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Célia

Chapitre 6

Hétéro
Le lendemain, après la fac, à mon retour, je suis allée seule au jacuzzi avec le maillot blanc profitant des dernières chaleurs de la fin d’été. Et puis, je me suis fait bronzée. Ma nouvelle liberté, qui consiste à ne plus avoir mes parents sur le dos, m’incite à faire de nouvelles choses et j’ai enlevé mon haut de maillot pour me faire bronzer les seins, chose que je n’ai encore jamais faite. Je suis restée un moment comme cela, je me suis même endormie et c’est Benjamin qui m’a réveillée en me balançant de l’eau depuis le jacuzzi. Je l’ai rejoint tout en remettant mon haut de maillot mais il m’a dit "ne le remets pas". Alors je suis entrée dans l’eau bouillonnante topless et je me suis collée à lui. Il a passé un bras autour de mon cou, sa main venant sur un de mes seins et il a commencé à jouer avec. Je trouvais la situation très érotique et surtout très excitante. J’ai posé ma main sur son short et j’ai senti son sexe durcir. A ce moment-là, mon cerveau perverti me le fit sortir de son short et j’ai commencé à le branler. Il m’a murmuré "j’aime quand tu prends des initiatives". J’ai souri, je l’ai embrassé et j’ai dit "et ce n’est pas fini". Je l’ai enjambé tout en enlevant mon bas de maillot le plus discrètement possible pour me retrouver face à lui. Je me suis frottée contre son sexe et puis sans rien dire, j’ai écarté légèrement mes cuisses et je me suis empalée lentement sur son sexe. C’est moi qui est dirigé le mouvement, je mettais beaucoup de douceur, de lenteur et il se laissait faire. Il me caressait le dos et les fesses et il embrassait mes seins puis une de ses mains est venue masser mon clitoris. C’était agréable. On a fait ça pendant une dizaine de minutes avant qu’il jouisse en moi. J’ai pris du plaisir à le sentir me remplir, là ,dans le jacuzzi, sur sa terrasse. Sans sortir de moi, il s’est levé et m’a prise dans ses bras et m’a posée sur le rebord du jacuzzi puis il est sorti de moi et s’est mis à me masturber. Je sentais ses doigts glissaient en moi bien aidé par le côté lubrifié par ma mouille et son sperme que je sentais couler de moi. En deux-trois minutes, j’ai joui, étouffant mon cri dans le creux de son épaule pour ne pas me faire entendre par les voisins ou dans la rue. Il a continué à me masturber doucement puis il a retiré ses deux doigts qu’il avait mis dans mon vagin. Il les a mis devant mon visage et j’ai compris que je devais les lécher. Il y a encore quelques jours, j’aurai trouvé ça sale, mais là j’ai léché sans hésitation et j’ai trouvé ça bon. Tellement, qu’une fois ses doigts propres, j’ai été recueillir le mélange sperme/cyprine avec mes propres doigts pour en gouter plus. Pendant que je léchais mes doigts, Ben m’a embrassée sur le front puis à murmurer à mon oreille "petite cochonne". Puis plus fort "merci ma chérie". "Ma chérie", il a dit "ma chérie", quand il a dit ça, j’ai failli en pleurer. J’étais donc sa "chérie". C’est la première fois qu’il exprimait un mot aussi puissant avec moi, il m’avait toujours appelé par mon prénom et là, il a dit "ma chérie". Il m’a laissé seule sur la terrasse. Je me suis laissée glisser dans le jacuzzi un long moment, presque jusqu’au coucher du soleil. Puis il est revenu, habillé, et m’a demandé de venir. C’était la soirée des surprises, il avait fait à manger, lui qui a toujours dit que la cuisine était un univers totalement inconnu. C’était trop chou!
Après le repas, je suis allée travailler mes cours et lui a travaillé sur un dossier et je suis allée me coucher seule. Je ne sais même pas quand il m’a rejoint.Ce vendredi, je me suis levée tard, n’ayant cours qu’à 11h. J’ai pris le petit-déjeuner alors que la femme de ménage travaillait. Je n’ai pas osé discuter au début avec elle et je crois qu’elle aussi. Je me suis finalement lancée. On a discuté un peu de rien puis de Ben. J’ai appris quelques trucs. Elle travaillait ici depuis 15 ans, qu’elle a connu l’ex-femme, que visiblement elle n’aimait pas. Je la soupçonne d’être un peu une commère, faudra que je fasse un peu attention avec elle.Je suis allée à la fac la journée, j’ai bien pris mon déjeuner. Je suis aussi allée faire le test MST que m’avait demandé Ben, mais je suis tranquille pour le résultat. A mon retour, il y avait un gros carton à mon nom dans la chambre qui me fait office de bureau. Je l’ai ouvert et c’était la lingerie que j’ai mis à laver aussitôt pour l’utiliser dès maintenant. Ben est arrivé peu de temps après et je l’ai vu sourire quand il a vu le carton. Et puis, il m’a dit "moi aussi, j’ai eu mes jouets". Il m’a amené dans le bureau et il y avait déballé ses "jouets" qui étaient les caméras qu’il avait prévues pour mon studio. Il me regardait en souriant, tout excité, on aurait dit un gosse et il m’a dit "je vais les installer ce soir et toi tu n’auras qu’à en profiter, et vite j’espère". Ca tombe bien aujourd’hui, j’ai un peu réfléchi à ça. Oui je me fais peur d’avoir des pensées comme ça. J’ai choisi un garçon de mon groupe de TD avec qui je m’entends bien. Ce n’est pas mon style de garçon mais il est gentil avec moi. Je crois qu’il a un faible pour moi enfin je crois aussi pour les autres filles, il me fait rire car il nous dragouille un peu mais il est maladroit avec nous. Un espèce de Ted Mosby en pire. Ce sera donc Jean-Baptiste, dit JB, brun, les yeux noirs, autour d’1m85, pas maigrichon, je dirai qu’il fait ses 80kg. Et demain, je dois sortir avec quelques copains et copines de la fac, dont JB. J’en ai parlé à Ben, il m’a dit que lui alors il sortirait aussi dans un club et m’a dit que j’aurai qu’à dormir dans mon appart. Je lui ai demandé si c’est parce qu’il ne serait pas seul, il m’a dit oui, qu’il ne sera (et bien sera, même pas de conditionnel) pas seul. Quand il m’a dit ça, j’ai senti mon cœur se serrer, j’ai presque eu des larmes aux yeux. Merde, je veux pas qu’il ne soit pas seul, je le veux seul, seul pour moi!
On a mangé et puis il est allé mettre en place et brancher les caméras. Moi j’ai réfléchi à ce qu’on allait faire pour le week-end d’après. Je suis partie d’un constat, Ben va vouloir que ce qui va se passer demain se reproduise. Moi, j’en ai pas trop envie. Donc, pour éviter ça, je me dis que nous devons quitter Paris le plus de week-ends possibles car il n’y a que le week-end où il a le temps de faire ça. Pour ce week-end, j’ai choisi l’Ile de Ré, avion jusqu’à La Rochelle et 2 nuits dans un hôtel de luxe dans une suite. Et puis dans l’hôtel, il y a un spa. J’ai choisi l’Ile de Ré car j’y suis allée il y a quelques années avec mes parents dans les rares vacances que nous avons eu tous ensemble, 1 semaine voir 2 par an à cause de la ferme et j’en ai gardé de super souvenirs. Quand Ben est revenu, je lui ai montré ce que j’avais choisi, il a approuvé. Après, il a absolument voulu que j’aille voir son installation. Il a mis plusieurs caméras pour bien balayer la chambre et deux micros. Les caméras sont dans les angles de la pièce plus une en face le lit et une face au lit et il en a mis une dans la salle de bain. Il faut noter qu’il a super bien fait ça car elles sont indétectables. Après cette visite, je suis allée me coucher et lui il a travaillé un peu avant de me rejoindre mais je dormais quand il est venu.
Le lendemain, nous avons vaqué à nos occupations chacun de notre côté, moi j’ai travaillé mes cours. Puis en fin d’après-midi, je me suis préparée pour sortir, un ensemble de lingerie que Ben m’a acheté, soutien-gorge et shorty, une jupe noire et une chemise en jean, une paire de ballerines et un maquillage discret. On a commencé par un happy hour puis un kebab (oui on reste des étudiants) avant d’aller chez une fille du groupe, Pauline qui avait l’appart de ses parents pour elle car ils n’étaient pas là. C’est marrant car elle n’habite pas très loin, à 200/300 mètres de chez Ben. Là on a discuté et puis on a joué à des jeux avant d’aller en boîte de nuit. A la boîte, j’ai chauffé un peu JB mais je n’ai pas pu aller plus loin. En fait, j’ai réfléchi durant la soirée (et oui) et j’ai fait le constat qu’il n’était pas le bon mec, il est gentil et je n’ai pas envie de le faire souffrir en me servant de lui. Et puis, je pense que si je dois trouver des sortes de plan-cul, il vaut mieux que ce soit des garçons que je ne côtoie pas tout le temps. Alors au fur et à mesure de la soirée, je me suis éloignée de lui pour ne pas lui faire d’espoir et là où j’ai été forte c’est que je l’ai rapproché d’une autre fille, Aliénor. Je crois que j’ai fait le bon choix. Je ne pense pas que choisir un garçon dont je suis proche régulièrement pour l’utiliser comme un plan cul pour satisfaire les envies bizarres de Ben soit le meilleur choix pour moi et ma réputation, je ne veux pas passer pour une salope à la fac. Et puis JB ne le mérite pas non plus, c’est un gentil garçon qui vaut mieux que ça. Enfin, il suffisait de regarder autour de moi dans la boite pour voir qu’il y avait plein d’autres garçon supercanons qui pourraient être utiles à ça (et je dis "utile", mon dieu je me transforme en monstre). Je suis revenue très tard dans la nuit, ou même tôt le matin vers 6h. Je me suis couchée et c’est Ben qui m’a réveillée vers 14h. Il m’avait attendue pour manger. On a mangé puis on est allés se balader sur les bords de Seine. J’aime bien marcher le long, c’est le seul endroit de Paris qui est différent tout le temps je trouve avec les bateaux...
De retour à la maison, on a fait un sage jacuzzi profitant des derniers temps de l’été. Après on a mangé rapidement puis on s’est installés devant la télé en discutant de notre prochaine semaine. Mon père arrivait le lendemain et restait jusqu’à vendredi et donc devait passer quatre nuits avec moi. Quand j’ai dit ça, Ben a souri et j’ai tout de suite répliqué sur un ton strict "n’y penses même pas". Il a ri en disant qu’il ne pensait à rien et que c’est moi qui pensait à quelque chose. Quel salaud, il a le don de retourner la situation mais le pire, c’est qu’il a raison, j’y ai pensé avant même de le voir sourire... Ben m’a dit qu’il serait absent lundi et mardi, il devait être à Londres pour une affaire. En discutant, il s’est mis à me caresser d’abord de façon tendre puis de plus en plus érotique venant dans mon cou, sur ma poitrine ou sur mes hanches. Bien évidemment, cela me faisait réagir et je me laissais faire. Il a ôté mon tee-shirt puis mon soutif et a commencé à me lécher et me mordiller les seins. Je sentais mon cœur battre plus forte et très vite, les fameux papillons sont apparus dans mon ventre. J’ai posé ma main sur son sexe que je sentais bandé sous son pantalon et je lui ai dit "fais moi l’amour". Il m’a basculée sur le dos et a relevé ma jupe. Il a écarté ma culotte et a commencé à me masturber. Je crois que je suis montée au niveau où ce que j’avais besoin était son sexe en moi et j’ai réclamé mais rien n’y faisait à part qu’il arborait un sourire. Il a continué à me masturber et je me suis carrément mise à le supplier de me baiser, autant par envie que par jeu. Il a commencé à me dire des cochonneries et ça me faisait monter dans les tours. Je ne n’avais jamais encore connu ce besoin de baiser, oui baiser c’est le mot qui convenait à mon envie. Et puis à un moment, il m’a dit "tu baiseras avec ton père?". J’ai répondu "non". Il m’a masturbé encore plus fort en me disant "alors je ne te baiserai pas". J’ai de nouveau supplié, il m’a reposée la même question, j’ai répondu "non" et il a arrêté de me toucher. Je lui ai dit de reprendre et il m’a dit "non sauf...". J’ai fait non de la tête, il a passé son doigt sur ma fente et me reposait la question. Cela a duré du temps et quand il sentait mon excitation retomber, il me masturbait pour me garder à niveau. Le jeu sadique a duré quelques minutes où il me maintenait en pression. Et puis au bout d’un moment, je n’en pouvait plus et j’ai dit "oui je vais le faire...". Il a pris son téléphone et m’a dit de le dire devant l’objectif. Il a pointé son téléphone sur mon visage et m’a dit de répéter "je m’appelle Célia XXX et j’affirme que je vais tout faire pour baiser avec mon père lorsqu’il viendra me voir, je veux devenir sa maitresse et sa pute. Je baiserai aussi avec toutes les personnes que Benjamin YYY, mon amant me désignera. Je ferai tout ça pour qu’il me baise". Ben a coupé son téléphone et m’a dit "j’ai la preuve maintenant". Je m’en foutais, il y avait son nom aussi sur la vidéo et puis c’est un jeu. Ben m’a alors soulevée du canapé et m’a déposée sur la table à manger, mes fesses sur le bord, les jambes dans le vide. Il a baissé ma culotte et m’a pénétrée d’un coup sec m’arrachant un petit cri de douleur quand son sexe a buté au fond de moi. Et puis il m’a baisé comme il ne l’avait jamais fait, c’est sec, presque violent, il s’enfonçait au maximum en moi avec un rythme rapide. Il me faisait sucer ses doigts. Moi j’ai rapidement joui une première fois très rapidement tellement il m’avait excitée puis au bout d’une dizaine de minutes une seconde fois et là, il s’est mis à me caresser le clito et j’ai enchainé une suite de petit orgasme avant un énième orgasme, très puissant qui m’a fait décoller de la table tellement je me suis cambrée, seules mes épaules touchées le plateau. Ben, à ce moment, a éjaculé en grosse quantité en moi. Il est resté planté en moi et s’est couché sur moi et m’a embrassée. Il a débandé en moi avant de se retirer. Il a récupéré le mélange de sperme et de cyprine qui s’écoulait sur la table dans ses mains et l’a étalé sur mon ventre en me massant. Je le laissais faire, je ne pouvais pas bouger, j’étais vide d’énergie. Il m’a étalé son sperme sur mes seins, mon ventre et ma chatte avant de finir par me faire lécher ses mains. C’était sale mais je le laissais faire et même pire, j’appréciais. Ben me poussait au-delà de mes limites, la petite Célia toute sage n’existait plus. Et pour tout vous dire, à ce moment là, j’ai pensé à mon père, que dirait-il s’il me voyait comme ça, lui qui m’a toujours idéaliser.
On est allés se doucher ensemble sans qu’il ne se passe quelque chose, de toute façon, il m’avait vidée. Au lit, il m’a passé son téléphone et m’a dit "efface la vidéo". Je lui ai dit "tu es sûr?". Il a été surpris de ma réponse et m’a dit "pourquoi tu veux que je la garde?". J’ai dit "oui je le veux". Il m’a sourie et m’a embrassée longuement puis il m’a dit "tu es parfaite ma chérie". Dans l’élan, j’ai répondu "j’ai adoré ce soir et je ferai tout ce que tu veux". A ce moment, j’ai failli dire "je t’aime" mais je me suis retenue, pourtant ce soir-là, j’en étais sure, je l’aimais. Il m’a répondu "tu sais je fais ça aussi par jeu, je ne te force pas à le faire". Je lui ai répondu "encore heureux parce que si tu me forces, tu me reverras plus. Ce que je ferai c’est parce que j’en ai envie. Coucher avec un autre homme sous tes caméras, j’avoue que j’ai eu du mal à saisir la chose mais ça pourrait m’amuser. Coucher avec mon père, je fantasme énormément dessus mais ça me fait peur, j’adore mon père mais j’ai peur que son regard de père change sur moi. Pourtant, ça m’excite de savoir que je peux me retrouver dans cette situation. Je ne sais pas si je le ferai car ça me fait trop réfléchir à la fois sur les conséquences mais aussi sur comment le faire. C’est trop bizarre, j’en ai à la fois envie et pas envie". Ben n’a pas répondu. Il m’a caressée le visage et m’a embrassée. Il m’a dit "ne le fais pas pour moi mais pour toi, ne te force pas à le faire, attends, si tu veux le faire, une opportunité. Dors maintenant et arrête de réfléchir". Facile à dire. Il a semé cette idée dans ma tête et maintenant elle y trotte bien. J’ai mis du temps ce soir-là pour m’endormir.
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