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La cave de l'interdit

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2Je passai le reste de la nuit dans la tente à trembler. Après avoir quitté le lit de ma tante, j’avais rejoint sous la pluie mon propre matelas dégonflé. J’étais complètement trempé, mais ce qui me donnait des frissons c’était le souvenir de ce qu’il venait de se passer. Ma première fois, et de surcroit avec un membre de ma famille. Mon esprit était scindé en deux, d’un côté je me répugnais de ce que j’avais fait, mais de l’autre, la reviviscence de cette pensée me donnait une excitation folle. Cette sensation humide, chaude, les odeurs qui changeaient comme si on découvrait vraiment la personne. Le noir avait permis de ne pas croiser ses yeux, notre ébat avait été voilé d’ombre et cela le rendait encore plus caché. Mais qu’est-ce que je ferais lorsque j’allais la voir le lendemain? Est-ce qu’elle prenait la pilule? Va t’elle le répéter et m’insulter d’avoir profité d’elle? J’essayais de me rendormir et je me mis à sourire. J’avais encore envie d’aller aux toilettes.Le matin était tombé, et je devais me lever. Je rentrais dans la maison de mes grands-parents pour petit déjeuner. Lorsque je pénétrais à l’intérieur, j’aperçus mes grands-parents et ma tante qui étaient à table en train de prendre un bol de café. Il y avait une abondance de viennoiseries, qui me tendaient les bras. Mes grands-parents me sourirent, et tandis que je leur faisais la bise pour leur dire bonjour, mon grand-père me lança:
— Ah mon grand! Alors cette nuit à la belle étoile? Pas trop froid-Non ça a été, lui répondis-je.-La pluie n’est pas rentrée dans la tente?-Non même pas.
J’approchais de ma tante et lui tendis la joue pour lui faire la bise. Alors que je me baissai, elle tourna sa tête vers moi. Je l’aperçus pour la première fois depuis notre "moment". Elle avait un visage tanné, une peau mate et des yeux de jais impressionnants. Ses cheveux en bataille lui donnaient l’allure d’une pétarde un lendemain de soirée. Mon cœur battait la chamade. Ses fines lèvres étaient toutes droites puis elle les ouvrit pour parler. Mon palpitant s’activait à se décrocher, qu’allait elle me dire? Elle finit par lancer pendant que nos joues se choquaient:
-Tu as eu de la chance que l’eau ne rentre pas, cette tente je dormais déjà dedans quand j’étais petite.
J’esquissai un sourire, puis m’assis pour manger un pain au chocolat pendant que mes grands-parents racontaient l’histoire de la tente en rigolant. Je ne disais pas un mot et écoutais en réagissant au récit. Malgré mon grand appétit et cette pléthore de délice, j’avais du mal à manger. Je regardai ma tante parler, ça faisait plaisir de la voir joyeuse, ou du moins un minimum souriante. Je l’observais bouger, sur place se dandiner sur sa chaise. Et tout à coup, je me remis à penser à cette nuit. J’essayais de caler ce corps que je voyais sur la silhouette invisible que j’avais pénétré cette nuit. La pensée de moi palpant cette chair ambrée commençait à me faire monter une érection. Il fallait que je quitte la table. Je me levais donc en déclarant:
-Je vais prendre ma douche !-Non j’y vais avant toi, affirma ma tante en se levant.
Elle quitta la table et partie dans la salle de bain au fond du couloir. Elle m’avait devancé. Je voulais aller me masturber sous la douche pour évacuer la pression. Je restai donc à table résigner à attendre. J’échangeais quelque mot avec mes grands-parents puis ils retournèrent à leur activité. Je débarrassais la table et allais chercher mes affaires pour ma douche. Lorsque j’entrais dans ma chambre, j’entendais l’eau. Ma tante Lætitia devait être dans son bain. Cette simple idée arriva à me rendre dingue. L’eau transparente caressant son corps nu. Une idée me traversa l’esprit, une mauvaise idée. Mais j’étais jeune. Je posai mes affaires, regardai que mes grands-parents ne me voient pas et rentrai dans la salle de bain.Je me retrouvais dans cette pièce aux murs bleus azur. Une machine à laver et un lave-linge sur ma droite, sur ma gauche un lavabo et tout droit, une marche menant à la baignoire. Ma tante est dedans, la lumière reflétée dans l’eau lui éclabousse le visage. Elle me regarde avec surprise. Même moi je ne savais pas quoi faire, pourquoi suis-je rentré comme ça? Elle reste silencieuse et immobile, ce qui ne facilite rien. Qu’est-ce que je voulais en rentrant? Nous n’avions jamais parlé, ça n’allait pas commencer maintenant et encore moins pour dire "hey salut tata ça va, t’as aimé que je ton neveu éjacule dans ta chatte tout en t’étranglant? Tu veux que je te passe le pain?". Mais pire encore, si elle se mettait à parler ou crier, mes grands-parents auraient tout entendu et là il y aurait eu des problèmes. Automatiquement, j’appuyais mon doigt sur ma lèvre pour lui dire de rester silencieuse. Mais je restais pris au piège, je ne savais pas quoi faire, et elle ne me donnait aucun signe sur son visage de ce que je devais faire. J’avais entendu une fois que plus un acte est gros et plus il passe. J’avais eu les "couilles’ de rentrées, et maintenant je devais assumer. Soit ça passe, soit ça casse. Je m’approchais de la baignoire pour en apercevoir le contenu. Son corps caramel me se dévoilait entièrement devant moi, ses énormes seins étaient inondés ne laissant poindre que ses tétons de la même couleur que ses lèvres. Son ventre ambré et ses hanches donnaient des envies contre nature. Et son entrejambe était tout à fait lisse, elle venait juste de se raser. Je me dis alors que c’était la plus belle chose qui soit. Je mis un genou sur la marche, et amena ma main au niveau de sa poitrine, je voulus toucher du doigt d’un de ses tétons lorsque ma tante attrapa mon poignet et dégagea ma main sans rien dire. J’avais été trop loin je ne pouvais pas abandonner. Je tentais la seule chose que ma tante m’avait permise et du moins suggérée. Ma main droite se logea au niveau de sa gorge en enroulant mes doigts autour de son cou. Je ne serrais pas fort, mais j’effectuais une petite étreinte. Cette pression lui fit se mordre la lèvre et poussa un léger soupir. Je ne savais pas ce qui l’excitait autant là-dedans, mais je n’allais pas m’en plaindre.
Elle me lança un regard qui me troubla, comme si elle rentrait en moi et qui voulait dire "prouve-moi". Mais que je lui prouve quoi? Mon autre main commença à vagabonder sur son corps. Palpant sa poitrine si généreuse. Je la manipulais avec force, en essayant de ne pas être trop brusque. Je descendais ensuite jusqu’à son nombril et atteignit son entrejambe. Mes phalanges se faufilèrent entre ses cuisses et massaient son clitoris. La texture n’était pas la même que la veille. Elle poussait de petits gémissements. J’avais trop envie de la pénétrer. Je retirais mon pyjama et me rapprochais d’elle. J’allais la sortir de la baignoire pour la prendre comme jamais personne ne la prise, avec une fougue que jamais elle n’oublierait. Elle balaya tous mes espoirs en sortant d’une voix profonde:
-Non Jérémy, ce n’est pas bien!
Elle m’avait coupé dans mon élan, je n’avais pas de réponse à lui sortir. Je restai bloqué, assis nu sur le bord de la baignoire avec mon pénis en érection. Je tentais alors une technique:
— Nous ne faisons rien, je suis juste là et toi aussi, je vais juste me faire du bien, et tu peux le faire en même temps que moi. Il n’y a pas de mal là-dedans.
Je commençai à me masturber devant elle, sans me débiner en la regardant dans les yeux. Qu’allait-elle faire? Elle ne pouvait pas appeler mes grands-parents, peut être craignant que je raconte ce qu’il s’était passé la nuit. Je voyais dans ses yeux l’envie. À chaque mouvement, elle regardait mon sexe, puis mes yeux. Je pouvais avoir le pouvoir si je restais sûr de moi, l’étrangler mentalement, la soumettre à ma toute-puissance. Je lui attrapai la main et lui ordonna:
-Branle-moi
Elle se mit à genou et se mit à me branler sans dire un mot. Je n’entendais que sa respiration. Elle décalottait ma queue d’une main et me branlait avec l’autre. C’était formidable. Mais dans ma tête je me disais "suce-moi, suce-moi, suce-moi" La vue sur ses généreux seins me donnait envie de faire une branlette espagnole, mais ça aurait été trop compliqué à mettre en place. Je tentais alors autre chose.J’attrapai le derrière de son crâne et l’avança vers mon sexe. Elle ouvrit la bouche et l’engloutit. J’étais aux anges. Est-ce que je rêvais? C’était chaud et doux. Je ne savais pas vraiment ce qu’elle faisait, mais sa langue faisait des mouvements divins. Les bruits de succion étaient incroyables, je n’en revenais pas que ma propre tante soit en train de faire une fellation. Je relâchais sa tête pour la laisser faire et savourer l’instant. Puis elle fit des mouvements si rapides avec sa tête que je me sentis venir. Je voulais faire quelque chose qui continuerait à lui prouver que c’est moi qui dominais. Je retirais ma queue de sa bouche et la repris en main en visant ses seins. Un épais jet blanchâtre sortit de mon urètre et s’écrasa sur ses tétons et dégoulinait. L’orgasme avait été si intense que je devais me tenir à la baignoire pour ne pas tomber. Elle avait MON sperme sur sa poitrine qui descendait comme un serpent d’ivoire vers son nombril. Cette vision était magique pour moi. J’avais souillé ma tante encore une fois, mais cette fois-ci en la regardant dans les yeux pour la dominer. C’était encore meilleur. Je m’approchais d’elle et lui saisis à nouveau son cou et plongea mon regard dans le sien en lui murmurant:
-Maintenant tu es à moi.
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