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Cécile ? Estelle ? Pourquoi pas les deux ?

Chapitre 1

Je découvre Estelle

Avec plusieurs femmes
Je vivais en couple avec Cécile depuis trois ans. Elle était divorcée et vivait, avant que je vienne m’installer chez elle, avec sa fille âgée de dix-neuf ans. Cécile était infirmière et travaillait de nuit ainsi qu’un week-end sur deux.
J’étais donc souvent seul le soir à la maison pour dîner avec sa fille, Estelle, que j’avais vue devenir une belle jeune femme durant les trois années passées à ses côtés. On pouvait dire qu’elle était devenue une belle plante. Jolie brune d’un mètre soixante-quinze, environ soixante kilos, de grands yeux verts, une poitrine plus que généreuse et un corps parfaitement sculpté par la pratique sportive.
Pendant la période de confinement, elle fut donc obligée de faire du sport à la maison. C’est pour cette raison qu’elle était la plupart du temps en short et maillot qui mettaient parfaitement en valeur ses petites fesses et sa belle poitrine. Pour ma part, j’étais en télétravail et j’avais souvent l’occasion de la voir déambuler à travers l’appartement avec une grâce toute féline. Je ne manquais pas d’admirer chaque fois que je le pouvais son mignon petit cul quand elle se mettait à faire des étirements. Elle mettait également de temps à autre un corsaire bien moulant qui laissait apparaître la forme de son sexe.
Parfois, elle transpirait tellement que son entrejambe était trempé de sueur. Cette vision ne pouvait que provoquer chez moi une belle érection que je tentais maladroitement de cacher en me tournant dos à elle. Je ne voulais pas qu’elle me surprenne en train de bander comme un âne en la regardant. Quand elle passait près de moi pour aller prendre une douche, laissant dans son sillage une odeur qui m’excitait au plus haut point, je n’en pouvais plus. Quand j’entendais l’eau couler, j’allais bien vite me branler afin de calmer le jeu.
J’étais tellement obsédé par son corps, qu’il m’arrivait, en faisant l’amour avec Cécile, de voir devant mes yeux le beau visage de sa fille. Je l’imaginais à la place de sa mère, m’activant avec ardeur sur son corps d’athlète et l’emmenant à la jouissance en me vidant à longs jets entre ses jambes bien ouvertes à ma pénétration.
Une nuit alors que Cécile était partie travailler, je dus me lever pour aller soulager ma vessie. La chambre d’Estelle était allumée, elle devait certainement travailler. Mais mon attention fut attirée par de petits bruits furtifs ressemblant à s’y méprendre à des soupirs étouffés. Curieux de nature, j’approchais sans bruit vers la chambre. Je poussais doucement la porte qui n’était pas accrochée et je tombais sur un mignon spectacle qui normalement ne m’était pas vraiment destiné. La petite lampe de chevet distillait une lumière faible et blafarde, mais suffisante pour mettre en valeur le magnifique tableau qui s’offrait à ma vue.
Ma belle fille gisait jambes grandes ouvertes en travers de son lit, une main s’activait sous sa petite culotte blanche en dentelle tandis que l’autre malaxait sa magnifique poitrine, titillant les mamelons turgescents. Son bassin ondulait sous la douce caresse de son doigt que je devinais se faufilant entre les lèvres humides de son sexe. Elle se pencha vers la table de nuit, m’offrant une vue spectaculaire sur sa croupe incendiaire. Elle se remit en place, tenant à la main un gros gode blanc d’environ vingt centimètres qu’elle se mit à lécher de haut en bas. Puis elle le fit entrer dans sa bouche, mimant une fellation tandis que son autre main continuait son exploration vaginale.
Je ne pouvais qu’imaginer que c’était ma queue qu’elle faisait entrer dans sa bouche à la place de ce vulgaire morceau de plastique. La vision de ce spectacle me provoqua une terrible érection et je pris mon manche à pleine main pour l’astiquer en me calant sur le mouvement de va-et-vient du gode.
Ensuite, elle enleva sa petite culotte et posa le gourdin en plastique sur son sexe. Elle fit pénétrer lentement le gland en grognant de plaisir, d’abord de quelques centimètres puis de plus en plus profondément. Elle fermait les yeux tout en respirant bruyamment par la bouche. Son bassin tanguait au rythme de la pénétration. Le gode luisait à la lumière, gorgé de cyprine, la petite coquine s’offrait tout entière à cette pénétration synthétique.
Je ne pouvais détacher mes yeux de sa main aux ongles vernis de couleur rouge vif qui tenait cet instrument de jouissance, m’imaginant que c’était ma queue qu’elle tenait de la sorte. Ses mouvements se faisaient de plus en plus désordonnés, le mandrin en plastique rentrait pratiquement en entier dans sa grotte trempée, elle se mit à gémir, elle n’allait pas tarder à jouir.
Les mouvements de ma main suivirent le même rythme et je n’eus que le temps de rentrer précipitamment ma queue dans mon boxer avant que de longues giclées viennent inonder mon léger vêtement. Quelques secondes plus tard, la belle Estelle atteignit également l’orgasme en se mordant profondément la main pour ne pas crier son bonheur.
J’avais un peu honte d’avoir assisté bien involontairement à ce beau spectacle, mais il avait été terriblement excitant et d’une réelle beauté. Je découvrais ma belle-fille sous un autre jour. En silence, je m’éclipsais pour changer de sous-vêtement afin de ne pas rester toute la nuit à baigner dans mon jus. En repassant devant la chambre d’Estelle, je constatais que la lumière était éteinte. La belle jouisseuse devait être tombée dans les bras de Morphée, après avoir dépensé tant d’énergie avec ses petits jeux en solitaire, elle devait être épuisée.
Cécile rentra de sa nuit de garde vers sept heures du matin et se coucha après avoir pris une bonne douche reposante et apaisante. Après m’avoir embrassée, elle sombra, elle aussi, dans un profond sommeil.
A huit heures, je fus debout pour prendre mon petit-déjeuner avant de mettre l’ordinateur en route. J’avais une réunion à neuf heures en visioconférence et je devais être en forme pour ma journée de travail. Estelle se présenta environ un quart d’heure plus tard. Elle avait une bien petite mine, ses exercices sexuels de la veille avaient visiblement laissé des traces.
— Bonjour ma grande, lui dis-je. Tu n’es pas malade au moins ? Tu me sembles bien fatiguée pour quelqu’un qui sort du lit. — Non, ça va, t’inquiète pas, répondit-elle. J’ai travaillé assez tard hier soir et j’ai eu du mal à m’endormir. Après un bon petit-déjeuner, ça ira beaucoup mieux.
Mes yeux tombèrent sur sa main gauche. Elle s’était vraiment mordu profondément la main en retenant ses cris de jouissance hier soir, les marques étaient toujours présentes. Suivant mon regard, elle se rendit compte des traces de morsure et rougit légèrement.
— Je ne pensais pas avoir cette marque, je me suis levée dans la nuit pour aller aux toilettes et je me suis cognée. — La prochaine fois, allume, ça t’évitera ce genre de désagrément. Tu aurais vraiment pu te faire du mal. — OK ça marche, dit-elle en se tournant pour fouiller dans le frigo.
Cette fois, mon regard se dirigea sur son mignon petit cul et les images d’hier soir me revinrent subitement. (A suivre...)
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