Le week-end arriva et comme à son habitude, le samedi soir, Cécile se fit plus que douce envers moi. Après sa dure semaine de travail elle voulait avoir quelques moments de tendresse rien que pour elle. Nous fîmes l’amour pendant un long moment, mais j’étais moins concentré que d’habitude, mon esprit vagabondait et je ne pouvais m’empêcher de repenser au bon moment passé avec sa fille. Elle dut s’apercevoir de mon manque de conviction car elle me demanda : — Que se passe-t-il mon chéri ? Tu n’as pas l’air d’apprécier mes caresses ce soir ?
— Si si, lui répondis-je, je suis peut-être un peu fatigué. Le fait de travailler en télétravail est finalement plus stressant que de travailler en présentiel.
Mais en discutant avec Cécile, je me rendis compte qu’Estelle était cachée derrière la porte et nous espionnait encore une fois. La savoir juste derrière cette porte me fit un effet immédiat et ma virilité retrouva d’un coup toute sa vigueur ce qui ne fut pas pour déplaire à ma partenaire. Elle s’empara de ma queue et se mit à l’aspirer comme elle savait si bien le faire. Je pris sa tête à deux mains et l’obligea à accélérer sa fellation. En moins de deux minutes j’éjaculais au fond de sa gorge profonde en poussant des grognements de bête en rut.
Cécile, après avoir avalé mon jus s’installa à califourchon au-dessus de ma queue et s’empala sans façon jusqu’à ce que sa chatte trempée vienne toucher mes couilles. Elle haletait de plaisir et ne se privait pas de faire entendre alentour qu’elle prenait son pied. Sa fille qui était aux premières loges ne devait rien perdre du spectacle. Je voyais d’ailleurs sa main s’activer en cadence dans sa petite culotte tout en se malaxant les seins avec l’autre main.
Cécile qui était en manque depuis quelques jours me creva complètement en me faisant passer par toutes les positions possibles et imaginables. Après trois éjaculations je rendis les armes en m’affalant sur le côté du lit complètement vidé, je n’avais plus la moindre goutte de foutre. Il y avait un bon moment que sa fille s’était éclipsée après avoir jouit toute seule dans son coin.
Nous vîmes le jour le dimanche aux alentours de 11h. Il avait bien fallu ces quelques heures de sommeil pour récupérer de nos joutes sexuelles de la veille. Estelle faisait ses étirements dans la salle à manger quand sa mère vint la voir pour lui dire bonjour. Elle semblait avoir la tête des mauvais jours car elle répondit à peine à sa mère.
— Qu’as-tu donc ce matin ? Lui demanda Cécile. Tu as l’air un peu remontée contre moi.
— Oh, pas grand-chose. Juste que si tu faisais l’amour un peu moins bruyamment ce serait un peu plus facile de dormir, c’est tout.
Cécile se tourna vers moi, un peu interloquée. Elle répondit un peu gênée : — Excuse moi ma puce, nous ferons un peu plus attention la prochaine fois.
Estelle me fusillait du regard. Était-elle jalouse de sa mère maintenant ? Cette situation n’allait pas être facile à gérer. J’étais un peu à l’origine de ce conflit, je me reprochais d’avoir cédé à la tentation.
— Ouais, pas grave répondit Estelle. Le week-end je prendrai l’habitude de regarder un film ou une vidéo avec un casque, comme ça je n’entendrais rien.
Elle se tourna et repris ses exercices. Cécile s’en alla préparer le déjeuner du midi, elle semblait un peu contrarier par le discours que sa fille venait de lui faire. Sans vouloir prendre la défense d’Estelle, je devais convenir que Cécile était plutôt du genre expansive quand elle faisait l’amour. Elle vivait intensément ces moments de plaisir charnel. Nous ferions bien d’être un peu plus discrets la prochaine fois.
Estelle fut distante envers moi pendant plusieurs jours, dès que je tentais de l’approcher elle trouvait toujours un prétexte pour s’en aller plus loin. Pourtant un soir, je m’étais couché vers vingt-trois heures et endormi presque immédiatement. Je mis à rêver que j’avais une formidable érection et que des lèvres très douces pratiquaient sur ma queue une fellation à réveiller un mort. Cette sensation était si présente que j’ouvris les yeux. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que je ne rêvais pas. Les lèvres si douces étaient celles d’Estelle qui s’activaient autour de mon pénis. Sa main me triturait les couilles, allant même jusqu’à m’enfoncer un doigt dans le cul jusqu’à la prostate. Cette caresse prostatique me procura une décharge électrique dans tout le corps et me fit éjaculer dans cette bouche si douce qui s’activait autour de mon membre. Elle n’eue pas le temps de se retirer, mes jets jaillirent directement dans le fond de sa gorge ce qui faillit la faire vomir tant ils étaient abondants.
Voir son corps nu contre le mien me fit sortir de ma réserve, ses courbes me rendaient fou. Sans ménagement, je m’installais entre ses cuisses en m’enfonçais d’un coup au plus profond de sa grotte trempée. Je faillis m’évanouir tant la douceur de son sexe me procurait un bien être irréel. Son sexe me pompait de l’intérieur, ses parois épousaient parfaitement la forme de mon membre en se resserrant autour et semblaient me sucer comme l’avait fait sa bouche quelques minutes auparavant. Mais je dus ralentir ma cadence car je voulais qu’elle profite pleinement elle aussi de ce doux moment de plénitude. Elle se mit à remuer lentement son bassin pour me donner la cadence et sentir mon membre la remplir entièrement. Qu’elle était belle, elle fermait les yeux profitant de ma profonde pénétration. Son corps tout entier me propulsait des ondes de plaisir que je n’avais jamais connu jusqu’alors.
Je m’installais, assis en tailleur, l’attirant vers moi, elle vint placer ses jambes autour de mes fesses et elle s’installa sur mes jambes repliées tout en faisant pénétrer mon sexe entre ses grandes lèvres. Nous pûmes dans cette position nous procurer maintes caresses qui nous menèrent vers l’extase. Elle montait et descendait doucement sur ma hampe tout en m’embrassant à pleine bouche. Quand elle sentit que j’allais éjaculer elle me serra très fort entre ses bras pour sentir mes jets se répandre au fond de sa matrice. Quelle différence entre la mère et la fille, Estelle était beaucoup plus sensuelle et aimait montrer qu’elle appréciait le corps à corps. Nous étions repus et fourbus après ces purs moments de bonheur. Nous nous allongeâmes et elle vint se lover contre moi, je la serrais tendrement entre mes bras. Ce n’était malheureusement pas une bonne idée, car le sommeil nous emporta et ce qui n’aurait jamais dû arriver se produisit …. (A suivre …)
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