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Cendrillon, ou la petite culotte de satin

Chapitre 1

Erotique
Il était une fois un gentilhomme qui épousa, en secondes noces, une femme, la plus hautaine et la plus fière qu’on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait, de son côté, une jeune fille, mais d’une douceur et d’une bonté sans exemple : elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure personne du monde.Les noces ne furent pas plus tôt faites que la belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur : elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus haïssables. Elle la chargea des plus viles occupations de la maison : c’était elle qui nettoyait la vaisselle, qui frottait la chambre de madame et celles de mesdemoiselles ses filles ; elle couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses soeurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu’à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience et n’osait s’en plaindre à son père, qui l’aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu’elle avait fait son ouvrage, elle s’allait mettre au coin de la cheminée, et s’asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu’on l’appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n’était pas si malhonnête que son aînée, l’appelait Cendrillon. Cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d’être cent fois plus belle que ses soeurs, quoique vêtues très magnifiquement.Et le soir venu, la malheureuse devait encore donner un coup de main, ou plutôt de langue, à sa marâtre et à ses deux soeurs : elles considéraient en effet qu’il incombait à la jeune Cendrillon de pallier à l’incompétence de son père en la matière, et quand elles ne trouvaient aucun homme, serviteur ou voisin, pour satisfaire leurs envies, elles convoquaient la jeune fille dans leur chambre. Elle se devait alors de faire reluire les trois moules avides, avec autant d’ardeur qu’elle avait nettoyé le sol le matin-même. Et elle n’avait bien sûr aucune reconnaissance à attendre des trois harpies qui la renvoyaient à son grenier sitôt atteint leur plaisir, sans même un geste pour ses tétons tout durs et sa petite vulve insatisfaite.Alors qu’elle se masturbait un soir sur sa paillasse, les mâchoires encore endolories d’avoir tant léché, et les larmes aux yeux devant tant d’injustice, sa marraine la fée était apparue à ses côtés. — Eh bien, Cendrillon, que t’arrive-t-il ? Pourquoi pleures-tu ? Tes caresses ne te font-elles pas de bien ? — Oh si, marraine ! Mais j’aimerais tant sentir aussi des lèvres et une langue cajoler mon minou, constata la malheureuse, qui raconta tout l’histoire à la fée.— Tu sais bien pourtant que rien n’est impossible à une fée, affirma celle-ci. Pourquoi ne m’as tu pas demandé plus tôt mon aide?? D’un geste magique, la fée troqua sa robe couverte de pierreries pour des sous-vêtements de soie, si beaux que Cendrillon n’en avait même jamais vu de tels chez sa belle-mère. Commençant à sécher ses larmes, elle posa ses mains sur les seins de sa jolie marraine. Même si elle la connaissait depuis son enfance, Cendrillon avait remarqué qu’elle ne vieillissait pas, et était aussi belle maintenant qu’autrefois, comme il sied à une fée. Ses légers vêtements révélaient une poitrine opulente, aux tétons érigés, et une croupe presque aussi large que celle de sa belle-mère, mais incomparablement plus ferme. Sous le tissu de sa fine culotte, elle distinguait aussi un pelage bien taillé, aussi blond que sa longue chevelure. Tandis que Cendrillon glissait sa main dans la petite culotte, pour en apprécier la douceur, elle remarqua que ses propres haillons s’étaient soudain transformés en des vêtements aussi somptueux que ceux de la fée. En remerciement, elle passa ses doigts sur la motte blonde, déjà toute humide, et leva la tête pour embrasser la fée. Celle-ci, qui passait le plus clair de son temps, quand elle n’était pas parmi les mortels, à faire l’amour avec ses consoeurs, ne demandait pas mieux que de délivrer sa jolie filleule de ses noires pensées. Elle fit s’allonger Cendrillon et lui ôta sa culotte de soie, révélant la plus adorable vulve, ornée d’un abondant pelage châtain, que la fée avait jamais léchée. Enfin, la jeune fille sentit autre chose que ses doigts glisser sur ses lèvres impatientes, et elle poussa un profond soupir d’aise quand la langue féerique s’immisça entre ses nymphes roses, qui s’ouvrirent comme par enchantement. Cendrillon jouit presque tout de suite, dès que sa bienfaitrice eut effleuré son clitoris de ses lèvres, apaisant ainsi d’un seul coup plusieurs semaines de frustrations accumulées. Elle inonda le visage de la fée d’une précieuse liqueur, que celle-ci vint partager dans sa bouche.Ainsi apaisée, Cendrillon put apprécier les talents de la fée, qui revint bientôt entre ses cuisses, pour procéder à un nouveau cunnilingus, qu’elle veilla cette fois-ci à mener bien plus lentement. La jeune fille n’était pas égoïste, contrairement à ses vilaines tourmentrices, et elle était aussi curieuse. Elle laissa sa main glisser vers la croupe bien cambrée de la fée, agenouillée devant elle. Elle passa son index sur la motte brûlante, ce qui arracha un gémissement à la jolie fée, puis remonta vers son anus. Il se trouvait que sa marâtre et ses deux filles aimaient que Cendrillon les lèche à cet endroit précis, qu’elles avaient particulièrement ouvert et dilaté.Au contraire, comme le sien, le petit trou de la fée était trop étroit pour même laisser le passage à son doigt. Elle interrogea sa marraine sur ce mystère. Interrompant un instant sa dégustation de la moule de Cendrillon, elle lui apprit qu’à la différence des mortels, les fées n’avaient pas le droit de prendre leur plaisir par cet orifice.Mais elle ajouta que, comme la plupart des femmes, Cendrillon ressentirait bientôt le bonheur d’offrir ses petites fesses à la queue de l’homme qu’elle aimerait. Pour l’en convaincre, elle s’allongea sur le sol, afin que son élève puisse l’enjamber, à qui elle ouvrit les fesses et titilla l’anus étoilé. Pour faciliter la pénétration de la langue dans son cul, la jeune fille se pencha en avant et se retrouva à hauteur de la touffe humide de la fée, qu’elle dévora à son tour, mettant en oeuvre tout ce qu’elle avait pris, bien malgré elle, entre les cuisses des vicieuses épouse et belles-filles de son père. Une fois son anus humecté, elle sentit un doigt, puis deux, s’y frayer un chemin, sensation qui s’avéra plus délicieuse que tout ce qu’elle avait connu jusque là et qu’elle se promit de renouveler dans son petit lit dès qu’elle serait seule. Ainsi positionnées, Cendrillon et la fée ne tardèrent pas à jouir de concert. Tandis qu’elles s’embrassaient et se caressaient les seins, pelotonnées l’une contre l’autre, cette dernière interrogea sa filleule sur le charmant prince, le fils du roi, qui s’apprêtait à prendre la succession de son père, dès qu’il serait marié. Comme toutes les filles du pays, Cendrillon ne pouvait se masturber sans penser à lui, mais elle savait que ses demi-soeurs étaient bien décidées à lui mettre le grappin dessus dès que possible, et qu’elle-même, avec ses vêtements de souillon, n’avait pas la moindre chance d’intéresser le beau prince.— Vois-tu Cendrillon, lui dit la fée, si le prince a tant de mal à trouver une épouse, c’est que le malheureux garçon est doté d’un sexe si grand qu’il ne parvient pas à rencontrer une femme qu’il puisse enculer. Or il s’agit d’une fantaisie dont il ne peut se passer et qu’il est contraint d’assouvir avec ses propres gardes ! C’est pourquoi il a décidé de convier à sa prochaine fête toutes les filles du royaume : celle qui pourra accueillir la royale queue entre ses fesses sera son épouse... Et j’ai bien l’intention que tu participes à cette fête ! — Mais, marraine, ce n’est pas possible, s’exclama la jeune fille, au souvenir des anus béants des filles de sa marâtre. Tu as bien vu que mon trou était minuscule, aussi petit que le tien. Cela n’entrera jamais !— Tu as aimé avoir mes doigts dans ton cul, n’est ce pas, Cendrillon ? — Oui... — Alors, tout est possible ! fit la fée, avec un sourire en coin. D’ici-là, branle-toi le cul aussi souvent que tu en auras l’occasion. Et pour le reste, fais-moi confiance !Avant que la jeune fille ait pu ajouter quoique ce soit, la fée avait disparu. Dubitative, Cendrillon n’en humidifia pas moins deux de ses doigts à sa vulve encore ruisselante, qu’elle enfila entre ses petites fesses bien fermes. Le jour de la convocation princière, la jeune Cendrillon passa un long moment à assouplir les culs de ses deux demi-soeurs, de son doigt enduit de saindoux, sous les ordres de sa belle-mère, qui espérait ainsi faciliter leur sodomie. En dépit de leur longue habitude, elle risquait bien de s’avérer douloureuse, si ce que l’on disait de la queue du prince était exact ! Une fois les trois femmes, vêtues de leurs plus beaux atours, parties en direction du palais royal, la fée apparut auprès de Cendrillon : — Es-tu prête à faire ton entrée dans le grand monde, Cendrillon ?
— Je ne crois pas, marraine, répondit celle-ci. Comment irais-je au palais, moi qui n’ai que de malheureux haillons et pas d’attelage pour m’y amener ? Et surtout, mon petit trou est bien trop étroit pour le prince !!— Va d’abord dans le jardin, et apporte-moi une citrouille, répondit la fée. Cendrillon alla aussitôt cueillir la plus belle qu’elle put trouver, et la porta à sa marraine, ne pouvant deviner comment cette citrouille la pourrait faire aller au bal. Sa marraine la creusa et, n’ayant laissé que l’écorce, la frappa de sa baguette, et la citrouille fut aussitôt changée en un beau carrosse tout doré. Ensuite elle alla regarder dans la souricière, où elle trouva six souris toutes en vie. Elle dit à Cendrillon de lever un peu la trappe de la souricière, et à chaque souris qui sortait, elle lui donnait un coup de sa baguette, et la souris était aussitôt changée en un beau cheval : ce qui fit un bel attelage de six chevaux, d’un beau gris de souris pommelé. Comme elle était en peine de quoi elle ferait un cocher : — Je vais voir, dit Cendrillon, s’il n’y a pas quelque rat dans la ratière, nous en ferons un cocher. — Tu as raison, dit sa marraine, va voir. Cendrillon lui apporta la ratière, où il y avait trois gros rats. La fée en prit un d’entre les trois, à cause de sa maîtresse barbe, et, l’ayant touché, il fut changé en un gros cocher, qui avait une des plus belles moustaches qu’on ait jamais vues. Ensuite elle lui dit : — Va dans le jardin, tu y trouveras six lézards derrière l’arrosoir: apporte-les moi. Elle ne les eut pas plutôt apportés, que sa marraine les changea en six laquais, qui montèrent aussitôt derrière le carrosse, avec leurs habits chamarrés, et qui s’y tenaient attachés comme s’ils n’eussent fait autre chose de toute leur vie. La fée dit alors à Cendrillon : — Eh bien! voilà, de quoi aller au bal : n’es-tu pas bien aise ? — Oui, mais est-ce que j’irai comme cela, avec mes vilains habits ? Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en des habits d’or et d’argent, tout chamarrés de pierreries. - Remonte maintenant ta belle robe, et penche-toi en avant, ajouta la fée. Quand Cendrillon se fut exécutée, les fesses à l’air, la fée s’agenouilla derrière elle, et elle glissa sa langue entre les globes fermes de la jeune fille, qui s’entrouvrirent comme par miracle, ainsi que la rondelle toute rose, qu’elle lécha un long moment...Ainsi parée, Cendrillon monta en carrosse ; mais sa marraine lui recommanda, sur toutes choses, de ne pas passer minuit, l’avertissant que, si elle demeurait au palais un moment davantage, son carrosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, ses laquais des lézards, et que ses beaux habits reprendraient leur première forme. Quant à son petit cul...Arrivée au palais, Cendrillon croisa ses deux soeurs, qui ne la reconnurent pas sous son accoutrement princier. Elles étaient en pleurs et éprouvaient des difficultés à marcher, tant la bite royale avait été cruelle pour leurs culs.Presque toutes les jolies filles du pays étaient déjà passées devant le prince, et les gardes du palais, impressionnés par la beauté et le brillant équipage de Cendrillon l’amenèrent presque aussitôt devant lui. La jeune fille ouvrit de grands yeux à la vue du sexe démesuré du prince charmant, bien plus impressionnant que ceux des hommes qu’elle avait vu faire l’amour à sa marâtre et à ses filles, qu’elle observait souvent en cachette. Quant au prince, il tomba tout de suite amoureux de la belle jeune fille. Tandis qu’elle ôtait sa somptueuse robe ornée de pierreries, il détailla ses petits seins aux pointes roses, sa moule close, joliment ornée d’une touffe aux couleurs automnales. Quand elle se tourna, il dut cependant déchanter : sa croupe était plus menue encore que toutes celles qu’il avait tenté de pénétrer de son royal dard au cours de cette longue journée. Cendrillon s’agenouilla cependant sur le fauteuil préposé à la sodomie, et le prince présenta sa queue à l’orée de son petit trou. Surprise, il ne ressentit pas l’insurmontable obstacle qui s’opposait habituellement à la progression de sa queue : si le sphincter de la belle enserrait étroitement son sexe, il ne gênait pas pour autant sa pénétration, et il parvient bientôt à y enfiler presque toute la longueur. Pas non plus de cris de douleur de la part de sa victime, comme c’était toujours le cas, et c’était bien des gémissements de plaisir que poussait Cendrillon, qui remerciait secrètement sa marraine la fée. De sa main, il caressa le minou de la jeune fille, qui jouit presque instantanément. Pourtant, il se rendit compte en poussant son doigt plus avant qu’elle était encore vierge. — Oh, dépucelle-moi, mon prince, je t’en prie, supplia Cendrillon, quand elle sentit le doigt buter contre son hymen. L’homme avait besoin d’éjaculer cependant, tant ses couilles bouillonnaient, à la suite de toutes les frustrations accumulées. Il ressortit des fesses de la belle, et vint lui présenter sa pine à branler. Elle fut presque aussitôt inondée d’une pluie chaude et abondante, qui ruissela sur son visage ravi, ses seins, ses épaules... Comme elle l’avait vu faire par ses garces de soeurs, Cendrillon prit ensuite dans sa bouche le sexe revenu à plus de modestie, qui ne tarda pas à se dresser de nouveau. Pour la pénétration vaginale qui suivit, le fluide féerique ne faisait pas effet, mais la prévenance du prince et le désir de Cendrillon firent en sorte que la douleur ne fut pas plus présente que lors de la sodomie. Le premier jet de l’éjaculation princière vint frapper les parois du vagin de la jeune fille au moment précis où sonnait le premier coup de minuit. Sous le coup de la panique, Cendrillon abandonna l’homme et enfila sa robe, avant de quitter en courant le palais. Elle arriva chez elle, bien essoufflée, sans carrosse, sans laquais, et avec ses méchants habits. Elle avait aussi oublié sa petite culotte de satin, que le prince, inconsolable de la perte de son aimée, avait recueilli, et emportait partout avec lui. Le vêtement était minuscule, adapté qu’il était à la finesse de la taille de Cendrillon, et il vint à l’esprit du prince que rares devaient être les femmes de son royaume à pouvoir enfiler un tel vêtement. Il décida donc de toutes les convoquer à nouveau, qu’il fit mettre nues dans la grande salle du palais. Toutes étaient cependant dotées de cuisses, de fesses et de hanches bien trop opulentes pour enfiler la culotte. Le prince allait renoncer quand ses gardes, qu’il avait chargé de faire le tour des villages pour contrôler qu’aucune femme ne s’était soustrait à son ordre, lui amenèrent une jeune fille vêtue de haillons, à qui sa marâtre avait interdit de sortir. Avant même qu’elle n’essayât le vêtement, tandis qu’elle se déshabillait, le prince n’eût plus de doute, à la vue des délicats petits seins et du pelage blond : c’était bien là la jolie fuyarde, dont le cul, la bouche et le con avaient fait tant de bien à sa pine.Le mariage princier eut lieu dès la semaine suivante, à la grande fureur de la marâtre et de ses deux filles, que Cendrillon, pas rancunière, avait fait placer au premier rang. A l’occasion de la nuit de noces, la jeune reine dut cependant avouer à son mari le stratagème que la fée et elle avaient employé pour satisfaire la royale pine, lors de leur première rencontre. La marraine de Cendrillon, fort heureusement, n’était jamais bien loin de sa filleule, et elle apparut auprès de la couche royale aussitôt que celle-ci l’eût appelée. D’abord interloqué, le prince ne vit pas d’inconvénient à ce que la jolie fée préparât désormais de sa langue magique le cul de son épouse, à chaque fois qu’il avait le projet de la sodomiser. Lui-même avoua à Cendrillon qu’il avait l’habitude, avant de la rencontrer, de faire l’amour avec son jeune chambellan, le seul qui pouvait alors prendre dans son cul la queue princière. Avec sa générosité coutumière, Cendrillon souhaita que la complicité des deux hommes se prolonge. Tandis qu’elle-même fait l’amour avec la fée, les deux hommes baisent donc souvent ensemble. Il leur arrive même, de temps à autre, de sceller leur amitié en partageant les deux trous de la belle princesse...
MORALITE La beauté, pour le sexe, est un rare trésor.De l’admirer jamais on ne se lasse ; Mais ce qu’on nomme bonne grâce Est sans prix, et vaut mieux encore. C’est ce qu’à Cendrillon fit avoir sa marraine, En la dressant, en l’instruisant, Tant et si bien qu’elle en fit une reine : (Car ainsi sur ce conte on va moralisant). Belles, ce don vaut mieux que d’être bien coiffées : Pour engager un coeur, pour en venir à bout, La bonne grâce est le vrai don des fées ; Sans elle on ne peut rien, avec elle on peut tout.
* Merci à Charles Perrault (1628-1703) de son involontaire contribution à cette histoire.Email: aline25@msn.com
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