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Cécile la perverse

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Cécile la perverse 2
Ce récit est établi à partir des confidences d’une amie très intime, qui m’a narré quelques-unes de ses aventures sexuelles.(Cécile, prénom changé) Mariée. Vingt-huit ans. Taille 1,58 m. Poids 49 Kg. Poitrine 80 B. Petite culotte 36/38. Signe astrologique Scorpion. Cheveux Bruns. Yeux bleus. Dossier médical nymphomanie.
    ***Cécile telle une loque git sur le lit qui vient de la voir subir les outrances des trois hommes. Christine quant à elle a été très douce avec Cécile. Les draps sont remplis de taches de sperme et de cyprine, et quelques-unes douteuses. La jeune femme a les cheveux collants de sperme, son corps n’est plus que chair meurtrie et recouvert de jute. Les coups de ceinturon ont zébré sa jolie peau laiteuse, les marques rouges ressortent sur elle comme autant de décorations qu’elle a accepté avec une grande jouissance. La douleur de son corps est bien moindre que le plaisir qu’elle a ressenti. Les trois hommes vidés lui adressent des remarques douteuses sur sa fidélité de femme mariée.
— Alors ma salope tu as bien pris ton pied ? Ton mari ne devrait pas se balader dans les bois à l’ouverture de la chasse. Avec les cornes qu’il a les chasseurs vont le prendre pour un cerf. J’espère que tu prends la pilule, car avec ce que l’on t’a envoyé dans la chatte il y a des risques que tu sois enceinte de l’un de nous trois. Par ailleurs, tu devras attendre l’accouchement pour voir qui est le père, «ah ah ah ». Et, sur ces bonnes plaisanteries, ils redescendent pour boire un coup.
Christine s’approche d’elle et lui dit.
— Ce ne sont que des porcs, je reste avec eux parce que financièrement je n’ai pas le choix. Cependant, je reconnais qu’ils me donnent beaucoup de plaisir même s’ils sont repoussants. Et, toi, tu as eu l’air de bien jouir aussi ?
Cécile admet qu’elle a énormément joui, et bien qu’ils soient plutôt crades, elle a adoré de la façon dont ils l’avaient baisée, brutalement et salement.
— Viens Cécile on va se doucher avant que l’envie de te baiser ne les reprenne de nouveau. Ces hommes deviennent vite très gourmands et ton petit cul semble beaucoup leur plaire, de plus, tu aimes les coups tout ce qu’ils adorent, le cul et la violence.
Cécile est tout endolorie, le plaisir passé la douleur reprend le dessus, mais elle ne regrette pas un instant la correction qu’elle a subie. Néanmoins, elle se sent malgré tout honteuse de sa dépravation. Heureusement, son mari Daniel est en déplacement, sinon elle aurait du mal à lui expliquer les marques sur tout son corps. Cécile se regarde dans la glace et est presque admirative et inquiète de voir jusqu’où elle peut aller dans la jouissance. C’est un peu le reproche qu’elle fait à son mari qu’il s’avère trop doux dans leurs rapports. Plusieurs fois, elle lui a forcé la main pour la fesser, ou lui mettre quelques gifles, mais cela ressemble plus à des caresses qu’à de vraies claques.
Christine l’entraine sous la douche, les aiguillons d’eau brûlants cinglent leur peau, le contact de leur corps se fait plus pressant, elles s’embrassent, se caressent l’intimité, puis se masturbent mutuellement. Leurs langues se mélangent, la salive perle aux coins de leurs lèvres, lavée aussitôt par l’eau de la douche. Les gémissements s’étouffent au fond de leurs bouches. Épuisées chacune jouit dans la main de l’autre, Cécile inondant les doigts de Christine, qui s’empresse de les lécher.
Elles se donnent un dernier baiser rempli de tendresse. Après s’être séchées les deux jeunes femmes se rhabillent. Cécile en prenant son sac à main le voit ouvert, pourtant elle ne se souvient pas de l’avoir laissé ainsi. Méfiante, elle inspecte son réticule pour voir si rien n’a bougé, seule sa carte d’identité est sortie de son portefeuille, Cécile se dit que lors d’un achat, elle ne l’a pas remise en place. La jeune femme commence à se vêtir, elle ramasse son string et s’aperçoit qu’il est rempli de sperme, les salops se sont essuyé la queue avec. Elle le jette et ne remet que son mini-short et son corsage. Christine lui demande.
— Cela te plairait que l’on se revoit, juste nous deux ? Cécile hésite un instant puis par Bluetooth lui donne son numéro de mobile.
Un rapide baiser sur les lèvres de Christine et Cécile redescend dans le bar. Les trois hommes semblent bien éméchés, la voix rocailleuse et pâteuse de Jo interpelle Cécile.
— Alors ma jolie quand se revoit-on ? Cette petite soirée avec une salope dans ton genre ne doit pas rester sans suite. En même temps il lui met la main aux fesses, pendant que Karim lui pelote les seins, ils l’embrassent tour à tour, ils empestent l’alcool. Cécile pour ne pas faire d’histoire lui répond qu’elle leur téléphonera, n’en pensant pas un mot. Bien que la partie de jambes en l’air lui ait beaucoup plu elle sait qu’avec ce genre de personnages cela ne peut qu’aboutir à des ennuis dans son couple.
Igor lui a fait le plein d’essence, il lui fait remarquer en terme grivois.
— Je t’ai fait le plein ma chérie. C’est quand tu veux pour te refaire le plein de ta chatte dès que tu as envie, viens nous voir.
Les images des trois hommes lui remplissant la chatte lui traverse furtivement l’esprit. Elle sourit à Igor et monte vite dans son véhicule avant d’avoir l’envie de recommencer une nouvelle partie de baise avec eux. Une fois sur la route Cécile se demande s’il ne faudrait pas qu’elle consulte un psy. Sa dépendance au sexe la pousse de plus en plus vers un besoin de s’avilir, de se laisser souiller. De plus, elle repense à ce qu’elle vient de faire, se donner à Jo qui la dégoutait, sucer un Arabe à la queue sale et puante, et Igor guère plus propre.
Seule sa relation avec Christine lui parait normale. Et, malgré tout cela, elle n’arrive pas à éprouver de remords vis-à-vis de son mari.Jusque-là elle a eu des amants, pas tous très top, l’occasion faisant le larron. Cécile est plus excitée par l’imprévu que par le physique d’un homme. Elle se rappelle quand elle a eu une relation avec son beau-fils qui l’avait surprise nue dans la salle de bains. Cécile avait un peu protesté pour se donner bonne conscience, mais lui a vite offert sa chatte et son cul en l’absence de Daniel. Le voisin de soixante ans ventripotent, qui sous prétexte de ne pas arriver à envoyer des mails avec son pc, elle l’a laissé la tripoter et lui a taillé une pipe avec éjaculation dans la bouche vite avalée. Le copain black de son mari qui l’a baisé sur le lit conjugal, etc. Elle ne se rappelle même plus toutes les aventures d’un soir ni le nombre d’hommes qui lui sont passés dessus depuis son mariage. Pourtant, elle adore son mari, pas un instant, elle ne pense le quitter. Cependant, son besoin de plus en plus de sexe est trop fort pour résister à une aventure extra conjugale.
Néanmoins, son mari lui fait bien et souvent l’amour quand il n’est pas en déplacement. Mais, cela ne lui suffit plus, elle en a parlé à son docteur qui lui a diagnostiqué une légère nymphomanie, Cécile préférant gérer, que de se gaver de médicaments du genre antidépresseurs, anxiolytiques ou autres. Elle ne tarda pas à céder à ses avances lors d’une consultation, se laissant baiser sur le lit médical du cabinet. Son docteur faisant fi de la déontologie devant ce joli corps aux formes d’ado, la baisa comme une petite pute, mais très honnête, il ne lui fit pas payer la consultation. Comme elle est de nature optimiste, elle chasse vite les idées néfastes de son cerveau pour ne repenser qu’au plaisir que ces trois salops viennent de lui donner. Sans petite culotte, elle risque de mouiller son siège, heureusement, c’est du cuir. Cependant, elle ne se doute pas qu’elle aura vite de leurs nouvelles…
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