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Cédric n'est plus un enfant

Chapitre 4

Inceste
Cédric a du mal à dormir. Ça tourne dans sa tête. Ça y est, le point de non-retour est franchi, il n’y a plus moyen de faire machine arrière et d’effacer ce qui s’est passé. L’excitation sexuelle et le plaisir ont laissé la place à l’inquiétude et l’angoisse. Et il s’endort, plus épuisé mentalement que physiquement.Il se réveille avant Karine. Il ne sait pas quoi faire. Doit-il rester dans le lit ? Filer dans sa chambre ? Quelle est la suite des évènements ? Qu’est-ce qu’on est censé faire dans ce cas-là ? Il jette un coup d’œil au réveil. Putain, 6h20... Il va faire semblant de dormir, ce sera plus simple. Il ferme les yeux. Et à rester ainsi immobile, les yeux fermés, il se rendort.
Il est réveillé par une sensation agréable, lui reste le souvenir d’un rêve érotique particulièrement hard à la lisière de sa conscience. Au fur et à mesure qu’il se reconnecte à son corps, il se rend compte que ce n’est pas un rêve. Une sensation délicieuse au niveau de son sexe. Il baisse les yeux pour trouver Karine, à genoux au-dessus de lui, penchée sur son membre qu’elle tient d’une main et lui prodiguant une fellation si douce, si exquise, qu’il ne s’inquiète même plus des conséquences de cet acte incestueux.
Elle fait abondamment couler sa salive sur sa bite, passant et repassant sa langue, léchouillant le gland comme on joue avec une sucette, faisant courir ses mains trempées de bave sur la longueur de la hampe en glissant sur le gland dans une caresse humide irrésistible. Par moments, elle fait disparaître sa queue tout entière comme on aspire doucement un spaghetti. La sensation est si fulgurante qu’il ne peut retenir un soupir de plaisir et de surprise.Karine relève la tête.
— Ça y est, tu es réveillé ? Tu bandais si fort que je ne voulais pas rater ça.
C’est très étrange, pour Cédric, t’entendre sa mère parler si crûment de sexe, de son sexe. Ces mots, il ne l’a jamais entendu les prononcer : bite, bander, etc. Ce n’est plus tout à fait sa mère et pas tout à fait une femme qui le considère comme son amant, son homme. La façon dont elle le regarde est totalement différente, le ton même de sa voix est nouveau. Les repères sont chamboulés, retournés. Lui-même ne sait pas comment la considérer. Là, maintenant, tout de suite, il a envie d’elle, mais tout un pan de son être lui interdit d’exprimer son désir, son plaisir, ses délires, de dire des mots crus ou même des mots tendres. Ils lui semblent hors sujet même s’ils ne sont pas hors contexte.
Clairement, le réveil de Cédric semble marquer l’étape suivante des ébats et Karine se redresse et s’installe au-dessus de lui, frottant son gland entre les lèvres baveuses de sa chatte, frottant contre son clitoris le membre raide avant, sans plus de préambule, de le glisser à l’entrée de son vagin dans lequel il disparaît sans aucune résistance. Elle déborde, il le sent immédiatement. À l’instant même où elle s’est installée sur lui, ses couilles ont été trempées. Il ne savait même pas qu’une femme pouvait mouiller autant. « Quelle salope ! » Il a un peu honte, mais c’est la première pensée qui lui traverse l’esprit. Toujours cette ambivalence impossible à résoudre.
Il essaye de se raisonner, de se dire que c’est sa mère et qu’il ne doit pas penser comme ça. Mais est-ce encore sa mère, cette femme qui commence à bouger comme une amante en plongeant son regard dans le sien ? Et quel regard ! Est-ce encore sa mère si elle l’embrasse comme elle le fait ? Est-ce encore sa mère s’ils matent des pornos ensemble ? Est-ce encore sa mère si comme hier, elle le fait jouir et avale son sperme ? Et puis, il y a cette histoire de plan avec plusieurs hommes ... Est-ce que sa maman ferait ça ?
Ou alors peut-il se permettre de l’appeler salope ? Avec combien d’hommes a-t-elle couché en une seule fois ? Cette question l’obsède. Qu’a-t-elle fait d’autre qu’il ignore ? Il n’a pas vu beaucoup de porno, mais son imagination est fertile et des scénarios salaces, il en a plein la tête et depuis quelques mois, c’est Karine, sa mère qui en est l’objet. Si ça se trouve, elle s’est prostituée ? Si ça se trouve, elle aime aussi les femmes ? Combien de bites a-t-elle bien pu connaître ? Combien d’hommes en même temps ? Aime-t-elle la sodomie ?
Raisonnement totalement schizophrénique qui commence à s’installer chez lui. En attendant, Karine coule littéralement de désir sur sa bite. Chaque coup de bite qu’elle s’inflige en redescendant sur lui s’accompagne d’un claquement humide. Il le sent, son bas-ventre et les poils de son sexe sont trempés, ses couilles collent à ses cuisses et il sent même que ça coule jusqu’entre ses fesses. Il glisse en elle avec une aisance que seul un jus abondant permet.
Il est fasciné par ses gros seins qui rebondissent et ballottent au rythme de ses mouvements. Il se souvient de la goutte de lait qui perlait la veille. Il se demande s’il peut arriver à téter pour de vrai. Il passe les mains dans le dos de sa mère et la penche au-dessus de lui et gobe un téton. Maintenant qu’il peut les toucher, il se dit qu’ils sont vraiment gros et comprend pourquoi tout le monde semble faire toute une histoire des gros seins. Il commence en mordillant, mais Karine a une inspiration crispée qui lui fait comprendre qu’il lui a fait un peu mal. Il recommence, plus doucement. D’abord avec quelques coups de langue, en faisant le tour du mamelon, des baisers sur le téton, une petite aspiration de temps en temps. Ses caresses semblent faire effet, car Karine soupire un peu plus fort, appuie sa poitrine contre lui, accentue ses ondulations qui se font plus sensuelles. Sa gestuelle devient véritablement celle d’une chatte en chaleur.
Il se lance et commence à essayer de téter, mais il ne sent rien d’autre que la chair gonflée, le téton qui enfle sur sa langue. Il aspire et mordille à la fois, mais toujours rien si ce n’est qu’elle semble apprécier. Elle soupire, gémit presque, laisse échapper quelques « oui » et « vas-y » encore timides. Les claquements poisseux sur son bas-ventre s’accélèrent et il commence vraiment à se demander s’il va tenir. Sera-t-il à la hauteur de ce que cette salope semble exiger, de ses standards lubriques ? Ou va-t-il se ridiculiser et jouir en elle trop tôt juste parce qu’elle accélère un peu ? Il a envie de lui dire des choses qu’on ne dit pas à sa mère et même de l’insulter, de la traiter de pute, de salope... de chienne même. Il l’imagine avec un collier-de-chien, la tenant par une laisse en la prenant en levrette. Une longue série d’expressions passe dans sa tête et son imagination se cristallise sur « garage à bites ».
Il ne le sait pas encore, mais désormais, dans son esprit, les mots « maman, mère » seront rangés à côté de « salope et garage à bites ». L’effet de ces mots dans son imagination est puissant et très vite, il sent monter la jouissance. Instinctivement, il empoigne les hanches un peu épaisses de sa mère et prend le contrôle de la pénétration, la pilonnant comme un marteau piqueur au rythme des « clacs » poisseux qui résonnent. Il l’entend à ses oreilles qui geint des « oui » et des « vas y, baise-moi » presque implorants. C’est tout juste s’il se retient de lui enfoncer un doigt dans le cul. Il ne faut pas plus de quelques secondes de cette désinhibition pour que tout son corps se crispe, que ses abdos le redressent presque assis alors que ses mains s’agrippent et écartèlent le cul maternel.
Il n’y tient plus et dans un râle, il crie presque un « putain salope » qu’il n’a pas le temps de regretter quand elle lui répond dans ce qui semble être une même jouissance « oh oui, vas-y comme ça ». Il décharge en elle tout son foutre, tout son sperme, sa semence. C’est une véritable libération. Il a l’impression que jamais il n’a éjaculé autant, que jamais ses jets n’ont été aussi puissants. Encore une fois, il lui balance « Salope » et elle lui répond avec le même enthousiasme « Redis-le encore ». Dans les derniers coups de bite désordonnés, il l’embrasse à pleine bouche alors qu’il sent les dernières contractions de son gland qui expulse ce qui lui semble être des litres de foutre. En quelques mots, en quelques coups de reins déchaînés, en quelques secondes, tout a changé. Ce matin, pas hier soir, en choisissant de se vider les couilles dans la chatte de sa mère, en la traitant de salope et quand il a compris qu’elle le voulait aussi, il a senti passer un cap.
Ils s’effondrent sur l’oreiller. La jouissance s’estompe. Il n’y a plus de gêne, plus de tension indéfinissable entre eux. Ils échangent des baisers. Pas ceux d’une mère et d’un fils, mais ceux d’un couple d’amants pas tout à fait rassasiés. C’est dimanche matin. Il n’y a rien qui presse, rien qui attende, personne à voir. Ils ont la journée pour eux...
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