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Cécile ? Estelle ? Pourquoi pas les deux ?

Chapitre 2

Estelle nous observe

Avec plusieurs femmes
Le week-end suivant, Cécile ne travaillant pas, nous en profitâmes pour nous coucher un peu plus tard qu’Estelle. Comme pratiquement à chaque week-end de repos, nous n’avions qu’une idée en tête : faire l’amour. C’était presque devenu un rituel, c’était un peu la récompense de Cécile après avoir travaillé dur durant plusieurs jours.
Elle vint se coller contre moi. Sa main se promena sur mon torse, titillant au passage mes tétons qu’elle se mit à lécher. Progressivement, sa langue descendit vers mon ventre, s’attardant dans mon nombril, puis elle s’empara de mon sexe qui tendait la tête en dehors de mon boxer. Elle s’en saisit et le goba jusqu’à la base. Elle était une experte en fellation. J’avais eu plusieurs aventures avant elle, mais aucune de mes anciennes partenaires n’était aussi douée qu’elle. Je crois qu’elle aurait pu vider les couilles du plus impuissant des hommes tant elle savait s’y prendre. Cerise sur le gâteau, elle avalait jusqu’à la dernière goutte de foutre qui lui coulait dans la gorge, ce que certaines partenaires répugnaient à faire.
Ne voulant pas passer pour un égoïste, je l’installais à califourchon au-dessus de ma tête. Elle se baissa et plaça délicatement sa fente offerte à portée de ma langue. Sa magnifique chatte épilée dégoulinante de cyprine semblait me supplier d’entrer profondément entre les lèvres béantes. Quand ma langue commença ses va-et-vient, elle abaissa son bassin encore un peu plus pour faciliter ma progression.
Cette caresse prolongée suffisait parfois à lui faire atteindre l’orgasme. Pour pimenter un peu ce cunnilingus, j’enfonçais mon majeur dans sa petite rosette après l’avoir trempé dans son jus. Elle s’activa encore un peu plus sur ma queue tout en tortillant de la croupe. Sa langue montait et descendait puis elle s’attardait sur le gland, mordillant doucement l’extrémité du membre tout en enroulant sa langue autour.
C’est un moment là que je crus apercevoir un léger mouvement du côté de la porte de la chambre. Dans l’interstice, je vis apparaître la tête d’Estelle qui semblait fascinée par notre soixante-neuf. Elle ne perdait pas une miette du spectacle de nos deux corps placés tête-bêche. Je voyais sa main s’activer entre ses cuisses, la petite coquine était devenue, elle aussi, une belle voyeuse.
La voir se masturber en nous regardant précipita ma jouissance. Je sentis monter du creux de mes reins un torrent de foutre que ma suceuse s’empressa d’avaler avec un plaisir évident. Cécile en profita pour prendre son pied en même temps tout en m’expédiant dans la bouche plusieurs giclées de pisse qui inondèrent ma figure.
Voulant faire profiter notre chère petite voyeuse jusqu’au bout du spectacle, je fis placer ma partenaire vers moi, dos à la porte. Elle se positionna et s’amusa à faire coulisser le bout de ma queue sur le bord de ses grandes lèvres. Elle masturbait en même temps son petit bouton d’amour qui réclamait sa part de bonheur. Puis elle attrapa mon membre à pleine main, elle se plaça juste au-dessus et elle s’enfila d’un coup mon gros chibre entre les cuisses en poussant un râle de plaisir. Sa chatte bien lubrifiée faisait de nombreux aller-retour en faisant un bruit de succion. Notre voyeuse avait une vue imprenable sur le membre turgescent sur lequel sa mère coulissait en laissant de longues traces blanches de mouille. Sa main s’activait encore plus profondément entre ses cuisses ouvertes tandis que l’autre caressait ses seins. Comme j’aurais aimé qu’elle soit à la place de sa mère, empalée sur mon mandrin, les yeux exorbités, entraînée dans une spirale de plaisir.
Cécile savourait l’instant présent, elle appuyait ses deux mains sur mes épaules pour maintenir son équilibre. Sa plantureuse poitrine s’agitait sans complexe devant mes yeux en suivant le rythme de ses va-et-vient. Malgré ses quarante ans passés, elle assumait pleinement son corps qui était tout à fait désirable, pas une once de graisse ne venait ternir ce fabuleux spectacle. Je ne restais pas insensible à ce corps qui se mouvait devant moi. Mes mains caressèrent doucement ma douce partenaire, remontant de ses fesses jusqu’à sa nuque, au rythme de ses mouvements, n’oubliant pas de prendre à pleine main sa superbe poitrine. Je relevais ma tête pour prendre entre mes dents les mamelons qui se dressaient gorgés de désir. Je savais qu’elle adorait cette caresse. Je me devais d’offrir à notre chère Estelle un spectacle sans tabous, je m’adressais alors à ma douce amoureuse :
— Mets-toi à quatre pattes mon amour, que je t’encule, j’en ai vraiment trop envie.
Ma belle amante ne se fit pas prier pour se positionner, la croupe en l’air, attendant ma charge. Avant de l’enculer, je fis quelques aller-retour dans sa grotte béante pour bien lubrifier mon engin. Je m’installais bien en face de ma cible, et sans préambule, je m’enfonçais jusqu’aux couilles dans ses entrailles. Elle ne put s’empêcher de crier en m’invectivant :
— Oh putain que c’est bon ! Encule ta chienne, va bien au fond, oooooh oui comme ça !
Toujours désireux de la contenter, je m’exécutais tout en gardant un œil sur sa fille qui se trémoussait de plus en plus en s’enfonçant deux doigts dans sa petite chatte gluante tandis qu’avec son autre main, elle s’en fourrait un dans le cul.
Pour la seconde fois, un geyser monta de mes reins jusqu’à ma pine, enfoncée entièrement dans la boîte à caca de sa mère. J’éjaculais dans le réceptacle en poussant de puissants grognements telle une bête sauvage. Je tenais les hanches de ma bien-aimée à pleines mains pour essayer de gicler encore plus profondément en me collant contre son beau postérieur. En me retirant, une longue traînée blanchâtre s’écoula le long de ses cuisses.
La vision de mon extase provoqua la jouissance de la belle Estelle qui faillit en perdre l’équilibre. Elle se retint de justesse après le chambranle de la porte, ce qui lui permit de rester debout. Elle mit quelques secondes pour reprendre ses esprits, puis elle s’en alla silencieusement.
Cécile ne s’était rendu compte de rien, elle avait toujours été placée dos à la porte. Par contre, j’en connaissais une qui n’avait rien raté de la soirée. Elle allait certainement avoir de quoi faire de beaux rêves pour un moment.
(A suivre...)
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