Cécile la perverse 7Le mari de Cécile commence d’avoir des remords d’avoir abandonné sa femme chez Jo, elle a disparu depuis deux jours. Il n’ose pas téléphoner à la police et leur dire qu’il a laissé sa femme en train de se faire partouzer pour rentrer avec une maitresse chez lui pour la baiser en toute tranquillité. Il ne sait vraiment pas quelle conduite adopter. Enfin le lundi après-midi son mobile sonne, c’est avec soulagement qu’il voit que l’appel vient de sa femme. Il prend l’appel et entend un flot de paroles incompréhensibles tant le débit est rapide. — Calme-toi, explique-moi plutôt ce qu’il t’est arrivé, la dernière fois que Jo t’a vue, tu te tapais deux ébènes montés étalons. Cécile lui raconte brièvement l’aventure avec les blacks, l’ancien qui avait une queue de quarante centimètres, deux jours à se faire démonter la chatte et le cul par une tribu de Sénégalais, l’élixir d’amour. Daniel est mort de rire. Il pense que sa femme s’est droguée ou a bu. — Bon, allez chérie, rentre, tu es pardonnée, promis, je ne me fâche pas, quoique tu aies fait. Daniel n’osant pas la ramener, ayant laissé sa femme avec un tas de salops pour baiser Christine toute une nuit. En lui pardonnant, il garde la position du mari trompé qui n’a fait que se venger. Deux heures plus tard, Cécile arrive enfin chez elle. Daniel la prend dans ses bras, l’embrasse tendrement et lui fait part de son inquiétude. — Ton parfum est envoutant ma chérie pour une femme qui vient de se faire passer dessus par une tribu de blacks, tu ne serais pas allée chez un amant par hasard ? Visiblement, il ne la croit pas. Cécile baisse son jean et s’asseyant elle lui montre sa chatte béante et sa petite rondelle dans le même état. Daniel n’en revient pas de voir ses orifices ouverts comme cela, c’est impossible, elle a copulé avec un cheval pour être ouverte de la sorte. Cécile lui explique le fistage vaginal et anal subit et l’ancien au sexe de quarante centimètres. Content qu’elle ne lui parle pas de sa fuite avec Christine, il la plaint et fait semblant de la croire. — Veux-tu prendre un verre pour te remettre, ma chérie ? Cécile acquiesce et Daniel lui sert un Cardhu dix-huit ans d’âge bien tassé sans glace. La jeune femme en boit deux bonnes gorgées et se sent mieux. Daniel n’a pas l’air de l’avoir cru, mais Cécile n’en a cure. Le principal, c’est qu’il ne cherche pas en savoir plus. Cela ne dure pas, perfide il lui rappelle leur contrat, que de l’avoir trompé elle fera ce qu’il a envie avec qui il désire. Cécile se rebiffe en lui rappelant qu’il l’a abandonnée pour sauter sa copine Christine et que cela annule le contrat. Que s’il veut divorcer après tout cela ne lui pose pas de problème. Après une âpre dispute, ils se mettent d’accord pour s’amuser chacun de leur côté, ou bien Cécile, s’il a besoin d’elle pour quelques soirées, elle le dépannera. Les deux sont d’accord pour parachever le pacte de paix. Daniel en réalité ne tient pas à se séparer de Cécile, il l’aime et de plus ce n’est pas au quotidien qu’il trouvera une femme aussi ouverte que la sienne. Ils vont au lit et Cécile suce son mari, avec tout son savoir, car lui prendre la chatte ou le cul, il doit attendre un peu que cela se rétracte. Les jours passent tranquillement, Christine est revenue plusieurs fois voir Daniel, qui s’est régalé de la voir, faire l’amour avec sa femme et ensuite les baiser l’une après l’autre. Cécile s’est adaptée à cette nouvelle vie. Évidemment, l’envie d’aller regarder un peu ailleurs la travaille. Un après-midi s’ennuyant, elle téléphone à Ousmane pour prendre de ses nouvelles. — Bonjour princesse, comment vas-tu. Cela fait un moment, je me suis ennuyé de toi, ton petit cul va bien, il ne s’ennuie pas de nos grosses queues ? Cécile lui demande s’il ne connait pas un homme bien monté et fiable pour une petite rencontre.
— Dommage que l’ancien ne veuille plus de moi, cela m’aurait fait plaisir de refaire l’amour avec lui. — Je lui ferai part de ton désir, mais je ne te promets rien ma gazelle, toutefois en attendant, je connais un type hyper bien monté, qui se ferait bien une petite française. C’est un Maghrébin, tu es dénuée de préjugés d’après mes souvenirs ?Cécile se moque des religions et des origines, pour elle seule le plaisir compte. — Tu sais bien que je me moque des origines gros bêta, il est de quel coin ? Ousmane lui indique une petite rue de Vannes vers le port. — Un petit détail, il a 62 ans, mais sexuellement d’après les dire, il est très performant au lit. Cécile ne réfléchit pas longtemps, l’idée de se faire baiser par un ancien lui convient parfaitement. Et, elle répond à Ousmane. — Parfait, comment procède-t-on pour que la rencontre et où ? Ousmane l’informe que si elle veut demain, ce sera possible.Cécile, toute heureuse, fait une grosse bise virtuelle à Ousmane, et lui dit qu’elle attend son appel.Le lendemain matin, alors qu’elle sort nue de la salle de bains, son mari lui apprend qu’Ousmane venait d’appeler et que l’arabe l’attend à la gare de Vannes à 14 heures. — Tu vas encore te faire baiser par des personnes âgées ma chérie, tu me raconteras s’il te plait ? Cécile voit dans ses yeux une certaine excitation et devine qu’il souhaiterait bien assister à ça. — Promis, je te raconterai si tu me racontes ta nuit avec Christine et tes copains. Ils se promettent de tout se dire, leur couple fonctionne beaucoup mieux depuis leur mises au point sur leurs rapports avec d’autres partenaires. L’amour est revenu.Cécile, vêtue d’une petite jupe large écossaise, des bas noir intense, un string et un soutien-gorge de même couleur, file sur la gare de Vannes, à 14 heures pile elle est devant celle-ci. Ousmane l’a informé qu’il a envoyé une photo d’elle à son futur amant et qu’il va l’aborder. Cécile attend une demi-heure et est prête à repartir, lorsqu’elle voit un vieil homme en djellaba s’approcher d’elle. C’est dur de lui donner un âge, il parait avoir plus que la soixantaine, Ousmane a dû le rajeunir, ou alors il vieillit mal. La jeune femme se dit que puisqu’elle est là, elle verra bien comment ça se passe. Moussa se présente à la jeune femme, et lui propose de prendre sa voiture, ce qu’elle accepte. À sa grande surprise, une MERCEDES classe E5 coupé les attend et un jeune homme fait office de chauffeur. Moussa lui présente. — Rachid mon neveu, il vient d’arriver d’Algérie, je lui ai montré ta photo, il te trouve magnifique. Cécile s’interroge si elle ne va pas devoir coucher avec les deux, Rachid est bel homme, Moussa lui a dit qu’il a 18 ans, il en parait 20.Arrivés devant un vieux pavillon, Rachid arrête la voiture et va ouvrir la portière à Cécile. Celle-ci descend et vu la courtesse de sa jupe offre la vue de son string à Rachid, la coquine voit son regard et prend tout son temps pour descendre et faire remonter un peu plus sa jupe. Rachid ne peut plus ignorer que Cécile fait exprès de lui montrer ses charmes. Il voit le petit morceau de tissu ébène qui cache tout juste le minou de la jeune femme. Sa peau pâle ressort parfaitement avec le noir du string. Moussa prend Cécile par la main et lui fait grimper les trois marches pour accéder dans l’entrée de la vieille demeure. C’est vraiment vieillot, pratiquement pas meublé, beaucoup de tapis aux murs au sol. Des objets de cuivre, elle se retrouve dans un décor maghrébin. Moussa frappe dans ses mains et aussitôt une jeune fille apparait, elle est magnifique, vêtue comme dans Les Mille-et-une Nuits. Sous le voile qu’elle porte, on devine ses traits fins, des cheveux noir corbeau, ses grands yeux sombres illuminent le haut de son visage, grande, des cuisses fuselées, une imposante poitrine. Cécile est conquise par une telle beauté. Moussa lui présente. — Nadia, ma petite nièce, elle aide à l’entretien de la maison. Cécile, l’esprit toujours mal placé, pense qu’une telle beauté ne doit pas faire que le ménage de la maison. Moussa ordonne à Nadia de servir le thé. Ils prennent place sur le tapis devant une table basse. Cécile assise en tailleur ne cache plus rien de son string, Moussa assis en face d’elle, s’il a encore une bonne vue doit être satisfait de voir le renflement du string, annonçant un abricot proéminent. Nadia revient avec la théière et trois tasses. Cécile s’adresse à elle, et lui demande si elle ne prend pas de thé avec eux ?Moussa lui explique qu’elle est une invitée, Nadia non, qu’elle le prendra à la cuisine.Cécile ne l’entend pas de cette oreille et insiste pour que Nadia vienne avec eux. Moussa et Rachid semblent contrariés, mais devant l’insistance de Cécile finissent par accepter.Le thé pris, Moussa invite Cécile à venir se rafraichir dans la salle de bains. La gazelle devine que Moussa a envie de la voir à poil. Effectivement, une fois dans ce décor de mosaïque, Moussa s’assoit sur un pouf et guette la jeune femme. Cécile se dit que finalement, elle est là pour se faire baiser. Sans pudeur, elle ôte son haut, sa jupe et offre la vue de son petit corps d’une blancheur absolue vêtu de soie noire. Afin d’exciter Moussa, elle lui réclame de dégrafer son soutien-gorge. Moussa de ses mains tremblantes s’escrime sur l’attache et arrive à libérer les deux petites poires de la jeune femme. Elle se tient droite devant Moussa et l’invite à ôter ce qu’il ne juge pas nécessaire. Le vieux n’hésite pas et descend le string. Alors, il prend son temps pour le faire glisser le long des cuisses de Cécile, dévoilant l’abricot bien bombé de la jeune femme. Enfin arrivé en bas, Cécile lève ses pieds l’un après l’autre qu’il puisse dégager le minuscule morceau d’étoffe, montrant les lèvres de sa petite chatte. Moussa la prend par les fesses pour la faire approcher près de son visage, il hume la peau parfumée de Cécile, elle frémit quand il colle ses lèvres décharnées sur son minou. — Voulez-vous que je prenne une douche avant ? Moussa murmure à Cécile. — Non, je souhaite sentir ton parfum de femelle en chaleur, tu sens la chienne qui a envie de se faire engrosser par un mâle, tu peux me tutoyer petite kahba. Cécile sent la langue de Moussa fouiller entre les lèvres de son minou, lui écartant pour soulever le capuchon protecteur de son clito. Cécile ne tarde pas à gémir sous cette douce caresse. Elle saisit la tête de Moussa et la colle contre son ventre bouillant. Cela fait un moment que Cécile n’a pas eu de rapports avec un inconnu, la situation qui l’excite le plus. Même s’il n’est pas de première jeunesse, Moussa sait y faire pour la chauffer à blanc. Sa langue tourne autour du clito gonflé de Cécile tel un minuscule pénis. Le mordille, l’aspire, Cécile ne tient sur ses jambes que parce que Moussa la tient fermement par les fesses. Des onomatopées sortent de la bouche de la jeune femme, Moussa sait que désormais elle lui appartient et est soumise. Tout en continuant sa caresse buccale, il lui glisse un doigt dans l’anus, Cécile se cabre offrant encore plus son minou à Moussa. La masturbation de son petit cul plus le cunni de Moussa la font exploser. Elle inonde le visage de l’ancien de quoi lui faire un masque de beauté, il ne s’en offusque pas et boit la liqueur comme un chat sa gamelle de lait. Ainsi, il ne s’arrête que lorsque Cécile a fini de se vider. Moussa la lâche et elle se repend sur le sol ivre de bonheur. Moussa amortit sa chute sur le sol. Cécile git par terre, cuisses ouvertes, les lèvres de sa chatte sont légèrement gonflées par la succion de son vieil amant. Moussa frappe dans ses mains et Nadia apparait aussitôt, comme si elle se tenait toujours à portée de son grand-oncle. Elle aide Cécile à se relever. Cécile avoue à Moussa que cela fait un moment que l’on ne lui a pas léché la minette aussi bien.Moussa la remercie pour sa gentillesse et ordonne à Nadia de lui faire sa toilette avant de lui amener la jeune femme dans sa chambre. Nadia frotte le corps de Cécile avec douceur, insistant sur les endroits érogènes de la jeune femme. Cécile vibre de nouveau. Nadia ôte ses vêtements mouillés et Cécile est estomaquée, par la beauté juvénile de ce corps à la peau mate. Ses gros seins plantés haut sur le torse, aux mamelons violacés avec de larges aréoles, donnent envie à Cécile de les lécher. La toison brune de sa chatte parait fine et soyeuse, ses fesses rebondies, bien rondes sont un appel à la caresse. Cécile, trop tentée, approche une main et s’empare d’un sein lourd et majestueux. Nadia ne s’oppose pas à la caresse et laisse Cécile soupeser sa mamelle, jouer avec le mamelon, puis s’emparer du second en approchant ses lèvres vers les siennes. Nadia et Cécile ferment les yeux et s’embrassent tendrement, leurs langues jouent un ballet dans leurs bouches. La salive se mélange, le contact des seins de Nadia dans ses mains, chauds et lourds, excitent Cécile.La jeune femme se met à genoux et enfouit son visage entre les cuisses de Nadia, qui s’ouvrent aussitôt. Les poils sont odorants des effluves agréables émanent du sexe de la jeune arabe. Cécile écarte les poils pour découvrir l’abricot aux lèvres foncées, qui, une fois écartées, s’ouvrent sur un joli corail rose bonbon. Nadia attire la tête de Cécile, contre le léger rebondi de son ventre et se met à psalmodier en arabe sous la caresse linguale de Cécile. Quel régal ce doux minou, Cécile n’ose pas poser la question, cependant elle aimerait savoir si Nadia est vierge. Elle la lèche jusqu’à ce que Nadia dans un râle inonde le visage de Cécile qui se repait de cette liqueur de jouvence. Cécile recueille la cyprine sur sa langue et avale avec un réel plaisir. Nadia se rhabille et remercie Cécile du plaisir qu’elle vient de lui procurer. — Viens, je dois t’amener à mon grand-oncle, il doit avoir envie de toi, tu es tellement jolie, il adore les Françaises, tu auras beaucoup de plaisir, c’est un excellent amant. Cécile ne se pose plus la question sur la virginité de Nadia, le vieux a l’esprit de famille très développé. Nadia introduit Cécile dans la chambre de son futur amant, le salue puis se retire, laissant Cécile en tête-à-tête avec Moussa. Il fume le narguilé, il invite Cécile nue à venir s’assoir sur les coussins qui recouvrent le sol. Cécile se met près de lui, Moussa lui donne la pipe, Cécile tire quelques bouffées. Le tabac lui tourne un peu la tête, elle ne fume jamais. Peut-être n’y a-t-il pas que du tabac dans le narguilé. Cécile en re-fume plusieurs fois et se sent toute légère. Enfin Moussa prend une initiative, il remonte sa djellaba et découvre un sexe circoncis de belle taille, bien veiné comme Cécile les aime. Il s’allonge et dit à Cécile de le sucer, la jeune femme s’apprête à le faire lorsque Rachid rentre dans la chambre munit d’un caméscope. Cécile s’étonne et questionne Moussa sur ce que ça signifie. — Je filme tous mes ébats avec les Françaises et ensuite je vends les vidéos au pays, ils sont très friands de voir un de leur compatriote bourrer le cul des filles de ta nationalité, sûrement un relent du passé. Cécile n’y voit pas trop d’inconvénients, même une certaine excitation de savoir qu’en Algérie et ailleurs, des hommes la verraient en train de se faire baiser, et se masturberaient certainement en la regardant. Un petit plus de perversité ne nuit pas. Rachid lance le caméscope et fait signe à son oncle de commencer. Moussa, la queue en l’air, attend les lèvres de Cécile. La jeune femme donne de petits coups de langue, puis attrape les gros testicules de Moussa bien velus, les presse en douceur, les lèche, pour revenir absorber le gros gland presque charbon noir absolu. Elle le garde en bouche, faisant tourner sa langue autour, ensuite pointant celle-ci, elle l’introduit davantage dans le méat, éjectant déjà les premières gouttes pré-séminales. Cécile s’amuse des filets transparents qui vont du méat à la pointe de sa langue et les mange, comme dans "La belle et le clochard" le film animé quand ils mangent un spaghetti. Elle suit le filet et retourne absorber le gland turgescent de Moussa. Le vieil homme ne tarde pas à éructer et se répandre dans la bouche de sa jeune amante. Un flot de sperme visqueux et chaud qui gicle par saccades au fond de la gorge de Cécile qui peine vraiment à tout avaler. Par ailleurs, elle ne pense même plus à la présence de Rachid, si le jeune homme ne l’avait saisi par les cheveux pour l’embrasser et reprendre le sperme de son oncle. Cécile lui abandonne sur la langue ce qu’elle n’a pas avalé. Rachid le gentil garçon devient soudain plus violent, il continue de lui tirer les cheveux et la gifle plusieurs fois, Cécile surprise suffoque sous la violence des coups. Moussa est le réalisateur maintenant, il filme la scène. Cécile ne comprend pas cette soudaine agression de Rachid jusqu’à ce que Moussa dirige son neveu. — Aller, Rachid ça va plaire de te voir gifler cette kahba et de l’enculer, cette vidéo va faire un malheur. Cécile argumente qu’il n’est pas nécessaire de la gifler pour la sodomiser, qu’elle s’avère partante. Moussa lui rétorque que dans le film cela plairait mieux. — Tu sais ma gazelle, juste du cul, ça ne suffit plus à faire vendre. Il faut de la violence, du hard, une femme qui se couche, écarte, les cuisses, se fait enfiler, façon prostituée, ne marche plus, là du hard, de la sodomie, un peu de sado-maso et c’est le top. Cécile se dit qu’Ousmane l’a un peu piégée et qu’il doit avoir une commission sur le film.Résignée, elle accepte, mais quand Rachid relève sa djellaba, elle revient sur son acceptation. Rachid tient plus de l’équidé que de l’homme, cela lui rappelle l’ancien en à peine moins long. Rachid ne se préoccupe pas de faibles protestations de la jeune femme, la bascule sur les poufs et lui ordonne de mettre son joli cul en l’air. Cécile qui ne tient pas à se faire de nouveau gifler décide de lui obéir. Elle se met la tête dans ses bras croisés et laisse sa jolie croupe en l’air. Rachid lui claque les fesses jusqu’à les rougir, Cécile a l’impression d’avoir le feu au cul. Chaque fois que la main de Rachid s’abat sur ses fesses, elle pousse un petit cri, mais résiste à la douleur. Le plus dur est à venir, quand Rachid pose son gland sur la petite rosace plissée. Cécile lui intime de la préparer, Rachid l’insulte et lui remet une fessée. Vaincue, Cécile abandonne, laissant son petit cul à son sort. Rachid très humain consent à lui cracher sur la rondelle et pas plus. Le gland commence à forcer la pastille de Cécile qui, crispée, essaie de ne pas crier. Moussa lui dit d’éviter de se retenir, ses cris vont donner du piment à la vidéo. Rachid pousse fort sur l’anus, il le viole, le distend. Cécile se croit une nouvelle fois déchirée par cette énorme introduction, elle ne peut pas retenir ses larmes. Rachid semble encore plus excité et appuie davantage sur le petit œillet, Cécile supplie, mais rien n’arrête l’effraction de son cul. D’un coup le sphincter se relâche et la queue de Rachid s’enfonce jusqu’à ses grosses boules, Cécile en a au moins trente centimètres dans les fesses. Moussa règle le caméscope et vient se coucher avec eux. Il bande ferme l’ancêtre, Cécile est effrayée par la queue qui ramone son étroit passage et celle qui se présente pour qu’elle mette sa chatte dessus. La jeune femme, la queue de Rachid enfoncée au plus profond de son anus se déplace pour arriver sur le sexe de Moussa. Alors, elle écarte les lèvres de sa moule et s’empale sur le chibre de Moussa, elle a l’impression qu’ils ont fait rejoindre ses deux orifices, tant leur queue semblent se toucher. Les deux hommes prononcent de violentes paroles en arabe sûrement pour agrémenter la vidéo. Cécile dilatée comme pas souvent se meut elle-même pour imposer son propre rythme. Elle sent naître en elle le plaisir qui monte, elle fait part de sa jouissance à ses deux amants, qui lui disent. — Tu jouis bien salope avec deux Arabes en toi, tu aimerais servir de pute dans un bordel, Algérien, être une poubelle à sperme, pouffiasse, on va te ramoner la moule et le cul pendant deux jours. Cécile ne prête aucune attention à leurs vociférations et se contente d’apprécier le bonheur qui l’envahit. Un instant auparavant Cécile criait de douleur, actuellement, c’est de joie. Les deux amants se déchainent en elle, la rendant folle de plaisir, et au bout d’un bref instant, ils se vident tous les deux. Un lui remplissant le vagin, l’autre lui inondant les intestins. Cécile râle et divague, elle vient de connaitre de nouveau l’orgasme tectonique, celui qui lui fait penser qu’un tremblement de terre est dans son ventre. Elle s’abat sur la poitrine de Moussa qui la repousse, faisant sortir sa queue de la petite chatte qui se met à vomir le sperme qui l’a remplie. Rachid, en se retirant de l’anus de Cécile, laisse échapper un flot de jus qui s’écoule dans le sillon de la chatte de Cécile se mélangeant à celui de son oncle. Moussa vient filmer en gros plan la régurgitation de leur sperme sortant des deux orifices de la jeune femme. Sur l’appel de Moussa, Nadia se présente, Moussa lui ordonne en arabe de nettoyer la kahba.Nadia avec douceur aide Cécile à se lever et l’accompagne jusqu’à la salle de bains. Elle explique à Cécile qu’Ousmane est un complice de son grand-oncle et qu’il lui fournit des femmes pour ses vidéos. Cécile a bien deviné que ce salop d’Ousmane l’a de nouveau échangée. Cela fait la deuxième fois, la première, c’était avec la tribu de Sénégalais dans l’usine désaffectée. Il commençait sérieusement à la fâcher. Nadia prévient aussi Cécile que l’on va les obliger à faire l’amour ensemble, Cécile lui déclare que pour son cas, ce sera un plaisir, Nadia avoue que pour elle aussi. Cécile prévient Moussa qu’elle doit partir à 20 heures. Moussa réfute les prétextes de Cécile et lui dit qu’il a besoin d’elle deux jours. — Mon mari m’attend si je ne rentre pas, il va s’inquiéter. Moussa lui dit. — Appelle ton mari et tu lui expliques, il n’est plus à un cocufiage près. Cécile se demande comment Daniel va prendre ça, quand elle va lui apprendre qu’elle est devenue une star du X au Maghreb ?Prenant son courage à deux mains elle l’appelle, et avant qu’elle parle Daniel lui explique que Christine est venue lui rendre une petite visite, ça ne te dérange pas, que voulais-tu me dire ?Cécile trouve l’occasion trop belle et répond à son mari. — Tu sais mon chéri, si cela t’arrange, je passerai deux jours chez maman, ça vous permettra de roucouler en toute intimité, de plus, si je suis là, tu ne tiendras pas le choc avec deux femmes, autant en satisfaire une que d’en décevoir deux. Daniel la remercie pour cette délicate attention et lui dit de dire bonjour à belle-maman.Une affaire réglée. Cécile va annoncer la nouvelle à Moussa très heureux de cette annonce. — Es-tu d’accord pour filmer, assez hard avec nous en échange, nous te paierons, un petit pourcentage sur les ventes. Nadia derrière son grand-oncle lui fait signe qu’il ment. Cécile, malgré les signes de Nadia, accepte de filmer des vidéos pendant les deux jours à une condition que pendant le tournage on laisse Nadia tranquille. Moussa lui dit qu’elle fait partie du tournage, qu’il ne peut s’en passer. Alors, Cécile lui propose qu’elle fera les scènes hard et Nadia juste celles softs. — D’accord, mais tu vas trinquer ma jolie, et pas question de reculer. Une fois seules, Nadia remercie Cécile, mais la prévient que ça va être acharné pour elle. Le soir venu, Moussa demande à Cécile de le suivre, il l’emmène dans le sous-sol, Cécile découvre cet endroit insolite. Il y a des menottes aux murs, une croix de bois verticale avec des attaches de cuir, une table de bois avec également des menottes et divers objets genre fouet, godes énormes, bougies. — Tu fais du sado-maso Moussa, s’enquiert la jeune femme ? Moussa avec un sourire cruel lui répond que certains de ses invités aiment prendre leur pied de façons différentes. Là, Cécile est vraiment inquiète. Moussa lui fait part de ses projets. — Vois-tu, tu n’aurais pas dû intervenir pour protéger Nadia, elle a l’habitude de souffrir, ma petite nièce est très obéissante. Pourtant, tu as voulu jouer l’ange protecteur, donc tu dois subir ce qu’elle aurait subi sans protester. Moussa lui demande de se mettre nue, ce qui est rapide comme elle n’a remis que son string et son soutien-gorge. Il lui demande s’allonger sur la table, ce qu’elle fait. Ses poignets et ses chevilles sont emprisonnés par les attaches de cuir. Ainsi exposée, elle s’offre complètement. Cuisses largement ouvertes, bras en croix. La jeune soumise pense que Moussa et Rachid vont s’amuser avec elle et que ce ne sera pas si terrible que ça. Moussa tape alors dans ses mains, Nadia entièrement nue apparait. Moussa lui donne un ordre en arabe. Nadia s’empare d’un fouet et les larmes aux yeux se met à fouetter tout le corps de Cécile. La captive surprise crie sous les coups qui zèbrent son corps, les seins, le ventre, la minette sont la cible de la Shéhérazade de service. Cécile qui n’est pas une novice de sévices, se tord de douleur, mais à la surprise de Moussa, elle encaisse bien les coups et semble même prendre du plaisir, seuls quelques cris ont pu faire croire qu’elle a mal. Moussa lui passe la main entre les cuisses, puis le ressort humide. tout est filmé.— Tu es vraiment une chienne de française, je passe à autre chose, tu gâches mes films. Il prononce une phrase à Nadia. — Va chercher tous les autres. Nadia s’éclipse, Cécile demande à Moussa. — Tu vas me faire sauter par plusieurs hommes ? Interroge Cécile. Moussa ricane et lui réplique. — Quand ce sera fini, tu détesteras les bites, tu deviendras lesbienne. Cécile, qui a subi les assauts d’une dizaine d’hommes, se dit que ce n’est qu’un mauvais moment à passer.Une heure est passée, seul Rachid est venu la voir et s’est permis de la tripoter, éveillant en elle un besoin de sexe qu’il ne lui accorde pas. Puis un brouhaha se fait entendre. Cécile voit un groupe d’hommes descendre l’escalier, ils remplissent par petits groupes l’espace du sous-sol. Cécile n’est plus aussi sûre d’elle, ils sont au moins une trentaine.Moussa se fraie un passage parmi eux et la nargue. — Alors ma gazelle tu es ravie, tous ces Maghrébins ne sont là que pour toi, tu connais une femme qui a autant de succès ? Elle est à vous messieurs, souriez, vous êtes filmés. Cécile affolée voit un paquet d’hommes de toute sorte venir vers elle, sortir leurs queues, certains font plus SDF qu’autre chose. Un vieil édenté est le premier à lui saisir les seins, des mains s’introduisent dans sa chatte, des bouches à la mauvaise haleine se collent à la sienne, elle souhaiterait se sauver, mais c’est trop tard, elle a joué la bravache, elle va le payer. Elle doit laisser faire. Des mains partout sur son corps, les hommes présents n’ont jamais eu de jolies filles comme Cécile pour faire l’amour, si tirer un coup, c’est de l’amour. Une queue vient se coller à sa chatte et la pénètre sans précaution, Cécile sent que son premier baiseur n’a pas mis de préservatif, la panique l’envahit. Le Maghrébin qui la baise est horrible, il grimace, découvrant une rare dentition, il est du genre crasseux, dur de lui donner un âge. Il ne met pas longtemps pour se vider dans la petite chatte, à peine a-t-il joui qu’il se fait pousser et un autre prend sa place, une quinzaine se succèdent dans sa moule inondant son intérieur, le sperme coule à flots de sa chatte à la raie de ses fesses. D’autres impatient qui n’ont pas la patience d’attendre viennent se masturber sur son corps, son visage dans sa bouche. Cécile assure suçant çà et là les queues qui se présentent. Dans sa moule, c’est le défilé, elle ne saurait pas dire combien lui ont joui dedans. Elle a eu très peu de plaisir, seuls trois orgasmes, ce qui vu le nombre d’hommes n’est pas exceptionnel, et encore plus sur la quantité de pénétrations que par la qualité de tous ces amants. Presque tous semblent avoir joui, les personnes âgées, les jeunes. Cécile se sent souillée, humiliée, et malgré tout elle apprécie ce moment. Moussa est vexé de la voir assurer son statut de pute, les hommes libèrent les mains et les pieds de la jeune femme qui pense que c’est fini. Erreur, des bras la saisissent, et la retourne sur le ventre. Elle n’est pas rattachée, le nombre d’hommes la convainc de ne pas se révolter. Elle est tirée le bas du corps hors de la table, les pieds par terre, le corps couché sur celle-ci, le cul bien offert. Son terma va servir de vide roupettes à tous les hommes présents. Elle tremble un peu, mais n’a pas le temps de réfléchir que déjà une queue de bonne taille lui défonce la rondelle, au plus grand plaisir de Moussa, elle hurle, le premier joui aussitôt, Cécile sent le sperme lui couler le long des cuisses quand il se retire. La jeune femme est reprise sur le champ, le calibre est encore plus gros, une douleur fulgurante lui traverse les reins. Moussa vient filmer son visage en gros plan. Bien voir la grimace de douleur qui lui tord le visage. Tous les hommes lui défilent dans le cul, près de trente coups de bite de suite dans ses entrailles remplies à ras bord de sperme, ses cuisses, ses fesses, ses pieds sont recouverts de sperme. Certains plus gourmands qui rebandent viennent se vider sur son visage, ses cheveux ont eu un shampooing de jute. la nuit se déroule dans une orgie indescriptible. Cécile ne sent même plus les queues qui la prennent de tous les côtés, son corps est engourdi, elle ne ressent plus rien, ni plaisir ni douleur. les hommes la retournent dans tous les sens à même le sol. ce n’est plus qu’une poupée de chiffons couverte de sperme, blanc neige, du plus jaunâtre, elle ne sent plus le goût de celui qu’elle avale mécaniquement. Cécile n’a aucune notion du temps que cela dure. Les hommes repartent vidés, Rachid rejoint la jeune femme et dédaigneusement, sort sa queue et lui urine dessus, faisant aller le jet impétueux, du visage à sa chatte. Cécile, à peine consciente, ouvre sa bouche par réflexe et absorbe les dernières gouttes d’urine que Rachid lui envoie en secouant son sexe. Nadia vient la rejoindre et se souille du sperme qui recouvre Cécile en l’aidant à se relever. la jeune femme ne tient plus debout. Nadia avec difficulté la traine jusqu’à la douche. Elle couche Cécile sous la douche, se déshabille pour pouvoir, la décrasser sans mouiller ses vêtements, le nettoyage dure un moment, Nadia nettoie tous les orifices remplis de jus. La beurette s’occupe bien de ressortir tout le sperme de la chatte béante ainsi que l’anus dans le même état, avec les doigts, elle ouvre encore plus la moule de Cécile et lui introduit le tuyau de douche dépourvu de la pomme d’arrosage. Elle lui met dans la chatte puis dans le cul et fait couler l’eau tiède longuement. Nadia voit tout le sperme rentré dans le corps de Cécile ressortir flottant sur l’eau. La douceur de Nadia fait sortir Cécile de sa torpeur, elle ouvre les yeux et voit le magnifique visage de Nadia, ses yeux sombres, son mystérieux sourire qui ne semble jamais s’effacer de ses lèvres pulpeuses. — Comment vas-tu ma bienfaitrice chérie, je me questionne, comment as-tu pu résister à toutes ces brutes qui t’ont baisé ? je n’aurais jamais pu supporter tous ces chiens sur moi. Cécile balbutie entre ses lèvres gercées par toutes ces fellations. — Solidarité féminine, je vais m’en remettre, j’espère que ces SDF étaient sains. Nadia la rassure, Moussa ne prendrait pas le risque de faire venir des hommes sans avoir leur test, il tient trop à ses meilleures chiennes, sans t’offenser. Tu es la première qui ait tenu la nuit.Nadia relève Cécile et lui pose un doux baiser sur ses lèvres abimées, elles regagnent une chambre et Cécile nue et propre s’endort dans ses bras
