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Cendrillon X

Chapitre 4

Lesbienne
Sophie tenta de se redresser, mais ce fut peine perdue. Javotte et Anastasie étaient déjà sur elle, la maintenant fermement sur le ventre. La main de Javotte vint caresser le trou encore intact de sa demi-sœur.  
 « Calme-toi. Si tu te crispes, cela te fera encore plus mal.  - C’est justement ça le meilleur, gloussa Anastasie. »  
 Les joues inondées de larmes, Sophie sentit ses dernières forces l’abandonner. L’orgasme qu’elle venait de ressentir allié à la poigne de fer de ses deux sœurs ne lui laissaient que peu d’espoir…  
 « Là, voilà, sourit sa belle-mère en s’approchant. Anastasie, veuillez lui lever le cul je vous prie. »  
 La main de la jeune fille se glissa entre le matelas et la peau lisse de Sophie pour venir titiller son clitoris. Sophie sursauta et releva les fesses. Cet endroit était encore trop sensible pour être touché… Au contraire de celui que Javotte continuait de caresser d’une main curieuse et insatiable. La belle-mère de Sophie vint prendre la place de Javotte.  
 « Je ne suis pas encore rassasiée de toi, mais je ne veux pas te déchirer non plus. Ton potentiel est trop important pour ça… Alors, savoure la chance que tu as. »  
 Sophie ouvrit les yeux et commença à respirer plus normalement.  
 « Vous n’allez pas…. - Oh si… si je vais explorer son trou interdit… mais je vais y aller en douceur. Du moins au début….»  
 A ces mots, la marâtre empoigna son sein et laissa sa pointe courir sur la fente de Sophie avant de titiller plus intimement son orifice. La jeune fille tressaillit, mais refusa de desserrer les mâchoires. Elle n’allait pas leur donner ce qu’elles attendaient !  Elle ferma les yeux quand elle sentit une langue prendre le relai de ce sein. Puis une l’autre l’accompagner… et encore une autre… Elle se figea. Elles la léchaient à cet endroit interdit… ensemble ?! Sophie agrippa le drap et le mordit de désespoir. Maquerelle et filles de maquerelle savaient y faire. Trop bien. Qu’était-elle pour penser avoir une chance face à leur expérience ? Mais elle tiendrait autant que possible. Elle était tout de même la fille de son père ! Elle ne rendait pas les armes aussi facilement.  
 « Oh !! »  
 L’une d’entre elles venait d’insérer un doigt… long, fin…Sophie risqua un œil en arrière. Javotte… pendant qu’Anastasie… léchait les seins de sa mère pour enlever le plaisir qui les avait inondés peu avant. Sophie rougit et détourna le regard. Le plaisir qu’elle commençait à éprouvait gommait ses principes. Son esprit partait dans la brume de la luxure…la honte s’estompait. Si vite que la jeune fille crispa les paupières pour s’y raccrocher. Elle était fille de duchesse, elle ne pouvait pas se laisser partir aussi vite entre les mains de prostituées…  
 « Allez- vous en mes belles, susurra la marâtre à l’adresse de ses deux filles. - Mais mère ! protesta Anastasie qui commençait de nouveau à mouiller. - J’ai dit, allez-vous en ! »  
 Bien que murmurées, ces paroles ne souffraient aucune répartie. Sophie sentit le matelas se surélever de nouveau.  
 « Allez vous laver et préparez tout ce qu’il faut pour la fête de ce soir, ordonna-t-elle en continuant à caresser le petit trou de ce belle-fille. - La fête ? jubilèrent ses deux filles. - Oui, ce soir, nous mettrons cette petite à l’essai. Envoyez nos courriers spéciaux mes amours… allez, vite ! »  
 Javotte et Anastasie filèrent hors de la chambre.  
 « Nous voilà seule ma chère petite. Ton corps m’appelle depuis tant d’années maintenant. Tu as enfin l’âge… Tu vas être à moi. - Non… murmura faiblement Sophie en tentant une dernière fois de se débattre. - Oh si ! susurra sa marâtre en lui enfonçant deux doigts si profondément que la jeune fille ne put que hoqueter. - Pitié… - La pitié est pour les faibles ! cracha sa belle-mère à son oreille. Voyons maintenant si tu tiens plus de ta faible salope de mère ou de son fort étalon de père. »  
 Sophie sentit avec soulagement les doigts de sa nouvelle mère se retirer de son orifice. Mais son corps ne se détendit pas pour autant, appréhendant la suite tant redoutée.  
 « Ton cul vaudra des fortunes…savoura l’horrible femme en claquant ses fesses. Mais il faut d’abord l’ouvrir. - Non ! Non pitié !! - Il vaut mieux que ce soit moi qu’un de ces vieux cochons, crois-moi, éructa sa marâtre en prenant ses hanches. »  
 Sophie ouvrit la bouche pour supplier encore, mais ce fut un cri perçant qui franchit ses lèvres. Un objet lisse, massif et long venait de la transpercer de part en part. Une douleur cuisante irradia ses membres.  
 « Tu as mal ? »  
 La question suintait la jouissance. Incapable de répondre, Sophie hocha faiblement la tête.  
 « Parfait….c’est que je suis au fond. Maintenant… crie…crie pour moi… »  
 Un cri rauque, presqu’animal, sortit de la gorge de Sophie quand sa belle-mère commença à l’enculer sans ménagement. Comment pouvait-elle être encore en vie alors qu’elle sentait son corps se déchirer à chaque mouvement ?! Comment sa mère faisait ? Comment son père pouvait-il mettre son mandrin en elle et qu’elle y éprouvât du plaisir ?! Le corps secoué tant par les coups de boutoirs de sa belle-mère que part ses râles d’agonie, Sophie ne fut bientôt plus capable d’offrir une quelconque résistance. Le regard flou, elle se sentait partir. Elle pensa une dernière fois à son père, à sa mère… puis sombra dans le néant.
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