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Cauchemar auvergnat

Chapitre 1

Hétéro
Dans le train qui la ramène dans le Cantal, région d’où elle a été mutée il y a quelques années, la jeune et jolie Claire, professeur de biologie, repense – avec une petite larme – aux années qu’elle y a passées, en particulier la dernière, à ce qu’il s’y est passé, et surtout à ce qu’elle a accepté de faire pour avoir sa mutation et préserver sa carrière.
Revenons cinq ans plus tôt.
C’était avec angoisse et excitation que Claire se dirigeait vers son tout premier poste dans un lycée, situé dans une zone rurale désertée en plein centre du Cantal. Certes, la région est magnifique, mais le village vers où elle se dirige est perdu entre les montagnes au fond d’une cuvette naturelle. Les seuls accès sont des routes en lacets interminables ainsi qu’une vieille micheline desservant les villages aux alentours, dont le terminus arrivait en périphérie de Clermont-Ferrand. C’est par le train que cette charmante jeune femme qui avait brillamment réussi son CAPES avait fait le trajet depuis sa Normandie natale.
Une fois descendue à la gare, elle partit en direction du lycée pour y rencontrer le proviseur qui habitait à proximité. Il était presque 19 heures quand elle se présenta au domicile du proviseur. Elle sonna, et c’est une femme assez forte d’une cinquantaine d’années qui lui ouvrit. Elle portait une robe à fleurs style vieille grand-mère, les cheveux en chignon, et on devinait que le temps avait fait son office sur elle.
— Bonsoir Mam’zelle, vous désirez ?— Bonsoir Madame. Je suis bien chez monsieur Boldini, le proviseur du lycée ?— Oui c’est bien là. RAYMOND, Y A QUELQU’UN POUR TOI !
Elle s’éloigna de la porte, laissant apparaître son mari derrière elle. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils étaient assortis, tous les deux ! Il avait grosso-modo le même âge que sa femme. Sa silhouette… une boule avec deux bras et deux jambes, surplombée d’une tête à double menton, le crâne rasé et arborant une épaisse moustache. Il portait un pantalon en toile tenu par des bretelles, des souliers vernis et une chemise manches courtes dont les deux premiers boutons étaient ouverts.
— B’soir. Raymond Boldini, proviseur du lycée ; vous devez être Mademoiselle Claire Perrin ?— Oui, c’est bien moi.— Je suppose que vous venez récupérer les clés de votre appartement de fonction ? — Oui, absolument.— Je vais les chercher et vous montrer les lieux.
Elle partit avec le proviseur à quelques centaines de mètres où se dressait un immeuble avec des appartements meublés de fonction, juste à côté du lycée. Ils arrivèrent au premier étage devant l’appartement qui lui avait été attribué.
Une fois à l’intérieur, Claire commença à inspecter les lieux. Elle a vite remarqué que c’étaient des meubles suédois en kit à monter soi-même. Ce qui n’est pas forcement gênant, mais totalement impersonnel. Elle remarqua autre chose : alors qu’elle inspectait les lieux, elle constata que le proviseur se tenait en retrait, et elle avait bien vu dans les miroirs et dans les reflets sur les vitres qu’il n’arrêtait pas de la mater. Chaque fois qu’elle se penchait ne serait-ce qu’un peu, elle voyait un sourire un peu vicieux se dessiner sur son visage.
Elle se disait bien que si l’idée lui venait de fermer la porte et d’abuser d’elle, elle aurait du mal à s’en défaire. Par bonheur, rien de tout ça ne s’est produit. Heureusement, car il ne lui plaisait vraiment pas. Il ne faisait que la regarder. OK, il était marié ; mais après tout, ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas lire le menu.

Une fois sortis, et voyant qu’elle n’avait rien prévu pour manger, il l’invita à partager son dîner avec lui et sa femme, histoire de mieux faire connaissance. Claire savait qu’elle était là pour au moins 2 à 3 ans ; et encore avec de la chance. Elle accepta l’invitation, histoire de ne pas donner mauvaise impression.
Elle s’est ensuite très vite installée et a fait connaissance avec l’équipe pédagogique. Elle a bien vu qu’ils avaient tout le matériel pédagogique nécessaire malgré l’isolement. Elle disposait de tout ce qui était nécessaire pour commencer sa carrière dans les meilleures dispositions.
Sa première année s’est très bien passée. Les élèves n’étaient pas trop chiants. Les collègues étaient sympas. Ils l’aidaient en cas de problème, et le proviseur lui faisait un bilan personnalisé toutes les semaines. En plus, ayant quelques-uns de ses collègues qui n’habitaient pas loin, elle pouvait compter sur eux en cas de coup dur. Dans sa vie de tous les jours, étant dans une région isolée, les infos circulent vite et tout se sait très rapidement. Claire s’est très vite fait connaitre au près des commerçants du village et des environs qui avaient tous eu vent de l’arrivé de la nouvelle prof du lycée.
Ce village de campagne et ces alentours fonctionnaient comme une communauté. Une bonne ambiance semblait y régner car tout le monde était présent lors des festivités communales, données tout au long de l’année par les notables du village (le maire, les directeurs des établissements scolaires, le chef des pompiers, ….). Tous les commerçants participaient, notamment pour les repas. Une petite participation financière était demandée pour les autres mais tout le monde s’y soumettait vu la bonne ambiance qui régnait dans ce cadre agréable.
Aucune ombre à l’horizon. Et c’est le cœur léger qu’elle est repartie passer l’été chez ses parents en Normandie.
Elle n’est revenue dans le Cantal que fin août. Elle le savait, le proviseur attendait tout le monde une semaine avant la rentrée officielle. Toute l’équipe s’affairait à préparer le jour J, et elle remarquait que le proviseur lui portait une attention toute particulière. Normal, après tout : elle était la petite nouvelle de l’équipe. La rentrée est arrivée, et elle a très vite repris ses marques.
Comme pour tous ses collègues, le rectorat lui avait octroyé une boîte mail sur le serveur de l’académie. Cette adresse servait tout aussi bien à recevoir les courriers officiels que les devoirs en retard de certains élèves. C’était l’adresse que tout le monde pouvait utiliser pour lui parler, et un jour, à la fin du mois de septembre, elle reçut un mail étrange, dont l’adresse semblait être cachée, intitulé « Je sais ce que tu as fait ». Dans ce message, on pouvait lire : « Si tu ne veux pas que ta carrière soit ruinée et que tout le monde connaisse ton petit secret, tu as tout intérêt à faire ce que je te demande. » Ne comprenant pas ce que ça signifiait, elle ouvrit la photo en pièce jointe, et là elle s’est effondrée. Elle qui croyait cet élément de sa vie loin derrière elle, le voilà qui refaisait surface.
Après son bac, alors qu’elle s’était engouffré dans une voie sans issue – la fac de psycho – elle avait participé à quelques films amateurs pour adultes afin d’arrondir ses fins de mois. Au départ, ces vidéos ne devaient uniquement être diffusées que dans un cercle très restreint. Ce fut le cas jusqu’à ce que l’un des producteurs ne décide de les vendre à des sites marchands. Quand elle s’en est aperçue, elle et d’autres sont parvenues à le convaincre de les faire retirer de la circulation après d’âpres négociations.Cette photo qu’elle avait face à elle était un arrêt sur image d’elle en pleine action. On distinguait parfaitement son visage. Ce qu’elle y faisait ne laissait aucun doute et était totalement inapproprié par rapport à sa profession actuelle.
Il ne fallait en aucun cas que ça s’ébruite. Mais qui pouvait être l’auteur de ce mail ? Elle fit vite un tour d’horizon : le proviseur ? Non. Il aurait eu le temps de la faire chanter depuis longtemps, compte tenu de sa position ; et puis il s’était toujours montré courtois avec elle lors de leurs séances de bilans personnalisés. Le prof de chimie ? Non plus. Ce dandy italien, très charmeur, n’avait aucun courage. Il se dégonflait à la moindre difficulté. Le prof de sport ? Impossible. Elle n’en avait pas la preuve formelle, mais il était évident qu’elle n’était pas son genre d’homme… Elle a fait le tour de tout le corps professoral ; personne ne correspondait. D’autant que ce devait être quelqu’un qui l’avait connue à l’époque de ses études pour être au courant de tout ça. Cette histoire l’a empêchée de dormir. Elle s’inquiétait de la suite des événements.
Le lendemain, elle reçut un autre mail du même expéditeur, adresse toujours masquée : « Si tu veux ta mutation, il va falloir prouver ta motivation. Tu auras des épreuves et tu va devoir réaliser tout ce que je demande en temps et en heure. À la moindre erreur de ta part, je publierai une photo, voire une vidéo, au lycée, sur la boîte mail de l’association des parents d’élèves ou au rectorat. Je te donnerai tes instructions plus tard. » La situation devenait limpide ; elle était victime d’un chantage. Ne sachant pas qui en était à l’origine, elle ne pouvait se confier à personne, de peur de représailles.
Une semaine plus tard, un colis l’attendait au bureau de poste. Ayant un trou entre deux cours, elle est allée le chercher mais ne l’a ouvert que le soir. Quand elle en a vu le contenu, un frisson d’angoisse l’a parcourue. Il s’agissait d’une tenue vulgaire en cuir, façon pute de banlieue. Au fond de la boîte, une feuille imprimée avec d’autres instructions : « Lundi, tu iras au lycée habillée comme ça. ». C’était hors de question. Elle ne pouvait pas se donner en spectacle en public de la sorte. Elle choisit alors de braver l’interdit. C’était à la fois, pour elle, le moyen de dire à son maître chanteur « Je t’emmerde », mais aussi l’occasion de voir s’il mettrait sa menace à exécution, car elle voulait en avoir le cœur net.
Le lundi arriva. La journée se passa comme d’habitude. Le soir, il était convenu qu’elle passe dans le bureau du proviseur pour son bilan qui n’avait pas pu avoir lieu le vendredi précédent. Comme à son habitude, il avait toujours pour elle un petit mot gentil du style « Vous êtes très en beauté aujourd’hui ». Même si au passage il laissait son regard vagabonder sur ses formes, il restait très charmant avec elle.
C’est le lendemain que ça s’est gâté. Quand elle s’est approchée du lycée elle vit un attroupement. Les profs et le proviseur tentaient de disperser les élèves qui s’en allaient tous avec le même papier ; un prospectus, sûrement. Elle se rendit vite compte qu’il n’en était rien, car ce fameux papier était en fait un instantané d’une des vidéos auxquelles elle avait participé. L’angle de prise de vue était tel qu’on ne voyait pas son visage, mais elle s’était malgré tout reconnue. Son maître chanteur avait mis sa menace à exécution.
Durant la journée, elle reçut un autre mail : « Tu sais maintenant que je suis sérieux. Tu as jusqu’à la fin de la semaine pour venir au lycée et faire cours dans la tenue que je t’ai fournie. Si tu n’obéis pas, c’est la vidéo que j’envoie. »
Seules deux solutions s’offrait à elle : soit elle acceptait en ne sachant pas où cela allait la mener, soit elle ne faisait rien, et là, sa carrière était foutue. Le choix fut vite fait. Si elle voulait préserver sa carrière, elle devait accepter. Heureusement pour elle, le lendemain était un mercredi ; elle n’avait que trois heures de cours le matin. De plus, il y a généralement moins de monde. Bref, tout pour minimiser les risques.
Angoissée à l’idée de se balader dans le lycée affublée de cette tenue légère et plus que provocante, elle n’en a pas trouvé le sommeil. Dans le miroir, elle se regardait et hésitait toujours à venir faire cours habillée comme ça. Même avec sa blouse de labo, on voyait et devinait ce qu’elle portait dessous. Il faut dire que la blouse ne dissimulait rien des bas résille qui recouvraient ses jambes. Elle ne voulait pas y aller, mais pourtant il allait bien falloir.
Elle savait que le proviseur arrivait tôt le matin, avec le concierge. Ce qui fait qu’elle allait pouvoir en profiter pour se rendre au lycée discrètement et entrer sans être vue, avant tout le monde.Elle est arrivée au lycée largement plus tôt que d’habitude. Personne ne l’avait vue arriver, sauf le concierge. C’est au détour d’un couloir qu’elle le croisa. Quand il l’aperçut, il la siffla comme le font les dragueurs lourdingues en présence d’une jolie femme.
— Waow ! C’est la nouvelle tenue pour faire cours ? Si ça vous chante, je suis prêt à reprendre mes études avec vous, dans ma remise.
Ce gros lourdingue, moche et sans retenue, avait tenté une approche plus que grossière. Approche que Claire avait déclinée en faisant comme si de rien n’était. Les cours de la matinée se sont enchaînés et, même si elle faisait en sorte de ne rien laisser paraître, elle sentait les regards insistants de ses élèves sur sa personne. Son dernier cours venait de se terminer et elle attendait que la dernière heure commence afin de profiter des couloirs vides pour filer à l’anglaise.
Elle allait partir quand un message retentit dans l’interphone du lycée : « Mademoiselle Perrin est convoquée dans le bureau du proviseur ; Mademoiselle Perrin. » À ce message, elle avait bien deviné que le concierge – ou pire, un de ses élèves – avait parlé de ce qu’il avait vu. Elle savait qu’il détestait attendre, alors elle s’y est rendue de suite. Ne sachant pas comment il allait réagir, elle hésita à pousser la porte, mais le regard insistant et inquisiteur de l’hôtesse d’accueil la décida. Elle se retrouva donc dans le bureau du proviseur, devant lui, toute penaude, n’osant pas dire quoi que ce soit.
— Vous m’avez demandée, Monsieur ?— Oui. Pouvez-vous retirer votre blouse que je vérifie quelque chose ?
Elle laissa tomber sa blouse au sol. Elle avait gardé en tête le regard gourmand et un poil lubrique qu’elle l’avait vu arborer plusieurs fois. Elle avait peur que cette tenue ne lui donne des idées malsaines. Mais il n’en fut rien. Au contraire, il faisait la gueule. Il semblait limite furieux.
— Est-ce que vous vous foutez de moi ? C’est quoi, cette tenue ? Où vous croyez-vous ? On est dans un lycée plein d’ados dont les hormones sont en ébullition, et vous vous baladez limite le cul à l’air. En plus, c’est mauvais pour votre carrière, vous le savez ?— Excusez-moi, Monsieur, je…— Bon, écoutez. Je ne suis pas du genre méchant ; on a tous droit à un écart de conduite. Je ne dirai rien, mais je veux que vous fassiez une chose.
À ces mots, elle imaginait déjà qu’il allait lui demander une petite gâterie, ou pire de coucher avec lui. Ce gros porc adipeux tenait là une occasion en or.
— Je ne veux tout simplement pas que vous recommenciez, sinon j’inscris ça dans votre dossier.
Soulagée, elle se sentit libérée. Cet homme qui semblait limite obsédé savait rester dans le rang et n’abusait pas de la situation.
— C’est promis, Monsieur. Merci, merci vraiment ! lui dit-elle en lui serrant la main, une larmichette à l’œil.
Elle est très vite rentrée chez elle pour se changer, mais était tout de même inquiète. Ce maître-chanteur qui avait un ascendant sur elle pouvait encore lui demander des horreurs. Dans l’immédiat, elle espérait qu’il ne la ferait pas mentir au sujet de la promesse qu’elle avait faite au proviseur.
Le lendemain, elle reçut un mail de cet inconnu qu’elle n’était pas encore parvenue à identifier : « Visiblement, le proviseur a failli te punir. Pour que tu n’aies pas de problème, tu vas laisser tomber la tenue. Pour favoriser ta mutation et te mettre le proviseur dans la poche, voilà ta nouvelle épreuve : lors de ton prochain bilan avec le proviseur, tu vas devoir t’excuser auprès de lui. Tu dois te montrer « très gentille ». À la fin du rendez-vous, tu dois pouvoir repartir en lui ayant fait une fellation. Tu dois te montrer convaincante et il ne doit se douter de rien. Il risque de ne pas être facile à convaincre ; mais si tu réussis, ça favorisera le terrain. Sache que si tu ne réussis pas, je lui envoie des photos. Et n’essaie pas de me tromper : j’ai les moyens de savoir tout ce qu’il se passe. »
Ce qu’elle craignait était en train d’arriver. Elle allait devoir sucer le proviseur. Ce type, même s’il s’était montré des plus corrects et respectueux, ne lui plaisait vraiment pas. Il était gros et moche. Pour avoir déjà dîné chez lui, elle le savait un peu grivois en privé. Bref, c’était loin d’être un prince charmant. Mais de toute façon, elle n’avait pas le choix si elle ne voulait pas que son passé soit déballé en public. Le bilan étant prévu tous les vendredis soir après les cours, il ne lui restait plus que deux jours.
Vendredi soir, 18 heures, les cours venaient de se terminer. D’ici quelques minutes elle allait devoir se présenter dans le bureau du proviseur pour son bilan. Jusqu’à présent, elle appréciait ces entrevues. Sauf que cette fois-ci, la fin du rendez vous l’angoissait. Elle s’était gargarisée avec une lotion mentholée, s’était maquillée pour paraître avenante, avait respiré un bon coup puis était parti pour son rendez-vous. Le proviseur semblait charmé de la voir aussi apprêtée. Le bilan fut court ; la séance arrivait à son terme.
— Bon. Mademoiselle, je pense qu’on a fait le tour. Autre chose à ajouter ?
À cette phrase, elle savait que c’était le moment d’envoyer la sauce. Elle devait tout faire pour qu’il cède à ses avances.
— En fait, je voulais juste vous remercier de ne pas m’avoir tenu rigueur de ma… déconvenue vestimentaire.— Écoutez ; je ne sais pas ce qui vous a menée à faire ça, et je ne veux rien savoir. Je ne veux plus revoir ça, c’est tout.— Ça n’arrivera pas, promis. Je… Oups, j’ai fait tomber mon sac ! dit-elle avant de passer sous la table.
Elle était sous le bureau, à quelques centimètres de la braguette qu’elle devait ouvrir. Elle prit sa respiration et partit à l’attaque. Sous l’effet de la surprise, le proviseur se recula dans son fauteuil à roulettes contre le mur.
— Mademoiselle ! Que faites-vous ? Qu’essayez vous de faire ?— Vous le savez très bien. Je veux vous remercier, et je me suis dit que ça devrait vous plaire… dit-elle en s’avançant vers lui à quatre pattes.— Euh… Écoutez, j’apprécie l’intention, mais je suis marié.— C’est pas votre femme qui m’intéresse.
Elle s’est alors assise sur les genoux de son nouveau camarade de jeu qui se retrouva alors avec sa poitrine à hauteur de son regard. Elle commença à jouer avec sa cravate, le voyant troublé par la situation. Elle avait bien compris qu’il ne fallait pas grand-chose pour le faire basculer. Elle prit la main gauche tremblotante du proviseur et la plaqua sur un de ses seins.
— Ecoutez, je vais être directe. Je sais que je vous plais. J’ai bien vu que vous n’arrêtiez pas de mater mes formes. Alors je me suis dit qu’après que vous ne m’ayez pas dénoncée pour l’incident de mercredi, je pouvais au moins vous offrir une petite douceur, dit-elle en lui mettant la main au paquet.— Ecoutez, je… Pfff ! Non, là c’est trop ! Je ne veux pas m’attirer de problèmes. S’il vous plaît, arrêtez !— Moi, tout ce que je veux, c’est vous sucer. Pas de sentiments, rien qu’un moment de plaisir. Comme ça.
Et là, elle lui prit la tête pour la plaquer entre ses seins. Elle sentait sa respiration qui s’accélérait. C’était quitte ou double. Si elle échouait, soit c’est son maître chanteur qui allait bousiller sa vie, soit c’est le proviseur pour l’avoir provoqué de la sorte. Mais c’était sans compter sur la faiblesse de certains hommes face aux charmes d’une femme.
— Mmmh… Je suis votre supérieur, et je ne peux pas… Oh, et puis j’emmerde la morale ! Tant pis ! Vous avez raison : c’est vrai que vous me plaisez, dit-il en débouclant sa ceinture.— Attendez, laissez-moi faire.
Étant parvenue à le faire céder, elle se positionna entre les cuisses du proviseur et lui baissa son pantalon sur les chevilles et le caleçon au niveau des genoux. Elle se retrouva devant un sexe qui lui semblait de petite taille et encore mou. Elle comptait bien le faire grossir le plus vite possible et expédier cette fellation rapidement.
À chaque coup de langue et va-et-vient, elle entendait son partenaire grommeler des petits « Oh oui, c’est bon… », « T’arrête pas, continue ! » Elle a accéléré la cadence pour le faire jouir le plus vite possible. Elle sut que ça allait bientôt finir quand il lui prit la tête pour la maintenir en disant « T’arrête pas, je vais venir, je viens, je viens… Ahhh ! » Elle s’est alors retrouvée la bouche pleine d’une semence épaisse et gluante. Visiblement, le résultat de plusieurs mois d’abstinence, voire plus.
Après lui avoir nettoyé le gland avec sa langue, elle prit une bouteille d’eau pour se rincer la bouche. De son côté, le proviseur était ravi, et un très large sourire se voyait sur son visage. Les deux amants occasionnels se réajustèrent avant de se séparer.
— Mademoiselle Perrin, j’ai vraiment apprécié. Ce fut un moment très agréable. Sachez que je suis partant pour tout autre remerciement du même type.— C’est moi qui en déciderai.— Faites comme vous voulez. Vous savez où me trouver.
À peine la porte du bureau s’était-elle refermé que Claire prenait la direction de son appartement. Une fois chez elle, elle se précipita sous la douche, pleurant de ce qu’elle avait été amenée à faire et voulant se débarrasser de cette souillure qu’elle sentait sur elle. Elle eut à peine assez d’appétit pour un fruit et un laitage. Fatiguée à cause de toutes ces fortes émotions, elle se coucha pour faire le tour de l’horloge avec l’angoisse d’un jour être amenée à refaire ce qu’il s’était passé, voire pire.
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