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Celle par qui tout arriva ! (Per Quam peccata erant)

Chapitre 8

Le piégeur piégé

Orgie / Partouze
Quelques jours plus tard, je mettais en action les décisions prises par l’Empereur et par Aggripina, dans le but de dévoiler aux yeux de l’Urbs, la duplicité de Messaline, cette Augusta Peretrix - la putain impériale - ainsi que le peuple commençait à l’appeler.  Le jeune Silius, son amant, venait de divorcer de Junia Silana, son épouse officielle, à la demande impérative, ou plutôt à l’ordre direct, de son illustre maîtresse. Ainsi, les prémices d’un coup d’état débutaient, et j’étais l’un des seuls à le savoir.  Pour en avoir discuté ouvertement avec lui, je sais également qu’il n’a pas eu véritablement de choix à faire. Il m’a avoué, à demi-mots, encore éprouver de l’amour pour son épouse légitime tandis qu’il n’éprouve encore que du désir pour Messaline et sa beauté lumineuse. Mais qui est-il vraiment pour oser se dresser contre la volonté de cette femme que rien n’arrête dans sa quête de luxure et de plaisirs divers ? Un refus de sa part aurait très bien pu le mener au supplice. - Vois-tu, Caius, je suis parfaitement conscient du danger dans lequel je me mets. Mais la volonté de Messaline ne se discute pas et je dois lui obéir. Je suis devenu son pantin le jour où elle a posé son regard sur moi. Et rien, ni personne, ne pourra la détourner de son but.Je n’avais aucun argument à lui opposer et c’est, finalement, à regrets que je mettais en place les divers éléments qui mèneraient cet homme, plutôt bon mais piégé comme nous tous, à une mort lente et douloureuse pour trahison envers l’Imperator. Je le savais, il le savait ! Mais rien ne pourrait plus l’empêcher.  Ainsi, la veille des Calandes de Juillet, c’est tout un convoi qui se mit en branle au départ de Rome. L’Imperator partait visiter la ville Véiès, l’antique cité étrusque, pour commémorer la victoire des romains sur cette arrogante Cité qui lui avait résisté plus de dix années avant de tomber et de faire, enfin, de l’Urbs, la plus puissante cité du Latium, point de départ de la conquête de l’Italie et d’un Empire gigantesque, s’étendant des rives d’un Océan aux confins des déserts d’Arabie.  Du moins, officiellement !Car tout ce voyage n’était que le prétexte pour que l’Imperator ne se débarrasse de son épouse qui avait décidé, dans un moment de folie, de divorcer et de mettre son amant sur le trône.   - Caius ? Tout est-il prêt ? M’avait-il demandé la veille, lors de notre ultime entretien avant le départ. - Tout est prêt, Majesté ! J’ai veillé au ravitaillement ainsi qu’à votre confort.    - Je n’en doute pas. Aggripina sera du voyage, je présume ? - Oui, Altesse ! - Mon épouse n’a, décidément, pas beaucoup d’imagination. Ainsi, elle espère, probablement, que la sœur de mon prédécesseur me serve de maîtresse durant cette escapade et puisse lui permettre de me présenter comme un amant infidèle. Quelle ironie ? Ainsi, elle pense que je suis assez stupide pour tomber par où elle a péché ? - Majesté ? Demandé-je véritablement inquiet. - Je t’ai déjà dit de ne jamais me prendre pour un simple d’esprit, Caius ! J’ai plus d’estime et de respect pour toi que tu ne le penses. Mais ne me fais pas l’injure de croire que je sois dupe de ton manège ainsi que de celui de ton ancienne Maîtresse. Je sais que vous complotez contre Messaline et que je ne suis que l’instrument de la vengeance d’Aggripina. Mais, vois-tu, les frasques de mon épouse commencent à dépasser ce que le peuple considère encore comme habituel ou normal pour l’aristocratie, censée lui montrer la voie à suivre. Et cela, je ne peux le tolérer ! Qu’elle s’amuse en baisant comme bon lui semble ne m’outrage pas plus que cela. Après tout, depuis la mort d’Auguste, c’est devenu monnaie courante dans cette frange de la société romaine. Mais qu’elle complote pour me faire remplacer alors que j’ai été choisi par les prétoriens sous la bénédiction des dieux, je ne peux l’accepter.    - Majesté ? Que voulez-vous dire ? - Qu’il est temps qu’elle subisse son châtiment pour avoir outrepassée ses prérogatives et avoir rêvé plus haut que son statut, pourtant déjà céleste.    - Vous voulez dire que… - Qu’elle sera jugée et reconnue coupable d’adultère, de trahison et mise à mort par les Lois de la Cité.   Je frémis en entendant la sentence définitive de notre empereur. Sa voix venait de revêtir celle de l’autorité implacable. L’imperium coulait maintenant dans le corps frêle de cet homme. Plus le temps passait et plus la fonction faisait l’homme, comme si la charge qui pesait sur ses épaules le rendait indestructible et lui conférait une force intérieure insoupçonnée pour un personnage tel que lui, chétif, un peu maigre et plutôt grand. Il ressemblait d’avantage à un roseau qu’à un chêne.  Pourtant, je ressentis, à cet instant, le pouvoir qui émanait de lui et j’en fus heureux.  Car, s’il avait été choisi par la garde prétorienne, suite à l’assassinat de son prédécesseur, par une sorte de hasard bien réglé, il n’en restait pas moins un homme sur qui personne n’aurait parié le moindre Quadran de cuivre à cause de son apparence malingre et de sa santé précaire.  Aujourd’hui, personne dans le palais n’oserait remettre son autorité en cause car il régnait sans partage et sans les hésitations de son début de règne. Ses décisions étaient fermes et définitives, placées sous l’autorité des dieux.Nous partîmes de bon matin et quelques heures d’un voyage agréable sur la Via Flaminia puis la Via Clodia nous permîmes d’arriver sans encombre à destination.  Les tentes étaient déjà en place, dans l’attente de l’auguste invité qui allait s’y installer.  
Les autorités de la ville voisine s’étaient déplacées pour lui rendre hommage et l’assurer d’une fidélité indéfectible. C’était aussi l’occasion, pour elles, de quémander faveurs et de couvrir l’Empereur des louanges qu’il attendait.Quelques cadeaux de bienvenue furent offerts et César s’entretint quelques instants avec elles en écoutant leurs doléances concernant un pont à réparer ou un conflit de voisinage à arbitrer.  La soirée débuta par un banquet offert par l’Empereur pour fêter cette rencontre et les festivités qui devaient débuter le lendemain. J’étais, avec notre divin Maître, le seul à savoir que nous serions déjà repartis vers Rome pour prendre Messaline à son propre piège.  Le banquet était réglé comme la course du soleil dans le ciel. Les agapes commencèrent, néanmoins, plus tôt qu’à l’accoutumée mais personne ne s’en offusqua lorsque j’expliquais que l’Empereur souhaitait se reposer tôt, fatigué par le poids de sa charge ainsi que par le voyage qu’il venait d’effectuer, afin d’être au meilleur de sa forme le lendemain, faisant ainsi honneur à cette cité millénaire.Assis sur un trône de voyage, toutefois réalisé en or et en pierreries venues des mines d’émeraudes du Mont Smaragdus, dans le désert oriental égyptien, notre Imperator rayonnait pourtant. Chacun pouvait voir qu’il était en pleine possession de ses moyens et que son esprit était vif.  Mais tout un chacun accepta cette modification d’horaire inhabituelle pour les romains et profita des festivités pour boire un vin délicieux venu spécialement des pleines d’Etrurie et s’encanailler sous le regard protecteur de leur hôte d’un soir.  Aggripina entra à son tour et tous les regards convergèrent vers elle.Elle était à l’acmé de sa beauté. Certes, le temps commençait à se marquer sur son corps mais il lui rendait plutôt hommage.  Sa maturité débutait et, avec elle, la beauté juvénile laissait place à la certitude des avantages qu’octroient l’expérience. Elle portait, à la mode des temps anciens, une tunique osant dénuder un sein. Personne n’avait jamais vu cela à la cour impériale. Mais j’en avais entendu parler par mes précepteurs qui me décrivaient l’époque du pharaon Akhenaton, le Sacrilège, et les fastes de sa cour à laquelle les femmes succombaient facilement à cette coutume vestimentaire, jugée pourtant absolument décadente à notre époque si débridée au niveau des mœurs sexuelles. Le puritanisme ne s’accorde si bien que lorsqu’il est confronté à une dégénérescence des coutumes et des habitudes sexuelles. En gros, plus le sexe est roi, plus la caste des biens-pensants s’offusquent tout en profitant des libertés octroyées. Ce qui confine au paradoxe le plus stupide, ne pensez-vous pas ?L’Empereur fut, également, subjugué par cette apparition d’un autre temps mais tellement agréable au regard.  Car la poitrine d’Aggripina ne souffrait pas des affres du temps. Elle restait ferme, haut placée, et ses seins se balançaient librement sous l’effet de sa marche triomphale vers le trône impérial. Personne ne pouvait ignorer, à cet instant, qu’une passation de pouvoir avait lieu. Une concubine remplaçait définitivement une épouse indélicate et infidèle.  Le tissu diaphane laissant entrevoir l’autre sein ainsi que le reste du corps de mon ancienne maîtresse. Moi-même, qui l’avait pourtant déjà vu et contemplé, je ressentis un frisson de plaisir me parcourir l’échine, jusqu’au cerveau.  En passant à mes côtés, elle me sourit et me prit la main pour m’emmener avec elle auprès de sa proie.   - Majesté ? Puis-je faire preuve d’audace en cette soirée radieuse ? - Je vous en prie, chère amie ! Dit-il en avalant difficilement sa salive tandis qu’il tentait de conserver un minimum de majesté et de dignité face à une cour ébahie par l’audace de cette femme sans limites.Elle se rapprocha de l’Imperator et ne parla plus que pour lui. Et donc pour moi qui était à sa droite directe.   - Ce voyage merveilleux et les bontés dont vous faites preuve à mon égard sont sans pareilles. Je souhaite également vous honorer, Majesté. Mais je n’ai pas les moyens qui sont les vôtres alors j’ai décidé de vous offrir ce que je possède de plus cher. - Et de quoi s’agit-il donc ? - De mon esclave personnelle, Altea ! Elle sera, pour ce soir, à votre disposition si vous désirez vous relaxer et prendre du bon temps pour oublier les soucis du quotidien et les tracas de votre position.    - C’est tout à fait charmant, ma chère ! Mais…serait-ce une pointe de regret que je sens dans votre voix ? - Votre Majesté est trop habile pour moi.    - Alors ? - Eh bien, j’aurai aimé vous faire l’offrande de votre plaisir moi-même, mais j’ai peur des commères et de la considération que vous auriez pour moi si j’osais une telle requête. - Ma chère Aggripina ! Vous êtes trop mauvaise comédienne pour jouer ce jeu. Je lis en vous comme dans un livre ouvert. Je suis prêt, paradoxalement, à vous offrir ce que vous désirez ardemment. Après tout, nous sommes loin de Rome et c’est soirée de fête, non ? Tout est permis ? - Votre Majesté me ferait donc cet honneur ? Est-ce à dire que je ne lui suis pas insensible ? - Aggripina ? Vous êtes la plus belle femme de l’Empire et vous pensez que l’Empereur n’en est pas avant tout un homme comme les autres ? - Vous allez me faire rougir, Majesté !Je n’en revenais pas ! Elle manipulait ce pauvre Claudius du bout des doigts, l’amenant là où elle le désirait sans qu’il ne s’en rende compte mais, en plus, en arrivant à lui faire croire qu’il était le Maître à la manœuvre.  Cette femme était un démon.  Mais elle ne s’arrêta pas là ! - Puis-je honorer notre ami Caius pour les services innombrables qu’il a rendu à Rome et à votre Majesté depuis son couronnement, et bien avant ? - Quelle merveilleuse idée, ma chère Aggripina. Comment désirez-vous honorer notre ami ?Aggripina se rapprocha un peu de l’Imperator et, posant son sein libéré contre le bras divin, lui murmura à l’oreille - Je meurs d’envie de connaître la vigueur d’un sceptre royal, ce soir ! Mais je crains de n’y survivre sans la présence rassurante de notre ami. Il s’est toujours montré protecteur et bienveillant avec moi, depuis ma plus tendre enfance, et rien chez moi n’est inconnu de lui. Permettez-moi, donc, de lui demander de nous suivre lorsque le moment sera venu !   L’Empereur regarda cette femme avec un regard neuf, comme s’il la rencontrait pour la première fois puis, il éclata de rire. - Ma chère ! Vos vices sont nombreux également. Presque autant que ceux de mon épouse. Mais, comme je viens de le dire, c’est soirée de fête et je n’ai rien à vous refuser ainsi qu’à notre ami Caius. Va donc pour votre proposition. Qu’il nous rejoigne lorsque le moment sera venu. Après tout, plus on est en bonne compagnie et plus la soirée est joyeuse, n’est-ce pas ? - Votre Majesté me retire les mots de la bouche. Il sera fait selon vos désirs ! - Mais j’y compte bien ! Déclara-t-il en guise de conclusion en riant à gorge déployée tout en prenant dans ses mains celles de son invitée.Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle cette femme avait été capable de détourner l’Empereur de ses pensées pour lui faire admettre les siennes tout en l’amenant à penser, en plus, qu’il ne faisait que mettre en place une idée qui venait de lui. J’étais époustouflé par son audace et par sa faculté de retourner les âmes les plus faibles, comme celle de l’Empereur, homme si facilement influençable par ceux en qui il a confiance.La soirée gagna en intensité et en luxure lorsque, à l’imitation d’Aggripina, grande prêtresse de la mode romaine, plusieurs femmes l’imitèrent en baissant leur toge pour dévoiler une partie de leur poitrine. Certaines très attirantes, d’autres moins, selon les critères personnels de chacun et de chacune. Les corps se rapprochaient lentement, frôlant ou caressant un bras, une épaule, pour les plus hardis, un sein ou un fessier passant à portée.  Tous et toutes comprenaient que cette réception, à l’origine formelle et diplomatique, pouvait évoluer vers d’autres pratiques.  Le problème, dont j’étais visiblement le seul à me rendre compte, était que si celles-ci étaient communément admises à Rome, la province, malgré sa proximité géographique avec la capitale et ses mœurs dissolues, n’en restait pas moins encore très traditionaliste. Ainsi, certains regards des invités de la ville voisine passaient de l’anxiété à la curiosité mais aussi au mépris ou carrément à l’hostilité.Je me suis souvent rendu compte, au long de mon existence faite d’observation et de compréhension rapide de la nature humaine dans un simple but de survie, que les opinions varient fréquemment selon le milieu dans lequel on évolue. Et qu’une personne aux mœurs dissolues aurait très bien pu se retrouvé avec une âme mystique selon sa naissance.  Nous sommes le résultat de notre entourage et notre opinion varie selon ces critères éducatifs. La curiosité se transformant alors, souvent hélas, en hostilité face à ce qui sort de ce que nous considérons comme « normal » ou « immoral ». Oubliant que tout dépend de notre propre point de vue, qui a la fâcheuse tendance à nous faire sombrer dans l’intolérance ou pire, le fanatisme.   Mais ces considérations nous éloignent de notre propos qui est de relater les faits et uniquement les faits. Je prie à mon lecteur de me pardonner ces digressions qui m’assaillent de plus en plus fréquemment à l’approche de mon dernier souffle.  Ainsi, Claudius et Aggripina s’étaient donné rendez-vous en soirée pour combler leur besoin de luxure. Rien d’étonnant à cela. Sauf que votre serviteur allait faire partie des agapes impériales.  Lorsque le maire de la ville de Véiès succomba, avec son épouse, à la luxure de la soirée, je sus que l’heure était venue. Cet homme, grand et gras, admirait son épouse prise par deux robustes gaillards dans un coin de la tente, couchée sur un lit de repas. Ses jambes écartées laissaient passer la queue d’un tribun de la plèbe tandis que sa bouche suçait avec délectation le sexe tendu d’un questeur. Son mari l’encourageant à jouir tout en profitant des seins d’un femme de l’entourage impérial. Plusieurs couples forniquaient à présent et la luxure, comme le stupre, avaient définitivement gagné la bataille contre le puritanisme. Tous et toutes profitaient du moment avec une forme de délectation évidente.  Aggripina s’approcha de moi, qui observait la scène avec l’oeil du faucon, et me déclara   - La lune s’est levée dans le ciel, Caius ! Il est temps de mettre notre plan a exécution. Rejoins ta fille et soit prêt ! - Prêt à quoi, Matrona ?    - Tu verras le moment venu ! Mais je suis certain que tu vas adorer mon idée, me dit-elle en me souriant de façon énigmatique tout en s’éloignant, mystérieuse et fatale, dangereuse et tellement attirante.   Quelques instants plus tard, je passais la tenture séparant les appartements privés de l’Empereur du reste de la tente. Les gardes me laissèrent passer sans discuter, me connaissant et connaissant ma position auprès de leur Maître.  Mes yeux s’habituèrent lentement à l’obscurité plus dense qui régnait en ce lieu. Les quelques bougies ne permettant pas de vaincre la confusion des sens qu’amenait invariablement le manque de luminosité. Puis, petit à petit, je m’y fis. Ce qui me permit de constater que plusieurs jeunes femmes se tenaient, alanguies parmi les coussins doux disposés harmonieusement afin d’établir une sorte de couche géante sur laquelle notre Empereur pourrait laisser libre-court à ses fantasmes.  Ma fille se leva et vint à ma rencontre, ne portant sur elle qu’un pagne grossier ne cachant rien de sa féminité et de ses charmes envoûtant.   - Père ? Vous voilà enfin ! - Altea ? Tu m’attendais ?   Je sais, c’est un peu stupide comme réponse, mais je n’en vis pas d’autre et je ne comprenais pas bien ce que je faisais à cet endroit, en ce moment précis.   - Bien sûr ! Aggripina m’a prévenue de votre venue et nous vous attendions avec impatience. Car c’est que le moment est venu. - Quel moment ? De quoi parles-tu, par tous les dieux ? - Mais père ? Aggripina nous a demandé de nous occuper de vous.    - Pardon ?Encore une fois, ma réponse était idiote mais j’étais estomaqué par sa réponse.  Ma fille me sourit et posa sa main sur ma joue en me fixant au fond des yeux.  Je sentis, à cet instant, un amour infini m’envelopper, me caresser et, finalement, inonder mon âme. Mon coeur jaillit de ma poitrine pour se lover contre celle de ma fille.  Je sus, à cet instant, que rien ni personne ne pourraient jamais empêcher ce qu’Aggripina avait probablement déjà ressenti depuis des lustres.  De son autre main, elle prit la mienne et la posa directement sur son sein meurtri durant cette orgie voulu par Caligula.  Elle l’enveloppa en se servant de sa main comme d’un guide et me fit toucher sa poitrine pour la première fois de mon existence. Je bandais ! Mon corps me trahissait et je ne ressentais plus que le désir de m’unir avec Altea. Ma fille unique, celle pour qui j’avais risqué ma vie plusieurs fois pour sauver la sienne.  Elle le comprit dans mon regard et elle baissa le sien pour constater, de visu, que mon membre mâle ne pouvait mentir.  Elle me sourit encore une fois avant de m’emmener et de me faire coucher au milieu des coussins. - Les filles ? Il est l’heure d’honorer le sauveur de Rome, selon les volontés de l’Imperator et de notre Maîtresse.Chacune défit son pagne pour se présenter à moi nues.  Leurs corps étaient différents mais tous aussi appétissant.  Clélia, la métisse venue des fins fonds de la Mauritanie, possédait des seins fabuleux, rebondis et défiant les lois célestes. Ses seins étaient fermes et tendus dans ma direction malgré leur taille. Ses tétons, qu’elle caressait entre ses doigts, devenaient turgescents et un appel à la succion. Sa chatte, entretenue telle une forêt de Phénicie, suintait déjà de la rosée du plaisir.  Gracilia, venue de Gaule, était plus menue mais ses seins restaient très agréable au regard. Elle posa ses mains dessus en me voyant les fixer et entreprit de se caresser tandis que Clélia, déjà, avait posé sa main sur sa chatte qui ne m’était pas visible. Mais les soupirs d’aise qui émanaient de sa bouche ne laissaient place à aucun doute. Elle prenait un plaisir évident à ces attouchements.  Enfin, Altéa, ma fille adorée, se pencha entre mes jambes et, en une goulée d’air, engloutit mon sexe en une seule fois, posant ses lèvres contre mon pubis. Ma fille électrisa mon corps et jamais durant ma vie, je n’avais ressenti un tel plaisir. J’eus l’impression que mes sens explosaient pour ne laisser place qu’à la sensation d’une jouissance inédite mais terriblement efficace qui, je le savais, ne pourrait rester unique.  Altéa possédait une technique époustouflante, issue de son apprentissage auprès de sa maîtresse. Ses lèvres couraient le long de ma queue tendue, prête à éclater, tandis que sa langue jouait avec le gland et le frein de mon sexe.  Ma tête parti immédiatement en arrière et un râle de plaisir inouï s’échappa de mon corps - OOOOHHHH....OUUUIIIIIIIIIIII....ALTEAAAAAAA....PAR JUPITEEEEEEER !Je sentis, plus que je ne vis, le sourire de ma fille qui accentua encore un peu sa fellation tandis que ses mains entrèrent en action. De l’une, elle malaxa avec une tendresse et une douceur incroyable mes testicules durs comme du bois tandis que son autre main courait le long de mon sceptre, sous l’action de ses lèvres.  Ma fille était un démon. Probablement pire que sa Maîtresse car elle osait un acte contre-nature mais qui, paradoxalement, me procurait un plaisir que je n’avais jamais connu. L’excitation de me faire sucer par ma progéniture était tel que ma jouissance ne tarda pas et que j’honorais sa bouche pour la première fois de ma vie. Ma fille ne fut pas surprise et avala l’entièreté d’une production à laquelle je n’étais pas habitué. L’excitation encore une fois probablement.  Lorsque ma queue fut nettoyée par la bouche et la langue de ma fille, elle se releva, me sourit et, alors que je pensais qu’elle allait me parler, aggripa Clélia et l’embrassa à pleine bouche afin de partager avec elle la semence qu’elle venait de récolter.  La tension, au creux de mes reins et dans mon sexe, ne faiblit pas et j’étais déjà prêt pour un second round.  C’est Gracilia qui en profita et qui se planta directement sur mon sexe tendu. Sa chatte restait serrée et douce, elle était trempée et me dit, lorsque je lui en fis part - Caius ! Voir ta fille te sucer me rend folle de désir. C’est tellement pervers et tellement excitant que je n’ai pas pu résister au plaisir que j’ai ressenti. Alors, à présent, baise-moi et fais-moi jouir aussi.Elle ne me laissa pas le temps de réagir en s’empalant directement sur mon sexe encore tendu du moment que je venais de passer dans la bouche de ma fille adorée, qui me regardait baiser son amie avec un regard bienveillant, rempli d’amour et de désir.  C’est à cet instant que le drap lourd masquant le bruit de la fête qui battait son plein s’ouvrit pour laisser le passage à Aggripina et Claudius. Celui-ci s’offusqua un instant par ce qu’il voyait.  Ma fille, en meneuse, qui admirait les petits sauts de son amie ainsi que les mouvements de bassins caractéristiques devant l’amener à la jouissance tandis qu’une autre esclave, placée derrière Altéa, lui caressait les seins lentement.   - Mais... ? Commença-t-il avant que sa compagne ne l’interrompe. - Mon cher Claudius ! Il est temps que nous nous amusions un peu. J’ai expressément demandé à Altéa de préparer cette surprise pour Caius. Il le mérite tellement !    - Certes ! Mais... Tenta-t-il de dire, le rouge lui montant au visage.Personnellement, je ne maîtrisais plus rien à cet instant. Le plaisir que je venais de ressentir par les bons soins de ma fille, l’excitation et le désir que j’avais éprouvé ainsi que les mouvements que Gracilia effectuait sur mon sexe ne me permettaient plus d’avoir tous mes esprits. Je râlais de plaisirs divers et de désirs intactes.   - OUIIIII... ! Fut le seul mot que je pus prononcer.En m’entendant, ma fille me raconta, par après, que l’Empereur, peu aux faits des choses du sexe malgré son épouse légitime, changea de visage et se montra bien plus intéressé par ce qu’il se passait devant lui. Il s’assit alors sur son siège et admira les femmes entrer ensemble dans la danse. - Mon cher Claudius, dit Aggripina, avez-vous déjà assisté à un spectacle de femmes ? - Non ! Déclara-t-il sans ambage.    - Cela vous plairait-il ?   Il eut, à cet instant, un sourire sardonique et digne de Dracon, le législateur athénien connu pour ses lois changeant au gré de ses intérêts. Il répondit - J’ai toujours été curieux de ce spectacle, ma chère Aggripina. Mais je vous serez gré d’accepter de participer et d’en être la meneuse. Serez-vous capable de me conduire vers une forme de plaisir par ce moyen ?Aggripina lui sourit et fit tomber sa toge en disant - Les désirs de votre Majesté sont des ordres. Altéa, ma chère, viens donc me lécher la chatte pendant que ton amie s’occupe de mes seins.Altéa sourit tandis qu’Aggripina se couchait dans les coussins à mes côtés en me regardant, écarta sensiblement le compas de ses jambes pour les tenir aux chevilles et, ainsi, ouvrir grand l’accès à sa fontaine du plaisir.  Ma fille se pencha et posa directement sa langue et ses lèvres sur la chatte de sa Maîtresse et lui pénétra le vagin tandis que Clélia, à genoux derrière la tête d’Aggripina, se pencha pour lui sucer les seins, offrant ainsi sa propre poitrine à la bouche de mon ancienne Maîtresse qui sortit la langue pour titiller les tétons placés à portée.  Ce spectacle me fit bander encore un peu plus dans la chatte trempée de Gracilia qui en profita pour s’emparer de ses propres seins et les caresser au rythme de coup de langues de ses compagnes de jeu.  Claudius était toujours assis dans son fauteuil. Mais je pouvais distinguer son dard s’ériger lentement et son gland dépasser de sa toge.  Le spectacle lui plaisait.   - Voilà, Altéa ! Lèche-lui bien sa chatte. Qu’elle dégouline sur ton menton et sur ta langue. Abreuves-toi de sa jouissance.Ces paroles venaient d’être prononcées par l’Empereur lui-même. Il était plus qu’excité et je compris qu’il faisait partie de ces hommes qui aiment regarder plutôt que participer.  La suite de la soirée allait me donner raison.
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