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Cécile ? Estelle ? Pourquoi pas les deux ?

Chapitre 5

Surpris par Cécile

Avec plusieurs femmes
      Nous dormions, Estelle et moi enlacés tendrement, nos deux corps nus juste recouverts d’un drap, quand soudain une voix que je ne connaissais que trop s’adressa à nous :
      — Eh bien, je vois que l’on ne s’ennuie pas quand je ne suis pas là. Voilà sans doute la raison de ta mauvaise humeur de l’autre jour ma chère fille.

      Appuyée contre le chambranle de la porte, Cécile portait son regard de l’un à l’autre. Elle s’adressa à moi :
      — Alors je ne te suffis plus ? Dès que j’ai le dos tourné tu sautes sur ma fille ? Est-ce qu’elle baise mieux que moi au moins, me demanda-t-elle ? Et toi ma belle, tu ne dis rien ? As-tu appréciée la grosse queue de mon mari ?

      Elle s’approcha du lit tout en quittant ses chaussures, puis elle enleva son chemisier :
      — Puisque vous êtes si bien installés, ça ne vous dérange pas si je me joins à vous ? Ainsi mon cher mari tu pourras comparer la mère et la fille. Et toi ma belle Estelle ça te fera l’occasion de faire l’amour à trois.

      Elle se débarrassa de sa jupe et de sa petite culotte, puis elle vint se glisser à mes côtés après avoir enlevé le drap qui nous recouvraient.

      — Hum, je vois que ma proposition ne te laisse pas indifférent mon chéri dit-elle en prenant à pleine main mon membre qui commençait à gonfler. Ne sois pas timide Estelle, met ta main sur la mienne que l’on s’occupe un peu de ce pauvre malheureux qui bande tout seul dans son coin.

      Les deux femmes se mirent à me branler de concert tandis que Cécile dardait sa langue entre mes lèvres, puis elle pris le commandement de ce joyeux trio :
      — Estelle fais lui donc une bonne pipe, tu vois bien qu’il n’attend que ça.

      Dès que sa fille se fût installée entre mes jambes et qu’elle eue pris ma queue dans sa bouche, Cécile vint s’installer sur moi à califourchon et vint placer sa vulve au-dessus de ma bouche. Quelques gouttelettes s’échappaient déjà de sa fente en feu. Ma langue s’engouffra dans sa grotte humide à souhait lui procurant rapidement un premier orgasme. Estelle s’activait comme une démente sur mon gland turgescent, c’était une vraie professionnelle de la pipe. Je ne pus résister longtemps à ce traitement, m’arc-boutant, je lui déchargeais dans la gorge plusieurs jets de foutre qu’elle avala bien consciencieusement.

      — Viens prendre ma place ma fille, je veux sa queue dans mon ventre.

      Estelle ne se fit pas prier, elle vint se placer exactement à la place de sa mère. Elle plaqua sa vulve sur ma bouche et ma langue reprit de plus belle son ballet. Elle appuya ses deux mains contre le mur et balança son bassin en suivant mes coups de langue. Sa petite chatte était gorgée de cyprine et s’ouvrait comme une huitre bien charnue, son petit goût salé m’enivrait. Pendant ce temps, ma chère Cécile vint s’empaler sans ménagement sur ma queue en me tournant le dos. Elle donnait de la voix sans se priver en donnant de furieux coups de reins. Dommage, comme j’étais calé entre les cuisses d’Estelle je ne pouvais pas profiter du fabuleux spectacle de la croupe de Cécile qui s’activait sur mon engin.
      Ce n’était qu’un concert de soupirs et de bruits de succion, jamais je n’aurais imaginé faire une partie en trio avec la mère et la fille. C’était un bonheur absolu. Mais Cécile qui aimait bien changer souvent de posture s’adressa à sa fille :

      — Estelle ma chérie, viens donc te mettre devant moi que je puisse te bouffer la chatte pendant que mon cher mari va m’enculer, après on échangera nos places.

      Estelle ne désirant pas contredire sa mère vint s’installer devant elle la fourche grande ouverte. La langue de sa mère vint instantanément s’emparer avec délice du clitoris qui n’en demandait pas tant. Ce faisant Cécile me montra sa croupe prodigieuse qu’elle remua de gauche à droite attendant mon assaut. Je ne la fis pas attendre longtemps, après avoir fais quelques rapides aller retours dans sa grosse chatte trempée — afin de lubrifier mon engin — je plaçais le gland sur sa rosette offerte. Connaissant ma partenaire par cœur je lui enfilais l’intégralité de mon membre sans ménagement jusqu’à ce que mes couilles arrivent en butée sur ses fesses. De surprise elle mordilla le petit clito de sa fille qui ne pût s’empêcher de lui faire gicler dans la bouche de longs jets d’urine. Comme j’étais placé un peu en hauteur je pouvais voir le visage d’Estelle qui vivait intensément le cunnilingus prodigué par sa mère. Elle avait les yeux fermés et ses lèvres entre-ouvertes laissaient s’échapper des petits soupirs de plaisir. 

      Cécile pris pitié de sa fille. Elle se tourna vers moi et m’ordonna :
      — Viens donc rendre hommage à cette chère demoiselle qui n’en peut plus d’attendre que tu viennes la prendre sauvagement.
      Je ne demandais que ça, après m’être installé entre les cuisses grandes ouvertes d’Estelle, je plaçais doucement mon membre près de sa vulve enflammée. Voyant que je prenais mon temps elle se glissa d’un coup de talons vers moi et me fit entrer dans son antre. Son fourreau était un torrent de lave, quel délice de plonger dans ce conduit accueillant et palpitant. Cette fille était vraiment une amoureuse dans l’âme. Elle aimait faire l’amour et aimait en faire profiter son partenaire. Je m’enfonçais dans sa matrice en prenant soin de ne pas aller trop pour faire durer notre plaisir.       Sa mère pendant ce temps ne restait pas inactive. Elle me malaxait les couilles et sa main vint se placer entre mon sexe et celui de sa fille pour me branler en suivant mes coups de rein. Qu’elle extase, je n’avais jamais connu pareille expérience et je n’aurais jamais espérer vivre ce moment. Puis elle s’approcha de sa fille pour lui prendre sa bouche. Elle en profita pour titiller les mamelons de la somptueuse poitrine de la belle demoiselle. Elle ne put résister à l’envie de lui faire gouter sa vulve. Elle me tourna le dos et se positionna juste sur la bouche d’Estelle.

      — Bois ma fille le jus de ta maman, lui dit-elle.

      Quand la langue d’Estelle se mit à laper la cyprine qui s’écoulait du sexe de sa mère, cette dernière ne put s’empêcher de gémir à fendre les murs. Ce spectacle de la croupe de ma partenaire et de la langue de sa fille qui fouillait l’intimité de sa mère précipita ma jouissance. Je senti monter de mes reins une décharge électrique et j’éjaculais plusieurs longs jets dans la matrice de ma belle fille. Sa mère arriva à l’extase pratiquement au même moment en criant sans se retenir.

      Épuisés, nous nous allongeâmes tous les trois, enlacés les uns avec les autres, heureux de cette expérience inattendue. Depuis ce jour, nous ne manquons pas de nous retrouver dans le même lit dès que possible dans une parfaite harmonie….
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