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Ah ces touristes...

Chapitre 1

Hétéro
Ça m’est arrivé ce matin, connement.. je vis aux Antilles, j’ai 50 ans. Tous les matins, je vais dans la même boulangerie. On peut y boire son café, j’aime y mater les mamans qui reviennent de l’école, où elles sont allées conduire leurs bambins. C’est le matin, il fait toujours chaud ici et les tenues sont souvent plus que légères !
Mais elle, ça fait une bonne semaine qu’elle vient chercher ses viennoiseries. C’est une américaine. Ça fait 20 ans que je vis ici, et je sais d’expérience que ces ultra puritaines se lâchent volontiers loin de la mère patrie. Elle n’est pas belle, quelconque, une petite quarantaine, cheveux courts, châtains, visage passe-partout avec quelques tâches de rousseurs. Poitrine modeste, hanches un peu épaisses, tout comme les cuisses.. Enfin admettez, que quand vous voyez à longueur d’année de superbes touristes, ce n’est pas le genre de femme qu’on remarque.
Pourtant tous les matins elle m’hypnotise. Sûrement est-ce dû à ses tenues vives et surtout ses jupes hyper courtes qui lui arrivent à raz de la moule. Ses grosses cuisses déclenchent chez moi des montées de chaleur que je ne comprends pas ! J’ai vu plusieurs fois quand elle se penche la naissance de sa raie.
Enfin tout ce qu’il faut pour me rendre dingue ! Je l’ai suivi, déjà deux fois, sans me cacher. Elle le voit et le sait, je le sens bien. Quand elle monte dans sa voiture, la vue de son string fait monter encore ma tension. En fait aujourd’hui, j’ai décidé d’essayer quelque chose. Le stop marche très bien ici, alors je suis sorti à son arrivée, et me suis positionné une centaine de mètres après sa petite voiture. J’ai tendu le pouce l’air décontracté, souriant. J’étais sûr qu’elle s’arrêterait !
— Où tu vas ? m’a-t-elle demandé avec un fort accent américain.— Par là.— Ok boy.
Tremblant d’excitation, je jubilais. Ce n’était pas possible qu’elle s’arrête par hasard. Au bout de 30 secondes, sa jupe déjà si courte se relevait à chaque passage de vitesse. Je n’ai pas tenu plus longtemps. J’ai posé ma main sur sa cuisse. Elle m’a regardé, a sourit et s’est concentrée sur sa conduite. Je suis tout de suite remonté vers sa chatte et ses cuisses se sont ouvertes automatiquement. Elle avait viré le string et était trempée. C’est donc ce qu’elle voulait ! J’ai pris sa grosse motte à pleine main et j’ai commencé à la malaxer, plus qu’à la branler, ma position n’étant pas des plus confortable. Je me suis penché vers elle et je l’ai doigté avec l’autre main. Deux doigts qui la pistonnait, une main qui la branlait, on a évité l’accident de justesse quand elle a joui en me criant des trucs auxquels je n’ai rien compris.
On est reparti, après qu’elle m’ai lancé un « quiet » implorant, et aussi une main sur la bosse de mon pantalon. Elle m’a branloché de temps en temps pendant les 10 minutes du trajet qui nous séparaient de sa villa.
— My husband back in one hour..— D’accord, j’ai bien le temps de te bourrer.— What ?Comme je parle très mal anglais, je n’ai pas pris la peine de lui répondre, j’ai conclu cette conversation par un baiser que parait il seuls nous, français, somment capables de donner. Elle, bonne élève, a partagé cette galoche hyper baveuse avec plaisir. Sa bouche avait un goût de fraise. Tracy m’a fait entrer dans la maison et a voulu aller dans sa chambre. J’ai pris les choses, si j’ose dire en main, et nous sommes allés dans la cuisine. Je lui ai littéralement arraché ses vêtements et l’ai plaquée contre le frigo. Elle couinait parce que ses seins et son ventre étaient contre la porte froide. J’ai passé ma main entre ses cuisses et j’ai recommencé à la branler. Je me suis assis par terre et j’ai attiré sa chatte sur ma bouche. Elle était vraiment grosse. Je veux dire que je n’avais jamais vu un fruit aussi gonflé. Elle était déjà rouge avec des grandes babines, très peu poilue, un minuscule clito que j’ai eu du mal à dénicher. Mais quand j’ai soudé mes lèvres dessus elle est devenue hystérique ! Peut être que les ricains ne pratiquent pas ce genre de sport !!!
Rapidement, elle est venue dans ma bouche. Elle a vraiment éjaculé. Je ne suis pas Casanova, mais j’ai quand même eu pas mal de relations sexuelles. Mais cette femme est surprenante. J’ai son jus qui me coule de long de la bouche, j’adore sucer une femme, mais celle là est exceptionnelle !
Je me relève et me débarrasse de mon short qu’une énorme bosse déforme. Elle s’est assise sur un tabouret hagarde. J’ai le droit à un « my god » quand elle voit ma bite raide pointer vers son visage. Je m’approche d’elle. Tracy n’a pas l’air décidée à m’emboucher. Je frotte ma pine en guidant mon gland impatient contre ses lèvres. Elle cède et ouvre. Je vois bien qu’elle est ignare dans ce genre de pratique. Je me sers donc de sa bouche comme d’un sexe. C’est très excitant d’avoir affaire à ce genre de femme. Elles ne connaissent pas grand-chose, c’est presque une défloraison ! Elle serre les lèvres, émet de petits grognements étouffés et fait quand même bien attention avec ses dents, ce dont je la remercie silencieusement. Je me repends très vite dans sa bouche tant la situation me plait ! Je prends un malin plaisir à me déverser à longs traits au fond de sa gorge. Elle s’étouffe mais est obligée de presque tout avaler.
Quand je me retire, elle a un air furieux. Devant mon air goguenard, elle se lève et fait mine de partir en me lançant un « son of bitch » que je n’ai pas besoin de traduire. Je la chope par une aile et l’allonge sur le dos sur la table en bois brut ! Elle résiste bien un instant mais comme les premières fois, semble toujours électrocutée quand j’empogne sa grosse chatte ! En la regardant dans les yeux je la branle sans ménagement !
— Alors tu voulais te faire tringler espèce de truie...— What ?— I fuck you now ! que j’essaie en anglais de bazar !— ...— T’es vraiment une grosse pute ! Je vais te niquer salope. Je suis sûr que ton cocu ne t’a jamais enculée !— .— T’aimes ça hein, tu dégoulines !— Yeh ! tente t’elle timidement pour toute réponse.
Je la doigte à toute vitesse avec trois doigts qui pénètrent sans problèmes. J’introduis l’auriculaire, elle ouvre la bouche sans en sortir un son. Je vais essayer, c’est juste mon deuxième fist, je ne suis pas un pro, mais je sens qu’elle est assez large pour ça ! Je plie mon pouce à l’intérieur de ma main. Elle fait non de la tête, mais ma main entre finalement sans trop de difficulté ! Je suis en elle, ma main a disparu. Je laisse son corps s’habituer et je commence de lents va et viens. Maintenant elle tremble et hurle, mais de plaisir. Je clapote dans son jus. Et elle jouit à nouveau. Cet orgasme est encore plus violent que les autres et la laisse quasiment inanimée sur la table.
Ok, c’est pas une baise très sympa. mais elle a eu je ne sais combien d’orgasmes ! Le pire, c’est que maintenant je bande à nouveau.. Bah, on verra bien !
— It’s ok darling ? More ? Que je demande.— Fuck me.
Ben si c’est pas une invitation ça.. Je la tire sur le bord de la table, toujours sur le dos et la pénètre d’un grand coup ! Il faut bien ça, elle est tellement élargie qu’il me faudrait avoir une pine de cheval pour sentir quelque chose ! Ses seins ballottent dans tous les sens sous la fureur de mes coups de bite ! Vu les sons qui sortent de sa gorge madame apprécie la baise.. Moi je suis loin d’être satisfait ! J’avais posé ses jambes sur mes épaules et je la besognais debout. Mais basta, j’ai besoin de me sentir plus à l’étroit ! Qu’auriez vous fait à ma place ! Je me suis dit qu’elle aurait droit à la totale ! J’ai sorti ma pine et l’ai pointée sur sa rondelle. Affolée elle disait non. Au point où j’en étais, je m’en fichais. J’ai appuyé, je me doutais bien que ce n’était pas non plus sa tasse de thé ! C’est sûrement pour ça que mon sexe était énorme et dur comme le bois de la table. Sa rondelle a vaillamment résisté, mais j’avais trop envie et quand je l’ai forcée elle a poussé un hurlement épouvantable ! Elle pleurait, gémissait mais j’étais fiché dans son cul jusqu’au couilles. Qu’est ce qu’elle est étroite ! Une vraie pucelle ! Je l’ai laissée une petite minute. Et je l’ai limée, doucement pour qu’elle s’habitue à mon engin, les pleurs ont cessé. Etonnée elle a écouté son corps qui s’habituait, puis elle a fermé les yeux et son souffle s’est accéléré pendant qu’elle se mordait les lèvres. Quand elle a accepté au bout d’un moment d’avoir du plaisir anal, elle a ouvert les yeux, m’a fixé et d’un simple « fuck » murmuré rauquement, a déchaîné la bête en moi ! Je l’ai baisée de toutes mes force je l’ai enculée cette grosse salope comme jamais je n’avais enculé personne ! Au bout d’un long moment elle a joui en poussant des hurlements de chienne ! J’ai joui longtemps, puissamment. Je lui ai rempli le cul de mon foutre. Génial !
Voilà, c’est tout..
Pas tout à fait, elle était anéantie sur la table, les jambes écartée mon foutre coulant le long de ses grosses cuisses, je lui ai fait un bisou.
— See you tomorrow k’j’y ai dit avec un clin d’oil et je suis parti !
Dans le jardin, j’ai rencontré un chauve d’une soixantaine d’année qui rentrait de son jogging et qui m’a salué joyeusement..
Ça passe vite une heure !
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