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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Cauchemar dans la maison de campagne

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Jour 2 et 3
Les deux femmes sortent du véhicule sous les aboiements des chiens. Elles se demandent ce que font ces chiens ici ? Puis elles sont étonnées de voir autant de voitures garées n’importe comment dans le jardin. Ma tante Claudine et ma cousine Michèle se doutent qu’il se passe quelque chose d’anormal mais ne peuvent en aucun cas se douter que la maison du bonheur, s’est transformée en maison du cauchemard. Tata Claudine frappe vigoureusement la porte de la véranda. -Isabelle ! C’est nous ! Ma mère alors s’avance pour leur ouvrir. Elles ouvrent de grands yeux. -Isabelle ? Mais, quel est cet accoutrement ? Tu vas bien ? Ma mère ne dit rien et les regarde en masquant ses émotions car nous sommes, Lysa et moi, retenu prisonnier dans la chambre par ces voyous. Mais elle doit comprendre la grande surprise de sa belle soeur et de sa fille. C’est vrai qu’ils ne l’ont jamais vu habillée comme cela. Elle, la pharmacienne bourgeoise et bien tenue. Toujours niquelle, propre et habillée de façon classieuse. De temps en temps, elle se faisait plaisir en portant un décolleté mais jamais comme celui qu’elle porte en ce moment. Isabelle a en effet mis un débardeur noir à fine bretelle et un motif de rose blanc, avec un décolleté monstrueux. Chose encore plus choquant que jamais, c’est qu’on devine que ses seins sont nus à l’intérieur car elle ne porte pas de soutient gorge. Ses gros seins sont moulés par le débardeur qui lui colle à la peau car trop sérré. (Ses tétons sont visibles à travers le tissu. ) Et pour cause, car comme les sandales à talon haut et la mini jupe osée qu’elle porte, ces vêtements sont ceux de sa fille que les voyous lui ont forcé à mettre pour leur plaisir. Ils reconnaissent à peine son visage noyés sous une tonne de maquillage. -Isabelle ? Tu es habillée comme une putain, excuse moi de te le dire ! Si Claude voyait ça, il deviendrait fou. Tata Claudine s’énerve. Elle a honte de sa belle soeur, la femme de son propre frère. Michèle ne sait pas quoi dire devant cette situation impossible. -Et qu’en dise Lysa et David ? Ils doivent être choqué de voir leur mère se... Pavaner et même s’exhiber comme ça. -Ecoute, Claudine, tu ne comprends pas et il vaut mieux que... Le gitan sort accompagné du métis. Tata Claudine sursaute-Mais ce sont tes... Tes amants ? Mais que se passe t’il ici ? Le gitan, méprisant, dit :-Il y a rien a baiser sur ces deux planches à repasser ? Des rires emplissent la véranda et les gars sortent de partout. Elles sont entourées et les deux femmes comprennent que tout ceci est un guet-apens. Isabelle ne dit rien car elle est résignée. D’ailleurs, le gitan la tire vers lui sans ménagement. -Rien à voir avec elle ! Regardez ! Il extirpe les deux énormes mamelles du débardeur et les exhibent vers les deux femmes. -Une vraie laitiére ! Ils se mettent tous à rire et le gitan malaxe les gros nichons devant tata Claude et Michèle. Le métis nous à fait sortir. -Lysa, David, ils vous tiennent aussi ? On hoche la tête. Les voyous dévisage les deux femmes. Ma tante, Claudine, est une femme de 48 ans mesurant 1m70. Elle a des cheveux noirs et des yeux marrons. Son visage est fin et elle porte des grosses lunettes de soleil. C’est une femme sèche et bronzée avec une petite poitrine. On devine qu’elle passe du temps à se bronzer car sa peau est presque cuivrée et limite fait un effet de désechée. Elle porte une robe d’été orange avec de petites sandales. Elle a un fort caractère et est une femme divorcée. Elle travaille comme vendeuse dans un magasin de chaussure. Sa fille, Michèle, est le portrait craché de sa mère mais en plus jeune et en plus réservée. Elle a un pantalon jean moulant et un débardeur blanc. Elle est un peu plus ronde que sa mère mais a une petite poitrine aussi. Malgré sa timidité apparente, ma cousine collectionne les petits copains et ma tante profite bien de la vie aussi. Les deux femmes observe le gitan qui malaxe la grosse poitrine de ma mère devant les autres gars qui commencent à s’exciter. Puis, il lui saisit brutalement les deux seins et la pousse vers ses camarades. -Vous pouvez faire ce que vous voulez avec ! J’ai deux invitées là. Vous deux (en s’adressant à Lysa et moi), amenez de quoi boire ! Le métis lorgne sur Michèle. (Elle est mince mais elle doit être bonne à baiser ! Quand même se dit il ). Le gitan manifeste de l’intérêt pour Tante Claudine. Pourtant ; ce n’est pas un sexsymbole mais on devine que ce qui attire ce sale pervers, c’est plutôt le désir de soumettre cette vieille bourgeoise à grande gueule. Les autre autours déshabillent ma mère. A la grande surprise de Claudine, celle-ci ne réagit pas et se laisse faire. Elle semble soumise à ces hommes et les laissent s’approprier son corps. Le gitan sort son sale couteau :-alors maintenant vous allez a votre tour vous déshabiller, mes salopes ! Vous allez faire comme elle ! Toutes les deux regardent Isabelle à poil se faire baiser. Autour d’elle, cinq hommes. Quatre bonhommes ont sorti leur sexe et ma mère s’empresse de les piper. L’autre est derrières et commence à la sodomiser. -Mon dieu ! Isabelle ! Que fais tu ? -ce que vous allez faire mes salopes, et devenir comme elle. Isabelle regarde alors Michèle qui depuis tout à l’heure n’a rien dit. Elles sont attirées par les bruits de succions d’Isabelle qui donne du plaisir à ces salauds. L’un deux gicle dans la bouche de ma mère et elle l’avale. Puis, contre toute attente, Michèle enlève ses chaussures et s’apprête à enlever son débardeur. -mais tu fais quoi, ma fille ? -Je fais ce qu’il nous dit. Si Isabelle le fait, c’est qu’on a pas le choix. Michèle enlève d’abord son débardeur blanc puis son jean moulant. Elle se retrouve en dessous. Le métis la prend alors par la main. -Ahaha ! Toi, tu dois en être une sacrée. Le gitan se tourne vers Tante Claudine. -regarde ta fille ! Elle a comprise elle ! -Michèle, revient, tu es folle tu... Tante Claudine est furieuse et s’apprête à le gifler mais sa main est arrêtée par le gitan plus vif. Le gitan s’est placé derrière elle et lui pince les fesses. Puis il descend la fermeture de la robe d’été. Tante Claudine commence à pleurnicher. Elle sait qu’elle ne peut rien faire de toute façon. Elle regarde Isabelle, nue, être traitée comme une pute. Michèle est partie dans la chambre avec le métis et elle a l’impression qu’elle l’a trahi. Puis elle nous voit Lysa et moi en train de servir. -Et vous ne dites rien vous deux : voir votre tante, votre cousine et même votre propre mère se faire baiser comme des truies par ces voyous ? On ne dit rien. Jamais on oserait lever la voix. C’est déjà bien qu’ils ne s’intéresse plus à Lysa et peut être qu’à la longue, ils finiraient par se lasser de tout ça et qu’ils partiraient. Le gitan alors lui ordonne d’enlever elle même sa robe. Tante Claudine le fait en nous regardant méchamment. Elle se retrouve à son tour en dessous. De beaux sous vêtements brodés. Le soutient gorge est à armature et rehausse le peu de poitrine qu’elle a. Elle se retourne machinalement vers Isabelle. Elle voit la propre femme de son frère exécuter des branlettes espagnoles maladroites à ses partenaires. Les deux bites sont coincées entre ses deux seins qu’ils lui ont dit de presser. La bouche d’Isabelle dégouline de la semence des hommes auxquels elle a fait des fellations. Le tableau est vraiment déplorable pour elle. Tante Claudine alors sent une grosse mains palper sa poitrine menue. C’est le gitan qui la plote. Elle est petite à coté de lui et surtout très menue. On dirait une jeune fille. La main est pressante, volontaire. Elle regarde encore Isabelle, toujours branlant des hommes avec ses deux grosses mamelles. -Qu’elle maladroite ! Se dit-elle ! Puis elle se rend compte qu ?elle a toujours envier sa poitrine. C’est sur qu’à coté, tante Claudine fait pâle figure niveau mamelle. Elle se dit aussi que si ça se trouve, son frère l’a épousé pour ça ? Des idées assez négatives lui traversent l’esprit sur sa belle-soeur. Une jalousie peut-être mais jamais exprimée. En fait, l’a t’elle vraiment acceptée ? A t’elle acceptée qu’elle lui ai pris son frère ? Cette femelle avec ses gros seins ; cette pondeuse. Si ça se trouve, c’est une putain et qu’elle a provoqué ces hommes avec ses mamelles. Si ça se trouve, elle les a provoqué en s’habillant comme ça. Puis elle pense à nous. Vu qu’ils nous laissent tranquilles, Lysa et moi. Elle a mis ses enfants en danger. Le gitan a dégrafé son soutient gorge et caresse ses petits seins. Ils sont vraiment tout petits et cela l’agace mais pourtant, il sent quelque chose de pervers en Tata Claudine. Et sa fille : elle a pas demandé son reste et baise avec le métis. Il a remarqué son regard haineux sur ma mère. Il y a peut-être quelque chose à faire. Tous entende Michèle jouir et se félicite. Ils sont tombés sur deux petites salopes. On fait boire tata Claudine. Ca la détend et elle enlève sa culotte et s’offre à ces voyous mais une fois de plus elle remarque qu’ils préfèrent les atouts de ma mère. Tata Claudine, les mains sur les hanches est frustrée. Ca amuse le gitan qui en profite. -Elle a plus de succès que toi et ta fille aussi, ça arrête pas de faire des va et vient à la chambre et vu comment elle crie de jouissance, ils doivent prendre leur pied. Ma mère est tripotée de partout mais tout ses orifices ont été exploré. Lysa et moi servons les dernières rasades d’alcool. Lysa reçoit quelque tape aux fesses mais on la laisse. Elle s’inquiète pour maman vraiment malmenée de toute part et surtout qu’elle n’a pas arrêtée d’être baisée depuis l’arrivée de tata Claudine et de Michèle. Sans doute, Lysa est la seule qui est pas à son aise dans cette invasion de la maison. Tata Claudine l’inquiète. Elle l’a jamais vu aussi en colère et surtout en posture aussi pitoyable. Nue, menue, sans sein et les mains sur les hanches. Elle regarde Isabelle se faire posséder avec mépris. Tous ces hommes qui souillent, violent, baisent notre pauvre mère, sous le regard de sa belle-soeur limite haineuse. Michèle ressort de la chambre en titubant. Mais s’est du à ses trop nombreux partenaires. D’ailleurs, on lui tend une bière qu’elle boit et s’asseoit sur les genoux d’un des gars comme si elle cette situation atroce lui plaisait. Les hommes alors, s’emparent des membres de ma mère et la couchent. Ses jambe, ses bras sont écartés et son sexe offert. Les yeux de tante Claudine sont toujours brillant et limite presque satisfaits de voir l’humiliation de sa belle soeur. Michéle qui a fini sa bière se poste à quatre patte à coté de sa tante Isabelle toute suante et aspergée de sperme. -hé, il y a pas que pour cette salope ! Ma mère et moi on en veut aussi ! Ces mots nous heurtent avec Lysa. Tata Claudine se place a coté de sa fille et se met elle aussi à quatre patte. Les deux femmes offrent leur anus avec tout consentement. Isabelle est anéantie de voir sa belle soeur et sa nièce se comporter ainsi. Elle qui pâtit de cette horrible situation, se rend compte que les deux femmes qu’elle croyait connaître sont les pires salopes qui soient. Les hommes prennent ces deux croupes et ces deux anus offerts. La mère et sa fille se font enculer avec bonheur devant Isabelle anéantie. Les hommes sifflent, applaudissent, le gitan et le métis sont aux anges. Mais pour Lysa, ma mère et moi, le cauchemard continue. Les gars finissent par laisser souffler maman, qui reste un bon moment au sol. Ils s’occupent de tata Claudine et de Michèle, toutes les deux alcoolisées et excitées. Jamais, je n’aurai pu croire ces deux femmes comme ça. Au bout d’une bonne heure, les hommes délaissent les deux femmes en furies et décident de s’intéresser à nouveau à ma mère. Le gitan prend tante Claudine par le bras et la met à genoux devant moi ; Elle est ivre et excitée comme c’est pas possible. -Allez ma salope, regarde ton pauvre neveu ! Il a rien eu lui ! Elle éclate de rire et me déboutonne. Je ne résiste pas et après avoir sorti mon sexe et quelques stimulation, je finis par bander comme un fou. Elle dévore mon sexe à la limite de me faire peur. De son coté, ils ont forcé Lysa à se laisser gouiner par Michèle en rut. Lysa finit par éprouver du plaisir devant les lècheries pro de Michèle plus excitées que jamais. Ma mère, de son coté, en prend pour son grade. D’ailleurs ils l’ont sortie dehors ; Le soir est tombé et d’autres compères ont fait le chemin depuis Marseilles. Il y’a une quantité de voiture incroyable comme si une fête était organisée. Deux vieux paysans qui passaient par là sont intrigués. Ils voient dans le jardin, une femme avec des seins énormes, se faire baiser comme une truie par quatre bonhommes. Ils s’approchent. Ma mère alors a un espoir qu’ils repartent et préviennent les gendarmes mais cet espoir s’envolent. Les gars, bourrés, leur demande de venir prendre leur pied. Comme eux aussi sont visiblement alcoolisés, ils ne se font pas priés. Leur femme sont vieilles et moches. Là, ils peuvent baiser une femme certes mature mais aux atouts encore bien appétissants. La quantité de sperme la maculant ne les font pas fuir et ils sortent leur vieux machins devant les rires des jeunes. Ces deux papis pervers deviennent des fous et prennent par à la fête jusque tard dans la nuit.
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