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Cédric n'est plus un enfant

Chapitre 6

DVD 3

Inceste
Mon histoire, celle d’un geste qui a tout changé...
Karine et Cédric ont passé quasiment toute la journée de dimanche au lit, alternant câlins, petits snacks et dodos. À 18 ans à peine, Cédric est prêt à repartir à l’assaut du corps de sa mère quasiment n’importe quand. Il a plus fait l’amour en une journée que sur les quelques derniers mois avec ses copines. Encore puceau il y a moins d’un an, il n’est pas tellement expérimenté et certaines filles qu’il a connues voulaient rester vierges ou ne se sentaient pas prêtes. Et pour les deux ou trois filles avec qui il a déjà couché, ce n’est pas toujours évident de se voir quand on habite chez ses parents ou bien elles étaient encore timides, inexpérimentées ou tout simplement sur la retenue pour « ne pas passer pour une salope ».
Mais avec Karine, sa mère, Cédric est avec une femme qui assume ses envies, sa sexualité, son désir et même ses besoins. Il trouve cela très excitant, mais aussi impressionnant. L’essentiel de ses références sur le sujet viennent des cours sur la reproduction en SVT en 2nde, quelques magasines piqués à des copines et les quelques pornos que ses potes et lui échangent après les cours. Et même en ayant conscience que ce ne sont pas les exemples à suivre, Cédric ne se sent pas à la hauteur face à ces ardeurs aux membres surcalibrés, aux performances hallucinantes et qui semblent faire jouir les filles à chaque fois et dont les couilles sont remplies comme les soutes d’un canadair.
Il veut avoir l’air de savoir faire ce qu’il faut, mais c’est compliqué. Comment ça fonctionne le corps d’une femme ? Et le clitoris ? Il a bien réussi à faire jouir sa mère d’un cunni, mais c’était presque par hasard. Faut-il être doux ? Dur ? Et avec les seins ? Et quand on doigte une femme ? Faut-il appuyer quelque part ? Combien de doigts ? Coucher avec une femme expérimentée, c’est super, mais en fait, il ne se sent pas à la hauteur.
Dimanche soir, ils ont quand même fait un vrai dîner, assis à table. Au moment d’aller se coucher, Cédric ne savait pas s’il devait aller se coucher dans sa chambre ou avec Karine. Il a fait mine d’aller préparer son sac pour les cours du lendemain et Karine ne venant pas, il pense que c’est signe qu’ils n’en sont pas à dormir ensemble.Il se couche seul. Pour la première fois depuis longtemps, il n’a même pas envie de se branler sous les draps. Faut dire qu’il a le gland presque anesthésié par les nombreux ébats de la journée. À la fin, c’est à peine s’il y avait une petite goutte de sperme qui jaillissait de son gland quand il jouissait. Karine avait l’air insatiable. Elle n’a pas éjaculé de nouveau comme elle l’avait fait le matin, mais elle a joui plusieurs fois. De ça, au moins, il est presque certain. Et la voir jouir, cette expression qu’elle a quand la vague la submerge. Il n’imaginait pas du tout qu’elle pouvait être si belle.
Lundi matin, au moment de dire au revoir à sa mère, elle lui dépose un baiser sur les lèvres et passe sa main sur sa braguette. Une érection quasi instantanée le prend. Il part en cours avec l’impression que son jeans marque une énorme bosse, mais il n’ose pas vérifier de peur d’attirer l’attention.
Impossible de se concentrer en cours. Les images du corps de sa mère, de son sexe, de ses seins, de ses fesses ne quittent pas son imagination. Quand il n’est pas en érection, c’est presque un soulagement. Il a reçu plusieurs messages de sa mère. « Je pense à toi, à nous. » « Hâte de te retrouver ce soir ». Avant d’aller déjeuner, il n’en peut plus et va se branler aux toilettes. Ça le détend une demi-heure à peine.
Quand il croise Nathalie dans les couloirs, elle s’approche pour échanger un baiser, mais le cœur n’y est pas. Il prétexte d’être en retard et s’esquive rapidement. Pas de trace de Sophie et ça l’arrange.
À la sortie des cours, tant pis, les potes, tant pis, Nathalie et Sophie. Il fonce chez lui. Il a envie de la retrouver, de sentir son odeur, la chaleur de sa peau, le poids de ses seins, le goût de ses lèvres, de coucher avec elle...
Mais elle est au travail. Même si AZF a mis le dossier de Toulouse entre parenthèses, le reste de son travail ne s’est pas arrêté. Il essaye de faire le sujet que ses profs lui ont demandé, mais c’est difficile de se concentrer. Il imagine qu’il va l’accueillir d’un baiser fougueux et qu’ils iront dans sa chambre et qu’il va lui faire l’amour comme un fou. Au beau milieu de ses devoirs, il déboutonne son pantalon et commence à s’astiquer. Doucement d’abord. Il repense à ce week-end, à la façon dont sa mère et lui ont lâché prise. Il ne tarde pas à jouir, les jets de foutre s’étalant sur son t-shirt noir laissent une marque bien visible. Ce n’est pas aussi bon que quand...
Que quand il jouissait dans sa chatte, sa bouche...Il aurait voulu essayer son cul aussi, mais il n’a pas osé, n’a jamais essayé avec personne...Il regarde son t-shirt. Pas le choix, il en change.20h, passés. Karine rentre enfin. Il est timide. Il ne sait pas s’il doit l’embrasser ou tout simplement comment se comporter. Karine, visiblement, est fatiguée. Elle enlève ses chaussures tout en parlant de sa journée. Elle dépose un rapide baiser sur les lèvres de Cédric et part dans sa chambre dont elle ferme la porte. Cédric se sent idiot. Qu’est-ce qu’il espérait...? Il retourne dans sa chambre quand Karine vient le chercher. Elle est habillée comme le premier soir. Cette soirée passée au restaurant après laquelle elle lui avait acheté les DVDs. Un simple jeans, mais qui la met plutôt en valeur, un chemisier sans manches à col Mao vert foncé avec des boutons dorés et des chaussures à talons marron foncé.

— Mon chéri, je t’invite au restaurant.
Cédric est rassuré. En voyant Karine disparaître dans sa chambre, il s’était angoissé pour rien.
— Cool. On va où?— J’ai envie qu’on reprenne notre première soirée, mais sans angoisse, sans stress, telle qu’on aurait pu la vivre. Qu’est-ce que tu en dis ?— Oui, super !
Ils marchent dans la rue. Cédric a essayé de prendre la main de Karine, mais elle lui a fait remarquer qu’ils connaissent beaucoup de gens dans le quartier et que la plupart des copains de Cédric et leurs parents vivent dans le coin. Il est un peu déçu, mais il se rend compte qu’elle a raison.
Restaurant, bouteille de vin pour Karine, conversations drôles et sérieuses. Karine semble d’excellente humeur et Cédric a oublié ses angoisses. Addition, un petit baiser rapide et discret à la sortie du restaurant. L’alcool et la bonne humeur aidant, Karine prend elle-même la main de Cédric. Chemin du retour et passage devant le sex-shop. Karine, guillerette propose de refaire une sélection de DVDs, mais ensemble cette fois-ci. Cédric hésite. Il n’a jamais mis les pieds dans un sex-shop. Karine l’entraîne par la main. Des centaines de VHS, de magazines, de godes aux gabarits et aux formes les plus variés allant du ridicule à l’improbable. Sur une étagère, il y en a un qui est plus gros qu’un tabouret. Cédric se demande si qui que ce soit peut utiliser ça. Des poupées gonflables dont la boîte présente la photo d’une jeune femme magnifique, mais dont la représentation en poupée est tout simplement grotesque.
De la lingerie aussi sexy que putassière, des chaussures à talons avec des godes en guise de talons, des menottes, des fouets, des...qu’est-ce que c’est que ça ? Impossible de comprendre à quoi ça sert. Un panneau au fond indique « Cabines / Show ». Le vendeur mâchouille un chewing-gum en feuilletant l’Équipe tandis qu’un couple regarde les godes-ceintures sans trop oser et qu’un homme d’une cinquantaine d’années essaye de regarder les VHS zoophiles sans que ça se voie. D’ailleurs, l’info vient d’arriver au cerveau de Cédric. Des VHS zoophiles ? Dans un magasin ? Visibles de tous ? Il vérifie. Si si, sur la jaquette, une jolie blonde est assise avec une laisse autour du cou dans l’exacte même position que les deux dogues à côté d’elle.
Karine se rapproche.
— Ça t’intéresse, ça ?— Non non. Mais je ne savais pas que ça se vendait comme ça.
Cédric repose la cassette. L’homme qui regardait le rayon a disparu, sans doute gêné par Cédric. Karine présente les rayons à Cédric : Black / beurette, porno américain, femmes fortes, femmes mures, groupes / partouze / gang bang, SM, squirt / uro, lesbiennes, gay, etc.
Même zoo dans un petit coin. La section asiatique est elle-même sous-divisée par pratique. Cédric est un peu effaré. Il n’ose pas montrer son intérêt ou faire preuve de curiosité, mais certaines jaquettes de DVD ou de VHS ont déjà retenu son attention. Il fait mine de regarder de loin, mais le rayon squirt / uro est ce qui l’intéresse tandis que Karine s’est tournée vers des DVDs de gang-bang et de bukkake. Il s’approche d’elle. Elle regarde la jaquette d’un DVD allemand qui montre une brune en minijupe qui pourrait être Karine avec 10 ans de moins dont le visage est couvert d’un foutre épais, entourée de dizaines de bites. Des vignettes tout autour montrent des images extraites du film où des femmes se font prendre par des groupes d’hommes ou bien des queues aux proportions prodigieuses en train d’éjaculer sur le visage des jeunes femmes déjà assaillies par d’autres hommes. Karine, remarquant Cédric à côté d’elle :
— On peut prendre quelque chose dans ce genre, non ?— Tu veux ?— Je... Tu le regarderais avec moi ?— Bien sûr !— Alors je vais en choisir un. Tu as trouvé ce que tu voulais ?— Pas encore.
De loin, le couple les regarde, un peu étonnés. Il faut dire que Cédric ressemble suffisamment à Karine pour qu’il y ait peu de doute quant à leur lien de filiation. La jeune femme chuchote quelque chose à l’oreille de son compagnon. Quand ils se rendent compte que Cédric les regarde, ils se replongent dans leur choix de sex-toy.Cédric retourne à ses DVD. Il s’habitue à être dans le sex-shop et ose regarder quelques jaquettes. Karine a trouvé ce qu’elle voulait et se rapproche. Cédric a dans les mains plusieurs DVD. Certains sont orientés squirt, d’autres uro. Il en choisit un qui combine les deux. Le premier qu’ils avaient regardé ensemble ne l’a pas laissé indifférent, y compris l’aspect uro.Karine paye les DVDs et ils ressortent, se tenant par la main et rentrent rapidement chez eux.
Pendant que Cédric met la télévision en marche, Karine essaye de donner une atmosphère intime au salon. Ils ont choisi, pour boucler la boucle, le DVD uro-squirt que Cédric a choisi. Le DVD commence avec un générique complètement bâclé qu’on croirait fait par un stagiaire anémique. Cédric se demande s’il a bien choisi. S’ensuit une présentation des filles qui jouent dans le film avec des transitions aussi maladroites que dépassées. Cédric est de plus en plus circonspect.
Ça y est, fin du générique. Une petite black s’avance dans ce qui ressemble à un studio décoré à la va-vite façon chambre d’hôtel. Elle porte des sous-vêtements blancs qui tranchent avec sa peau ébène. Un grand black, un peu maigre s’avance vers elle. Il ne porte qu’un boxer qui laisse déjà deviner un membre tout simplement prodigieux. Sans préambule, la jeune femme passe la main sur la proéminence et ne tarde pas à baisser l’élastique du boxer, libérant un monstre. L’homme ne bande pas et déjà, sa queue ressemble à l’avant-bras de la jeune femme.
Karine, à côté de Cédric, ne peut retenir une exclamation.
— Oula, c’est incroyable, un engin pareil...— Tu aimerais, toi ?— Hum... J’aimerais essayer de temps en temps. Mais ça à chaque fois ? Non, impossible.
Les ébats commencent à l’écran. Fellation, bifles, la jeune femme semble avoir la mâchoire distendue par ce membre qui n’en finit pas de grossir. Il semble qu’il faille tellement de sang pour faire bander cette poutre qu’elle n’y arrivera jamais. Quelque chose dans l’attitude de ce couple fait penser à Cédric qu’ils sont ensemble aussi hors caméra. Soudain, il la soulève, l’allonge sur le dos sur le lit et sans autre formalité, déchire sa culotte et pousse pour faire entrer sa queue en elle. Sa petite chatte sombre résiste avant de céder, le membre progresse, centimètre par centimètre. Ça y est, le gland est entré. Il ne reste plus qu’à peu près 25 centimètres à faire passer. L’homme commence à bouger en elle et à chaque mouvement, il s’enfonce un peu plus. La jeune femme pousse des râles totalement bestiaux, mélange de ce qui semble être de la douleur mêlée à un plaisir intense.
Cédric ne peut s’empêcher d’imaginer sa mère prise par ce membre, ballottée et dévastée par un tel chibre. Il commence sérieusement à bander, mais il ne sait pas ce qu’il est censé faire. Se tourner vers Karine et s’occuper d’elle ou s’occuper de lui et laisser Karine choisir la suite.
Arrive à l’écran, un autre homme, blanc, pas aussi prodigieusement membré, mais sérieusement équipé tout de même qui s’installe au-dessus du visage de la jeune femme qui lui lèche les couilles et l’anus. Par moments, l’homme lui enfonce sa queue au fond de la gorge et lui sort les seins de son soutien-gorge.
Karine commente de nouveau.
— Elle est bien servie quand même.— Oui, je me verrais bien être celui qu’elle suce.
À peine a-t-il dit cela que l’homme en question commence à uriner sur le visage puis les seins puis le ventre de la jeune femme.
— Tu as bien choisi mon chéri, commente Karine.
Le type finit en arrosant la pénétration de l’autre homme en bas qui ne se retient plus et empale la jeune femme sur son pieu. L’urine sur sa bite, ses couilles, son bas-ventre ne semble pas le gêner, au contraire. Il y met plus de vigueur et la jeune femme crie de plaisir ou de douleur, impossible à savoir, mais elle semble littéralement éventrée par cette bite démesurée.Karine, à côté de Cédric, passe sa main sur la braguette gonflée de Cédric.
— Alors comme ça, tu te verrais bien à sa place, à pisser sur cette jolie fille alors qu’elle se fait défoncer ?— Oui, non, enfin, je sais pas. Il lui avait pas encore pissé dessus quand j’ai dit ça. Et toi, tu te verrais à sa place, à elle ?— Pas forcément, mais j’aime bien regarder.
Au fond de lui, oui, Cédric aurait voulu être ce type, jusqu’au point de pisser sur cette fille. Il bande d’ailleurs dur dans son propre jean et les caresses de sa mère sur le tissu accentuent son désir.
— Tu veux pas sortir ça de ton pantalon que je m’en occupe. Tu m’as l’air tout serré.
Le ton de Karine est joueur, coquin. Cédric trouve ça extrêmement excitant, mais toujours aussi déroutant. Mais il s’exécute et son pantalon finit sur ses chevilles. Karine descend du canapé et s’agenouille devant Cédric, ouvre la bouche et avant qu’il n’ait le temps de dire quoi que ce soit, sa bite est avalée.
À l’écran, la blackette, arrosée de pisse, continue de crier son plaisir, il n’y a plus de doute là dessus. Le black la pistonne consciencieusement pendant que l’autre lui baise la bouche sans égards. Karine relève la tête et jette un œil à l’écran avant de replonger entre les cuisses de Cédric qui ne sait pas quoi faire de ses mains. Heureusement, sa mère les lui attrape et lui intime de lui prendre les cheveux. Il ne se fait pas prier et commence à imprimer son rythme à cette fellation délicieuse. Karine, de son côté, déboutonne son pantalon et se caresse sans retenue, la main plongée dans sa culotte. Cédric ne sait pas s’il tiendra, mais c’est tellement bon qu’il n’a pas vraiment envie d’essayer.
Le deuxième homme, celui qui se fait sucer, commence à montrer des signes de plaisir intense lui aussi et empoigne sa queue et se branle vigoureusement pour éjaculer abondamment sur le visage et les seins de la jeune femme. Karine se retourne pour voir l’action tout en gardant la bite de Cédric en main. Mais les sensations n’y sont pas, et d’un coup de poignet sur les cheveux de sa mère, lui intime de reprendre sa fellation. Karine y retourne sans résistance.
Un autre homme s’avance et sans plus de cérémonie, urine à son tour sur la jeune femme et arrose au passage le sexe du black. Cédric est incapable d’expliquer pourquoi, mais il trouve ça particulièrement excitant. Karine qui jette un coup d’œil lâche un soupir d’appréciation avant de reprendre son ouvrage.
Le black pilonne encore la petite jusqu’à ce qu’elle le repousse d’un geste et explose d’un jet de cyprine qui gicle de toute part. Le black joue à faire entrer et sortir son gland, ce qui provoque à chaque fois une nouvelle explosion humide. La jeune femme semble totalement terrassée. Mais le grand black ne la laisse pas reprendre ses esprits et entreprend de caresser son gland sur le petit anus accessible. L’autre ne quitte plus la bouche de la blackette et la baise avec une tendresse brutale.
Alors que le gland du grand black commence à se frayer un chemin, la jeune femme se cambre d’un coup, faisant signe d’attendre. Le black prend son temps et fait glisser son gland presque amoureusement sur la petite rondelle qui palpite. L’autre vient au-dessus de la jeune femme et doucement, se glisse dans sa chatte, se penchant en avant au point d’échanger un baiser avec sa partenaire pourtant couverte d’urine. Il s’enfonce en elle et le black recommence à son tour à se frayer un chemin dans son petit anus qui semble pousser aux limites de ce qui est possible.
Cédric n’en peut plus : Karine lui prodigue une fellation extrêmement douce et appliquée. Il a l’impression qu’il est au bord de l’orgasme en permanence. Et sa main dans sa culotte s’agite de plus en plus. Cédric n’a plus envie de se retenir. L’excitation est tellement forte. Il empoigne plus vigoureusement les cheveux de sa mère et imprime des gestes plus profonds, plus intenses. Il est effectivement au bord de l’orgasme et il ne lui faut quelques instants pour sentir son gland libérer son sperme. Il n’a pas besoin de voir pour savoir qu’il y en a beaucoup, épais, copieux. Le plaisir de Cédric semble décupler celui de Karine qui se caresse plus vigoureusement encore et tout en avalant, souffle de plus en plus, gémit sans retenue et alors qu’elle libère enfin la bite de Cédric qui retombe sur ses cuisses, jouit dans un « Aaaaah » de satisfaction qui ne laisse aucune place au doute.
Ses doigts s’agrippent aux cuisses de Cédric qui la trouve plus belle que jamais alors qu’elle est décoiffée, le maquillage a coulé, son chemisier est froissé et en pagaille, son pantalon à moitié défait, mais son expression de plaisir pur est telle que Cédric n’y tient pas et l’embrasse avec fougue, avec passion même. Il sent le goût de son sperme dans sa bouche, mais qu’importe. Au contraire, cet aspect transgressif est si exaltant. Et son baiser n’est pas un baiser d’amour filial, mais celui d’un amant pour sa maîtresse, d’un homme à sa femme.
Karine passe les mains dans les cheveux de son fils et lui rend ce baiser. Elle se redresse sans décoller ses lèvres de celles de Cédric. Ils s’enlacent, s’embrassent. Les mains se perdent, les vêtements tombent dans la précipitation.
Peu importe qu’à l’écran, la petite black qui se fait empaler par un mandrin prodigieux, peu importe le nombre d’hommes qui lui pissent dessus, peu importe qu’elle soit fontaine. Cédric et Karine ont envie l’un de l’autre. Du désir pur, brut, bestial, primaire. À peine sont-ils nus tous les deux qu’elle l’assoit dans le canapé et s’agenouille sur lui et sans hésitation, s’installe sur sa queue qui disparaît en un instant. Elle bouge si bien, ses seins sont si beaux, son regard si amoureux que Cédric s’abandonne tout entier. Il empoigne les fesses, embrasse les seins tandis qu’elle lui griffe le dos et lui mord l’épaule. Il n’essaye, n’envisage même pas de se retenir. Leurs râles sont en harmonie, ils gémissent ensemble. Elle accélère, il lui tient les hanches et l’accompagne. Il sent le cervix de sa mère qui frotte sur son gland et c’est délicieux. Elle ondule avec une telle grâce, il n’en peut plus. Il la sert contre lui et jouit, jouit si fort qu’il a la tête qui tourne.
Elle jouit avec lui, elle jouit si fort qu’elle tomberait s’il ne la tenait pas contre lui.La tension redescend doucement, leurs corps se décontractent. Cédric retient sa mère qui semble épuisée. Il arrête le DVD sans même regarder ce qui se passe à l’écran. Il n’a d’yeux que pour Karine. Elle se laisse complètement aller sur lui, les yeux fermés. On dirait qu’elle dort déjà et lui-même n’a aucune énergie.
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