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Cédric n'est plus un enfant

Chapitre 1

Le début

Inceste
Sachez, lecteurs, que les noms sont changés (c’est évident) ainsi que quelques petits détails. Hormis ces détails, vous pouvez considérer cette histoire comme véridique.

Il faut remonter à peu près 20 ans dans le passé. Karine, la mère de Cédric, l’a invité à dîner après un ciné dans un restaurant italien qu’ils affectionnent particulièrement tous les deux. Il est déjà tard mais c’est la magie de Paris qui veut qu’on peut entrer dans un resto à 22h et encore passer à table. Karine commande une bouteille de blanc italien même si Cédric a déjà précisé qu’il n’en boirait pas. Il n’aime pas vraiment l’alcool et le blanc encore moins. Ça n’empêche pas Karine de siffler la bouteille et de reprendre un verre derrière. Ils parlent des cours de Cédric, de ses potes, de ses profs, des examens imminents. On évite soigneusement le sujet de la copine qui pourrait provoquer des tensions. Elle ne plaît pas à Karine qui ne s’en cache pas.
Ça fait maintenant 9 ans que Karine a divorcé du père de Cédric. Karine a eu une relation suivie pendant à peu près 2 ans mais l’histoire s’est terminée il y a déjà 4 ans. Depuis, Cédric et Karine vivent seuls. Cédric soupçonne que c’est pour ça qu’aucune de ses copines ne trouve grâce aux yeux de Karine. Lena ne fait pas exception. C’est même pire, Cédric et elle se fréquentent depuis plus de temps que les histoires précédentes de Cédric.

L’heure passe et l’attitude de Karine est inhabituelle même si Cédric n’arrive pas à mettre le doigt sur ce qui est bizarre. L’addition est payée. L’alcool fait son effet sur Karine qui a visiblement un coup dans le nez ; elle rit beaucoup trop fort sur le retour à la maison. Cédric reste prêt à la retenir tout le long du chemin qui comporte la rue des sex-shops. À l’époque, internet est balbutiant et de toute façon, ils n’y a pas d’ordi chez eux. Cédric ne peut s’empêcher de jeter un śil à travers les rideaux à chaque devanture. Karine s’en aperçoit et plaisante.
— Tu veux quelque chose ?— Non non, je...— Tu veux quoi ? Un accessoire ? Un dvd ?
Cédric est à la fois très gêné mais très conscient que c’est l’alcool qui parle. Malgré tout, il se laisse tenter.
— Ouais, un DVD, pourquoi pas.— Je te l’offre. Tu veux quoi ?
La question piège. Tout d’un coup, il faudrait avouer ses fantasmes à sa mère, oser lui dire ce qui le fait bander. C’est trop gênant. Mais Cédric ne veut pas renoncer à l’opportunité d’un DVD.
— Je sais pas, ce que tu veux.
Sans dire un mot, Karine disparaît derrière le rideau. Quelques minutes défilent. Cédric se sent totalement idiot à faire le piquet devant un sex-shop. Karine ressort un petit sac en plastique à la main.
— Bon, je t’en ai pris plusieurs. Je ne sais pas ce qui t’intéresse.— Ouais, merci.
Cédric jette un śil et trouve un DVD lesbien, un de gang bang et bukkake, un d’uro et squirt, un avec des femmes fortes et même un gay. Il referme le sac comme si son contenu allait lui sauter à la figure.
Karine et lui reprennent leur chemin mais beaucoup plus calmes, en silence.

Ils passent la porte d’entrée à minuit passé. Karine est toujours vacillante. Cédric, son petit sac sous le bras, fait mine de filer vers sa chambre. Karine le retient.
— Tu vas te coucher ?— Euh... Oui, non... Enfin, je vais regarder ce que tu m’as pris.
Petit silence gêné.
— Tu vas regarder lequel du coup ?
Cédric hésite à répondre. Il y a réfléchi tout le long du chemin. Uro et squirt. Les femmes fontaines, c’est son fantasme.
— Les femmes fontaines.— Je... Tu veux pas qu’on le regarde ensemble, que je sache quand même ce que j’ai acheté.
Cédric bloque complètement. Il ne sait absolument pas quoi dire.
— Euh. Si tu veux. Je sais pas. Tu es sure ?
Mais Karine s’avance déjàvers le salon et se laisse tomber sur le canapé.

Télé branchée, télécommande à la main, il s’assoit sur le canapé à côté de Karine qui a enlevé ses chaussures. Le DVD commence sans préambule assez fort avec une petite blonde qui pisse dans un bois quand un cycliste la surprend. Après s’être fait pisser sur la bite, il pulvérise la chatte de la petite blonde qui semble totalement empalée sur ce qui ressemble plus à une batte de baseball qu’à une bite. Elle finit par jouir dans une explosion abondante de cyprine qui gicle jusqu’au visage du cycliste.
Malgré la présence de sa mère, Cédric bande dur dans son pantalon et la proéminence de son jean est sans équivoque. Karine doit l’avoir remarqué. Alors qu’à l’écran, une asiatique pulpeuse se fait pisser dessus par un grand black alors qu’elle chevauche un type monté comme un poney, Karine brise le silence.
— Ça te plaît ?— Euh... Oui.— Tu peux te branler si tu veux. C’est quand même pour ça que je l’ai acheté.
Cédric reste figé. C’est vrai qu’il en aurait envie, difficile de nier qu’il a déjà fantasmer sur sa mère quand il l’entend parfois gémir toute seule dans sa chambre la nuit mais là...
— Tu préfères que je te laisse ?— Ouais... NON. C’est pas ça mais...
Cédric ne sait même pas comment finir cette phrase.
— Si tu veux, on arrête le film, tu le prends avec toi dans ta chambre et tu le regarderas quand tu veux sur ton ordi.
Cédric ne peut pas regarder sa mère. Il fixe l’écran alors que l’asiatique pulpeuse se fait prendre en double pénétration en poussant des gémissements qui semblent largement exagérés. Sans même comprendre d’où ça vient, Cédric passe sa main dans son jeans et essaye d’attraper son sexe comme il peut sans l’enlever. Mais très vite, il se sent plus ridicule comme ça qu’autre chose.
— Tu dois pas être confortable comme ça, remarque Karine.
Timidement, Cédric défait sa braguette et sort son sexe. Il est nerveux, il sent sa gorge serré, le sang battre à ses tempes. Sur l’écran, le grand black est en train de jouir sur le visage de la jolie asiatique alors que l’autre type lui pisse sur le cul. Et finalement, l’érection de Cédric est en train de retomber.

La scène change. Deux autostoppeuses sont emmenées par un fourgon de soit-disant supporters de foot. Très vite, le fourgon s’arrête afin que les filles puissent aller se soulager. Alors qu’elles se croient à l’abri des regards, elles se lancent dans des jeux humides dans lesquels elles sont bientôt rejointes par les six autres passagers du fourgon.
L’érection de Cédric remonte. Il reprend un peu confiance et commence doucement à se caresser. Il sent gonfler dans sa main sa verge, il la sent se raidir. Au fur et à mesure, le désir et l’excitation commencent à remplacer la gêne et l’angoisse. À l’écran, les deux autostoppeuses se font ramoner par tous les trous alors que l’un des "supporters" est toujours là pour arroser les soubrettes d’un jet d’urine.
Karine, qui ne lâche plus Cédric des yeux finit par glisser : "J’ai jamais essayé ça." Cédric choisit ses mots prudemment.
— Avec plusieurs hommes ?— Ça, si. Mais comme ça, en se faisant faire dessus.
Cédric essaye de ne pas montrer de réaction à l’info qui vient de passer. Sa mère s’est déjà donnée à plusieurs hommes... Mais quand ? Avec son père ? Et combien étaient-ils ? Souvent ? Il garde ses questions pour lui.
— Moi non plus.— C’est pour ça que tu as choisi ce dvd ?— Euh non. C’est les femmes fontaines qui m’intéressent. Mais je trouve le reste bien aussi.
Il continue ses caresses et accélère la cadence. Il sent qu’il va bientôt jouir mais il ne sait pas trop quoi faire quand ça arrivera.
À l’écran, les filles ont le visage couvert d’une semence épaisse et elles échangent des baisers baveux alors que les mecs se finissent en leur pissant une dernière fois dessus tous ensembles.
Cédric n’y tient plus.
— Je vais jouir...— Vas-y, mon chéri, ne te retiens pas.
Cédric lâche un râle profond alors que de son gland jaillit une première giclée beaucoup plus abondante que d’habitude. À côté de lui, il entend le soupir de satisfaction ou d’appréciation de sa mère. Puis une autre, une troisième, une quatrième giclée et enfin quelques gouttes qui dégoulinent le long de sa bite encore dressée.
— Eh ben mon chéri. Tu avais fait le plein.
Cédric baisse les yeux, sa bite à moitié raide est couverte de foutre comme le bas de son t-shirt et sa main. Effectivement, il ne se souvient pas d’avoir jamais joui autant.

De son sac à main, Karine sort un mouchoir qu’elle tend à Cédric mais complètement sonné, il se contente de l’attraper et laisse retomber sa main. Karine le récupère.
— Je vais t’aider avec ça.
Elle lui reprend le mouchoir des mains et entreprend d’essuyer la main puis le sexe de Cédric. Il regarde faire sa mère et commence à craindre de voir son érection repartir.
Il se redresse.
— Je vais aller me coucher je crois.
Et il file sans rien dire, le sexe encore sorti de son pantalon, essayant de se rhabiller maladroitement. Karine reste là, le mouchoir imbibé de sperme à la main.
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