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Le cauchemar de Sandra

Chapitre 3

Hétéro
Ce jeudi en fin d’après midi, Sandra la belle avocate revenait du travail en voiture. Arrivée devant son immeuble, elle constata qu’il n’y avait pas de place dans la rue. « Comme d’habitude » pensa-t-elle. Elle rentra dans le parking souterrain. Elle se gara et sortit de son véhicule, le ferma à clé, et se dirigea vers l’ascenseur. Décidément elle n’aimait pas ce parking. En plus du bruit de ses talons sur le sol, elle crut entendre d’autres pas. Elle se retourna mais ne vit personne. Pourtant, un homme tapi dans l’ombre l’observait. Il était rentré dans le parking grâce au double des clés qu’il avait fait (voir le second épisode du Cauchemar de Sandra). Sandra se remémora ce scénario d’agression qu’elle avait écrit sur le site érotique avec cet homme qui avait un pseudo bizarre. « Lequel était-ce au juste ? Ah oui je me rappelle : Punisseur ». Elle avait bien mouillé en dialoguant par internet. Cela correspondait à son fantasme. Mais si cela lui arrivait dans la réalité, elle n’en mènerait pas large. « Quelle horreur ! » Puis la raison reprit le dessus. Elle avait lu quelque part que contrairement à une idée répandue, un viol n’était en général pas l’œuvre d’un maniaque dans un parking souterrain, mais plus souvent l’acte d’une connaissance au domicile de la victime ou de l’agresseur. Et il était infondé de croire que la victime type était une belle jeune femme en jupe et talons. L’habillement n’y changeait rien. Ce jour là Sandra portait un tailleur gris foncé et un chemisier blanc. « Et puis en cas de besoin, j’ai toujours ma bombe anti-agression ». Elle mit sa main dans son sac et la présence de la bombe la rassura. Sandra arriva à l’ascenseur, monta jusqu’au sixième étage, et rentra dans son appartement.
Sandra n’avait pas beaucoup de temps. Elle devait retrouver ses trois copines au restaurant à 19h30, et il était déjà 18h30. Elle se déshabilla, et rentra sous la douche. Quelques minutes après, elle ressortit et s’essuya. Puis elle se sécha les cheveux. Ce shampooing à la vanille qu’elle avait acheté en début de semaine sentait vraiment bon. Il convenait à merveille à ses cheveux blonds mi longs. Il lui donnait de très beaux reflets. Elle se coiffa, fit une queue de cheval et mit un nœud violet. Puis elle se maquilla. Ensuite, elle chercha dans sa commode un string violet et un soutien-gorge assorti, mais elle ne les trouva pas. Où pouvaient-ils donc bien être ? Pressée par le temps, elle choisit un slip et un soutien-gorge noirs. Puis elle prit dans l’armoire sa jupe violette satinée, légèrement fendue. Elle l’ajusta. Elle était vraiment sexy habillée comme cela. « Ce sera très bien pour en boucher un coin à Céline, cette fille qui met toujours des mini-jupes et des talons vertigineux. Ah oui en parlant de talons … je vais mettre ceux-là ». Sandra choisit des chaussures vernies à talons aiguille. Puis elle enfila un chemisier mauve, et se regarda dans la glace. Sandra était une très belle femme. Elle avait 29 ans mais on lui en aurait donné 25 au maximum. Habillée comme cela elle était vraiment craquante. Elle mit sa montre à son poignet. Déjà 19h20 ! « Comme d’habitude, je suis à la bourre. » Sandra prit son sac à main, sortit de l’appartement, verrouilla la porte, et prit l’ascenseur en direction … du parking. Lorsque la porte s’ouvrit au sous-sol, elle courut jusqu’à sa voiture – si tant est qu’elle pouvait courir avec ces talons aiguilles. L’homme était à la fois surpris de la voir si resplendissante et si rapide. Elle rentra dans sa voiture, démarra, et monta la rampe menant à la rue.
Sandra arriva au restaurant avec 15 minutes de retard mais c’était habituel. Ses copines avaient déjà commencé l’apéritif. Sandra et elles discutèrent entre filles, et passèrent une bonne soirée. Avant de régler l’addition, chacune passa aux toilettes. Sandra en profita pour se refaire une beauté. Puis elles se dirent au revoir. Sandra regagna sa voiture, déposa Amélie car il était déjà 23h et Amélie ne tenait pas à prendre les transports en commun à cette heure. Céline, quant à elle, reconduisait Fabienne. Puis Sandra prit le chemin de son domicile. Elle passa dans sa rue au ralenti. « Evidemment toujours pas de place en surface ». Elle emprunta la rampe de descente dans le parking souterrain, ouvrit la porte avec la télécommande, et se dirigea vers sa place de parking. Elle se gara et coupa le contact. Comme elles avaient bien ri toutes les quatre ! Sandra était joyeuse, et avait l’esprit légèrement embrumé par le vin blanc qu’elles avaient bu.
Sandra sortit du véhicule. Elle ne perçut pas la présence de l’homme qui s’approchait d’elle. Soudain elle sentit un bras passer autour de sa taille. Elle poussa un cri, se retourna, et vit dans la pénombre un homme grand et jeune. Elle lui donna un coup de pied, ce qui le déséquilibra, et elle commença à courir pour s’échapper. Mais elle était gênée par ses talons aiguilles et elle trébucha. L’homme la rattrapa, l’empoigna par les cheveux, et la ramena contre la voiture. Il fit tomber le sac à main de Sandra et le poussa avec le pied pour l’éloigner. Il referma ses mains sur le cou de l’avocate et commença à l’embrasser goulument. Sandra chercha fébrilement la bombe anti agression dans son sac, mais le sac n’était plus suspendu à son épaule. Elle le chercha des yeux et vit qu’il n’était pas à sa portée. Le sac était à plusieurs mètres d’eux. Lui avait-il enlevé volontairement ? Pouvait-il savoir ?Sandra essayait de repousser son agresseur. Il dut la maintenir fermement par les poignets pendant qu’il l’embrassait. Il aimait qu’une femme lui résiste, et il ne s’était pas trompé en choisissant Sandra. Elle était sportive et combattive. L’homme ouvrit la porte arrière de la voiture, et précipita sa victime sur la banquette. Pour parvenir à ses fins, il décida de l’entraver. Il attacha les mains de Sandra dans le dos avec des menottes. Puis il la contempla à la lueur du plafonnier. Elle était resplendissante, et elle était à sa merci. Alors il s’adressa à elle. « Sandra, tu es à moi. On va bien s’amuser tous les deux. Tu vas voir ce que c’est qu’un homme. Je vais te faire hurler ma chérie. » Sandra est terrorisée. Elle reconnait la voix de cet homme, celui qu’elle a défendu et fait acquitter alors qu’il était accusé d’avoir abusé d’une femme (voir le premier épisode). Mais comment sait-il qu’elle habite là ? Et comment a-t-il pu rentrer ?
« Aujourd’hui je vais réaliser ton fantasme, ma chérie. Ton fantasme de viol dans un parking souterrain. Tu vas jouir comme jamais tu n’as joui. »
« Mais vous êtes dingue. Et comment savez-vous ? » Puis Sandra comprit. « C’est vous qui vous cachez derrière le pseudo Punisseur ».
« Ma chérie, c’est toi qui te cache derrière un pseudo et un faux profil. Mais j’ai découvert qui tu es vraiment et où tu habites. Je vais te faire une confidence. Aujourd’hui, après t’avoir baisée, je vais te prendre tes sous-vêtements pour compléter ma collection. J’ai déjà un string violet très joli, mais il est tout taché. Maintenant, profite car tu es à moi. Et tu vas jouer ton rôle de femme violée ».
A présent Sandra le supplia. « Non je vous en prie, ne me faites pas ça non, c’était juste un fantasme, je n’ai jamais voulu que cela arrive dans la réalité, je vous en prie laissez moi ».
« Ben voyons »
« Nooon, laissez-moi, au secours, au secours ». Sandra poussait des cris aigus. Bien que l’agresseur fût très excité par les cris féminins, il préféra bâillonner sa victime.
Il s’allongea sur elle, lui enleva le nœud qu’elle avait dans les cheveux, ce qui libéra sa belle chevelure blonde. Il lui passa la main dans les cheveux et la renifla bestialement.
Puis l’homme se redressa et tira sur le chemisier de la belle avocate, craquant les boutons. Le chemisier ouvert laissait voir le soutien gorge noir en dentelle. Il lui caressa les seins en la regardant tressaillir. Puis Sandra sentit une main sur ses jambes. Elle essaya de crier et serra les cuisses. La main remontait, passant sous la jupe. L’homme ressentait la chaleur de sa victime. Il introduisit sa seconde main sous la jupe et continua à la palper. Sandra se débattait. La jupe fendue ne résista pas sous les assauts de l’homme. Elle se déchira. L’homme la retroussa sur les hanches de la jeune femme, puis il admira la silhouette délicieuse qui s’offrait à lui. Il lui caressa le haut des cuisses, la taille, et lui arracha son slip.
L’homme bandait comme un âne. Il enleva son pantalon, et badigeonna de vaseline son membre en érection. Puis il caressa la toison de Sandra. Il chercha à introduire ses doigts en elle mais elle serrait toujours les jambes. Il lui saisit les genoux et il écarta de force les cuisses de Sandra qui poussa un nouveau cri. Il contempla le sexe de sa victime tout en lui touchant les lèvres. Elle en profita pour mettre son pied droit sur l’épaule de l’homme et le repoussa brutalement. L’homme revint à la charge, la tira par les chevilles, lui écarta à nouveau les jambes et cette fois se positionna entre les cuisses de la jeune avocate. « Hmmmm, hmmmm ». A présent, Sandra était maintenue fermement et ne pouvait se soustraire à la pénétration. Elle sentit le pénis de son agresseur forcer le passage entre ses lèvres, et s’introduire dans son vagin étroit. Elle était à la fois horrifiée et humiliée. Des larmes coulaient sur ses joues. Elle le sentait aller et venir en elle. Il la tenait et la baisait. Mais elle refusait de lui appartenir et elle continuait à se débattre. Elle secouait la tête, se contorsionnait. Elle essayait de repousser son agresseur avec les jambes. Si elle n’avait pas été menottée, elle lui aurait griffé le visage. Il jouissait de la dominer ainsi. Parfois il faisait une pause : il s’allongeait sur elle, l’écrasant de tout son poids, et il lui léchait le visage. Puis il se redressait et recommençait à la pilonner. Le manège se répéta plusieurs fois. Sandra se demanda quand son supplice allait enfin s’arrêter. Elle n’avait pas eu de relation sexuelle avec un homme depuis l’université. Et il fallait que cela lui arrive maintenant : prise de force par un maniaque dans un parking sordide. Le désir du violeur paraissait insatiable. Son sexe allait de plus en plus vite. Sandra n’en pouvait plus. Elle cessa de se débattre et finit par s’abandonner à l’étreinte du mâle. Le corps de la jeune avocate bougeait au rythme des coups de boutoir du violeur. Sandra commençait à jouir malgré elle. Elle poussait des petits cris et haletait. Il la pilonnait à un rythme effréné. Sandra était en sueur et gémissait. Elle écarta encore ses cuisses et suréleva ses jambes, ce qui permit au pénis du violeur d’aller encore plus profondément en elle. Elle le sentait comprimer ses lèvres en cadence et la ramoner jusqu’au fond de son vagin. Elle ne put en supporter davantage. Elle fut parcourue de spasmes violents. Un orgasme puissant comme elle n’en n’avait jamais connu. L’homme la sentait se contracter et était stimulé par ses hurlements étouffés par le bâillon. Il lui donna des coups de boutoir encore plus puissants que les précédents. Sandra était au bord de l’évanouissement. L’homme poussa un grognement et éjacula abondamment en elle. Sandra émit un dernier cri en sentant le sperme du violeur s’écouler dans son vagin. Il resta contre elle un moment, lui lécha encore une fois le visage, puis se retira.
Comme il l’avait fait avec ses précédentes victimes, il prit des photos de Sandra. En raison de la pénombre, il activa le flash pour bien saisir les détails du corps de cette jeune femelle qu’il venait de dompter. Une vue d’ensemble où l’on voyait la jeune femme allongée sur le dos à moitié nue sur la banquette arrière, les cheveux défaits, le chemisier ouvert, la jupe retroussée, le nœud violet tombé sur le plancher de la voiture, les chaussures à talons aiguille et le sac à main sur le sol du parking. Un gros plan sur les cuisses et la vulve de Sandra toute mouillée et irritée. Et un gros plan sur son visage hébété, les yeux rougis, les larmes sur les joues. Puis il mit dans sa poche le slip et le soutien gorge de l’avocate, lui enleva son bâillon et ses menottes, et partit.
La pauvre Sandra était anéantie. Elle était éreintée, toute tremblante, honteuse d’avoir été déshabillée et prise de force, plus honteuse encore d’avoir joui. Elle se releva, rajusta comme elle le pouvait sa jupe déchirée, rabattit les pans de son chemisier sur sa poitrine, prit ses chaussures et son sac, et marcha en titubant jusqu’à l’ascenseur. Elle sentait le sperme couler sur ses cuisses. Elle se réfugia dans son appartement. Heureusement elle n’avait pas croisé de voisins.Qu’allait-elle faire à présent ? Porter plainte ? Elle se regarda dans la glace. Elle était décoiffée et avait la mine déconfite, mais elle ne portait pas de traces de coups. Si elle portait plainte, tous ses collègues se ficheraient d’elle. Elle a nourri un fantasme de viol. Elle n’a pas de lésions. Elle connait l’homme qui l’a prise, elle l‘a même fait acquitter. Elle a construit avec lui un scénario de viol dans le parking souterrain, elle a acheté des menottes à sa demande. C’est perdu d’avance. Elle en sait quelque chose (voir le premier épisode).
Sandra se précipita sous la douche. Elle voulait se laver. Enlever toute cette souillure : le sperme, la vaseline, la bave, l’odeur de cette brute. Elle resta longtemps sous la douche. Lorsqu’elle sortit de la salle de bains, elle était exténuée. Elle prit un somnifère et s’endormit. Au matin, le réveil sonna. Elle se réveilla en sursaut. Tout cela était-il un cauchemar ? Elle vit sur le sol la jupe déchirée qui lui rappela que cela n’était pas un rêve, mais bel et bien la réalité. Que se passa-t-il ensuite ? Sandra reprit son travail après une semaine d’arrêt. Mais elle ne porta plus de jupe sexy, de décolleté, ni de talons hauts, et ne rentra plus dans les parkings souterrains. Quand au violeur, il se mit en quête d’une nouvelle proie.
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