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Cédric n'est plus un enfant

Chapitre 7

Album photos

Inceste
Je n’ai pas écrit depuis quelque temps. Le confinement et ses conséquences ont été compliqués à gérer ici. Pour ceux qui prennent le train en marche, je relate mon histoire, tel qu’elle s’est déroulée. Ce chapitre ne sera peut-être pas le plus croustillant, mais il correspond à un moment crucial de ce qui m’est arrivé.J’espère qu’il vous plaira néanmoins.
Ça fait quelques jours, presque une semaine que Cédric couche avec sa mère. Déjà une semaine, ou seulement une semaine... Il ne sait pas trop, mais il a l’impression que tout a changé depuis. À commencer par lui. Il a l’impression d’avoir gagné en assurance, il se sent plus adulte, plus homme. Il faut dire que Karine est une femme, elle. Une femme avec des besoins. Elle a besoin d’un homme et c’est lui qu’elle a choisi pour la satisfaire. Et qu’il semble qu’il ne s’en sorte pas trop mal. Ils dorment peu, font l’amour plusieurs fois par nuit, parfois même dans la cuisine, le salon ou même sous la douche comme l’autre matin où Karine a été obligée de lui faire un mot pour l’excuser de son retard en cours. Cédric se sent invincible. Plus ils le font et mieux il se contrôle, plus il arrive à tenir la distance. Hier soir, c’est même Karine qui s’est avouée vaincue et qui a demandé une pause. Il s’est senti comme un challenger qui descend du ring après avoir terrassé le champion en titre.
Mais là, ça se complique. Ce week-end, Cédric va chez son père, J-P (pour Jean-Philippe). Du vendredi soir au mardi matin. Et tout d’un coup, il doute, découvre la jalousie un peu paranoïaque : et si pendant son absence, Karine, insatisfaite, se cherche quelqu’un d’autre ? Et puis, c’est la première fois qu’il revoit son père depuis que tout ça a commencé. Que dire ? Comment se comporter ?
Vendredi, fin du cours de maths, la cloche sonne et tout le monde se précipite dehors. Le sac sur le dos, Cédric prend le métro, traîne des pieds dans la rue et est soulagé de voir qu’il n’y a encore personne chez son père. Il pose ses affaires dans sa chambre. Tout d’un coup, elle lui semble toute petite, la chambre d’un enfant. Un lit simple, une couette avec la fusée de Tintin, un bureau que son père a envahi de papiers, dossiers, crayons et une petite télé avec sa vieille MegaDrive branchée dessus et un jeu Spiderman. Dans la bibliothèque, des BDs des Schtroumpfs, de Gaston Lagaffe et autres qu’il ne lit plus depuis longtemps. Il ne s’est jamais tellement senti chez lui chez son père, mais là, c’est pire que d’habitude.
Il allume la télévision, mais à 17h45, il n’y a rien à regarder. Encore 2h à attendre avant le retour de son père ou de sa belle-mère. Contrairement à ses habitudes, il sort ses devoirs en se disant qu’ainsi, il aura la tête libre le reste du week-end. Il sort ses affaires de son sac, mais il lui manque du papier et une perforatrice pour ajouter les polycopiés à son classeur de chimie. Il fouille le bureau de sa chambre : des pogs, des billes, des trombones, des crayons de couleur... Il faut vraiment qu’il fasse du tri là-dedans.
Il se dirige vers le dressing dans le couloir et ouvre le placard à fournitures de son père. Une sorte de secrétaire à rouleau. Une partie de ce placard comprend les dossiers de son père : comptabilité, relevés de compte, un dossier sur la scolarité de Cédric, un dossier divorce qui lui provoque un petit pincement au cœur. Il cherche la perforeuse, mais rien. Le dernier compartiment tout en bas est rempli de... VHS porno. Une quinzaine au moins. Et il y en a pour tous les goûts. Gang bang, partouze, amatrices, sodomie... Il n’aurait pas imaginé ça de son père un peu psychorigide, moralisateur à outrance qui ne rate jamais une occasion de dire tout le mal qu’il pense des potes de Cédric qu’il trouve trop vulgaires, trop mal élevés, trop tout.
Les VHS sont accompagnées d’une douzaine de magazines dont un dédicacé par Tabatha Cash. Et en dessous des magazines, il y a un album photo. Vu le contenu du casier de placard, Cédric ne peut résister à la curiosité. Il le sort, l’ouvre et découvre dedans des photos en noir et blanc de jeunes femmes qu’il ne connaît pas. Les photos sont rétro, dans des formats qui ne se font plus. De toute évidence, ce sont des photos que son père a prises il y a longtemps. Les jeunes femmes sont le plus souvent en maillot de bain et parfois nues, visiblement toutes photographiées dans le même jardin et dans une maison que Cédric ne reconnaît pas. Là, cette jeune femme pourrait tout à fait être la cousine de son père qui travaille chez GDF, Danielle. Elle est en bikini, puis en monokini. Elle prend des poses un peu lascives, prend ses seins dans les mains et les montre à l’objectif. Sur la page d’à côté, elle est totalement nue, une toison brune et touffue entre ses cuisses très écartées.
Là, elle fait mine de se caresser et là carrément de se doigter. La photo suivante est prise du point de vue d’un homme qu’elle est en train de sucer. Son père certainement.Sur la page suivante, Cédric est sidéré de découvrir la petite cousine de sa mère, Nathalie qui est aussi sa marraine. Elle est en culotte, dans une salle de bain qu’il reconnaît comme étant celle de la maison de sa grand-mère maternelle. Une photo où elle enlève sa culotte et montre ses fesses en minaudant puis des photos d’elle sous sa douche. Cédric recompte, il y a au moins une dizaine de femmes différentes.
Et enfin, les pages suivantes sont consacrées à sa mère, Karine. Cédric la découvre plus jeune d’une bonne vingtaine d’années, les cheveux plus longs dans une coiffure totalement datée, presque ridicule aujourd’hui, plus mince, le ventre plat, les cuisses et les fesses galbées, avec des seins un peu plus petits et dressés fièrement contre la gravité. Une toison pubienne très brune, très fournie, très épaisse. Cédric est totalement sous le charme. Déjà qu’il trouve sa mère particulièrement canon et sexy, mais là, sur ces photos, elle est incroyable. Comment son père, ventripotent, a-t-il pu se faire un canon pareil ?
Il tourne les pages et retrouve une photo de Karine exactement identique à celle de Danielle. Elle est à genoux, la bouche enroulée autour de la bite du photographe. Cédric ressent une pointe de jalousie mêlée à un soupçon d’excitation. D’autres photos sont plus étonnantes : Karine montrant ses seins dans la rue, levant sa jupe pour dévoiler sa chatte dans un musée ou au restaurant. Il y a même toute une série de photos, sans doute prises au petit matin, de sa mère totalement nue sur l’esplanade du Trocadéro face à la Tour Eiffel... Cédric n’en revient pas.
Impossible de ne pas se laisser absorber, de ne pas tourner les pages. Alors même que ces derniers jours, il pensait avoir découvert tout ce qu’il était possible de découvrir de sa mère, il se rend compte qu’il n’a sans doute que gratter la surface. Très bizarrement, cela lui fait peser un poids écrasant sur la poitrine, lui comprime le cœur autant que ça lui gonfle la bite. Mais pourquoi ? C’est plutôt quelque chose d’excitant. Et le regard coquin et le sourire tapageur de Karine sont plutôt charmants et très sexy. Mais la jalousie s’installe. La jalousie de découvrir que justement, il ne connaît pas du tout sa mère autant qu’il le pensait, qu’elle a encore plein de secrets, de choses qu’elle ne lui a pas dévoilées. C’est ridicule, ils ne couchent ensemble que depuis quelques jours, mais que faire contre un sentiment irraisonné ? Que faire contre la jalousie ? Et qu’est-ce que ça veut dire d’être jaloux ? De quoi ? De son père ? Serait-il...
Serait-il quoi d’ailleurs ? Amoureux de sa mère ? Est-ce de l’amour ? Cédric se sent perdu, mais ne peut pas arrêter de tourner les pages.

Toute une série de sa mère enceinte. Parfois simplement nue. Les photos sont belles, presque artistiques pour certaines. Son père a dû penser la même chose, car certaines ont été développées en grand format. Mais d’autres photos la montrent toute autant enceinte en train de jouer à la salope. L’une, presque grotesque, montre Karine allongée sur le dos, son ventre déjà assez gros, ses seins devenus énormes pendent de chaque côté. Les mamelons sont sombres et saillants, une ligne sombre traverse la peau de son ventre tendu de son pubis à son nombril. Sur une autre, sa mère est assise sur le pas d’une porte, les cuisses bien écartées dévoilant sa chatte ouverte et humide, son ventre qui se pose presque sur ses cuisses et tenant ses seins dont elle pince les tétons. Sur une autre encore, elle porte un soutien-gorge qui, avec la taille qu’ont ses seins, est bien trop petit et duquel sa poitrine semble vouloir jaillir.
La thématique change. Karine n’est plus enceinte. Sur les photos suivantes, elle porte beaucoup de lingerie, des soutiens-gorges qui laissent jaillir ses seins. Cédric découvrira des années plus tard que ce sont des soutiens-gorges d’allaitement. Sur certaines photos, Karine fait jaillir des jets de lait de ses tétons particulièrement gonflés. Sur d’autres, elle est allongée sur le dos, en train de se faire pénétrer par le photographe alors que du lait perle à sa poitrine. Les séries s’enchaînent...
Karine à la plage, Karine avec un gode assez énorme, Karine qui écarte son cul, qui montre sa chatte, qui se doigte, qui suce son père, qui rit avec du sperme plein le visage, qui fait un clin d’œil aguicheur, habillée en soubrette, Karine avec une robe transparente, un collier-de-chien et une laisse... Quoi !? Attends, attends, c’est vraiment un collier-de-chien et une laisse ça ? Putain, mais oui, carrément ! Et Cédric bande dur, très dur. C’est à peine supportable. Et il n’est qu’au premier tiers de l’album photo.
Page suivante, Karine dans le salon tel qu’il était quand Cédric était tout gosse, à quatre pattes, sa laisse autour du coup et des hommes habillés autour d’elle. La photo, comme beaucoup d’autres, a des couleurs qui ont viré, mais il reconnaît immédiatement le tapis qu’il aurait oublié à tout jamais sans cette photo. Il jouait dessus quand il était tout petit et il avait disparu au moment du divorce. Sur les photos suivantes, Karine, toujours en laisse, suce deux ou trois bites à la fois, se fait prendre en levrette sur le tapis alors que sa bouche est assaillie, regarde le photographe avec un regard de salope alors qu’elle tient deux queues de chaque côté de sa bouche...
Sa robe transparente a disparu, sa coiffure est défaite, mais elle semble au paradis. Les photos de situation se mêlent à des gros plans anatomiques de pénétration vaginale, buccale, anale...Et Cédric qui n’a pas encore eu droit au cul de sa mère ressent encore la morsure brulante de la jalousie. La série de photos se termine sur une photo de Karine avec du foutre plein le ventre et un sourire rassasié.
Par acquit de conscience, Cédric jette un coup d’œil à sa montre. Merde ! 19h30...Vite, on ne sait jamais que son père ait fait l’effort de rentrer plus tôt parce qu’il est là. Il range tout aussi minutieusement et discrètement que possible. Tant pis pour les fournitures, il referme le placard et se précipite dans sa chambre. Sa braguette lui fait mal, il n’a qu’une envie, c’est de sortir sa queue prête à exploser et de se branler vite fait. Peut-être a-t-il le temps ? Qui sait ? Il repense aux photos, se convainc qu’il lui faudra quelques secondes à peine pour jouir. Il commence à dézipper son jean quand il entend un bruit de clef dans la serrure. Vite, il remballe tout, essaye de trouver une position qui dissimule son érection, mais impossible. Il s’installe à la chaise de bureau pour faire mine de faire ses devoirs, mais quand son père rentre, il réalise qu’il a devant lui la montagne de bordel laissée par son père et rien qui corresponde à ses devoirs. Son père s’avance pour lui faire la bise.
— Tu pourrais te lever pour dire bonjour à ton père.— Bonjour papa. Désolé, j’étais perdu dans mes pensées.— Je rangerai mon bordel. Je voulais le faire hier soir, mais j’étais crevé.— Pas de soucis.— Ça va ? Tu as l’air tendu.— Ouais ouais, t’inquiète.
Son père lui jette un dernier coup d’œil avant de sortir. Cédric souffle un bon coup !
Le soir, autour de la table, Cédric essaye de ne pas regarder son père différemment, de ne pas dévisager sa belle-mère, Christine. Son père qui joue les pères la morale est en fait un gros pervers qui garde une collection de porno dans ses affaires, qui photographie des femmes nues ou carrément en train de baiser, qui a donné sa femme en pâture à trois hommes. Que cache-t-il d’autre, comme secret ? Qu’est-ce qu’il y a dans les pages suivantes ? Y a-t-il d’autres albums ?
Et Christine est-elle au courant des albums ? De ce que faisait (fait ?) son père ? Le fait-elle avec lui désormais ? Est-elle, elle aussi, dans l’album ? Sait-elle qu’il y a des pornos dans la maison dont certains semblent carrément hard ?
Et Karine, sa mère ? Il ne l’aurait jamais imaginé ainsi... Mais à bien y réfléchir, il n’aurait jamais imaginé qu’il coucherait avec elle alors le reste... Pourquoi pas, quand on y pense ? Qu’a-t-elle fait d’autre ? Qu’est-elle prête à faire ? Que peut-il espérer faire avec elle ? Osera-t-il, tout simplement ? Et pourquoi cette jalousie qui l’écrase ?
Il n’arrive pas à se concentrer sur le repas, sur le gratin. Ses pensées sont sur une trajectoire sans limites et en observant Christine, il se met à l’imaginer faisant ce qu’il a vu sa mère faire. Il la regarde autrement, malgré lui. Il évalue si elle a l’air d’être le genre de femme qui ferait ça, se donner à plusieurs hommes. Et du coup, il la regarde non plus comme la bonne femme avec qui il faut composer de temps en temps, mais comme une femme sexuée. Elle est châtain clair, les cheveux aux épaules, les yeux très verts. Pas tout à fait mince, une poitrine qu’il connaît bien, car elle fait du topless tous les étés. Des seins pas trop gros, mais qui n’ont pas connu la maternité et qui ont une belle forme. Il se demande s’il arriverait à se souvenir de ses fesses en maillot de bain, mais il n’est pas certain de ses souvenirs.
Au bout d’un moment, elle note que Cédric la dévisage et lui demande si tout va bien. Cédric revient à lui et s’excuse, il était perdu dans ses pensées.Ses pensées justement... Si son père a eu droit à tout ça, alors pourquoi pas lui... Et si son père a eu droit à Christine, alors pourquoi pas lui... Non, mais merde, il est con ! Qu’est-ce que c’est que cette idée ? Il faut qu’il pense à autre chose. Compliment sur le gratin de Christine, discussion sur ses cours, il essaye de se changer les idées. Mais ce n’est pas facile...
Mardi soir... Fin du week-end chez son père, retour de cours. Il n’a jamais retrouvé l’occasion de fouiller le placard de son père. Impossible d’être seul chez son père. Mais en même temps, ils ne se voient pas souvent et son père voulait en profiter. Comment le lui reprocher ?Devoirs finis, un petit coup de jeux vidéos sur son pc. Clefs dans la serrure, sa mère rentre. Elle arrive dans sa chambre, elle a à peine enlevé son manteau et ses chaussures qu’elle s’avance, prend son visage dans ses mains et l’embrasse fougueusement, d’un baiser qui l’emporte, lui fait quitter terre. Elle est déjà en train d’enlever son chemisier, sa jupe, c’est foutraque et bordélique, mais elle est déjà nue et le déshabille à son tour, lui enlevant t-shirt et jean presque dans le même mouvement. Derrière lui, son lit sur lequel elle le pousse, il tombe à moitié allongé, elle met une jambe de chaque côté et se laisse descendre sur son sexe, laissant échapper un soulagement intense.
— Enfin !
Elle ne bouge presque plus, profite de sa présence en elle, fait des caresses sur son torse imberbe avant de se pencher sur lui, de venir cacher son visage dans son cou en faisant des mouvements de bassin lents et doux.
— Tu ne m’as pas appelée du week-end. J’étais inquiète.— Je... Désolé, mais je ne t’appelle jamais quand je suis chez papa. Ça fait des problèmes en général.— Tu as raison, mais... Je crois que j’étais inquiète qu’être séparés nous fasse changer d’avis.
Cédric repense à l’album photo.— Non, ne t’inquiète pas. Au contraire.
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