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Centaure et sans reproche

Chapitre 1

Zoophilie
Thomas se réveille brusquement, il est allongé par terre. Apparemment le combat est terminé. Le monstre, une lance plantée dans son œil est inerte. Les tentacules, prises encore de convulsion recouvrent le sol.
Carie se tient au-dessus de lui, le visage inquiet. Aussitôt un sourire l’illumine en voyant qu’il n’est pas blessé, sa blessure et ses fractures s’étant instantanément ressoudées.
Le centaure, en retrait, fait une sorte de salut équestre.— Merci gente demoiselle, d’être venue secourir deux pauvres mâles bien mal engagés.
Aussitôt Carie rougie. Le centaure, au torse humain jeune et beau, lui fait un baise main impeccable de gentleman.
— Soit remerciée beauté, Karl l’étalon est à ton service et te serviras jusqu’à ce qu’il puisse s’acquitter de sa dette.
Bien sûr Carie n’est pas vraiment une beauté, mais elle rougit immédiatement, alors que l’étalon, qui comme tous ceux de sa race est un incorrigible séducteur, finit d’emballer complètement la jeune fille avec un clin d’œil complice.
Thomas remarque que ses testicules noirs et énormes sont prolongés par un sexe de cheval monstrueux en érection, noir également avec un bout rose.
Carie rougie mais ne semble pas s’en offusquer. Les centaures n’ayant notoirement pas les tabous des humains et les étalons montrant ouvertement leurs intentions aux femelles qu’ils séduisent.
Thomas se demande bien ce que Carie pourrait faire d’un sexe pareil, ne pouvant déjà pas recevoir un pénis de taille normale, mais il garde ses réflexions jalouses pour lui.
— Merci à toi pour ton aide, Karl. Je suis Thomas, et carie est mon esclave dit-il d’un air de propriétaire un peu jaloux.— C’est ta femelle ? Pardonne-moi humain, je ne veux pas me battre pour conquérir ton troupeau de juments.
Thomas gêné toussote légèrement,
— Et bien c’est-à-dire…

— Je ne fais pas partie de son troupeau et je suis disponible, bel étalon dit Carie en foudroyant Thomas du regard, je ne suis que sa cuisinière, ajoute, elle, avec humeur.
L’étalon visiblement rassuré et dont le sexe avait déjà commencé à débander, se remet à bander de plus belle en regardant la jeune fille ravie.
— Alors pas de problème, vient sur mon dos, beauté. Dorénavant je suis ton étalon, jusqu’à ce que mon honneur me permette de payer ma dette. Cela ne te dérange pas, noble thomas ? Demande poliment le centaure.

Les centaures ont la réputation d’être nobles et courageux, des sortes de paladins parcourant librement le monde pour aider les voyageurs en difficultés. Il faudrait être fou pour refuser l’aide d’un tel allié.
Malgré tout ce sont des séducteurs et des baiseurs notoires qui emballent toutes les femelles, quelle que soit leur race. La concurrence est déloyale, aucun humain ne pouvant dégager une virilité aussi grande qu’un étalon centaure ou ne pouvant rivaliser avec leurs capacités de séduction innée.
— Tu es le bienvenue dans notre groupe, Karl le centaure, nous allons à M’oses thar. Puis nous continuons à travers les terres sauvages, pendant plusieurs mois, et nous devrons libérer ma promise, prisonnière d’un monastère.— Par ma foi, quelle noble quête. C’est avec honneur et plaisir que je me joindrais à toi et ta belle esclave pour aller libérer ta dulcinée.
Le groupe retrouve Cind qui saute de joie en voyant le bel étalon.Aussitôt Karl, prend Cind et Carie sur son dos, et les amène gaiement le long du chemin, blaguant avec les jeunes filles ravies.
Thomas un peu vexé, se tient devant le groupe à la recherche d’un lieu pour la nuit.
La première soirée se passe gaiement, l’étalon étant un compagnon plaisant et enjoué, et ne tarissant pas d’histoires pour distraire les jeunes filles ravies.

La nuit déjà bien avancée, Cind et thomas se couchent près du feu, et l’étalon et Carie s’éloignent discrètement dans les fourrés.
Curieux, un peu inquiet, thomas se lève et observe discrètement, jouant au voyeur.
Il n’a jamais été habitué à avoir de la concurrence, son statut de noble et de beau garçon étant indétrônable dans sa ville d’origine. Mais il n’est pas sur son territoire, et les centaures sont bien plus virils que les humains.
C’est la première fois qu’il se sent dépassé par quelqu’un et la situation le rend très jaloux.
Dans une clairière, le centaure, le sexe en érection a déjà débarrassé Carie de ses vêtements, et tenant son petit corps maigre aux gros seins sur son torse énorme. L’embrasse goulument.
Les jambes de carie sont passées autour du torse du centaure et elle rougit en se frottant contre les abdos en béton du guerrier géant. Ils s’embrassent comme des écoliers pendant de longues minutes. Thomas finit par croire que le centaure ne pourra pas faire plus que ça. Après tous leurs différentes anatomiques sont importants.
Puis le centaure retourne la jeune fille, et collant son sexe poilu et marron sur sa bouche, entreprend de la lécher goulûment, la tête en bas.
Carie semble aimer ça car elle se met à râler de plaisir, le visage rouge.En quelques instants , la langue experte du centaure, arrache des cris de jouissance à la jeune fille. Puis, la tenant toujours la tête en bas, il commence à entrer plusieurs doigts dans son vagin.
Carie se met à nouveau à râler et jouir en quelques instants sous les caresses et les pénétrations expertes. Et le centaure recommence son manège encore et encore, apparemment pas pressé, et prenant autant plaisir que carie à la branler.
Thomas, caché dans les buissons a sorti son sexe bandé, long et recourbé. N’en tenant plus, il se masturbe doucement, terriblement excité. C’est la première fois qu’il voit un étalon prendre une femelle humaine. Il commence à comprendre que si Carie n’a pas pu accueillir son sexe, c’est peu être parce qu’il n’a pas pris la peine de la préparer. Et qu’il a encore beaucoup a apprendre des femmes, trop habitué à ne rien faire et à laisser ses esclaves de plaisir faire tout le boulot.
Carie ne semble pas du tout sèche et fermée avec Karl, au contraire, son sexe distendu par les doigts du centaure, est rouge et excité et elle cris de plaisir, en appelant son nom— Carl o oui, met moi tout, baise-moi, oui oui
Dans la clairière, le centaure a mis pratiquement sa main dans le vagin de Carie, qui sue et crie de plaisir.
Puis le centaure dépose la jeune fille rouge et suante, mais ravie à terre et elle s’approche des gros testicules noirs et du sexe énorme, faisant presque un mètre de long, bandé et dur.
Elle prend les deux testicules dans sa main et commence à lécher la longue hampe du centaure. La jeune fille frotte son visage contre la longue queue, caressant les énormes testicules, et finissant sa longue remontée du membre avec la langue. Elle lèche enfin le gland énorme et distendu. Ses deux mains branlant la queue immense. C’est au tour de Karl de pousser des gémissements de contentement.
Carie accroupie, le bout du gland dans la bouche, branle le bout de la queue avec une main, alors que son autre main, pénètre sa vulve avec tous les doigts, faisant des violents vas et vient dans son vagin pour finir de le dilater. Après de longues minutes, l’étalon piaffe de plaisir et la main de Carie disparaît entièrement dans la vulve complètement ouverte.
Puis au bout d’un long moment, le centaure installe carie confortablement sur le dos. Elle est posée sur une grande pierre pleine de mousse, tel une prêtresse offerte sur un autel de pierre. Il approche son long membre de l’entrée de la vulve dilatée.
Carie pose le gland sur son sexe, et se masturbant, et masturbant le gland noir d’équidé, elle essaye de le faire entrer.
Cela dure un bon moment, sans succès. Les deux amants patients, laisse leurs deux sexes s’habituer l’un a l’autre, le gros gland frottant contre le vagin dilaté, mais n’arrivant pas à l’accueillir encore.
Puis, Karl prend à nouveau carie dans ses bras, la tenant par les fesses, la tête en bas, présentant sa main devant le trou. Il la fait jouir violement avec ses doigts, pour la cinquième fois de la soirée. Et enfin sa main entière disparait dans la vulve, béante de la jeune fille qui hurle de jouissance.
Enfin pour la dernière fois il la repose sur le dos, sur sa pierre surélevée, et présente son chibre devant la chatte dilatée. Et enfin le gland énorme après plusieurs tentatives, parvient à entrer dans le minou de l’esclave qui hurle de plaisir alors qu’il la besogne violement, pénétrant d’une vingtaine de centimètres en la décollant quasiment de la pierre à chaque coup.
Thomas surexcité par la scène, de la jeune fille en train de se faire prendre violement par l’étalon, éjacule en longs jets, soulagé de toute sa tension sexuelle accumulée.
Après quelques cas et viens, Karl se raidit , ses couilles se tendent et il se vide dans la chatte dilatée de son amante, qui crie de plaisir. Ravie d’avoir soulagé l’étalon viril.La queue est encore prise de soubresaut et dépasse de la chatte complètement écartelée.
— Sa vas belle femelle ? Ton sexe n’a pas trop souffert de ma monte ?— Ma chatte va me faire mal toute la journée, mais si tu me baises tous les jours, sa me feras plus du tout mal, comme avec Refus, dis la jeune fille. Je veux ta belle queue tout à moi, bel étalon.— Prend garde, si on goutte trop à la queue des étalons centaures, on ne peut plus se satisfaire d’autre chose.— J’assume dis Carie, tu peux me baiser quand tu veux, avant toi je n’avais jamais joui, et je suis habitué à être prise par des queues trop grosses pour moi. Mais c’est les premières fois qu’on s’occupe de moi et de mon plaisir.

L’étalon se retire doucement et un flot énorme de sperme jaillit de la chatte et tombe au sol.Carie se frotte un peu la vulve, béante et irritée utilisant le sperme de centaure comme un baume apaisant, caressant ses longs poils bruns trempés de foutre.
L’étalon la soulève et l’embrasse à nouveau tendrement, puis la prenant dans ses bras la ramène au coin du feu.
Thomas fait déjà semblant de dormir, alors que l’étalon se couche à côté de sa compagne satisfaite et épuisée.
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