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Cécile la perverse

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Les aventures perverses de Cécile 6
Cécile interroge ses amants sur la route à suivre, Ousmane lui fait prendre celle-ci pour aller à Pleucadeuc. Pas loin de cinquante kilomètres de chez elle, son mari ne la cherchera jamais aussi loin. Quarante-cinq minutes plus tard, elle arrive enfin, Ousmane lui fait prendre le chemin d’une zone industrielle, puis lui dit de s’arrêter devant une usine désaffectée, il lui annonce qu’ils sont arrivés.
— Vous n’habitez quand même pas là-dedans, demande Cécile, Amadou lui confirme qu’ils habitent bien dans le squat. Interloquée Cécile leur dit qu’elle va repartir.— Ne fais pas cela petite princesse, vient prendre le thé de l’amitié avec nous, et en lui disant cela, il prend les clés de contact de la voiture.
Cécile commence à se questionner si elle a bien fait de partir de chez Jo. Comme elle n’a pas le choix, elle descend de sa voiture et suit les deux hommes. La surprise, c’est qu’ils n’habitent pas seuls dans ce squat. Il y a une dizaine de personnes dont deux femmes. Ousmane salut les hommes et ignore les femmes qui se tiennent en retrait. Il présente Cécile à ses amis en leur expliquant que c’est leur petite femme blanche. Les hommes éclatent de rire et lui répondent en wolof.
— Ils disent que tu es belle et que l’on a de la chance d’avoir fait l’amour avec toi, et qu’ils aimeraient bien te goûter.
Cécile lui dit que ce n’est pas parce qu’elle a couché avec eux qu’elle va se taper tous ces hommes. Dans le groupe qui fait cercle autour d’eux il y a trois qui paraissent avoir une soixantaine d’années et cinq dans la trentaine.
— Viens, ne t’inquiète pas, ils sont très gentils lui dit Amadou, en la prenant par la taille pour l’amener dans une pièce meublée de vieux canapés, de tapis crasseux et quelques matelas dans le fond de la pièce. Il lui demande de s’asseoir en tailleur sur le tapis pour prendre le thé. Les jeunes filles apportent les tasses sur la table basse et versent le thé sans dire un mot puis se retirent. Amadou allume un joint et le fait tourner, quand le tour de Cécile arrive elle hésite, mais Ousmane lui fait les gros yeux. Ne voulant vexer personne, Cécile porte à sa bouche le joint qui a fait le tour de la table et aspire une bouffée.— Finis de fumer princesse, tu es l’invitée, ce serait offensant de refuser ce que les hommes t’offrent, lui intime Ousmane.
Cécile ne connait pas les traditions et afin de ne pas contrarier les hommes, aspire-les quelques bouffées qui restent. Elle se sent flotter d’un coup, son corps devient entièrement indépendant de son cerveau, pourtant elle fume parfois quelques joints sans être accro. Cécile ne proteste pas quand Amadou lui caresse les seins devant tous. Le vieux noir qui se trouve côté d’elle, parle en wolof à Ousmane, la jeune femme voit Ousmane acquiescer de la tête, puis toper dans la main de l’ancien. Le vieux la prend par la main et la fait se lever, Cécile sur un nuage se faire et le suit jusqu’à une sorte de paillasse. Il lui fait signe de lever les bras, Cécile obéit et le vieux lui ôte son chandail laissant apparaitre ses jolis petits seins. Les autres hommes poussent un « oh » d’admiration, Cécile analyse ce qui se passe, mais n’a aucune volonté pour réagir, l’ancien lui déboutonne son jean et le fait descendre aux pieds.
Cécile prend appuis sur les épaules du vieux pour lever ses pieds afin qu’il la débarrasse de son dernier vêtement, et se montre nue devant tous. Il la reprend par la main, puis la fait tourner pour que tous voient ce joli corps d’un blanc laiteux, qui contraste avec leur peau très noire. Ousmane s’approche d’elle et lui glisse à l’oreille.
— Je viens de t’offrir au chef, c’est mon cadeau pour sa bienveillance sur nous, désormais tu es sa troisième épouse, honore-nous soit obéissante avec lui.
Cécile vit cela comme un rêve, elle n’a ni la volonté, ni la force de se rebeller, elle accepte avec indifférence d’être offerte à ce vieil homme. Il a le visage tout ridé, il fait penser à un vieux parchemin, de gros yeux globuleux le fond jaunâtre, quand il sourit Cécile voit que deux dents noircies par les caries. Cependant, elle le laisse coller sa bouche à la sienne et introduire sa langue rapeuse entre ses lèvres, elle en est à se demander comment ce vieux fait naitre dans son ventre ce nœud qui lui tord tous les muscles. Il enlève son boubou puis laisse apparaitre un corps squelettique tout décharné, elle pense à un cadavre qui commence à lui caresser le corps. Les mains calleuses la parcourent, comme pour imprimer l’image de ses courbes dans son cerveau. Les autres se sont approchés et forment un cercle autour d’eux. Cécile les entend parler entre eux et la dévorer des yeux.
La jeune femme pose un regard sur l’entrejambe du chef et stupeur, un sexe encore plus long et plus épais que celui de ses deux amants. Le chef lui fait signe de se mettre à genoux, la jeune femme pense que décidément elle n’oubliera pas ses deuxièmes nuits de noces. Il avance sa queue qui ressemble à une batte de base-ball vers son visage puis lui fait signe de sucer en se léchant le doigt. Toujours comme hypnotisée, elle se saisit du totem et passe sa langue sur le gland véritable poing de chair. Le sexe du vieillard a une horrible odeur d’urine et des taches blanchâtres genre fromage blanc parsèment son gland circoncis. Le chef n’a pas dû se laver depuis des mois. Cécile comme une somnambule le lèche malgré tout rien ne la rebute dans l’état dans lequel elle se trouve. Pendant la fellation, elle regarde autour d’elle et découvre que tous les hommes se sont mis nus. Elle comprend que tous vont la baiser derrière le vieux.

Se faisant à cette idée, elle continue de faire reluire le gland du vieillard, ses doigts n’arrivent pas à faire le tour du champignon. Cécile s’interroge, sa chatte supportera-t-elle la pénétration de cette poutre ? Le chef appelle une des jeunes filles, une superbe Africaine portant une robe aux couleurs chamarrées. Elle ôte sa robe découvrant un corps de statue noire, deux seins en formes de poires à peine formés ornés de deux épais mamelons ronds. Son ventre bien plat se termine entre ses cuisses par une belle toison brune frisotée. De plus, elle a un visage fin et lisse, comme une peau de pêche. Ses fesses petites et rebondies font penser à une ado. La jeune fille fait allonger Cécile sur la paillasse qui sert de matelas et lui fait écarter les cuisses, puis replier les jambes comme pour un accouchement. La jeune fille trempe sa main dans un pot d’huile parfumée et commence à lui introduire les doigts serrés dans la chatte.
Cécile s’arc-boute sous la douce introduction offrant son sexe à la jeune fille, celle-ci pénètre de plus en plus l’intimité de Cécile. Bientôt ses cinq doigts sont rentrés, elle continue de faire progresser sa main en pratiquant un mouvement de rotation. Sa main est fine, elle réussit à entrer jusqu’au poignet, puis l’avant-bras. La main est entièrement dans la chatte de Cécile qui s’est relâchée et a ainsi facilité le fistage de la jolie black. La main fouille son vagin, arrive à l’utérus. Cécile ne peut plus retenir un flot de cyprine, en gémissant de plaisir, elle jouit abondement. Le chef fait signe à la fille se retirer sa main, ce qu’elle fait en douceur, touchant au passage le point G de Cécile provoquant un nouveau lâché de cyprine. La jolie noire est vite happée par les hommes qui l’allongent sur le matelas voisin et se mettent à la baiser chacun leur tour. Cuisses ouvertes, Cécile subit les assauts de tous les hommes prenant très peu de plaisir.
Le chef se couche sur Cécile et introduit son gros gland dans la chatte de Cécile entrebâillée grâce au fistage de la jeune noire. Malgré sa chatte béante, le sexe du vieillard vu sa grosseur éprouve des difficultés à rentrer. Cécile se sent déchirée bien qu’elle le supplie d’arrêter, il continue de forcer la moule de sa nouvelle femme, centimètre par centimètre, il arrive enfin à ce que la chatte de Cécile s’ouvre à son gourdin. Dans une dernière poussée, il est au fond. La main de la petite noire semblait bien moins grosse à Cécile. Il la laisse se détendre un peu puis se met à la baratter fermement. La chatte de la multi-jeune mariée accepte l’énorme chose qui la force, elle se laisse aller et sent la jouissance monter chaque fois qu’il bute sur son utérus. Sa queue est tellement grosse qu’elle frotte sur le point G de Cécile à chaque va-et-vient, ce qui a le don d’aussitôt la conduire au bonheur.
Cela fait plus de trente minutes qu’il est en elle et continue de lui matraquer la chatte. Cécile ne sait même plus le nombre d’orgasmes que lui a procurés cette queue hors du commun. Jamais un homme ne l’a amené à une telle jouissance, elle éprouve de la honte de prendre tant de plaisir avec ce vieillard. Quand enfin il sort d’elle le sperme coule à flots, sa chatte est béante semblable à celle d’une jument prise par un étalon. Ousmane vient près d’elle et lui demande.
— Alors princesse, tu as bien joui, tu aurais vu ton visage lorsque le chef te baisait, tu paraissais affreuse tant celui-ci était déformé par le plaisir. Tu faisais peur, as-tu retrouvé tes esprits, car les autres veulent aussi goûter à une blanche ?
Cécile revenue un peu à la réalité se dit qu’inévitablement, ils vont la baiser de gré ou de force. Alors autant accepter et prendre un peu de plaisir que de subir et ne pas jouir. Toute ragaillardie, elle s’adresse aux hommes.
— Lequel me baise en premier ?
Elle reste les cuisses écartées, provocante, la chatte demeurée largement ouverte. Un jeune à qui elle ne peut pas donner d’âge est poussé vers elle. Devenue de nouveau salope, Cécile l’encourage à s’introduire dans sa grotte. Bien qu’il soit monté de belle manière avec ce qu’elle a pris dans sa chatte lui parait bénin. Le jeune s’active dans la jeune femme frénétiquement, il ne met pas longtemps à se vider les bourses dans le vagin inondé de Cécile. Elle n’a même pas eu le temps de jouir, heureusement un autre vient prendre sa place et cette fois bien qu’il jouisse vite aussi elle prend son pied. Tous les Africains se succèdent plusieurs fois en elle le sperme lui coule de sa chatte à son cul, elle jouit de partout. Amadou lui demande de se mettre en levrette. Cette fois son cul est la cible. Avec effroi, elle voit le chef s’avancer vers elle, la batte est de nouveau dressée, Cécile s’affole et refuse, mais rien n’y fait, elle est tenue par le jeune qui l’a baisé en premier.
Le chef appelle une des filles qui apporte une tasse remplie d’un liquide saumâtre à l’odeur repoussante. Cécile refuse de boire, on lui pince le nez et lorsqu’elle doit ouvrir la bouche pour respirer la femme lui verse dans la bouche. C’est infect à boire, la jeune fille lui maintien les mâchoires pour qu’elle ne recrache pas. Vaincue, elle avale tout. Elle sent de nouveau son corps se détendre, elle reste en levrette se soumettant au viol de son petit cul par le bélier du chef. La souffrance qui s’annonce ne lui fait plus peur. L’autre jeune fille recommence avec son cul ce que l’autre lui a fait à la chatte. Jamais on ne lui a fisté l’anus. Cécile s’en remet à la dextérité de la jeune fille. Cela est plus difficile que dans son vagin. L’anneau anal résiste un moment avant de se relâcher d’un coup, toute la main de la jeune fille disparait dans son anus, une étrange impression que cette main qui fouille ses entrailles. Cécile trouve cela loin d’être désagréable.
La jeune black lui fouille un moment le rectum puis retire doucement sa main. La rosace de Cécile n’a pas le temps de se rétracter, que le vieillard commence la sodomie de la blanche, sa grosse queue noire s’enfonce lentement dans le cul de Cécile. Elle ne sait pas si c’est ce qu’on lui a fait boire qui empêche la douleur, elle ressent que ses chairs s’ouvrent au fur à mesure que le pieu la pénètre. C’est comme si son trou du cul et sa chatte ne faisait plus qu’un. Cécile à l’impression d’être baisée et enculée en même temps idem comme si le chef la prenait en double tout seul. Les Africains poussent des cris de victoire pour honorer le vieil homme qui a réussi à faire pénétrer ses quarante centimètres de chair durcie dans l’étroit fondement d’une blanche. La situation est étrange, comme un rite dont Cécile est l’objet du sacrifice. Un rituel qui ne parait pas déplaisant, nonobstant le sexe du chef qui ne parait pas humain, mais celui d’un équidé.
Le cul de Cécile vient de battre un record de pénétration. Son côté franchouillard lui ferait presque chanter la "Marseillaise" Le chef en signe de victoire lève les bras et commence une lente sodomie.
Cécile est tellement remplie que quand le vieillard veut ressortir, le cul de Cécile suit, alors le chef la prend par les hanches afin de pouvoir coulisser dans les entrailles de la jeune femme. Il la fornique de plus en plus fort, Cécile défaille de bonheur, elle ne retient plus ses encouragements à son dominateur.
— Ah que c’est bon vas-y jouis-moi dedans, envoie ta purée salop, enculez-moi tous. Le vieillard a dû lui jeter un sort d’amour.
Si son mari la voyait, il deviendrait fou de voir sa femme possédée comme une adepte du Vaudou.Le chef pousse un cri, et Cécile sent un tsunami de sperme lui remplir les intestins, le ventre, c’est brûlant, épais comme de la lave qui s’écoule dans son ventre. Elle jouit telle une bête, elle pleure, a l’impression de succomber de plaisir. Cécile s’écroule sur la paillasse, le cul en l’air, le sperme ressort de ses fesses par vagues. Ce n’est pas un homme qui l’a prise, mais un sorcier. La jeune femme n’a pas le temps de se remettre que tous viennent profiter de ce beau cul ouvert et inondé. Cécile ne sent plus rien à part les longues giclées qui en font un dévidoir à sperme.
Les hommes retournent boire un thé, laissant la jeune femme inerte et secouée par les spasmes des multiples orgasmes qu’elle a ressentis. Au bout d’une heure la jeune femme reprend ses esprits, une couverture est sur elle. En baillant, elle se lève, son corps est brisé par les courbatures. Elle est étonnée d’être toute propre. Amadou lui explique que les filles lui ont fait sa toilette. Son corps est enduit d’huile parfumée, rassasiée de sexe Cécile rejoint le chef et se pelotonne contre celui qui lui a fait connaître une jouissance irréelle. Assurément, il a des pouvoirs. Amadou lui tend son mobile et lui dit.
— Ton mari n’arrête pas d’appeler, il y a des textos, on n’a pas répondu.
Cécile en prenant le mobile voit la date ainsi que l’heure. C’est impossible, il doit être déréglé.
— Nous ne sommes pas lundi quand même ? Interroge-t-elle. Ce à quoi Ousmane lui confirme la date.
Cela fait plus de deux jours qu’elle est dans ce squat.
— Tu ne voulais plus partir, tu as fait l’amour avec nous tous pendant les deux jours. Tu as réclamé l’élixir d’amour plusieurs fois, en principe une tasse suffit, tu en as bu un demi-litre. De plus, tu as supplié le chef de te sodomiser de nombreuses fois, les hommes t’ont prise en double, tu leur demandais de t’engrosser. Toute la tribu a tout fait avec toi et même les filles, vous avez fait l’amour, on ne pouvait plus t’arrêter. C’est toi la première femme blanche à avoir épuisé tous les hommes. Même le chef ne bandait plus. Par ailleurs, il a cru que tu étais une sorcière qui lui avait ôté ses pouvoirs. Le chef veut que tu partes et ne revienne jamais. Il craint d’être amoureux de toi.
Amadou en cachette lui donne une fiole contenant de l’élixir d’amour, en lui recommandant d’être prudente sur la quantité à utiliser. Cécile renfile son chandail ainsi que son jean fait un petit signe de la main à ses multiples amants puis regagne sa voiture. Comment expliquer tout ça à son mari, jamais il ne va la croire…
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