent tendrement, la fougue de tout à l’heure a laissé la place à la tendresse, aux caresses douces, aux baisers langoureux. Elles se retrouvent têtes bêches et entament un soixante-neuf d’enfer, leurs corps vibrent sous les caresses de l’être aimé, leurs langues s’animent sur ces vulves trempées, leur bouches boivent ce divin nectar qui coule pour elles. Catherine, qui est dessous, me regarde.–Vas-y Jean, fais-lui l’amour.–Oui chéri, viens en moi, j’ai besoin de vous sentir tous les deux.Je me positionne derrière Charlette, je suis plus ou moins en équilibre, je ne veux pas peser de mon poids sur elles. Quand ma bite approche de la vulve de Charlette, une main s’en saisie et la guide vers le paradis. Je lui fais l’amour pendant que Catherine lui titille le clitoris. De temps en temps je sens une langue trainer sur ma verge, jusqu’au moment où Charlette explose dans un terrible orgasme. Je ne suis pas assez excité pour jouir, je me retire, Charlette fait passer Catherine sur elle.–A elle maintenant.
Catherine étant plus petites, j’ai beaucoup moins de difficultés à m’enfoncer en elle. Je la sens se contracter, elle est toujours sur le sexe de Charlette, mais son corps commence à réagir à ma bite et à la langue de Charlette. Elle ne résiste pas longtemps et part dans un orgasme dément. Elle est raide, son corps est traversé de spasmes violents, elle s’agrippe aux cuisses de Charlette et fini par se détendre doucement. Je n’ai toujours pas jouis et je me retire du sexe liquéfié de Catherine. Charlette continu de boire à sa source, j’ai moi aussi envie de boire ce délicieux jus et je me penche sur elle. Charlette la fait bascule sur le dos, écarte ses jambes et me laisse la place. Elle se met à côté en ouvrant aussi ses jambes. Je passe d’un sexe à l’autre, ils reprennent leur écoulement, toutes les deux sont de nouveau excitées, moi je bande de plus en plus et je ne sais quoi faire. C’est Charlette qui trouve la solution, elle fait mettre Catherine à quatre pattes, et se met elle-même ainsi.–Cinq coups de bite à chacune notre tour, tu jouiras dans une de nous deux, c’est le hasard qui désignera la gagnante.Je commence par prendre Catherine, après cinq coups de reins, je passe à Charlette et ainsi de suite. Ces interruptions constantes font que je résiste mieux et le petit jeu dure longtemps. Elles jouissent toutes les deux deux fois car en même temps, elles se caressent mutuellement le clitoris. Je fini par ressentir les premiers signes d’une jouissance prochaine dans la vulve de Catherine, je pensais me vider dans Charlette, mais l’interruption à un peu coupé l’élan et c’est finalement dans le sexe de Catherine que je me suis vidé. Dès que Charlette a vu que j’avais fini, elle se jette sur la vulve de Catherine pour aspirer mon sperme. Cette manœuvre fait partir Catherine dans un nouvel orgasme.J’en peux plus, je suis lessivé par le voyage et cette petite séance.–Les filles, il faut dormir, je n’en peux plus.–Ok, juste une petite douche, tu viens ?Je les suis, et évidemment je suis obligé de leur faire une minette à chacune. Nous finissons par nous coucher et dormir.
Le lendemain, samedi, il faut que j’aille à Toulouse, mon ex-femme a besoin de moi pour que je signe des documents concernant notre fille. Je quitte donc Charlette et Catherine en début de matinée pour revenir dimanche vers midi.
Quand j’arrive le dimanche, Catherine et Charlette sont accompagnées de Charleen, Jean Luc et Laura, ils sont tous à la piscine, il faut en profiter, la saison se termine. Evidemment tout le monde est nu. Je vais me déshabiller et les rejoindre au bord de la piscine. J’en profite pour bien regarder Laura qui nage dans l’eau. Ses cheveux défait flottent entre deux eau, et glissent sur sa peau bronzée, c’est magnifique. Elle a des fesses superbes et fermes, un joli corps, mais ce qui frappe le plus, c’est sa silhouette élancée. Je remarque qu’elle aussi est épilée, pas un poil sur le pubis, à l’époque c’est assez rare. Son sexe se dessine parfaitement et je distingue son clitoris émerger légèrement des lèvres. C’est vraiment un canon. J’ai à peine le temps de piquer une tête, que l’heure du repas sonne. Nous mangeons tous sur la terrasse et repiquons une tête dans la piscine. L’après-midi défile lentement, Charlette se partage entre Catherine et moi, mais je sens que ce n’est plus tout à fait la même chose. Le temps qu’elles ont passée ensemble les a encore plus rapproché, on sent une fusion de plus en plus forte, elles crèvent d’amour l’une pour l’autre. En fin d’après-midi, Catherine doit partir préparer son camion, elle nous quitte les larmes aux yeux, on voit qu’elle est déchirée. Elle ramène Charleen chez elle. Jean Luc vient vers moi. –Je crois que ces deux-là sont faites l’une pour l’autre, j’avais parié avec Laura qu’elles seraient en ménage avant la fin de l’année, je crois que je ne suis pas loin de gagner le pari.–Moi aussi.–Et toi alors ?–Moi, c’était prévu, de toute manière, rien que la différence d’âge rendait notre aventure très fragile. J’aime Charlette, mais je ne ferais rien pour l’empêcher de vivre avec Catherine. Je n’ai rien à lui proposer en échange. Et si elles sont heureuses ensemble, je le serais aussi.Jean Luc et Laura nous quittent quelques instants plus tard. Je reste seul avec Charlette, je la sens un peu triste.–Tu sais chérie, je comprendrais que tu veuilles rester seule, je ne veux pas te gêner.–Pas question, au contraire, c’est maintenant que j’ai le plus besoin de toi. Allons nous coucher, j’ai envie de toi, de ton sexe.Nous allons dans sa chambre, elle s’allonge sur le dos, les jambes écartées et les bras en croix. Je m’allonge entre ses jambes et pose ma bouche sur sa vulve. –Oui, j’adore quand tu me fais une minette.Ma langue s’active sur ses lèvres, elle entre dans sa grotte qui commence à être bien lubrifiée. Je fini sur son clitoris que j’aspire, suce, mordille et titille avec ma langue, elle ne résiste plus et s’abandonne à sa jouissance. Une fois qu’elle s’est un peu calmée, je viens sur elle à quatre pattes, une fois au-dessus d’elle, je me penche pour gober ses seins et les titiller avec ma langue.–Oui, j’aime.Elle tend la main pour s’emparer de ma bite qui s’est redressée. Quand elle est satisfaite de sa raideur, elle la libère.–Maintenant, viens, aime-moi.Je me plaque sur elle, mon sexe trouve tout de suite l’entrée de sa grotte chaude et luisante de cyprine. J’entre en elle doucement, et nous faisons l’amour tendrement. Nous sommes très fatigués et nous nous mettons dos à dos pour dormir. Au bout d’un moment, je sens Charlette secouée. Je me retourne, la fait mettre sur le dos et je constate qu’elle pleure.–Pourquoi pleures-tu ?–Parce que je vais te faire de la peine, je sais que tu m’aimes, tu me l’as souvent prouvé, et nous allons nous séparer, j’aime trop Catherine, je veux être avec elle tout le temps.–Ne t’en fais pas, je t’aime, et parce que je t’aime, je suis très heureux que tu trouves le bonheur, même sans moi. Je serais toujours là pour toi.–Il faut que tu restes, je t’aime aussi, j’ai toujours envie de toi, mais mon cœur est pris par quelqu’un d’autre.–Comment allez-vous faire, si Catherine s’installe ici, c’est le scandale assuré dans le coin.–Je sais, mais comment veux-tu qu’on fasse ?–J’ai peut-être une idée.–Oui.–Je m’installe officiellement ici et Catherine pourra venir sans éveiller les soupçons. L’inconvénient, c’est qu’elle ne pourra pas venir tous les jours.–Pas mal ton idée, à approfondir.Nous finissons par dormir.
Le lendemain, la journée au boulot se passe très bien jusqu’à seize heures. La gendarmerie de Menton téléphone pour nous annoncer que le camion Catherine avait été percuté par un autre en détresse sur une aire d’autoroute et qu’elle était à l’hôpital avec une jambe de cassée. Son camion étant toujours sur l’aire d’autoroute, la remorque est HS. Jérôme me demande d’y aller avec un chauffeur libre pour récupérer le tracteur et Catherine. Nous trouvons un chauffeur et je pars vers Menton. J’arrive sur l’aire d’autoroute vers vingt-deux heures, le chauffeur prend le camion et le ramène au siège, la semi-remorque reste sur l’aire, elle a été vidée par un confrère qui fait la tournée à la place de Catherine. Personnellement, je vais à l’hôpital pour voir Catherine. Le personnel de l’hôpital est assez sympa pour me laisser la voir. J’arrive dans sa chambre, elle est au téléphone avec Charlette.–Bonsoir chérie.Elle se retourne, me sourit, dit à Charlette que je suis arrivé et après quelques mots d’amour, raccroche.–Bonsoir chéri.Je me penche sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres.–Alors, on fait de l’obstruction ?–Tu parles, il n’avait plus de frein et c’est mon camion qui lui a servi de butoir. J’ai rien vu venir, le chauffeur est à côté, mais il est un peu cassé. Tu me ramènes à la maison ?–Demain, Jérôme a téléphoné au chirurgien et ils te libèrent demain matin. Je passe te prendre à neuf heures, soit prête.–Ça, tu n’as pas besoin de t’en faire, je serais prête.Je la laisse et vais dans un hôtel à côté de l’hôpital. Le lendemain matin je vais chercher Catherine, mais je suis trop en avance, elle n’est pas prête. Elle prend tout juste son petit déjeuner.–Tu avais dit neuf heures.–Je sais, mais comme j’étais prêt, je suis passé pour voir ou tu en étais.–Il n’est que huit heures et quart, ne t’en fais pas, je vais faire le plus vite possible, d’autant que tu vas pouvoir m’aider.–A quoi ?–Ma toilette, je ne peux pas prendre de douche, il faut me laver, c’est une aide-soignante qui doit le faire, mais comme tu es là, autant que ce soit toi.–Ok, mais juste la toilette.–Oui, Charlette n’est pas là, alors, pas de minette, c’est bien dommage.Quand elle a fini de manger, je l’aide à aller dans la salle de bain, je la lave à main nue, ce qui ne manque pas de me faire réagir. –Holà, mais tu bandes.–Tu crois que c’est facile pour moi de passer ma main sur un corps comme le tien ?–Non, je comprends, et je dois dire que j’aurais été vexée que tu ne réagisses pas. Tu peux me choisir quelque chose dans ma valise, pas de soutif, je n’en ai pas envie.Nous rigolons et je termine sa toilette. Je vais chercher ses vêtements et lui choisit un petit string, un corsage et une jupe. Elle enfile le corsage mais je dois lui mettre son string et sa jupe.–Je présume que tu préfères faire l’inverse ?–Tout à fait, mais ce n’est pas désagréable d’ajuster un string sur tes superbes fesses.–On se calme.L’humeur est joyeuse, une fois prête, nous allons au secrétariat pour les papiers. A neuf heures et quart, nous somme dans la voiture. Catherine est radieuse, elle va pouvoir voir Charlette plus tôt que prévu. Vers seize heures, nous arrivons à la boite, Catherine est accueillie comme une héroïne, tout le monde présent se précipite pour avoir des nouvelles. Charlette n’est pas encore là. Je l’amène dans une petite salle, l’assoie confortablement et vais voir Jérôme qui m’a demandé.–Tu voulais me voir ?–Oui, assoie toi.Je prends une chaise et m’assoie devant lui.–Voilà, je pense qu’il faut un responsable qualité dans la société, maintenant que tu connais tout le monde, qui me conseilles-tu ?–Tu me prends de court, je ne pensais pas que tu veuilles le faire aussi vite.–Ce n’est pas pour tout de suite, mais j’aimerais nommer une personne avant la fin de l’année avec prise d’effet le premier janvier prochain.–Ok, j’y réfléchi. En fait je ne vois à priori que trois personnes capables de le faire.–Oui, lesquelles ?–Charlette, Catherine et Jean Luc.–Catherine, tu crois ?–Oui, elle s’y est très bien mise, elle est intelligente et elle a assez de caractère pour faire ça. C’est la même chose pour les deux autres.–J’avais pensé à Charlette ou Jean Luc, nous sommes d’accord pour deux.–Je vais les sonder et voir qui est le plus intéressé par ce poste. Ce n’est pas de la tarte, il faut se battre contre l’inertie des habitudes. –Ok, je te laisse faire, donnes moi un nom dans quinze jours, ça te suffira ?–Oui, pas de problème.–Ok, tu es libre.Je quitte Jérôme juste au moment où Charlette arrive, un peu vite à mon goût, sur le parking de la société. Elle met sa semi à quai et descend pour aller voir Catherine, elle marche très vite vers moi.–Ou est-elle ?–Dans la petite pièce du fond.Elle y va d’un pas alerte et ferme la porte derrière elle. Au bout d’un quart d’heure, elle en sort rayonnante.–Elle vient chez moi, c’est moi qui vais la soigner, elle ne peut pas rester seule chez elle. C’est super, je l’aurais là, juste à portée de main. Tu l’accompagnes pour aller récupérer ses affaires chez elle, je dois aller prendre Cindy ?–Bien sûr.Vers dix-huit heures, j’accompagne Catherine chez elle, je l’aide à trier des affaires et nous allons chez Charlette qui est déjà là avec Cindy qui nous saute au cou. Comme Catherine ne peut pas monter aux chambres du haut, nous aménageons la chambre sport en descendant un lit de l’étage. Catherine s’installe avec l’aide de Cindy qui l’adore. Je les regarde toutes les deux et me tourne vers Charlette.–Tu as de la chance, Cindy adore Catherine, ça va être plus facile pour elle.–Que Dieu t’entende.–Ne mêlons pas Dieu à nos turpitudes.–Comme tu dis.Je prépare le repas, tout le monde est aux petits soins pour Catherine, surtout Cindy qui voit arriver chez elle une grande sœur dont elle doit s’occuper. Quand je veux la coucher, elle veut aussi Catherine, nous avons toutes les peines du monde à l’en dissuader. Je n’ai pas franchi la porte de la chambre de Cindy que j’entends des mouvements dans le salon, elles se sont sautées dessus. Un quart d’heure plus tard, quand je retourne au salon, elles sont nues, à se faire un soixante-neuf. J’hésite un instant, mais Catherine qui est sous Charlette me fait signe de la main d’approcher.–Je veux voir ton sexe entrer dans le sien, je veux te voir la baiser, la pistonner, sortir pour la perforer de nouveau, elle aime ton sexe, donnes lui en.–Oui, chéri, vas-y, fais-moi l’amour.Je me déshabille, je suis déjà excité par le spectacle, mais je me branle un peu pour être au top.–Donnes, je vais te guider.Je me présente derrière Charlette, Catherine se saisi de ma bite et la dirige vers le con de son amour.–Puisque tu aimes, prends le ma chérie.Je m’enfonce dans sa vulve détrempée, mes mouvements sont lents et profonds, je ne veux pas de brusquerie, juste de la douceur et de l’amour.–Oui chéri, oui, j’aime quand tu es doux.Je sens de temps en temps la langue de Catherine qui me lèche le vit quand il sort. Tout à coup, une main s’en saisi.–Tu permets chérie, j’ai une petite envie de bite.–Sert toi mon amour.Je sens une bouche me gober et une langue me titiller le gland. Après ce qui vient de se passer, je n’ai plus beaucoup de résistance, et je suis sur le point de me vider dans sa bouche. Catherine le sent et me libère pour me planter dans la chatte de Charlette.–Oui, je vais jouir, oui, oui, vides toi en moi chéri, je veux ton jus.Je ne résiste plus, je me vide en elle, ce qui la fait partir à son tour.–Oui, oui, je jouis, c’est tellement bon avec vous deux.Elle se raidi, son corps tremble de tous ses membres, ses narines palpitent, son ventre se transforme en béton. Elle jouit. Elle met un certain temps à revenir sur terre. Elle ne s’occupe plus de Catherine qui reste sur sa faim.–Chéri, tu veux bien t’occuper de Catherine, je suis complètement morte, tu veux bien ma chérie.–Oui, mais une minette comme il sait si bien le faire, on verra pour son sexe après.–Après ce que je viens de donner à Charlette, je crains fort que tu doives t’en priver.–Ta langue, tout de suite.Charlette se lève et je me mets entre les cuisses de Catherine. Ma langue lèches chaque cuisse à partir de la moitié, Catherine se tortille.–Non, sur le sexe, je veux jouir.Je ne change rien et monte doucement vers le paradis, la fontaine de nectar divin, la fontaine de jouvence. Plus je monte vers son sexe, plus son odeur enivrante me submerge. Quand j’arrive sur sa vulve, elle est arque bouté, ses fesses sont à quinze centimètre du lit, elle m’offre son sexe que je gobe sans retenue. Ma langue se déchaine sur ses lèvres, son anus, son périnée et son clitoris. Pendant ce temps, Charlette s’occupe de ses seins avec sa bouche. Elle ne peut résister longtemps, elle se laisse envahir par un terrible orgasme. Elle tremble, elle saute, elle serre ses mains sur le drap, elle renverse sa tête à le recherche d’air.–MMMMMMMMMMMMMMMMMMJe ne l’ai jamais vu jouir comme ça. Je me redresse pour la regarder, elle est tellement belle, son visage transpire le bonheur, on la croirait dans un rêve. Charlette la couvre de baiser, la caresse et l’embrasse. D’un seul coup, je me sens de trop, mais d’un autre côté, voir ces deux êtres s’aimer à ce point, c’est touchant. Je les laisse entre elles, se caresser, s’embrasser, s’aimer, je suis assis sur un fauteuil à les regarder. J’avoue que je ressens une immense tendresse pour ces deux femmes qui m’ont donné tant de bonheur, tant de joie. De les voir ensemble me rends heureux.
lagatois34@gmail.com
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