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Celle par qui tout arriva ! (Per Quam peccata erant)

Chapitre 6

Ô Janus et ton double visage !

Avec plusieurs femmes
Sous mes yeux, un grand lit recouvert de draps diaphanes d’une blancheur éclatante, ne pouvaient cacher les amants qui se livraient à une lutte sans merci. Je souris à ma fille, ne comprenant pas ce qu’elle désirait que je comprenne. Elle insista d’un nouveau regard en direction de la scène qui se déroulait sous mes yeux et je regardais à nouveau.
Puis je compris !
La femme qui accueillait les coups de boutoir de son amant n’était autre que l’impératrice. Et, lorsqu’il leva la tête en jouissant, je reconnu l’homme. Gaius Silius, celui qui avait été présent lorsque j’avais participé à cette orgie organisée en mon honneur et qui s’occupait déjà exclusivement de Messaline.
Tout à mon plaisir, ce signal d’alarme pourtant évident ne m’avait pas frappé. À présent, tous les signaux me hurlait aux oreilles un danger immense. Messaline ne prenait jamais deux fois le même amant. C’était bien trop dangereux si cela parvenait aux oreilles de l’Empereur. C’est pourquoi, si elle les consommait avec une régularité digne de la course immuable du soleil dans l’azur, elle en changeait avec la même régularité.
Alors revoir cet homme culbuter avec l’aisance de l’habitude cette femme, me rendait suspicieux et sur mes gardes.
Ma fille se retira, m’entraînant avec elle tandis que Messaline soupirait avec de plus en plus d’insistance sous les assauts de son amant. Celui-ci avait planté son dard dans le fondement de sa dulcinée et la pénétrait avec toute la vigueur dont sa queue était capable. Elle se caressait les seins en le regardant, comme pour lui permettre de se repaître de ce spectacle incroyable tandis qu’il la besognait avec un rythme de plus en plus soutenu ou comme pour le mettre au défi de tenir sans jouir en elle avant qu’elle n’obtienne une libération humide. Les soupirs devinrent des cris et elle jouit dans un orgasme fabuleux tandis qu’il se répandait en elle en sifflant entre ses dents.
Lorsque nous fûmes éloignés, elle m’interpella
— Avez-vous reconnu cet homme, Père ?
— Oui ! Il était présent lorsque Messaline m’a…
— Exactement ! Me coupa-t-elle. C’est pourquoi j’ai pensé qu’il était important que vous soyez au courant.
— Comment l’as-tu appris ?
— Père ? Vous connaissez la réponse. Alors pourquoi me demander ?
— Aggripine, n’est-ce-pas ?

— Oui !

Un mot ! Un seul mot qui m’anéantit !
Ainsi, Aggripine avait désigné une nouvelle cible à sa soif de pouvoir.
Elle m’avait fait mettre dans la confidence par ma fille, mon point faible et celle pour qui, elle le savait, je ne dirai jamais rien, de peur de la mettre à son tour en danger. Mon ancienne maîtresse, celle que je craignais par-dessus tout pour son intelligence doublée de sa cruauté sans limites, venait de me mettre dans la confidence d’un avenir qu’elle espérait radieux et fastueux à plus d’un titre.

Comme si, en atteignant un certain degré de richesses et de pouvoirs, les humains ne pouvaient se rendre compte qu’ils commettaient ainsi un sacrilège envers les dieux pour se rapprocher inexorablement d’eux en essayant, contre vents et marées, d’accroître encore un peu plus ce qui doit rester dans les limites fixées par les divinités.
Aggripine ne l’entendait pas de cette oreille.
Et, en me montrant l’avenir, se plaçait en porte-à-faux par rapport à l’ordre cosmique établit depuis les temps immémoriaux, quand vivaient et s’affrontaient les Titans et les Géants de notre Panthéon.

Je courus aussi vite que je le pus vers mes propres appartements et je ne pus réprimer une nausée qui m’emporta pour le reste de la journée. Ma fille s’en inquiéta mais je la fis renvoyer par mes propres esclaves, de peur qu’elle ne comprenne mes décisions et n’en fasse part, même par inadvertance, à sa maîtresse.
Car je ne pouvais, pour mon propre salut, me rendre complice d’une telle forfaiture.
Au risque de ma propre existence, que j’avais toujours tenté de protéger des affres de mon statut et des informations dont je disposais, je venais de prendre la décision de tout faire pour contrecarrer les plans de ce démon femelle.
Mais, mes surprises ne s’arrêtèrent pas là !
Quelques jours plus tard, je fus, à nouveau, convié à une rencontre avec l’épouse de l’empereur.
Je tremblais à nouveau car je la savais capable de tout et surtout du pire. Mais rien ne me préparait à ce que j’allais vivre.
— Caius ? Mon ami ! Entre donc, viens t’asseoir auprès de moi !

Je m’inclinais le plus bas possible, c’est-à-dire là où mon dos me contraint à stopper mon acte de vénération.

— Votre altesse ? Je suis votre humble serviteur. Que puis-je faire pour vous satisfaire ?
— Mais rien de plus que ce que tu ne fais pour le bien de l’Empire, mon cher Caius ! Rien de plus ! Mais si tu tiens à me faire plaisir, je te serai gré de m’aider à ravir ta fille à Aggripine. Cette débauchée ne mérite pas une fleur comme elle.
— Votre Altesse ?
— Oui ! Je sais ! Je divague. Car jamais elle ne quittera sa Maîtresse de son plein gré, même si je lui fournis la somme nécessaire pour racheter sa liberté. Et jamais Aggripine ne cautionnera que je tente de la racheter. Le prix qu’elle en demanderait serait tellement exorbitant qu’il mettrait les finances de l’Empire à mal. Aaaaaaah ! Je suis maudite, Caius ! Tout ce que je souhaite est impossible alors que je suis l’impératrice du plus grand Empire sur Terre.
— Que puis-je, alors, faire pour adoucir votre peine ? Dis-je heureux de ce dénouement, même si ma fille restait auprès d’une Aggripine, je la savais en sécurité tandis qu’avec cette femme, tout était possible. Pourtant, ce qui m’attendait était pire.
— Il y a bien une chose, Caius ! Mais c’est tellement impossible que je doute que, même toi, tu ne puisses m’aider.
— Majesté ?
— Puis-je te faire réellement confiance ? Tu as grandi avec Aggripine, tu étais un proche de Caligula, que les dieux le garde en leur bonté, tu as été éduqué sous les ors du palais et les coutumes anciennes. Enfin, tu as connu l’Auguste, notre Maître à tous et sa droiture ainsi que sa...pudibonderie.

Elle me mettait à l’épreuve tout en m’aiguillant vers ce qu’elle allait me demander. Je frémissais de deviner ses projets. Serait-il possible qu’elle et son amant projettent...

— Oui, Altesse ! J’ai été affranchi par Claudius César, votre époux, puis par sa volonté divine, j’ai été placé en charge des affaires de l’Empire, mais je reste l’humble serviteur de l’Urbs. Pourvu que Rome atteignent la splendeur !
— C’est de cela que je souhaite te parler, Caius ! Que mes paroles restent entre tes oreilles et qu’elles ne franchissent jamais la barrière de ta bouche, car les conséquences en seraient funestes, pour toi et tes proches comme pour moi. Ai-je ta parole ?
— Vous l’avez, Altesse !
— Bien ! Nous sommes à l’abri des oreilles indiscrètes. Penses-tu que notre Empereur, divin soit-il, puisse mener Rome à la splendeur ?

C’était une trahison de la plus belle eau. Elle me rendait, à son tour, complice de cette forfaiture en toute connaissance de cause. J’avais vécu sous la menace et le fléau d’Aggripine. Je me retrouvais entre ce dernier et celui d’une nouvelle impératrice, toute aussi imprévisible et cruelle.
— Entends-moi bien, Caius ! Je vénère notre Empereur, mon époux devant les dieux. Mais je me pose une question essentielle. Rome doit passer avant notre préférence et nos désirs. Et j’ai peur pour elle avec un homme tel que Claudius à sa tête. Qu’en penses-tu ?
— Altesse ! J’ai appris à connaître votre époux. Et j’ai appris à l’aimer, malgré ses défauts et ses qualités. Je suis son humble serviteur également, car il m’a rendu la liberté. Il est divin mais comme les dieux, il commet parfois des actes que nous ne comprenons pas. Mais sa vision est plus lointaine que la nôtre et il sait ce qui est bon pour Rome.
— Certes ! Je t’entends. Mais ne penses-tu pas qu’il y a moyen de faire mieux et plus rapide ?
— Que préconisez-vous ?

Elle me fixa d’un regard que je ne lui connaissais pas encore. Il était froid, cruel et implacable. Je reculais d’un pas lorsqu’elle dit

— Je pense qu’un autre Empereur serait meilleur à sa place. Arrêtons les faux-semblants, Caius. Tu sais que j’ai des amants à la pelle et que notre Empereur, cet impuissant d’eunuque, porte des cornes qui font de lui la risée de la Cité toute entière. Je veux que tu m’aides à le remplacer par un autre homme, plus capable, plus fort, plus intelligent et surtout plus visionnaire.
— Majesté ? Mais…
— Il suffit, Caius ! Telle est ma volonté.
— Mais comment le faire accepter, Altesse ?
— Par un mariage, idiot !
— Un mariage ? Mais avec qui ?
— Avec moi, bien sûr !
— Avec vous ? Mais quel homme accepterait de…

Elle me regarda d’un œil amusé dans lequel pointait une once de lubricité mais aussi de détermination. Messaline se leva, me fit face et laissa choir sa toge blanche sous laquelle elle était nue.
Elle m’apparut alors, telle Vénus sortant des eaux.
Son corps, que je détaillais de près pour la première fois, était tout simplement superbe.
Ses jambes étaient fines et musclées, dessinées à la perfection. Elle se tenait sur la pointe des pieds, renforçant ainsi cet élancement qui partait de ses hanches, faisant ainsi rebondit son fessier magistral.
Elle se tourna pour me montrer son côté opposé et je pus constater de visu que l’arrière valait l’avant. Son cul était tout simplement sublime. Lisse, musclé et exempt de la moindre trace de graisse. Elle me fit face à nouveau et prit sa poitrine élégante dans ses mains.
Elle me fixa du regard et fit pigeonner ses seins entre ses doigts, remontant encore un peu ses mamelles pour leur donner un volume aussi impressionnant que délicieux pour le regard masculin. Elle agrippa ses tétons et entreprit de les rendre turgescents tout en les pressant entre ses doigts fins et élancés.
Une main se posa alors sur sa toison fournie et elle écarta les lèvres humides de son sexe, me montrant ainsi son petit bouton cherchant à sortir de sa cachette.
Je ravalais ma salive bruyamment face à une telle beauté de la Nature lorsqu’elle me demanda en riant
— Penses-tu sincèrement que je ne dispose pas des moyens suffisants pour arriver à mes fins, Caius ?
— Altesse ? Puis-je simplement dire entre deux respirations.
— Il me suffit de voir l’effet que la simple vue de mon corps produit sur le tien ! Les hommes sont tellement faibles et si prévisibles que cela en devient ennuyeux. Aucune subtilité, aucun changement, aucune surprise dans vos réactions primaires. Vous êtes, décidément, une espèce inférieure lorsqu’il s’agit de réfléchir ou d’arriver à vos fins.
— Vous êtes injuste, Altesse. Vous savez que vous êtes la plus belle femme de l’Empire. Toutes ne disposent pas de votre beauté et de vos atours indéniables. Les dieux ont été plus que généreux lors de votre naissance, pour la joie et le bonheur de vos fidèles sujets qui ont la possibilité de vous approcher.
— « Dans la flatterie, aucune précaution à prendre, aucune limite à respecter. On ne va jamais trop loin ! » , me dit-elle en me souriant. N’est-ce pas mon bon Caius ?
— Majesté ?
— Mais j’avoue que c’est toujours agréable à entendre. Cela dit, tu sais parfaitement, comme je sais que tu sais, que les esclaves du Palais et mes proches ne sont pas les seuls à connaître mes charmes, n’est-ce pas ?

J’étais sur des charbons ardents. Elle faisait référence à ces nuits de luxure durant lesquelles elle disparaissait, déguisée en femme du peuple, pour se rendre des les lupanars de la ville basse pour se donner librement et gratuitement aux hommes de petites conditions, heureux de monter une femme telle qu’elle. J’étais au courant par les nombreux espions que j’entretenais dans Rome pour connaître l’opinion du peuple et en sentir le pouls. Je marchais sur des œufs et je devais faire preuve de la plus grande diplomatie dans ma réponse.

— Que votre Majesté me pardonne si son serviteur a tenté, maladroitement, de veiller sur elle. Votre Altesse est la femme la plus libre de l’Empire mais mon rôle est de veiller à votre sécurité. Je vous prie de pardonner cet excès de protection, mais jamais je ne me permettrais d’intervenir dans vos décisions.
— Tu ferais un ambassadeur redoutable, Caius ! Me dit-elle amusée. Je sais que tu me fais surveiller. Mais je sais aussi que Claude n’est au courant de rien. Et je compte que cela reste ainsi. Je te suis reconnaissante de ta discrétion. Est-il une faveur que je pourrai t’octroyer pour te remercier de ta fidélité sans faille ?
— Comme je vous l’ai dit, Altesse. Vous servir est ma récompense.

Elle s’approcha mutine, ses cheveux ondulés flottant sur ses épaules et ses seins se balançant au rythme de sa démarche chaloupée.
Elle posa les mains sur mes épaules et, sans que je puisse réagir, fit tomber ma tunique à mes pieds.
Elle sourit en voyant l’état de mon membre viril, tendu tel un arc, pointant vers le ciel.
Elle se baissa sur les genoux et engloutit ma queue entre ses lèvres impériales.
À l’instant même où sa langue toucha le méat de mon sexe, je fus transporter dans un autre monde. J’étais sur l’Olympe, en compagnie des dieux. Je baignais dans un océan de luxure, de douceur et de bonheur tel que je l’avais rarement connu. La bouche de l’impératrice me faisait penser à cette matière importée d’Orient à grand frais pour le plaisir de celle qui me suçait avec un art consommé. On appelle cet élément, la soie.
Eh bien, j’avais l’impression que ma queue tendue était recouverte de cette matière.
Messaline accentua alors sa pratique en digne fellatrix qu’elle était. Une suceuse parfaite. Elle bava un peu plus et poussa mon sexe dans sa gorge pour l’engloutir entièrement, ce que peu de femmes avaient réussi jusqu’à présent.
Le plaisir grimpa alors encore et je sentais que mes jambes se dérobaient sous mon poids et sous l’orgasme naissant. Messaline posa d’abord ses mains sur mes fesses pour me pousser à la rencontre de sa bouche dont je pouvais sentir la langue tourner autour de ma queue tendue. J’allais mourir, c’était certain.
Puis, lorsque nous fûmes tous les deux habitués à faire pénétrer mon organe au plus profond de sa bouche, elle posa ses mains sur ses seins, les caressant tout en levant le regard vers moi en me souriant. Cette femme connaissait tous les vices des hommes et savait en jouer afin d’obtenir d’eux ce qu’elle voulait. Sa luxure et son stupre n’avait d’égal que ceux de sa rivale, Aggripine. Mais je ne pouvais pas le dire sans risquer ma tête.
Pour le moment, je profitais, avec la faiblesse naturelle des hommes, du plaisir que je ressentais jusqu’au plus profond de mes pieds, Messaline accentua encore le rythme de sa succion et je sentis mon sexe grandir encore un peu entre ses lèvres, ce qui lui arracha un sourire de satisfaction, fière qu’elle était visiblement de la technique imparable et impériale dont elle faisait preuve dans ces moments de plaisirs multiples.
L’impératrice pressa ses seins l’un contre l’autre, caressant ainsi mes bourses pleines de sa poitrine si douce. Je pouvais ressentir cette partie si attirante de l’anatomie féminine contre ma peau et, pardonnez-moi, je me souviens encore parfaitement de cette sensation. J’ai encore l’impression de ressentir l’effet qu’elle me procura par l’effleurement de ses seins contre mes jambes et mes testicules.
C’est, conjugué à la fellation merveilleuse dont elle me gratifiait, ce ressenti qui fit jaillir mon sperme au fond de la gorge impériale.
Gourmande, elle avala l’entièreté de ma production pour s’en délecter et ne laisser aucune trace de mon passage. Pourtant, je me souviens avoir éjaculé une grande quantité de sperme par la grâce de son royal traitement.
— Mmhh...il me semble que je viens de te prouver de quoi je suis capable, Caius ! Penses-tu sincèrement, à présent, qu’un homme puisse résister à mes envies et qu’il me refuse l’aide que je suis en droit de réclamer ?
— Altesse ! Dis-je en reprenant mon souffle, je n’avais pas besoin de cette démonstration pour en être convaincu. Les rapports sur vos activités nocturnes parlent d’eux-mêmes.
— Je sais ! Me répondit-elle mutine. Mais depuis que je t’ai vu baiser mes esclaves, j’ai eu envie, à mon tour, de goûter à cette queue.
— J’en suis flatté, Altesse !
— Bien ! Trêves de bavardages. Je t’ordonne de m’aider dans ma conquête du pouvoir et de ne jamais rien en dire à mon inutile époux. Toi-même, tu dois te rendre compte de son incompétence et de l’inutilité de son rôle.

Je ne répondis pas à cette provocation impérative mais je n’en pensais pas moins. C’était une trahison pure et simple. Et la seule sentence était la mort !

Mais avais-je vraiment le choix ? 
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