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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Cauchemar dans la maison de campagne

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Jour 1 partie 3

Deux heures ont passé depuis le départ du métis et de ma soeur. Ses potes sont restés à la maison en attendant que d’autres gars arrivent pour participer à l’orgie, prévue. Pour resituer la situation, mes parents ont acheté une maison de campagne pour les vacances dans le sud de la France. Elle est isolée, à une bonne dizaine de kilomètre du village le plus proche. Ma mère, ma soeur et moi avons précédé mon père d’une semaine afin d’aménager la maison pour passer les vacances. Des voleurs, déjà rencontré prés d’un lac, débarquent et en profitent pour violer ma soeur. Ma mère, au retour des courses, s’est fait violer également. Le métis, désirant profiter de ma soeur seul, s’est sauvé avec elle, en laissant les autres. Avant, il a appelé des potes pour faire la fête à la maison et surtout pour baiser ma mère. Depuis, ils m’ont libéré de ma chaise mais je n’en reste pas moins impuissant en assistant aux multiples humiliations que ces voyous lui font endurer. Elle est obligée de rester en bikini en subissant les pelotages incessants et les mains baladeuses des kidnappeurs. Entre-temps, ils l’ont forcée à se remaquiller et l’ont obligé à en rajouter une bonne couche, histoire qu’elle passe vraiment pour une salope. Jamais, je ne l’ai vu maquillée comme ça, elle, toujours discrète dans ses tenues, ne se permettant qu’en de rares occasions, des décolletés un peu osé. J’ai du mal à la reconnaître avec ce rouge à lèvres rose marquant fortement le contour de sa bouche. Ses yeux noisettes aux sourcils fins, avec un mascara vert. Elle a mis un léger fond de teint histoire de gommer une ou deux rides superflue. A 46 ans, elle a gardé un joli visage rond et presque sans aucune ride. Ils ont vidé la moitié des bouteilles achetées par ma mère. Ils sont bien éméchés mais se retiennent de profiter plus avant de ce corps de femme à leur merci. Ils se contentent de la tripoter ; surtout ses énormes seins et ses deux grosses fesses séparées par l’espèce de string bikini. Honteuse de subir cela devant moi, son propre fils, elle évite mon regard, comme si elle voulait m’ignorer. Le portable de maman, sonne : C’est Claude, mon père. L’un des gars se lève et sort son couteau. Ma mère comprend le message et fait de son mieux pour répondre. La discussion dure un quart d’heure et Isabelle lutte pour ne pas craquer. Elle reste le plus naturel possible. Mon père doit arriver en fin de semaine car il est resté garder la pharmacie avec la stagiaire pour la fin du mois.— Oui mon chéri, tout va bien ici ! David est là et Lysa aussi. Si mon père savait ce que ma soeur et elle ont subie... Elle coupe le portable.— C’est bien, ma putain, tu as raté ta vocation d’actrice ! On va t’offrir l’opportunité de tester tes talents d’ actrice de porno Ils rient.
Les premières voitures arrivent vers 21heures.— Ah, les voilà enfin !Ils sortent accueillir leurs potes nous laissant seuls dans la maison. On ne pense même pas à fuir par la porte de derrière. De toute façon, ils nous rattraperaient. Il y a bien le portable mais aucun des deux n’osons nous en servir tant nous craignons les représailles. En plus, le métis est avec Liza et elle pourrait, elle aussi, payer cher toute tentative d’évasion. D’ailleurs, avec inquiétude, je me demande ce qu’elle devient... Je regarde au dehors et réalise avec horreur qu’ils sont au moins une vingtaine maintenant. Comment quatre voitures peuvent elles contenir autant de monde. Ils sortent des sacs entiers de nourritures et surtout d’alcools. Il y’a des chiens aussi. Deux bergers bâtards et un Rotweiller. Ils les attachent à un arbre, à l’entrée. Tous rentrent précipitamment pour voir ma mère. — Viens là, salope !Ca siffle.
— Regardez sa paire de lolos ! — C’est naturel ça ?— Ben oui, ça se voit— Putain ! Ils sont gros et lourds, dommage qu’ils pendent un peu.— Hhmm ! des grosses fesses comme je les aime !les commentaires les plus dégradant fusent sur ma mère. Beaucoup de remarques sur son bikini trop petit qui fait déborder ses atouts, notamment ses gros seins et ses fesses. Certains sont déjà bien éméchés. Ils ont sortis un énorme poste radio et mettent le son à fond. La maison grouille de monde maintenant. Ma mère est malmenée par ces rustres dont le plus vieux doit avoir la quarantaine. Une sorte de gitan avec des cheveux longs et un sale air. Avec son mètre 62, Isabelle paraît bien petite à coté de tout ces mecs. Moi, je suis obligé de servir à boire et on me fiche la paix. Je dois quand même subir les insultes de certains du style : ? Ta mère c’est une sale pute, une bourgeoise mal baisée ? ainsi que des commentaires sur sa grosse poitrine et ses grosses fesses. Puis un gars saisit le bas de bikini et tire dessus. Le string résiste mais un de ses compagnons fait la même chose et tire de son coté. Ma mère se plie pour résister et tente de retenir les fils mais la tension est trop forte et le tissu cède. Le gars, heureux, s’empare du bikini et le hume en rigolant tandis que ma mère se retrouve cul et chatte à l’air. Par réflexe, elle cache son sexe. Trois hommes se lèvent alors et lui saisissent les bras. Un autre tire sur le fil du haut du maillot et arrache tout. Les seins tombent . Ils sont vraiment gros. Ils se met à les presser vigoureusement par derrière. Il plaque ses mains sur les deux énormes mamelles et les malaxe tout en pinçant les tétons. Ses mains s’enfoncent dans la chair molle. Comme elle essaie de retirer les mains de sa poitrine, elle découvre sa chatte rasée et un des hommes en profite pour la doigter. Instinctivement, elle replie ses cuisses mais deux gars lui saisissent les chevilles et écartent ses cuisses. Son sexe est offert et facilement accessible. Elle pleurniche. L’homme continue à la fouiller de son doigt tandis qu’on lui maintient les bras et les jambes écartées. Ils se mettent à se disputer son corps comme des hyènes, mais le gitan calme le jeu.— Y’en aura pour tous le monde ! Chacun son tour ! Celui qui la doigte prend son temps et rajoute un deuxième doigt. Il en explore bien les parois. D’être ainsi fouillée et tripotée déclenche en elle un plaisir mécanique. Son corps réagit au plaisir déclenché par les stimulations et malgré toute sa volonté, elle ne peut résister. L’homme qui s’occupe de ses nichons se met à la téter et voilà Isabelle qui s’abandonne. Elle sent d’innombrables mains qui la caressent, la pelotent, la fouillent. Un doigt s’enfonce dans sa bouche et elle se met à le sucer alors que cinq minutes plus tôt elle l’aurait mordu. Un autre lui fourre un doigt dans l’anus. Celui qui la doigte caresse son clitoris. Elle ne peut plus réagir tant le plaisir l’inonde. Ses orifices sont explorés, violés. Celui qui lui fouille la chatte crie victorieusement qu’elle mouille ! Et moi, ça me fait bander... Pourtant, c’est ma mère qui se fait souiller et humilier. Nue, au milieu de ces inconnus qui la tripotent, l’humilient, la souillent et violent ses orifices. Ils la soulèvent et la mettent sur les genoux en lui tenant les bras. Le gitan lui prend la tête et sort son sexe. Il est énorme et bien bandé. Ma mère ne semble pas savoir ce qu’est une pipe ou je dirai qu’elle ne l’a jamais pratiqué avec mon père. Elle reçoit le sexe dans la bouche sous les insultes du gitan.— Putain de bourgeoise, t’es nulle comme suceuse ! vas y suce ! allez !Il la prend par les cheveux et fait des va et vient avec la tête tandis que ses potes maintiennent ma mère à genoux et immobilisent ses bras. Il a décalotté son pénis et a enfourné son gland dans la bouche de ma mère.— Lèche mon gland ! Sale pute ! Lèche le !Ma mère fait ce qu’elle peut. Avec sa langue, elle essaie de satisfaire l’homme. Le mouvement de va et vient de sa tête, imprimé par le gitan, fait bouger aussi le haut de son corps. Ses nibards ballottent de bas en haut de façon rythmée. Ils sont vraiment lourds. Que dire en voyant ma mère réduite à l’état de vulgaire objet sexuel. Elle si posée, si prude et si consciencieuse dans son travail de pharmacienne. Elle qui est toujours gentille et nous a si bien élevés. La femme idéale pour mon père. Le gitan lui éjacule dans la bouche. Les joues de ma mère se gonflent.— Avale, avale, avale lui ordonne le gitan.Trop maladroite et hésitante, elle garde tout mais comme l’éjaculation dure, elle finit par ne plus pouvoir contenir la semence. Elle en recrache une partie et en avale un peu. Elle a envie de vomir. L’homme continue à lui éjaculer, en pleine figure, des jets énormes et pleins de vigueur. Ma mère est obligée de fermer les yeux tant il y en a. Le jus coule sur son menton, dégouline sur son cou et un mince filet lui coule entre ses seins.— T’es nulle comme suceuse ! Va falloir t’entraîner !Il claque des doigts et voilà ma pauvre mère face à une chaîne de mecs faisant la queue pour se faire sucer. Elle est toujours maintenue à genoux et les bras prisonniers derrière son dos. Ils imitent le gitan en la prenant par la tête et en lui baisant la bouche. Elle fait des bruits de succions obscènes. Les bites se succèdent, éjaculant sur son visage et dans sa bouche. Elle gémit en engouffrant les sexes, à la limite de l’étouffement. — hmmmppff ! hmmmmppff ! hmmmppff !Un homme se masturbe littéralement dans sa bouche. Il se branle à toute vitesse en maintenant fermement la tête de ma mère. D’un coup il arrête et je vois son gland décalotté, dans la bouche entre ouverte, jouir en déversant une quantité de sperme incroyable dans la gorge. A peine se retire t-il qu’un autre le remplace et ça repart.— hmmmpff ! hmmmpff ! hmmmpff !Le mouvement de ses gros seins attire le regard. Lorsque l’homme explose son sperme au visage de ma mère, l’un dit :-Allongez là ! Allongez là !On la maintient jambes et bras écartés. Elle est sur le dos. Un noir s’asseoit sur elle et cale sa grosse bite entre les énormes seins de ma mère.— Tu vas voir, sale truie !Avec ses grandes mains, il presse les seins autour de sa gaule et se branle entre les grosses mamelles. Le sexe noir semble englouti par les deux lolos. Mais la pression des doigts sur les nichons est douloureuse — Presse les bien !un autre pose ses mains sur les mains du noir. — Vas y ! regarde un peu ses nichons !— Oui, je vais juter sur cette truie et sur ses grosses mamelles mais je veux l’enculer d’abordA cette phrase, les hommes qui maintiennent ma mère la retournent.— Ecartez lui les fesses !— Nooonn crie ma mère, le visage maculé de spermeElle reçoit une claque sur les fesses.— Tu as une trop grosse bite, il faut lubrifier sinon elle aura mal.Celui qui dit ça écarte quand même les deux fesses de ma mère offrant son trou.— Regarde, elle doit être vierge de ce côté !— Oui, je vais lui dépuceler le culMa mère se débat— Bouge pas salope, laisse toi faire ! Ecarte encore.L’autre écarte encore plus les deux grosses fesses blanches.— Ce cul de bourgeoise ça m’excite !Il crache sur son doigt et humidifie la paroi anale.— Vas y encule la ! encule la ! hurlent les gars en coeurLe noir amorce alors sa pénétration anale. Mais il le fait doucement.— Laisse toi faire et résiste pas ou tu auras mal.Le noir y va lentement. Sa grosse pine noire s’enfonce dans l’anus maternel. Il se retire, recommence, se retire et recommence. Ma mère se remet a pleurnicher.— Noon pas ça ! pas ça ! ne me sodomisez pas !Mauvais calcul car les pleurs excitent le noir et sa grosse pine s’enfonce alors. Ma mère hurle.— Aaahhhhhh— Ferme là ou je te défonce vraiment le trou!Il commence à la limer doucement— Regardez comme je l’encule la bourgeoise.Il pose ses mains sur les hanches de ma mère maintenue à quatre pattes et la chevauche. Petit à petit l’anus se dilate et la pine entre et sort plus facilement. — Tu commences à aimer ça hein !Ma mère ne répond que par des râles. — Regardez comment il lui lime son gros cul blanc.— Regarde ta mère comme elle aime ça !J’avais trop honte de ne pouvoir réagir. Comment était il possible que cette situation nous arrive à nous. Le noir accélère la cadence et la bourre de plus en plus vite. Ma mère est secoué, les bruits sont obscènes. Les gros testicules du noir frappent le cul maternel.— Haaaahh ! hhhaaaaahh !Ma mère est décoiffée, le visage recouvert de sperme. Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Le noir l’encule de toute ses forces, je ne peux plus cacher ma bosse dans mon pantalon. — Heee ! regardez, le fils , il bande en voyant sa mère se faire enculer.Le gitan me regarde avec mépris.— Allez ! amène toi et fais toi sucer par ta pute de mère.Ma mère écarte les yeux et hurle— Noon !Mais trop tard. On me maintient et le gitan baisse mon pantalon et mon slip. — Regardez cette gaule !!Il prend ma bite et la colle sur les lèvres de ma mère.— Hmmm !hmmmm !— Ouvre la bouche et suce le ! Mais ma mère ne veut pas franchir ce cap avec son propre fils. Elle ferme sa bouche et tourne la tête.— Regarde comme il bande en te voyant te faire baiser !Le gitan tape ma queue sur les joues et les lèvres de ma mère. — Allez suce! Ma gaule est énorme surtout que je vois le noir l’enculer. Je ressens les coups de bites de celui ci dans le cul maternel. Un flot d’insultes tombe sur elle et le ton monte. Je n’arrive pas à de débander surtout que je reste figé sur son visage collant de foutre. Son visage si rond et d’habitude si soigné est complètement souillé par le sperme. Ma mère, cette bourgeoise si polie et bien tenue se retrouve réduite à un jouet sexuel. Le noir l’encule encore plus fort et ses deux gros seins sautent littéralement et rebondissent dans une cadence infernale. Elle ouvre la bouche sous l’effet de la sodomie brutale et le gitan en profite pour lui carrer mon sexe gonflé dans la bouche. Elle tente de le repousser mais se résigne. Elle finit par céder et se met à me pomper le dard tout en se faisant enculer. Elle gobe mon sexe qui fait des bosses sur ses joues tantôt a gauche, tantôt à droite. Le noir gicle dans son cul et ses intestins. On sent qu’il se libère de tout son jus. Il explose dans le cul de ma mère. Je fais pareil et je gicle dans sa bouche, beaucoup trop excité par la situation. Je n’éprouve pas de culpabilité dans ce moment d’excitation. Pour me rassurer je me dis que ce n’est pas vraiment de l’inceste. Ma mère commence à être conditionnée vu qu’elle avale mon foutre. Le noir reste longtemps à éjaculer en elle. J’ignore la quantité de sperme qu’elle a reçu mais ça ne doit pas être triste. Il met du temps à se retirer. La chaleur estivale affecte les corps et celui de ma mère est littéralement en sueur. Une vraie fontaine comme si elle sortait d’un sauna. — On fait une pause les gars ! dit le gitanIl relève ma mère et la met sur le petit canapé de la véranda où trois mecs sont vautrés. Elle se retrouve assise au milieu d’eux. Des mains la pelotent aussitôt. Ses seins malaxés, sa chatte et son cul encore dégoulinant de sperme.— Faites la boire un peu !On lui donne a boire mais de l’alcool. Un cocktail fait par les gars. Assoiffée, elle ne se pose pas de question et avale la boisson fraîche. La fatigue commence à la terrasser et la chaleur aussi. D’autant plus qu’elle n’a pas l’habitude de boire ; c’est même plutôt le style à empêcher les membres de la famille à boire plus que de raison. Elle s’abandonne alors à la fatigue, sans volonté. Les mains, les doigts la fouillent. Ses orifices n’ont plus de secret pour personne. Ses seins sont massés, sucés et j’en passe... L’alcool finit son oeuvre et elle sombre dans le sommeil. Mais même endormie, les hommes qui n’ont pas baisé sont bien déterminés à se vider les couilles. Elle est amenée sur son lit. Là, elle est allongée, nue et complètement endormie. La soirée continue dans l’alcool et la déchéance. La maison commence à en pâtir et il y a de la détérioration. On me force a nettoyer et à servir à boire. De temps en temps, un gars va à la chambre et se vide les couilles dans ma mère endormie. Certains se branlent entre ses seins, d’autres la baisent ou la sodomisent. Vers Minuit et demi, ivres et excités, les mecs la réveillent et la portent à poil dehors. La nuit est un peu plus fraîche. Elle ne réalise pas trop ce qui lui arrive car elle est transportée par deux hommes. La, le gitan ordonne :— Tenez là sur le dos, bras et jambes écartés !A nouveau maintenue au sol par quatre hommes, un pour chaque membre, sa chatte, ses gros seins et sa bouche sont accessibles. Elle émerge de son sommeil et ne comprends pas ce qui arrive. Elle ressent une douleur à l’anus suite aux multiples sodomies et se rend compte que ses énormes seins sont recouvert d’une pellicule de sperme séché. Elle se secoue la tête et demande :— Que faites vous ?Elle ne comprend pas pourquoi elle est immobilisée par ces hommes qui puent l’alcool. Que peuvent ils lui faire de plus ? Le gitan revient mais accompagné de ses trois chiens...
mefistoh@hotmail.fr
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