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Cécile ? Estelle ? Pourquoi pas les deux ?

Chapitre 3

Je découvre Estelle

Avec plusieurs femmes
      Bizarrement, après cette soirée Estelle devint un peu plus distante avec moi. Était-elle jalouse de sa mère ou avait-elle été dégoutée de l’avoir vue se mettre en scène de cette manière ? Je ne savais qu’en penser. Pour une fois le destin vint à ma rescousse par un bel après-midi ensoleillé.

      Je travaillais dans mon bureau, toujours bloqué à la maison en télétravail, quand j’entendis un bruit sourd venant de la salle à manger suivi d’un cri de douleur. Sans hésiter une seconde je me précipitais vers la source du bruit. Une vision d’horreur s’offrit à mes yeux. Estelle gisait au sol en travers de la salle à manger et semblait avoir perdu connaissance. Je me précipitais pour tenter de lui venir en aide. Elle était en jogging et baskets et était certainement tombée en faisant ses exercices d’assouplissement.

       Elle ne semblait pas avoir de blessures apparentes. Après avoir été dans la salle de bain pour chercher une serviette humide, je me mis à lui tapoter doucement le visage. Elle ouvrit doucement les yeux et sembla surprise de me voir si près d’elle.

      — Que t’est-il arrivé ? Tu m’as fait peur. J’ai entendu un grand bruit suivi d’un cri, et plus rien. Je t’ai  trouvée inanimée au sol, je suis très        heureux de voir que tu vas bien.

      — Oui je vais bien, merci. Par contre j’ai des douleurs un peu partout. Surtout à la cuisse et dans le dos. Tu peux m’aider à me relever s’il te plait ?

      Elle passa son bras autour de mon cou et je pus ainsi la relever et l’installer sur le canapé. Elle s’appuya contre le dossier et tenta d’allonger ses jambes. Elle grimaça en faisant ce mouvement, sa jambe gauche la faisait souffrir.

      — J’ai déjà eu ce genre de problème, le mieux c’est de mettre de la glace sur le muscle. Pourrais-tu en mettre dans un sac à congélateur et me le placer sur la cuisse, s’il te plait ?

      Je filais dans le congélateur à la recherche de glaçons. Après avoir rempli un sac je revins près d’elle. Je tentais de placer le sac sur sa cuisse quand elle m’interrompit et riant.

      — Mais non, gros benêt, pas sur le survêtement ! Il faut l’appliquer directement sur le muscle. Il va falloir que tu descendes mon pantalon jusqu’aux genoux.


      Un peu gêné mais heureux à la fois de pouvoir découvrir son corps, je m’exécutais. Elle se souleva un peu pour pouvoir laisser descendre le pantalon. Précautionneusement je pris les deux côtés et je pus baisser son jogging. Ses longues jambes musclées m’apparurent ainsi qu’une petite culotte bleu clair qui ne cachait pas grand-chose entre ses jambes. Elle avait un bel hématome sur la cuisse, donc elle n’avait certainement pas prémédité cette chute. Quand je mis le sac sur sa cuisse elle poussa un petit gémissement en faisant une grimace, mais le froid calma rapidement la douleur. J’ai profitais pour lorgner à la dérobée entre ses cuisses entre-ouvertes. La petite culotte cachait tant bien que mal une légère toison qui se devinait à travers le léger tissu. La vision de ses lèvres me provoqua d’emblée une belle érection que je peinais à cacher. Elle ne sembla pas s’en rendre compte ou fit semblant de ne pas voir ce qui m’arrivais. Après quelques minutes, elle remonta son pantalon de jogging et se redressa pour enlever son maillot de sport.

      — J’ai très mal également dans le dos, pourrais-tu regarder et éventuellement me passer un peu de pommade à l’endroit du choc. Va chercher la pommade « Saint Bernard » qui est dans ma table de nuit, s’il te plait. Cette pommade est formidable pour les chocs musculaires.

      Sans attendre je filais chercher le tube de pommade. Mais j’eus un choc en ouvrant le tiroir de la table de nuit. En plein milieu trônait le grand gode qu’elle avait utilisé quand je l’avais surprise en pleine séance de masturbation. Avait-elle fait exprès de me faire chercher ici ? En tout cas la pommade y était bien également.

      Elle m’attendait, assise tranquillement, son soutien-gorge de sport épousait parfaitement la forme de ses seins. Me voyant revenir elle s’allongea sur le ventre et attendit. En m’asseyant près d’elle je vis qu’elle avait également une belle trace rouge un peu en-dessous de l’attache du soutien-gorge. Quand mon doigt s’appuya à l’endroit du choc elle eue un sursaut de douleur.

      — Ah oui, là ça me fait mal. Peux-tu me badigeonner de pommade, s’il te plait ? Détache mon soutien-gorge pour pouvoir en mettre partout.

J’étais si impatient et nerveux à la fois que je dus m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y arriver, ce qui la fit bien rire.

      — Mon pauvre, tu n’as pas l’habitude de défaire ce genre de chose on dirait, me dit-elle en riant franchement.
      J’étalais quelques noix de pommade sur l’endroit enflammé et je m’appliquais à masser son dos doucement. Que sa peau était douce, c’était un bonheur de passer cette pommade, pas pour l’odeur car elle sentait l’eucalyptus à plein nez. Estelle avait mis sa tête sur le côté et avait fermé les yeux. Elle semblait apprécier mon massage car des petits soupirs sortirent de sa bouche.
      — Ah, au fait, lui dis-je, pour prendre le tube de pommade j’ai été obligé de déplacer ton gros jouet en plastique qui était juste devant.

      Je senti son corps se raidir sous mes doigts. Elle se tourna doucement vers moi et vrilla ses grands yeux dans les miens. Elle plaça doucement sa main sur mon sexe en érection bien caché au fond de mon pantalon, et elle me lança d’un air coquin :
      — Ah oui ? Et aurais-tu autre chose de mieux à me proposer ?   

      Tout en me posant cette question elle s’approcha de moi et posa ses doucement ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’infiltra dans ma bouche et s’enroula autour de la mienne. Sa main s’activait toujours sur mon sexe tendu qui devenait douloureux car à l’étroit dans mon slip. Notre baiser dura longtemps. Finalement je quittais à regret sa bouche pour la prendre dans mes bras et l’emmener sur son lit.

      Elle s’étira voluptueusement bien allongée sur le dos. M’asseyant près d’elle j’attrapais un des mamelons gorgé de désir qui pointaient vers le ciel tandis que mon autre main s’infiltrait sous son jogging à la recherche de son petit bouton d’amour. Sa fente était trempée et je n’eus aucun mal à faire pénétrer deux doigts bien profondément. J’étais tellement excité que je ne fis pas durer plus longtemps ces préliminaires. Me débarrassant rapidement de ma chemise, de mon pantalon et de mon slip, je m’installais entre ses jambes afin de lui enlever le peu de vêtements qui me cachait sa féminité.

      Son sexe béant m’apparut, luisant de cyprine. Sans plus de façon je m’allongeais sur elle et d’un violent coup de rein je l’enfilais jusqu’aux couilles. Elle remonta ses jambes sur mes fesses accompagnant mes mouvements désordonnés tout en labourant mon dos avec ses ongles. Égoïstement je ne cherchais pas à lui donner du plaisir, je ne pensais qu’à moi, trop heureux de posséder cette sublime jeune femme offerte à mes coups de butoirs. Soudain après l’avoir ramonée pas plus de cinq minutes, des ondes de plaisir montèrent du fond de mes entrailles et j’explosais propulsant de longues giclées de sperme au fond de sa matrice. Elle cria au même moment en me plantant ses ongles profondément dans le dos.

       Je m’écroulais sur elle, anéanti par ce coït bestial et brutal. Je restais planté dans son ventre de longues minutes jusqu’à ce que ma queue se rétracte. Elle me tenait dans ses bras sans rien dire. Finalement je me retirais et je pris place à côté d’elle. Mais elle ne semblait pas vouloir en rester là la coquine. Elle se tourna vers moi et vint prendre en bouche mon sexe ratatiné. Elle s’appliqua à lécher consciencieusement mon gland afin d’en retirer toute trace de sperme et de cyprine. Elle était un peu moins experte que sa mère, mais sa douce fellation raviva mon membre qui retrouva rapidement toute sa vigueur.

      Elle vint alors se placer juste au-dessus de mon membre érigé vers le plafond et le fit entrer lentement entre ses grandes lèvres. Elle s’empala jusqu’à la garde puis elle se mit à monter et descendre doucement sur mon manche tout en se caressant la poitrine. Le long de ma queue de longues traînées blanchâtre constituées d’un mélange de sperme et de cyprine s’étalaient coulant de la chatte de ma partenaire.

       Estelle vint prendre appuis avec la paume de ses mains sur mes épaules, ses gros seins se balançaient devant mon nez, elle se baissa un peu et je pus sucer l’un après l’autre ses gros mamelons tout en flattant son corps de mes deux mains, passant de sa croupe à ses épaules. Elle ronronnait de plaisir, sa peau était douce comme celle d’un petit enfant. Progressivement elle accéléra ses va et vient sur ma queue tendu comme un arc. Je sentis encore une fois arriver ma jouissance, je fus tenté de me retirer mais elle se pencha vers moi et me murmura à l’oreille :

      — Non reste en moi, je veux sentir ton foutre se répandre dans mon ventre. Ne t’inquiètes pas je prends la pilule.

      Tout en me parlant elle fit descendre son bassin tout contre moi pour m’empêcher de me retirer. Elle cria quand elle sentit ma semence se répandre dans son corps. Je n’avais jamais ressenti une telle jouissance, cette jeune femme me rendait fou d’amour. Mais je ne devais pas oublier que c’était la fille de ma femme.

      ( A suivre ….)
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