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Cauchemar paternel

Chapitre 1

Trash
— Tu sais, Mathilde... la fille du patron.
— Oh oui, je sais.
Ce n’était pas vraiment un secret. La fille du patron est une accro au sexe, ou en tout cas une sacrée allumeuse. Lors de son stage il y a trois mois, elle s’était fait sauter par deux collègues. Trois même, j’avais appris hier qu’elle avait sucé Luc juste avant de retourner à son école.
— Vraiment ?
— Ouais, elle a fait une petite gâterie à Luc pour le remercier de lui avoir montré comment utiliser la photocopieuse.
Que Mathilde soit une petite salope, cela me comblait d’aise. Son père avait beau diriger tout le monde dans l’entreprise, à chaque fois qu’il me critiquait je pouvais lui dire, si j’en avais le courage : « au moins, moi, ma fille n’est pas une traînée ».
Et si sa fille était une pétasse, ça n’avait rien d’étonnant, il lui passait tout. Il n’avait qu’à s’en prendre à lui-même. C’était ça la vraie différence entre lui et moi, j’adorais ma fille, Aude, mais j’avais su être suffisamment strict pour qu’elle soit sage et bien élevée. Du coup l’une se faisait troncher sur la photocopieuse durant un stage bidon dans la boîte de son père, tandis que la mienne m’avait dit avoir trouvé un intéressant stage de commercial. Et elle ne suçait pas la bite du premier venu.
— C’est vieux comme nouvelle ça ! Non, elle a fait pire.
— Elle n’a pas couché avec Ludovic quand même ?
Ludovic était le gros porc de l’usine, il puait, buvait, fumait. Il était à la limite de l’obésité. C’était encore une différence typique dans l’éducation nos filles. Moi j’avais mon mot à dire sur les garçons qu’elle fréquentait, quitte à la punir s’ils ne me plaisaient pas. Quand une fille est mineure, c’est la moindre des choses. C’était aussi pour cela que je l’avais changé de lycée, quand j’avais vu le ramassis de dégénéré qu’il y avait... Sans compter les bronzés, pas que je sois raciste, mais il y avait peu de futurs polytechniciens parmi eux. Il fallait que je pense à l’avenir de ma fille !
— Ludovic ? Non. Enfin, pas que je sache, mais c’est pire… Regarde ça, dit-il en me montrant une pochette de DVD porno.
— Ne me dit pas…
— Si elle a tourné un porno ! T’imagines la tête du patron quand il va l’apprendre.

Un moment je me mis à la place du patron et j’eus de la peine pour lui. Mais cette compassion disparue immédiatement, il avait ce qu’il méritait. Aude avait reçu son lot de fessé, mais ça avait marché. Elle obéissait et ne faisait pas passer son père pour un con.
— Et comme tu l’as su ?
— Ç’a été envoyé à la réception. Jeannette allait le jeter à la poubelle, mais j’ai quand j’ai vu la photo Mathilde sur la pochette, je l’ai récupéré tout de suite.
— Et elle fait quoi dedans ?
— C’est un peu décevant, elle caresse juste une bite de la main. Il y a surtout un passage où elle se masturbe en regardant des mecs défoncer une nana. D’après ce que j’ai compris de l’histoire, elle cherche à pervertir une fille bien propre sur elle. Enfin, c’est surtout du porno hardcore.
— Dingue.
— C’est clair, je veux dire pourquoi elle fait ça ? Elle est peut-être un peu salope, mais de là à tourner dans ce genre de cochonneries. Alors on en fait quoi du DVD ? On le jette ?
Et manquer la chance d’humilier le patron ? À chaque fois que je le verrais, même s’il me tape sur les nerfs, je pourrais au moins me dire que sa fille était non seulement une sacrée salope, mais carrément une pute. Quel régal !
— Pas question de le jeter ! Je veux voir la tête du patron. Passe-moi ça. Je vais le mettre devant sa porte, et quand il…
Mon cœur s’arrêta d’un coup, si l’on voyait bien la fille du patron en arrière-plan ; elle souriait de façon aguicheuse, on voyait surtout ma fille, ma petite fille, mon ange en place centrale. On voyait ses seins, sa chatte… Et elle avait une énorme queue de noir dans la bouche !
C’était un photomontage ! Elle n’avait même pas 18 ans ! Enfin, si. On avait fêté son anniversaire la semaine dernière. Mais, elle, si sage, si douce, on cherchait à me faire une mauvaise blague. Même si ma fille n’était jamais venue à l’usine, j’avais des photos d’elle sur moi. On avait pu les utiliser pour faire un montage, c’était mauvais canular, il fallait que je m’en assure.
— Et la fille devant. Elle est juste sur la couverture hein, elle n’est pas dans le film.
— La mignonne petite blonde, dit-il en pointant du doigt ma fille. Bien sûr qu’elle est dans le film ! Elle est excitante, non ? Et tu verrais ce qu’elle prend.
— Comment ça ? Elle prend de quoi ? Elle fait comme Mathilde, elle touche quelques bites et c’est tout, hein ?
— Oooohh nonn ! C’est une chaudasse. Elle joue bien la comédie en plus. Quand elle voit l’énorme bite du noir, on a vraiment l’impression qu’elle est surprise.
— La bite du noir ? Mais... pourquoi elle voit une bite de black, merde !
— Qu’est-ce qui te prend ? C’est un porno… Elle le suce, puis elle se fait baiser à fond. Et elle crie pas mal... à chaque coup de queue, on a l’impression qu’elle jouit. J’ai dû mettre la sourdine sur le son. Faut dire qu’elle se fait carrément déchiqueter la chatte !
Je n’arrivais pas à prononcer un mot, je me retenais de pleurer.
— Elle te plaît cette petite hein ? Si je me souviens bien elle, après ce passage, elle se fait très vite enculer. Mathilde l’amène dans une cité sous prétexte de faire son éducation sexuelle. Elle se fait prendre le cul, une double pénétration. Ensuite elle la persuade de faire la pute.
Je m’appuie contre le mur, je suis étourdi, j’ai l’impression que le monde vient de cesser de tourner.
— Enfin, ce sont que des prétextes pour la voir se faire farcir dans tous les trous. Mais ça finit bien, elle se marie, et la scène de cul avec le mari est ultra-érotique, elle te fait de ces positons ! La chatte juste au-dessus de la tête, elle prend la bite dans la bouche, puis dans la chatte successivement, j’ai lâché la purée quand j’ai vu ça !
—… donne-moi ça connard !
Lui prenant la jaquette, je pars en courant m’installer à mon bureau. Les quelques secondes avant que je mette le DVD dans mon portable, je me sens encore heureux, comme lorsqu’on attend le diagnostic d’un médecin et qu’on peut encore se dire que tout va bien. Ce que mon abruti de collègue m’a dit n’était qu’un ramassis de conneries. Ce con essayait de me faire marcher, mais ça ne prenait pas. Ma petite fille est bien incapable de ce genre de saloperie.
Et puis le DVD se mit en route, et mes larmes coulèrent pendant que je voyais ma fille, mon ange, le regard ébahi devant une grosse bite noire. Peu après du sperme lui aspergeait le visage. Elle passa le doigt sur sa frimousse pour récolter le foutre et l’avaler, elle semblait se régaler… tout ce qu’on m’avait dit était exact...
Je coupais au bout d’un quart d’heure. Mon petit ange se faisait baiser comme une salope.
J’allais retrouver le producteur et lui faire payer ! Mais d’abord je devais téléphone à ma petite fille. Elle avait été forcée sans doute ! Il fallait qu’elle aille porter plainte ! Je sors mon portable… premier coup de fil, elle ne répond pas. Ni au deuxième ni au troisième. Impossible de la joindre, je lui laisse des messages lui ordonnant de me rappeler toute de suite.
Et là je panique. Ils l’avaient peut-être tué après l’avoir fait jouer dans leur saloperie, je téléphonais encore et encore, quand tout à coup :
— Allô ?
— Aude ?
— Oui, c’est toi papa ?
— Aude ! Écoute, je sais pour le DVD, que… qu’est-ce qui c’est passé ? Tu es danger ?
— Mais pas du tout ! Pourquoi je le serais ? Alors le DVD t’a plu ? Je l’ai envoyé à ta boîte hier pour te faire la surprise ! J’espère que tu es contente de moi ? Tu m’as trouvé bien dedans ?
— Contente de toi ? De quoi tu parles ?
— Et bien tu disais que si je devenais copine avec la fille de ton patron, ça te donnerait un bon point pour ton avancement.
— Oui, mais qu’est-ce que ?
— Et bien, j’ai discuté avec elle, Mathilde, et elle m’a dit qu’un de ses fantasmes s’était de voir un tournage de film porno.
— Mais... et toi qu’est-ce que tu as à voir dedans ?
— Pour faire plaisir à Mathilde, j’ai contacté une société de production porno. Ils ont dit qu’il ne tournait pas parce que l’actrice principale était malade, alors j’ai proposé de la remplacer !
— Mais enfin ma chérie c’est du porno ! Tu te rends compte que...
— Excuse-moi, un instant…
Je l’entendis avaler sa salive, elle devait juste se rendre compte de ce qu’elle avait fait, la pauvre... Il ne fallait pas que je me fâche tout de suite, c’était assez dur pour elle comme àa.
— Papa ? Tu es toujours là ?
— Oui ma chérie, tu es où là ? Il faut que tu rentres tout de suite ! Je vais aller négocier avec la société de production. Ne t’inquiète pas on va faire disparaître ça.
— Excuse-moi, il faut que je suce ce…
— Que tu suces ? Écoute, je comprends mal
— Oui Papa ? Désolé je suis en plein Bukkake, le réalisateur a dit que je pouvais téléphoner pendant qu’on m’aspergeait de foutre, ce serait sexy. Mais j’ai un peu de mal à t’entendre…
— Quoi ! Tu ne peux pas faire ça ! Rentre immédiatement ! Ou bien euh... ou bien tu vas recevoir une paire de claques dont tu te souviendras !
—…
— Tu m’entends ?
— Oui, oui, désolée je ne peux pas te parler quand je suce les bites. Tu savais qu’il fallait bien nettoyer les bites après s’être fait décharger dessus ? Et c’est rigolo que tu me parles de claques parce qu’il y en a qui s’amusent à me donner des coups de bite sur les joues… Attend il y en a une grosse à sucer là…
— Arrête tout de suite !
— Pouah ! Il l’a plongé profond ! J’ai la gorge toute sèche ! En tout cas… Ah voilà le dernier à fini. Tu me verrais, je suis complètement couverte de foutre ! Tu ne me reconnaîtrais même pas.
— Rentre immédiatement !
— Ah, qu’est-ce que vous faites... Ah d’accord ! Papa tu ne devineras jamais ! Ils ont récolté tout le sperme qui m’a coulé dessus, ça fait un gros bol à café de sperme. Et maintenant je vais devoir boire tout ça ! Ça ressemble à du lait, mais c’est beaucoup plus visqueux... Et puis ça sent fort... Bon, je te laisse, ne t’inquiète pas je ne fais rien de compliquer. Il me reste juste un Gang-bang à faire, suivi d’une golden-shower. Je sais pas trop ce que c’est, ils m’ont juste dit que je n’aurais qu’à ouvrir la bouche, ça à l’air facile... Allez à ce soir !
— Aude arrête immédiatement tout ça ! Écou…
Elle a raccroché… Je refais le numéro, mais tombe sur son répondeur. Merde merde merde ! Elle me fait marcher, elle ne peut quand même pas se faire couvrir de sperme comme ça, sur un coup de tête, elle n’est pas conne ! Et une golden shower… Je ne peux pas m’arrêter d’imaginer ma petite fille la bouche ouverte pendant qu’une dizaine de types lui font pipi dessus. Les cheveux trempés de pisse... Comment je pourrais la regarder en face après ça ? Comment je pourrais lui laisser me faire la bise ?
Je quitte le bureau en trombe. J’avais l’adresse de la société de production et je m’y rendais en brûlant les feux de circulation. Sur place, il y a qu’un petit bureau mal éclairé avec juste une secrétaire.
— Où est le réalisateur ? Le producteur ? Il faut que je lui dise d’arrêter immédiatement le tournage ! criais-je sur la secrétaire.
— Le tournage ? Il n’y a pas de tournage ici… Vous parlez de celui au hangar, rue de la Libération ?
— Celui où est ma fille ! Aude Nidou.
— Ah oui, c’est bien ce tournage. Quel est le problème ?
— Je vous ai dit ! Ma fille joue dedans !
— Mais elle est majeure, non ?
— Mais c’est ma fille qui est là-bas ! Ils sont peut-être déjà en train de lui pisser dessus !
— Je ne peux pas vous donner le numéro du réalisateur sans une bonne raison.
— Imaginer que ce soit votre fille, qu’ils l’aient aspergé de foutre et…
— Je ne vous permets pas Monsieur ! Ma fille n’est pas une salope, elle ne ferait pas ce genre de chose.
Quand elle traite ma fille de salope, je dois me retenir pour ne pas la démolir. Je préfère partir plutôt que d’en arriver là, je fonce en voiture jusqu’à la rue de la Libération où a lieu le tournage. En route, je n’arrive pas à me sortir des images de ma fille, ma petite Aude, prise par plusieurs types, une queue dans la bouche et une autre Dieu sait où... c’est affreux. Pourvu qu’ils mettent des capotes. Je me déteste pour espérer ce genre de chose. Alors que je visualisais ma fille avec du sperme lui coulant de la chatte, je faillis rentrer dans une autre voiture. J’arrive enfin rue de la Libération, en roulant à fond, j’avais pris une demi-heure. Peut-être n’était-il pas trop tard.
C’est un hangar poisseux. Je n’y trouve aucune trace de ma fille, il n’y a que des techniciens remballant leur matériel. Je crie :
— Aude ! Où es-tu ?!
— Vous cherchez Aude ? demanda un technicien, la salope blonde ?
— Oui ! Enfin ce n’est pas une salope, c’est ma fille ! Où est-elle ?
— Ah ah. Si c’est pas une salope, je voudrais bien voir ce qu’acceptent de faire des salopes. Elle était couverte de sperme.
— Et la plupart des filles font semblant de boire la pisse, elle, elle buvait tout, rajouta un autre technicien.
— Vos gueules putain ! Ou elle est ?
— Ben, elle repartit en mobylette.
Un type entre dans le hangar, il était en costard et il roule un peu des mécaniques :
— Hey qu’est-ce qui se passe ici.
— Vous êtes qui ? je lui demande.
— Le producteur.
— Bon, écoutez, je vous rachète la vidéo que vous avez faite de ma fille.
— Holà, j’ai payé les techniciens, les acteurs, la location du hangar, ça m’a coûté bonbon.
— Combien vous voulez ?
— Eh bien… vous avez combien sur votre compte ?
— J’ai cent cinquante mille euros.
— Moauis, ça ira. Disons cent cinquante mille et votre caisse là dehors, la BMW… pas mal.
Je me retrouve à faire un chèque de 150.000 euros et je donnais les clefs de ma voiture. En échange il me signa un contrat en bonne et due forme indiquant que le film pornographique « Éducation d’une salope » était ma propriété, et que j’en avais seul les droits de diffusion.
J’étais ruiné, mais au moins ma fille avait encore un avenir. C’était la première bouffée d’oxygène de la journée. Alors que je cherchais un bus pour rentrer, je téléphonais à ma fille. Je voulais la rassurer, le DVD ne serait pas mis en vente.
— Ah ! Allô ? C’est toi papa ?
— Aude ! Tu es rentrée ? Écoute, tout est arrangé, j’ai vu le type de la production. Il va retirer le DVD du marché.
— Aaah !
Pourquoi ce cri ? Est-ce qu’elle pleure ?
— Tu vas bien ? Tu es à la maison ?
— Quoi ? Non, je suis à ton usine.
— À mon travail ?
— Oui, oh oui ! Vas-y mets-la moi profond ! Excuse-moi, tu vois, le producteur m’a dit que si je voulais me faire un nom je pouvais commencer vendre les DVD à mon entourage. Alors je lui ai demandé s’il pensait que ça plairait aux amis de mon père… et il m’a dit AH ! mon cul ! Il m’a dit que oui.
— Attends tu es à l’usine ? Les vendre ? Qu’est-ce que tu veux dire ? Pourquoi tu cries comme ça ?
Je pâlissais. Je sentais l’oxygène me manquer. Je refusais de comprendre.
— Ah mon cuuul ! Oui, j’ai pris un gros sac rempli de DVD, et je les ai proposés à toute l’usine. Quand je leur ai expliqué que j’étais ta fille, je les ai vendus comme des petits pains ! Ils étaient super étonnés que je fasse du porno vu que tu leur as dit que j’étais une jeune fille sage. Au début ils ne me croyaient pas ! J’ai dû leur montrer des photos où l’on était ensemble. Et il y en a qui doutaient toujours ! J’ai été obligé de leur prouver que j’étais vraiment une salope, tu vois ?
— Tu as fait ça ? Mais pourquoi ! Tu es idiote ou quoi ! Et tu es où ? Tu es rentré ?
Je bafouillais, j’étais incohérent…
— Non, je suis toujours à l’usineeee ! Oui, encore, comme ça ! Excuse-moi, par contre quand ton patron a vu que sa fille était aussi dans le porno, il n’a pas aimé. Il a dit que ce n’était pas la peine que tu reviennes, il a été un peu vulgaire, et j’ai bien peur que tu te sois fait virer.
— Moi viré ? mais qu’est-ce que tu as fait ?!
— Là, je suis avec Ludovic, il ouuuuu, il m’encule. Il m’a dit je cite, « que s’il m’enfonçait son gros pieu dans mon trou du cul, il voudrait bien se réconcilier avec toi. » Comme tu semblais déçu de ma performance dans "éducation d’une salope" je me suis dit que ça te ferait plaisir.
— Quoi !
— Attends... il veut te dire un mot, je te le passe.
Ludovic ? Le gros porc ? Je lui avais refusé une augmentation il y a deux ans et depuis il me détestait. Je lui rendais bien, je n’attendais qu’une occasion pour inciter le patron à le virer.
— Allô, Julien ? C’est Ludovic.
— Qu’est-ce que tu fais connard !?
— Ta fille t’a dit ce que je faisais, je l’encule. Je l’encule profond. Sur ton bureau, je ne suis pas le seul d’ailleurs, il y a du monde de l’usine qui lui a ouvert les jambes à ta petite. Là j’lencule, mais j’déchargerais dans sa chatte. Ça te plairait qu’elle ait un môme de moi j’suis sûr ?
— Enculé, tu…
— Allô, c’est moi papa. Oui, oui oui ! Oh ma chatte.
— Aude ! Qu’est-ce qui se passe ? Dis-moi !
— C’est Ludovic, il vient de me fourrer. J’ai la chatte toute dégueulassée de son sperme. Ce n’est pas quelqu’un de très propre ton ami hein ? Je l’avais sucé avant qu’il m’encule et sa bite était pleine de sperme séché et je ne parle même pas du goût et de l’odeur.
— Mais pourquoi…
— Sinon, tu m’as dit que tu avais racheté les droits du film ?
— Le DVD ? Oui…
— D’accord ! Alors je vais le mettre en ligne sur youporn. Ça me fera de la publicité gratuite !
— De la publicité ?
J’étais tombé par terre, anéanti. Je n’avais plus que la force de répéter le dernier mot qu’elle prononçait.
— Oui pour le site où l’on peut acheter les vidéos de mon bukkake, de ma golden-shower et du reste !
— Je ne comprends pas…
— Et bien c’est simple, je n’ai pas été payé vu que c’est pour mon stage. C’était de la publicité, tu comprends ?
— Non, rien de rien…
— Je t’expliquerais ça à la maison. Tu ferais mieux d’éviter de retourner à ton travail, le patron veut te faire la peau. Allez, Tchouss !
Elle avait à nouveau coupé son portable. Impossible de la joindre. Je pris trois heures pour rentrer à la maison. Je me trompais de bus plusieurs fois, j’avais envie de mourir, je vomissais sur le trottoir. À la maison je tournais en rond, me posant sans arrêt une seule question « Pourquoi ? » qu’est-ce qui lui avait pris. Au bout de quelques heures, j’entendis la mobylette d’Aude. Je repris un peu de force, il allait falloir que j’aie une explication sérieuse avec elle. Je m’assis sur le canapé et, à peine avait-elle enlevé sa veste, que je l’appelais :
— Aude ! Viens ici tout de suite !
— Papounet ! Tu es déjà rentré ?!
Elle se jeta dans mes bras. J’étais désarçonné par son comportement, mais j’étais aussi en rage, je l’écartais violemment :
— Qu’est-ce que ça veut dire ! Qu’est qui t’as pris ?
— Tu parles du porno ? C’était pour faire plaisir à Mathilde comme tu me l’as demandé.
— Mais après tu as continué, ces vidéos de bukkake de golden... Mon dieu qu’est ce que tu as fait !
— Calme-toi papa, c’est pour mon stage. Tu ne voulais pas que je fasse un stage dans ta boîte. Alors j’ai demandé si je pouvais le faire pour eux, "Vidéo Pétasse" ils font des DVD pornos hardcore. Et puis, ils ont aussi un site ww.videopetasse.com, c’est ça qui concerne mon stage.
— Écoute il faut…
— Si je veux être bien noté pour le rapport de stage, il faut que je fasse augmenter le nombre de visites. Et ce qui serait encore mieux, c’est que je réussisse à faire augmenter le nombre de ventes de leurs vidéos. Alors j’ai fait un sondage, et d’après les résultats les gens sont plus susceptibles d’acheter des vidéos pornos d’une fille qu’ils ont baisé. Et maintenant, regarde…Ma fille retira sa jupe. Elle ne portait pas de culotte, mais ce n’est pas ça qui manqua de me faire une attaque d’apoplexie, c’était qu’elle s’était fait tatouer son cul. Sur la fesse de gauche était écrit
« Retrouvez-moi    SurWW.VIDEOPETASSE.COM »
Quant à la fesse droite, il y avait simplement écrit :
« Code promo :____________ »
— Tu vois papa, je n’ai pas tatoué le code comme ça je peux le changer d’un jour à l’autre. Il suffira de l’écrire au marqueur pour qu’il soit bien lisible quand on me baise. Les codes promo ça attire toujours du monde, c’est une bonne idée papa, non ?
— Mais pourquoi tu t’es tatoué ça ?!
— Je t’ai dit, pour attirer les clients sur le site ! Ils voudront sans doute voir de quoi j’ai l’air couverte de foutre après m’avoir baisé. Et pour me faire prendre le cul, ce n’est pas bien dur. L’idéal évidemment c’est les gangs-bangs, là il y a une dizaine de clients à la fois. J’en ai déjà prévu quatre dans la soirée ! Pas mal hein ?
Je ne savais pas quoi dire. Alors je m’approchais d’elle, et je lui assenais deux grosses claques. Elle ne sembla pas surprise, mais cela la fit taire. Elle se retourna et partis vers la porte. Je pensais qu’elle allait partir, fâchée. À ce moment je la détestais pour avoir trahi ma confiance, mais je l’aimais toujours, je ne voulais pas qu’elle s’en aille. Quand elle ouvrit la porte, je criais :
— Reste !
Mais au lieu de partir, elle s’immobilisa devant le seuil, et elle fit des signes. Dix secondes plus tard, trois types pénétraient dans le salon. Un noir et deux arabes.
— Papa, je te présente Mamadou, Ahmed et Rachid. Je me doutais que tu penserais que je n’étais pas assez doué pour baiser correctement. Alors je les ai invités pour que tu me voies me faire niquer et me donner de bons conseils si je m’y prends mal...
— Non ! Ne fait pas ça.
— Mais si regarde comme je peux bien faire la pétasse, ça me vient naturellement !
Elle se passa la langue autour des lèvres et prit un air de gourmandise en tâtant l’entrejambe des trois types.
-De la bonne bite arabe et d’un beau black. Tu sais, comme tu ne voulais pas que je fréquente des beurs et des noirs, je me suis dit que tu pouvais penser que je risquais d’être mal à l’aise si je me faisais baiser par eux. C’est pour ça que j’ai demandé au producteur de me trouver des arabes et du noir bien foncé pour une partie à quatre. Ils ont été assez gentils pour venir jusqu’ici me péter la chatte, tu te rends compte…
Elle s’agenouilla devant le noir et en défit le pantalon. Elle se frottait le visage contre son slip, je voyais sa bite compressée par le tissu former une bosse énorme.
— Tu vois papa, j’ai spécifié qu’ils ne viennent que s’ils avaient un pénis de plus de vingt-cinq centimètres. Pour te montrer que je peux tout prendre dans ma bouche... T’imagines comme je vais me régaler ?
Elle vit glisser le slip de Mamadou. Son sexe dressé était énorme, ma fille le dévorait des yeux.
— Mon dieu ! Regarde ça ! Elle fait bien trente centimètres ! Papa, tu crois que je peux mettre tout ce gros morceau dans ma bouche ?
— Non ne…
Mais déjà, elle avait ouvert sa bouche en grand et engouffrée dedans la bite du noir. Les deux autres types se désapaient pendant ce temps. Ils commencèrent à se branler en regardant ma fille sucer une queue.
Je me cachais les yeux de ma main. C’était trop atroce !
— Je lèche bien, hein ? Regarde papa, ils ont leurs queues dressées, ça veut dire qu’ils sont excités ? Prêt à me baiser comme la dernière des putains ?
Je jetais un œil, elle avait arrêté de sucer le noir pour lui laisser le temps de se déshabiller. Elle léchait les couilles d’un des deux arabes, et masturbait l’autre de sa main.
Mamadou nu, commença à lui retirer ce qui restait de vêtement à ma fille. Il lui pelota les seins après lui avoir retiré son soutien-gorge. Aude se cabra sous les caresses... quand Mamadou commença à aborder les abords de la chatte de ma fille avec le gland de sa bite, elle s’écria :
— Oh oui ! Enfonce-moi ta grosse queue. J’aime ça !
Je le vois alors enfoncer sa bite dans le sexe de mon enfant. Elle crie :
— Défonce-moi comme une pute ! J’adore ça ! Oh ! Quelle bite !
Elle me regarde alors
— Je parle comme il faut ? Est-ce que je suis assez salope ? Je peux faire mieux !
Elle se tourna vers un des arabes.
— Ahmed enfoui ta bite dans ma bouche de suceuse pendant que je me fais prendre par derrière, j’adore me faire remplir de bite ! Les putes comme moi…
Elle ne finit pas sa phrase Ahmed lui enfonça son membre dans la bouche.
Alors que Rachid poussait Ahmed pour lui mettre lui aussi sa queue à sucer. Elle trouva le temps de s’exclamer :
— Je mouille comme une pétasse ! J’adore tellement ça les bonnes queues de beur je…
Je voyais ma petite fille, les seins ballottant, pris en tenaille : une bite dans la chatte et deux queues dans la bouche. Je mourrais de honte, j’avais élevé ça ! Cette salope !
Rachid ne tint pas longtemps, il déchargea dans la bouche de ma fille.
— Du sperme, j’adore, j’en veux encore ! Donnez-moi de la bite à sucer ! Fourrez-moi !
Elle tourne la tête vers moi, et me lance un clin d’œil
— Tu ne trouves pas que ta fille est une pétasse de première classe papa ?
Je m’élance. Je veux les réduire en miette, ils profanent ma fille, lui font dire des horreurs. Mais l’arabe qui s’était soulagé la queue s’y attendait. Il m’agrippe, et me fait une clef de bras. Je me retrouve à genoux à hauteur où Mamadou martèle le sexe de ma fille. Je vois qu’elle mouille.
— Maintenant que je suis bien excité, une vraie truie. Ahmed, tu veux bien m’enculer. J’ai le cul en manque… Mamadou pendant ce temps tu peux me décharger dans la bouche, j’adore ton sperme !
Les deux gaillards firent comme Aude le demandait. Mamadou remplit la bouche de ma fille de son chibre pendant qu’Ahmed commençait à l’enculer.
— Arrêtez ça ! Suppliais-je
Aude arrêta un instant de sucer.
— Ahmed, papa semble penser que je m’y prends mal… Tu veux bien me donner la fessée ? C’est comme ça que papa m’a discipliné pour bien obéir. N’hésite pas à taper fort, que j’ai le cul bien rouge.
Ainsi, entre deux moments où il enfonçait son poireau dans les entrailles de ma fille, Ahmed commença à donner des claques violentes sur ses fesses.
— Ouiiilllle ! Ouiiiille, j’ai mal, mais c’est si bon !
Mamadou venait de lui remettre son gourdin dans la bouche. Pendant que les fesses d’Aude s’empourpraient sous les coups d’Ahmed.
— Arrêtez de la fesser ! Criais-je
Mais Ahmed continuait, sans faire attention à ce que je disais. Mamadou finit par lui éjaculer dans la gueule. Elle recracha une partie du sperme sur le sol.
— Oups ! Désolée Mamadou ! J’ai été maladroite, j’ai pas tout avalé… tu peux me gifler pour me punir. Papa adore faire ça quand je suis maladroite.
Mamadou commença à lui donner des claques.
— Oh je suis désolé, je suis vraiment une petite salope complètement gourde, pas vrai papa ?
Ahmed arrêta de la fesser, mais lui tira sur les cheveux. Enfonçant son membre encore plus profondément.
— Oui ! Oui ! Oui ! Fais-moi jouir ! Pète-moi ma chatte de pétasse ! Hurla-t-elle recevant gifle sur gifle.
Quand Ahmed s’arrêta de lui tirer les cheveux, c’est qu’il avait déchargé sa purée dans le cul ma fille. Son cul était rouge, ses joues aussi sous les claques. Je voyais le sperme de l’arabe ressortir de son trou du cul et dégouliner de sa croupe.
— Alors papa ? J’étais bien, je vais faire une bonne pute tu ne crois pas ?
— Mais pourquoi tu veux faire ça, t’humilier comme ça ?
Elle se rhabillait déjà.
— Allons, pourquoi tu poses cette question ? C’est comme ça que tu m’as éduqué. Recevoir des fessées, des claques quand je fais mal les choses... J’ai dix-huit ans maintenant, il faut que j’avale comme il faut aussi. Que j’utilise bien mon cul pour recevoir du foutre. Allez bye papa !
Je lui criais après en vain : Est-ce qu’elle m’en voulait pour avoir été trop stricte avec elle. Était-ce sa façon de me punir, moi ? Avais-je été un mauvais père ? Elle ne répondait pas. Elle fit démarrer sur sa mobylette en me faisant au revoir de la main. Sans doute partait-elle vers un des nombreux gangs-bangs qu’elle s’était organisés. Je n’avais pas de réponse à mes questions, mais je savais une chose... maintenant mon ange, que j’avais protégé de mon mieux, ma fille adorée était devenue une salope et une pute.

FIN
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