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Catherine, mère de mon meilleur ami

Chapitre 1

Hétéro
Je frappai à la porte dans l’espoir de trouver mon ami Vincent, 20 ans, que je pensais chez lui. En effet, je suis rentré à la maison de campagne de mes parents et c’est empli d’un enthousiasme rare que je me suis mis en quête de quelque chose à faire pour profiter de la journée. Une journée qui commence assez étrangement d’ailleurs, puisque c’est la mère de Vincent qui m’ouvre. Catherine est une belle femme mature, mais toujours charmante. Une petite blonde avec ce qu’il faut de rondeurs toujours moulées dans un jean, et mise en valeur par un pull à col roulé blanc neige qui épouse parfaitement sa poitrine plus que généreuse. Je crois pouvoir dire sans me tromper que tous les jeunes de mon âge ont déjà fantasmé sur la mère d’un ami, j’ose donc espérer que vous me pardonnerez d’avoir longtemps fantasmé sur Catherine et son charme bien à elle : son petit grain de beauté trônant à côté d’un nez aquilin et contrastant avec une bouche pulpeuse ornée d’un discret gloss.
Elle avait, en prime, de magnifiques cheveux d’or qui lui tombaient jusqu’aux épaules. La revoir me faisait très plaisir; moi qui m’étais éloigné de mon village natal.
— Paul ! Comment vas-tu ? demanda-t-elle, pleine d’énergie et sincèrement contente.
— Madame Andrieux, très bien, et vous ? Je ne vous dérange pas ?
Nous nous faisons la bise et son parfum si délicat à la vanille se répand dans l’air et me trouble légèrement.
— Appelle-moi Catherine, depuis le temps...Ma foi, je vais très bien, et je t’en prie, tu as toujours été un garçon si poli ! J’imagine que tu étais venu voir Vincent ? Il est absent, son entraînement de rugby finit dans deux heures. Entre donc ! Tu me tiendras compagnie, il fait trop beau pour être seul, et tu pourras me raconter ce que tu deviens.
J’hésite d’abord, gêné par sa proposition et un peu anxieux de me retrouver en tête à tête avec elle, puis finis par accepter. Après tout, bien qu’un poil timide sur les bords, j’ai tout de même 19 ans maintenant. Aussi, m’ouvre-t-elle la porte de leur imposante bâtisse en vieilles pierres, équilibre parfait entre confort et sobriété. Les parents de mon ami l’ont achetée à deux, le père étant patron d’une importante chaîne de distribution dans la région. Il gagne évidemment largement sa vie, mais travaille beaucoup et est donc peu présent pour sa femme et son fils.
Nous nous installons dans le salon, moi sur le canapé et elle sur un fauteuil juste à côté. Très vite, notre ton formel initial dérive vers une discussion plus chaleureuse, plus spontanée, et la mère de Vincent se révèle être aux petits soins avec moi, me noyant presque sous le vin rouge qu’elle a sorti pour l’occasion. Elle m’avoue s’ennuyer sans son fils, se sentir moins utile, et me demande des nouvelles quant à ma scolarité et à d’autres détails. Je la trouve rayonnante, son teint a rosi sous l’effet de l’alcool et nous entretenons à tour de rôle la conversation, trouvant chaque fois un sujet sur lequel rebondir. Je ne peux pas m’empêcher de l’observer avec plaisir, lorsqu’elle croise ses belles jambes ou qu’elle remet ses cheveux en place. D’autant plus que son hospitalité lui donne un air maternel très mignon. J’arrive à rester le plus discret possible, je n’ai pas vraiment d’idées derrière la tête, je me contente de la regarder et de profiter de l’instant présent.
Seuls, ses yeux bleus, si profonds, parviennent à me déconcentrer lorsqu’elle les plonge dans les miens.
C’est d’ailleurs le moment qu’elle choisit pour s’amuser de sa situation de célibataire d’un certain âge, toute seule, chez elle, sans fils ni mari :
— Regarde-moi Paul, qui voudrait d’une vieille femme telle que moi ?
— Vous rigolez, Madame, vous êtes encore magnifique !
Je la sens troublée, elle ne s’attendait sans doute pas à ce que je rentre dans son jeu aussi simplement. Elle ne me lâche pas du regard et sourit en coin pendant qu’elle ramène le verre à ses lèvres. Je craque littéralement lorsqu’elle boit doucement en me fixant presque par-dessus ses cils. Elle continue de s’amuser.

— C’est tellement mignon...mais je pense que tu es tout de même trop jeune pour moi. Si on avait eu le même âge, je t’aurais sûrement dragué au lycée et alors tu n’aurais pas pu résister à mon charme dévastateur, me dit-elle, espiègle.
— Je ne pense pas que l’âge soit un problème, c’est surtout que vous êtes mariée à un homme que vous aimez et avec lequel vous avez fondé une famille, ce n’est quand même pas rien ! J’essaye de la pousser gentiment, en espérant que l’alcool et la chaleur lui délieront la langue et la feront oser si vraiment elle le souhaite.
Après quoi, elle acquiesce, le visage plus fermé et les lèvres pincées. Un silence s’installe et une tension monte progressivement, chacun sentant que l’autre est plongé dans ses pensées. Elle brise ma concentration en se courbant pour enlever ses délicats escarpins, ce qui m’offre au passage une vision divine sur ses seins, que je devine si lourds sous le pull, si gros.
— Je ne voudrais vraiment pas abuser Paul, mais j’ai eu des douleurs aux pieds toute la journée, et un massage me soulagerait si tu t’en sens l’envie. D’habitude, c’est mon fils qui s’y colle, mais étant donné qu’il n’est pas là...
Mon cœur bat la chamade, elle m’a surpris en prenant l’initiative de façon si osée. Je déglutis difficilement, mais hoche la tête et me redresse sur le canapé pendant qu’elle s’allonge sur la longueur, posant ses jambes sur les miennes. Elle soupire de plaisir et d’aise lorsqu’elle s’installe.
— Je suis tout à toi, me dit-elle, en fermant les yeux, s’amusant évidemment du sous-entendu. A ce stade, je ne sais toujours pas si elle souhaite seulement flirter ou aller plus loin. Le simple fait de prendre du recul et de me dire que je vais masser la mère de mon meilleur ami me fait me sentir bizarre, je crois que je commence vraiment à être excité, très excité. J’ai toujours été un garçon très délicat, et ainsi, très doué, lorsqu’il s’agissait de caresser ou de masser les gens, de faire en sorte qu’ils se sentent bien, en sécurité, même en dehors des rapports amoureux. Aussi commencé-je à exercer une faible pression sur les plantes de ses pieds. Elle se mord les lèvres et ne fait pas un bruit, mais j’ai l’impression que ce silence en dit long; l’air devient irrespirable, la tension sexuelle écrasante. Je remonte la plante pour arriver aux orteils, elle plie et déplie alors ses pieds pour profiter du massage dans différentes positions. Et ce qui devait arriver arriva.
Son gros orteil entre en contact avec ma bite, il frotte tout doucement mon gland autour du frein. Je m’arrête net, pensant qu’elle va mettre un terme à notre petite aventure, mais elle reprend ses mouvements de pieds de plus belle, en pressant plus fortement encore ses orteils contre mon membre. Elle me rend folle, nos respirations deviennent difficiles. Elle lève le pied gauche, qui était occupé à caresser mes boules, et l’approche de mon visage. Je lui jette un coup d’œil, elle me fixe intensément, presque tétanisée dans l’attente de découvrir si je vais la suivre ou non. Je prends moi-même son pied droit pour imprimer le mouvement de frottement sur mon gland et me mets à sucer le gros orteil de son pied gauche. Elle gémit, rougit, son excitation monte pendant qu’elle me chauffe outrageusement; moi, le meilleur ami de son fils qu’elle connaît depuis la maternelle.
C’en est trop pour nous deux, elle se retourne sur le ventre et me souffle :
— Frotte-toi, Paul.
J’empoigne ce cul, si gros, si bon, à pleines mains avant de venir m’allonger sur elle. Je me frotte comme une bête sauvage sur cette chienne en rut, j’ai l’impression que mon jean va exploser tant ma bite est compressée. La mère de Vincent le sent aussi.
— Enlève ton jean et laisse-moi m’occuper de toi, j’ai envie d’être utile, je veux que tu m’utilises Paul, tu comprends ? J’ai besoin que tu te défoules sur moi. Je veux me sentir jeune, me sentir salope !
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je commence par écraser ses seins sous mes mains, trop petites, pour les prendre totalement. Je suis rude, cru, je pince ses tétons très fort à travers le soutien-gorge. Elle laisse échapper des gémissements, je continue à profaner sa poitrine en déchirant presque le col roulé. Elle n’en peut plus, elle veut ma bite. J’enlève mon jean d’un coup, mon caleçon avec, et découvre une érection énorme. Je me mets sur elle, encore sur le dos sur le canapé, et lui enfonce mon sexe dans sa gueule sans rien dire, en tirant sur ses beaux cheveux blonds pour la forcer à bien la prendre en profondeur. Elle manque de s’étouffer et recrache un filet de bave très épais qui coule sur ma bite et retombe sur ses seins maintenant nus.
— Ca te plaît, Paul, de me faire du mal ? Que je sois ta chose ? Ta chienne ?
Elle me rend dingue. Je grogne comme un animal sauvage, lui enfourne de nouveau mon sexe dans la bouche. Je suis incontrôlable, moi qui suis d’habitude plutôt calme pendant le sexe (pour les rares expériences que j’en ai eues en tout cas). Mais avec elle, c’est différent, elle m’appartient à ce moment précis. Je la maltraite et elle prend du plaisir. Je lui pince le nez très fort, elle se retrouve à me sucer sans pouvoir respirer, et je baise sa délicate petite bouche rose en souillant tout son visage, très vite inondé de bave et de liquide séminal. A chaque va-et-vient répond un gargouillis de Catherine dont la gorge n’est pas habituée à être agressée de la sorte.
— JE SUIS TA PUTE PAUL, PLUS FORT !
Nous ne sommes plus que des bêtes, devant la vulgarité de ses hurlements de plaisir, je me mets à la baffer avec violence pendant que je lui baise la face. Son faciès, d’ordinaire si soigné, n’est plus qu’un mélange d’eye-liner coulant à cause de la bave que je lui étale sur la tête, de gloss (aussi bien sur les bords de ses lèvres qu’autour de mon gland) et de rougeurs en réponse à mes gifles. Je suis comme attiré par sa chatte et enfonce directement deux doigts dedans, sans la prévenir, en rentrant ma main dans son jean. Elle crie de surprise, de douleur, de plaisir et d’excitation. Je continue de la frapper au visage tout en faisant tourner mes doigts frénétiquement dans son orifice pendant qu’elle me suce comme une chienne. De temps à autre, je lui reprends ma bite pour la frotter contre ses énormes seins et pour lui frapper les lèvres et les yeux avec. Je veux la souiller. Elle éructe, et entre les grognements et les bruits indécents de pénétration orale et vaginale, je perçois :
— J’en peux plus, prends-moi comme une sale pute en levrette.
Elle dit cela si simplement que c’en est outrancier. Je suis dans un autre monde. Je la tire par les cheveux pour la relever et la mettre à quatre pattes sur le canapé. Une fois en position, je lui tire les cheveux de la main gauche et utilise ma main droite pour lui asséner des fessées surpuissantes pendant qu’elle crie. J’en profite pour mettre mon majeur dans sa bouche qu’elle se met à sucer comme si c’était une bite, tant cette chienne est bien dressée, et une fois bien humidifiée, je le retire brutalement et force l’entrée de son anus avec. Il se contracte et se détend en chaîne, son plaisir devient insoutenable même pour moi. Je crache dans son anus et remplace mon majeur par ma bite pendant que j’envoie ma main droite s’enfoncer dans sa chatte, lui pincer le clitoris, frapper sa chatte pendant que je lui baise le cul.
Je lui tire toujours les cheveux de la main gauche, et j’ai juste en face de moi une vision de son énorme cul qui vient, vient, vient, et vient encore s’empaler sur mon sexe. Je n’ai jamais été aussi excité de ma vie, mon regard est scotché sur son anus, certes humidifié, mais tout de même malmené par la sodomie imprévue que je lui imposais. Tirant plus fort sur ses cheveux pour qu’elle tourne sa tête vers moi, je vois des yeux de démente, fixés au plafond, et une bouche grande ouverte qui bave partout. Une chienne. Elle baigne dans une odeur de sexe qui n’a plus rien à voir avec son petit parfum de marque. J’enfonce ma bite dans son anus plus violemment encore pendant de longues minutes, en me jetant en avant sur chaque pénétration, en tirant plus fort, en frappant plus brutalement ses fesses qui se mettent à saigner, et en entamant un mouvement de va-et-vient très rapide dans sa chatte avec les doigts vers le haut. Je la contrôle complètement, la mère de mon meilleur ami est ma pute.
J’éjacule sauvagement dans son anus et sur son gros cul blanc en me retirant. Elle hurle à la mort, alors je décide de lui écraser mon sexe luisant dans la figure, et forcer sa bouche à me nettoyer. Elle gémit, mais s’exécute. Je la domine.
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