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Cédric n'est plus un enfant

Chapitre 3

Ça y est

Inceste
Si ce qui s’est vraiment passé et comment c’est arrivé ne vous intéresse pas, passez directement à la moitié de ce chapitre. Sinon, continuez ci-après...
Nous revoici quasiment au point de départ. Un deuxième porno maté ensemble, entre mère et fils, un deuxième porno bukkake tout aussi hard que le premier uro/squirt. Cédric est dans sa chambre, incapable de faire ses devoirs. Ça fait 2 jours maintenant et comme la dernière fois, une fois l’excitation retombée, il reste essentiellement un malaise, une tension telle que les mots semblent impossibles, que la voix semble bloquée, la gorge si serrée que même respirer est laborieux.Mais devant cet exercice de physiques, impossible de se concentrer. Cédric a l’impression d’avancer sur deux routes qui s’éloignent l’une de l’autre et d’essayer de les suivre toutes les deux.D’un côté, il sait que sa mère et lui font quelque chose qu’ils devraient arrêter tout de suite, passer à autre chose, laisser ça au passé et faire en sorte que ça ne refasse jamais surface. Mais comment oublier ça ? C’est impossible. Le défaire est encore plus impossible.
Alors si on ne peut pas le défaire...Cédric est tenté de pousser l’expérience plus loin. Et comment ne pas être tenté ? L’inceste, n’est-ce pas l’un des fantasmes les plus communs ? Sophocle n’a-t-il pas écrit Oedipe puis Antigone...? Bon, c’est vrai qu’Oedipe se crève les yeux et part sur les routes avec sa fille Antigone comme seule guide, mais quand même...
Et sans même parler du fantasme, Cédric ne connaît du sexe que des jeux de mains et de bouche avec ses copines. Lena, sa copine du moment l’a initié aux plaisirs des fellations, mais Karine, sa mère, doit connaître bien plus de choses. Et puis Karine est plutôt une belle femme. Les cheveux châtains, bouclés, juste sous les épaules, une peau claire, des yeux bleus - gris, les trains plutôt fins. Elle est petite. Cédric l’a même surnommée maman de poche. Et très soucieuse de son apparence, elle a toujours pris soin de son physique. Elle est fine, plutôt athlétique. Il faut dire qu’elle court 2 fois par semaine et va à la salle de sport tous les vendredis soirs. Mais l’attrait le plus significatif de Karine est sa poitrine. Cédric ne s’en rendait pas compte il y a encore très peu de temps, car ce n’est pas ce qu’il regardait et que sa mère s’habille de telle sorte à faire oublier ses seins, mais elle a une poitrine généreuse, grosse même.
Lena, sa copine, porte déjà du 85D et a vu sa poitrine exploser à l’adolescence, mais Karine, avec son 90E, a vraiment plus de seins. Il faut dire aussi qu’à 45 ans passés, les seins de Karine, bien que gros, ont souffert de l’attraction et ne se dressent plus aussi fièrement que ceux de Lena. Mais quand même, de les savoir si gros, Cédric veut en profiter.
Et puis merde, quand même, ce n’est pas sa faute aussi. C’est Karine qui lui a acheté ces DVD et a proposé de les regarder ensemble. Il n’y est pour rien. Et puis, c’est elle qui a choisi des DVD ultra-hards. D’ailleurs, Cédric s’interroge : les choix de DVD de sa mère sont probablement le reflet de certains de ses goûts personnels. Visiblement, le gang bang et / ou le bukkake semblent avoir sa préférence. Elle a d’ailleurs laissé entendre qu’elle avait déjà couché avec plusieurs hommes à la fois. Mais combien ? Quand ? Était-ce quand elle était encore avec son père ? Après ? Avant ? Avec des hommes qu’il connaît ? Voudrait-elle le refaire ? Et si oui, pourrait-il participer ? Le voudrait-il ? Dans la tête de Cédric, c’est le chantier.
Et puis il n’en peut plus. À force de penser à tout ça, il se décide. Il baisse son pantalon et son boxeur et sur sa chaise de bureau, il empoigne sa tige déjà dure. Il se force à penser à Lena, mais rien n’y fait, il en revient à Karine, à sa mère. Là, tout de suite, maintenant, si elle rentrait dans la pièce, il la baiserait. Il le sait, il en est sûr. Il lui arracherait ses fringues et il lui montrerait que lui aussi, il est un homme. Il sent le plaisir monter, ses gestes s’accélèrent et il va jouir très vite.Un bruit de clef dans la serrure de la porte d’entrée. Cédric bondit comme un ninja, remonte son pantalon, range son érection et referme sa braguette le plus vite possible et se rassoit, le stylo à la main, l’air absolument concentré.
— Je suis rentrée, crie Karine depuis l’entrée.— J’fais mes devoirs.— OK, je vais faire le dîner.
Cédric, de nouveau seul, l’a échappé belle. Lui qui se voyait plaquant sa mère sur son bureau pour lui montrer ce qu’il avait en tête se sent con, ridicule, en pleine tourmente.
Ça y est, le repas est prêt, les vecteurs, l’inertie et les frictions sont résolus. Karine semble de bonne humeur. Cédric ne peut s’empêcher de s’interroger : Karine feint-elle sa confiance, son assurance ou comme lui, est-elle en plein désarroi.
Il a besoin de se libérer. Le plat est fini. Karine s’apprête à débarrasser et Cédric trouve le courage, le regard fixé sur la salière.
— Tu y penses, toi ?
Karine se rassoit, silencieuse. Visiblement, elle a compris de quoi il parlait, signe qu’elle y pense.
— Oui.— Et tu en penses quoi ?
Un long silence. Cédric a le temps de se dire qu’il y a un minuscule éclat dans la faïence de la salière, qu’il se demande depuis quand, qu’il faudrait peut-être le réparer...
— J’en pense que je n’ai pas le droit de décider seule de la suite. Que c’est de ma faute si nous en sommes là et je sens bien que ça te préoccupe. Je ne veux pas ajouter encore à tes soucis.— Pour ça, je crois que c’est trop tard.— Je sais. Je suis désolée.— Tu voulais quoi, quand tu as proposé de regarder le 1er DVD ?— J’avais trop bu, je n’ai pas réfléchi.— D’accord, mais tu voulais quoi ?
Encore un long silence.
— Je te voulais en moi.— Ça fait longtemps que tu as cette envie ?— Je ne sais pas, c’est venu il y a quelque temps.
Que répondre, que dire maintenant ? Mais c’est Karine qui enchaîne.
— Et toi ?— Et moi quoi ?— Tu en penses quoi ? Tu veux quoi ?— ... Je... J’ai envie de tout savoir, de te connaître autrement.
Karine ne dit rien.
— Mais pour moi, c’est nouveau, ajoute Cédric.
Karine ne répond toujours rien. Finalement, elle se lève, toujours silencieuse, et emporte les assiettes à la cuisine. En revenant, elle se poste face à Cédric et lui tend la main. Il la prend et elle l’invite à se lever, l’emmène vers sa chambre. Arrivée à la porte, elle s’arrête et se retourne encore une fois face à lui. Cédric a le cœur qui bat à tout rompre, dans les tempes, dans la gorge, dans la poitrine. Karine plonge ses yeux dans les siens, infiniment sérieuse, froide même, glaciale.
— Tu es sûr de ça ? Tu y as bien réfléchi ?
La voix de Cédric n’est qu’un murmure que sa gorge nouée essaye d’étouffer.
— Je ne pense qu’à ça.
Alors Karine se radoucit, elle reprend sa main et passe le pas de la chambre. Cédric n’est pas certain que ses jambes arriveront à le porter. La vérité, c’est qu’il doute. Il a envie de s’enfuir, de prendre ses jambes à son cou. Sans même parler de la terreur qu’il ressent à l’idée de ce qui s’annonce, il se demande, vu son angoisse, s’il arrivera à bander, s’il sera à la hauteur, si sa bite sera suffisante pour sa mère qui a l’air d’avoir eu quelques expériences quand même...? Mille pensées l’assaillent en désordre.
Karine se retourne. Dans sa main, Cédric sent que celle de Karine tremble. Pourtant, en se retournant, elle passe son autre main sur son torse, son épaule, remonte le long de son cou, sa joue, dessine le contour de sa mâchoire, de ses sourcils, glisse dans ses cheveux. Cédric libère sa main et, hésitant, la passe sur la taille de sa mère, prend son courage à deux mains et descend sur ses hanches. Karine fait un petit pas en avant et la main de Cédric glisse sur le jean jusqu’aux reins. Il n’ose pas aller jusqu’à ses fesses. Encore un petit pas de Karine et son visage n’est plus qu’à quelques centimètres du sien. Elle se rapproche de façon imperceptible. Ses lèvres s’entrouvrent, se rapprochent encore. Cédric sent son souffle et ferme les yeux.
Contact. Baiser. Lèvres. Plus rien. Il n’ouvre pas les yeux. Il est encore temps. Il peut tout arrêter. Il le devrait. Il devrait le vouloir. Nouveau contact. Baiser. Lèvres. Langue. Salive. Il rend ce baiser timide, mais sensuel. Sa main a glissé sur les fesses de sa mère. Elle s’écarte une seconde. Le repousse d’une main sur le torse. Pourquoi ? Oui, c’est ce qu’il faut faire, mais pourquoi ? Ça y est, il bande maintenant. Alors pourquoi le repousse-t-elle ?
— Il faut qu’on arrête. Il faut qu’on arrête tout de suite.— Je... Non...— C’est moi l’adulte, il faut qu’on arrête tout de suite, c’est à moi de le faire, j’aurais dû le faire tout de suite. Ça n’aurait jamais dû commencer. Je suis désolée, c’est ma faute, je suis désolée... Je suis désolée.
Cédric essaye de la faire taire en reprenant leur baiser, mais elle le repousse de nouveau. Elle ne semble pas fâchée, elle semble en pleine souffrance, torturée elle aussi intérieurement.
— Je suis désolée. Je... Il faut que je me couche, je vais me coucher d’accord ?
Cédric est tiraillé à l’extrême, déchiré entre deux chemins incompatibles et antagonistes. Céder à la tentation, au plaisir immédiat au risque de provoquer une catastrophe ou rester frustré à jamais, mais moralement sauf.Karine a l’argument-choc : « On avait dit que si l’un d’entre nous changeait d’avis, il n’y aurait pas de problème, OK ?
— Je... Je... OK.
Maintenant, Cédric a honte. Il y a encore un mois, tout était simple. Il n’avait jamais imaginé sa mère comme ça et c’est elle qui a provoqué tout ça. Et maintenant, c’est elle qui douche ses ardeurs qu’elle a attisées elle-même. Il a honte, honte de bander, honte d’avoir hésité à refuser, honte de regretter que ça ne se fasse pas. Il s’enfuit dans sa chambre.
_______
4 mois ont passé. Au début, ça a été vraiment difficile. Ce n’est pas encore simple, mais ils arrivent à faire semblant, l’un comme l’autre. Cédric a récupéré ses DVD, y compris le DVD gay. Il ne les a même pas regardés. Lena et lui se sont séparés et pour l’instant, il papillonne entre Sophie et Nathalie avec qui rien n’est très sérieux.
Karine est en déplacement professionnel pour quelques jours à Toulouse et Cédric est seul à la maison pour quelques jours encore. Il a eu son 1er téléphone portable pour son anniversaire avec une mobicarte. Faut acheter des recharges pour avoir du crédit pour téléphoner. Ce qu’il ne fait jamais. Ce matin, pendant le TD de bio, il n’arrête pas de sonner, rien que des numéros qu’il ne connaît pas. Il y a plus de 10 messages sur son répondeur.
C’est la pause, il sort et consulte son répondeur. « Cédric, c’est Patrick. Ta mère va bien, ne t’inquiète pas, mais c’est juste qu’avec ce qui s’est passé, elle sera peut-être injoignable » « Cédric, c’est Jean. On ne se connaît pas, mais je suis un ami de ta mère. Elle a essayé de t’appeler, mais ça ne passe pas. Elle voulait te dire de ne pas t’inquiéter, tout va bien » etc. Que se passe-t-il ? Le temps de consulter son répondeur et le cours reprend.
18h, Cédric arrive chez lui. Il branche la télévision et cherche LCI, la chaîne d’info en continu. À Toulouse, AZF a explosé. Il court au bureau de tabac et achète une recharge. Il appelle sa mère, injoignable. Il réessaye. Rien, le répondeur direct.
Ce soir-là, pas de nouvelle. Il a beau avoir eu 10 messages pour lui dire que ça va, il s’en fiche, il veut lui parler.
8h25 le lendemain matin, la cloche des cours sonne et toujours pas de nouvelles. Il va voir à chaque cours ses profs pour leur demander s’il peut répondre si sa mère l’appelle en leur expliquant la situation, mais rien, pas un appel.
18h, Cédric arrive chez lui. Personne et toujours le répondeur.21h, la porte d’entrée s’ouvre. Karine entre, elle semble épuisée, mais en bonne santé. Il la prend dans ses bras pour la première fois depuis 4 mois et il n’y a aucun doute, c’est bien sa mère qu’il serre contre lui et pas Karine et ses gros seins. Il voit bien qu’elle fait un énorme effort pour ne pas éclater en sanglots. Au moment de l’explosion, elle était en train de sortir d’un rendez-vous et passait sous l’immense verrière du hall d’une entreprise. Avec le souffle, la verrière a volé en éclats et des milliers de morceaux de verre, certains très gros, lui sont tombés dessus. Après, impossible de récupérer toutes ses affaires, dont son chargeur de téléphone. Impossible aussi de trouver un train ou un avion avant aujourd’hui.
Elle n’y tient plus et pleure. Elle a eu peur et des gens autour d’elle ont été gravement blessés. Elle se réfugie dans ses bras, il l’accueille, la rassure, la protège. Elle est épuisée et il l’emmène à sa chambre, l’allonge sur le lit. Il va à la cuisine chercher un verre d’eau et elle dort déjà quand il revient. Il s’allonge à côté d’elle et s’endort.
Au milieu de la nuit, Cédric se réveille. Il est toujours allongé tout habillé à côté de Karine. Il s’apprête à se faufiler jusqu’à sa chambre quand il entend à peine plus qu’un murmure.
— Reste, s’il te plaît.
Cédric se rallonge. Il sent la main de Karine qui cherche la sienne. Leurs doigts s’emmêlent. Karine se tourne vers lui et passe la main sous son t-shirt jusqu’à son torse et réfugie sa tête au creux de son cou. Elle y dépose un baiser. Un deuxième. Un troisième plus intense. Ses baisers se rapprochent de la bouche de Cédric qui tourne la tête doucement et vient à sa rencontre.
Contact, lèvres, langue, mais plus aucune retenue. Karine se redresse sur son coude et embrasse Cédric à pleine bouche. Elle est fougueuse, sans détour. Elle enlève le t-shirt de Cédric et avant même qu’il ait passé la tête par l’encolure, elle est déjà en train d’embrasser son torse, son ventre. Elle défait son chemisier en même temps et l’arrache presque ainsi que son soutien-gorge. Sa lourde poitrine libérée tombe légèrement, mais est aussi grosse qu’imaginée. Les mamelons sont rose pâle et larges et les tétons épais et longs. Les deux pantalons subissent le même sort et sont évacués en un instant. Cédric est en boxer, un barreau énorme dessiné sous le tissu noir et Karine porte une culotte en dentelle satinée noire et blanche.
Elle plaque ses mains sur le torse de Cédric et frotte fort son sexe contre celui de Cédric à travers les tissus. Elle appuie aussi fort qu’elle peut. Il y a une sorte d’appétit primaire qui impressionne un peu Cédric, mais l’excite surtout terriblement. Elle frotte si fort que le gland de Cédric surgit par l’élastique. Il observe, fasciné, le tissu de la culotte de sa mère s’humidifier sous l’effet de sa cyprine.
Il sent qu’il ne va pas résister à cette caresse si rien ne change. D’ailleurs, il ne tient plus et de son gland surgit un foutre épais, blanc, visqueux, abondant. Plus encore que lui, c’est Karine qui pousse un gémissement de satisfaction à la vue de cette éjaculation hors-norme, du moins pour Cédric.
Elle se recule, se penche, lèche et fais disparaître la semence étalée sur le ventre de Cédric avec des « Hum » de gourmande. Elle en profite pour lui retirer son boxer et la culotte s’envole. Cédric découvre une chatte poilue, mais entretenue, brune aux grandes lèvres très épaisses et déjà bien ouvertes d’où dépassent ce qu’il devine être les petites lèvres. Il n’a pas le temps d’en découvrir plus ou de se remettre de ses émotions, qu’elle empoigne la poutre, s’installe au-dessus et s’empale sur le mandrin sans préambule. Elle se laisse littéralement tombée dessus, le faisant disparaître sur toute sa longueur, jusqu’aux couilles. Les poils de Cédric se confondent désormais avec ceux de Karine. L’effet de cette pénétration est tel que Cédric se redresse presque assis et retombe sur les oreillers, sonné.
Karine bouge d’abord doucement, de haut en bas, de gauche à droite. Cédric sent que sa bite est entrée jusqu’au fond, il sent qu’il bute sur le col de l’utérus et Karine semble aimer ça et en jouer. Elle accélère. Ses cuisses et ses fesses commencent à claquer sur Cédric. Ses seins décrivent une danse hypnotisante. Il hésite, il tend une main. Elle saisit la balle au bond, prend sa main tendue et la plaque sur ses seins. Elle se penche en avant et l’énorme sphère vient se plaquer sur la bouche de Cédric qui tète, aspire, fait courir sa langue. Il aspire pour sentir le téton gonfler dans sa bouche. Il le sent durcir, s’épaissir, se raffermir. Et serait-ce une goutte de lait ? Il s’écarte et observe au bout du sein maternel une minuscule goutte blanche.
Il hésite à peine une seconde et y retourne, mais il n’a pas le temps d’en profiter beaucoup. Karine, en plein lâchage ne tarde pas à jouir, rebondissant sur le sexe de son fils avec l’ardeur d’une femme trop longtemps frustrée. Elle s’effondre presque sur Cédric qui sent son corps tendu à l’extrême. Il sent que ses cuisses sont légèrement humides... La transpiration peut-être. À moins que... Il ne sait pas, peu importe. Karine est en train de jouir en râlant comme une chienne. Une espèce de Aaaaah guttural en faisant des ondulations du bassin qui exploitent toute la longueur de la bite filiale. Une ondulation plus forte, un râle plus intense. Une ondulation ultime et elle s’arrête net, essoufflée, transpirante, affalée sur son fils.
Mais Cédric ne débande pas.
— Tu n’as pas fini ?— Si, tout à l’heure.— Non, mais là ?— Ah... Non.
Karine se redresse, descend du pieu enfoncé en elle se penche sur la chose luisante et trempée. Elle écarte les lèvres et doucement, fait disparaître méticuleusement le bâton de chair, aspirant tout du long. La langue glisse sur la bite, l’explore, la parcourt, la fouille et la cajole. Qu’est-ce qu’elle fait ? Cédric n’est pas un expert, mais jamais une fellation ne lui avait fait un tel effet. Il ne peut retenir un souffle, une exclamation de surprise. Karine semble contente de son effet et renouvelle l’aspiration, la disparition du membre et le mouvement de langue. Cédric n’ose pas vérifier, mais il est quasiment sûr que sa mère lui prodigue, en plus du reste, une gorge profonde. Un coup de langue sur ses testicules alors que sa queue est déjà en bouche le lui confirme.Il ne faut que quelques secondes à Karine pour terrasser la bête.
— Je vais jouir...
Il s’attend à ce qu’elle le finisse à la main comme ses copines, mais au contraire, elle redouble d’efforts. Quelques aller-retour et Cédric cède dans un râle caricatural, son sperme se déverse dans la bouche de sa mère. Il a l’impression qu’il n’arrête pas d’éjaculer et les exclamations surprises et satisfaites de sa mère lui confirme qu’il y a fort à faire et beaucoup à avaler.Un dernier spasme et son corps se détend d’autant plus violemment qu’il s’était entièrement contracté. Sa bite émerge de la cavité buccale maternelle à moitié molle et propre. Karine revient s’allonger contre lui, elle a tout avalé.
— Il est tard, on devrait dormir.
Rien à redire. Il ferme les yeux et, mais impossible de dormir. L’excitation retombée, le futur semble jonché de mystères et d’inquiétude.
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