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Cette petite branleuse qui me domine

Chapitre 3

Trash
Je n’avais plus de nouvelles de Natasha depuis plusieurs semaines ; nous sommes mi-juin et l’école n’est pas terminée, mais j’évite de me rendre disponible pour aller les chercher à l’école, ma fille et elle. Je ne veux surtout pas être confronté à Natasha en présence d’autres personnes, et encore moins en présence de ma fille. Toutes les excuses liées au boulot, je les ai testées ; je peux même m’autoriser à revendiquer le titre d’expert dans ce domaine.
Cette absence de Natasha me pesait : cette petite peste m’avait rendu accro, moi un homme marié de 44 ans, complètement en manque d’une gamine qui pourrait être ma fille ! Je dormais mal, pensais à elle jour et nuit ; je me branlais très souvent en me remémorant nos rencontres ou en imaginant des scénarios plus excitants les uns que les autres.
Aucun appel, aucun SMS ; je me sentais comme en manque.
Si : un SMS un vendredi soir, ce qui m’a permis de la voir pendant quelques minutes ; mais rien à voir avec mes délires imaginés lors de mes séances de masturbation.
Je reçois ce SMS vers 23h (je le retraduis pour que tout le monde puisse le comprendre, il me faut bien le relire 2 ou 3 fois pour en saisir le sens) :
[Fait chier, je suis à X. et j’ai plus de clopes, tout est fermé ; tu en as ?]
Toujours les cigarettes ! Mais, bon, sans elles rien ne se serait passé. Je lui réponds :
[Oui, j’en ai]
Sa réponse est toujours aussi rapide ; ah, les jeunes et les SMS… :
[Bouge et viens sur le parking X., quand tu es là tu m’envoies un SMS]
Elle semble être de sortie ce soir, et reste toujours aussi directe, ce qui me déplaît pas, je l’attendais trop ; je lui réponds :
[J’arrive, Natasha]
Au bout de quelques minutes, aucune réponse. Elle ne prend même pas la peine de me dire je t’attends, ou merci ; c’est vrai qu’un merci de sa part serait surprenant.

Je trouve une nouvelle excuse de boulot pour sortir, monte dans ma voiture et me dirige vers le parking indiqué. Arrivé sur place, je stationne et lui envoie un SMS pour lui signaler ma présence. Aucune réponse ; je regarde mon téléphone : non rien ; ça fait pourtant 5 minutes que je le lui ai envoyé. J’en renvoie un second, mais toujours rien. Au bout de 10 minutes, un appel : le numéro n’est pas enregistré, ce n’est donc pas elle. Je réponds, et reconnais immédiatement la voix de Natasha qui me dit :
– T’es où, exactement ?
Moi :– Ce n’est pas ton numéro de téléphone ?
Natasha :– C’est à une copine, j’ai plus de forfait ; t’es où ?
Je lui indique mon stationnement le plus précisément possible ; deux minutes plus tard, je la vois arriver accompagnée de trois autres filles et de deux garçons. En la voyant s’approcher de ma portière, je ne peux m’empêcher de l’admirer dans sa minijupe en jean, petit top vert très décolleté et un petit gilet boléro par-dessus : elle est craquante.Elle s’approche, les cinq autres restant à 4/5 m. Ma vitre est baissée ; elle s’y appuie, me donnant une vue inespérée sur sa jolie petite poitrine, le remarque et me dit :
– Profites-en… T’as les clopes ? T’as combien de paquets ?
Moi :– J’en ai pris un neuf pour toi…
Natasha ne me laisse pas terminer :– Pas tu, mais VOUS ! T’es pas assez barge pour vouloir te faire claquer devant eux, quand même ; si ?
Moi :– Non, je ne préfère pas.
Natasha :– T’inquiète, gros porc ; bon, je te demande pas combien de clopes tu as prévues pour moi, mais combien tu en as : commence pas à m’énerver !
Moi :– Un paquet neuf et la moitié d’un autre. Je n’ai que ça.
Natasha :– Alors, donne. Donne les deux paquets !
Moi :– J’en aurai plus pour moi.
Natasha me prend le menton, me regarde fixement avec son petit sourire moqueur et me dit d’un ton très doux :– Qu’est-ce tu veux que ça me foute ? Tu mates mes seins, là. Ça les vaut, non ?
J’acquiesce et lui remets les deux paquets ; elle les prend avec un sourire satisfait et se relève, puis semble réfléchir pendant quelques secondes. Elle reprend sa position, descend sa main sur mon sexe, la retire et me dit :– Je te fais bander, hein ? Ils t’excitent, mes seins ! T’as ta petite bite bien dure, mon gros, hein ? T’as combien de fric sur toi ?
Moi :– Je ne sais pas : 20 à 30 euros.
Natasha :– Donne !
Moi :– Que je te… pardon : vous donne… (le fait de la vouvoyer m’a tout de suite remis à ma place ; la question se posait pas) …oui, tout de suite.
Je fouille dans ma poche et lui remets tout ce que j’avais, 28 euros et quelques centimes ; elle les prend, se retourne vers son groupe de copains et leur montre l’argent comme un trophée et dit :– On va pouvoir aller à la fête foraine.
Se retournant vers moi :– Ben voilà : il est gentil, le gros porc ; il va pouvoir aller se branler, maintenant !
Et d’un ton plus autoritaire et emprunt de dégoût :– Dégage !
J’ai redémarré et quitté immédiatement le parking ; elle avait raison : quelques kilomètres plus loin, je me suis garé dans un petit chemin et me suis branlé. En revoyant ses petits seins, j’ai giclé en à peine 2 minutes. Puis je suis revenu bien sagement chez moi.Un paquet et demi de cigarettes et plus de 28 euros pour mater de jolis petits seins dans un décolleté et pouvoir me branler après, c’est beaucoup, quand même…Petite branleuse ! Elle fait ce qu’elle veut de moi !
Après ça plus, de nouvelles jusqu’à ce mercredi (5 jours plus tard) ; je reçois un SMS d’un numéro que je ne connais pas :
[Appelle-moi sur ce numéro. Natasha]
Ce numéro ne correspondait pas au numéro du téléphone de sa copine qu’elle avait emprunté vendredi dernier. J’appelle ; ça décroche, mais personne ne répond. Je dis :
– C’est C.
Je reconnais la voix de Natasha :– Mon téléphone marche plus ; les touches déconnent, et en plus j’ai un forfait à la con. Alors, tu vas m’acheter un X. (marque d’un téléphone) et me prendre un forfait illimité internet et tout le reste. OK ?
Moi :– Natasha, il est cher, ce téléphone ; et un forfait illimité, ce n’est pas donné !
Natasha, avec une petite voix douce et sensuelle (ce qui tendait à prouver qu’elle n’était pas certaine de son emprise sur moi) :– Fais ça pour moi ; t’as du fric, toi. T’inquiète pas, je saurai te remercier ; tu auras un cadeau. Tu t’en rappelleras.
Moi, trop heureux à l’idée du cadeau et de ce moment qui va être inoubliable, comme le laisse supposer ce « tu t’en rappelleras »… Comment refuser ?– Bon, d’accord. Mais ce n’est pas facile : ce genre de dépense pourrait se voir, et ma femme pourrait s’en rendre compte.
Le ton de Natasha change ; elle a compris que je ne pouvais rien lui refuser. Elle ne prend plus de gants. Sa voix est autoritaire et laisse sourdre une certaine méchanceté :– Ta salope, je m’en tape ! Tu l’achètes et tu me rappelles sur ce numéro quand tu l’as. T’as compris ?
Je n’ai pas le temps de répondre que la tonalité résonne : elle a raccroché, certaine de mon acceptation.
Le lendemain, je me rends dans une boutique de téléphonie mobile, achète le téléphone et prends un abonnement illimité.
Tellement impatient de mon « cadeau » que, dès la fin de matinée, je la rappelle sur le numéro de la veille. Une voix masculine me répond :– Ouais.
Je raccroche, vérifie de nouveau le numéro : c’est bien le bon ! Mais ce n’est pas Natasha. J’essaie de réfléchir et, au bout d’un quart d’heure, je rappelle :– Ouais.
Moi : – Bonjour. Je m’appel C., et Natasha m’avait demandé de la rappeler sur ce nu…
Lui :– C’est toi, le connard qui m’a raccroché au nez t’à l’heure ?
Sa voix a un accent magrébin, mais semble jeune :– Oui ; désolé, je croyais m’être trompé.
Lui :– Elle n’est pas là. Elle te rappellera. T’as son tél ?
Il est au courant ! Elle s’en vante à toute l’école ! Je ne sais pas trop quoi répondre :– Heu… oui, je l’ai. Elle me rappellera.
Lui :– Ben ouais, tu comprends rien, ou quoi ?
Et il raccroche.Je reste très anxieux de la divulgation faite par Natasha ; qu’a-t-elle dit, et à qui ?
Je n’arrive même plus à bosser tellement je suis inquiet. Je préfère rendre le téléphone ; elle est belle, me rend complètement dingue, mais je ne veux pas être la risée de tous les gamins et mettre ma vie en l’air, quand même !
Quinze minutes plus tard, la sonnerie de mon portable me sort de ma réflexion : c’est le même numéro… c’est elle ! Je réponds et j’entends Natasha :– Bon, tu l’as. T’as fait vite ; c’est bien.
Je lui réponds avec froideur :– Oui, je l’ai ; mais tout à l’heure, le type qui a répondu était au courant. Tu lui as dit ? Je ne savais pas que tu le dirais à tout le monde !
Natasha :– Oh, gras du bide, tu va te calmer, et tout de suite ! Dis-moi encore TU et je te fais éclater la gueule ! T’as bien compris ? Tu vas changer de ton ! Tu crois pas que je vais me faire emmerder par une lope !
Sa voix était blessante, sèche, et elle me criait dessus. J’essaie de répondre :– Pardon, Natasha ; c’était juste que je trouvais ça inquiétant que d’autres le sachent : je suis marié et j’ai une vie de famille, tu le… pardon : vous le savez bien.
Elle se met à éclater de rire :– Arrête avec « je suis marié » « j’ai une femme »… Tu te prends pour qui ? Tu ne t’es pas vu dans la cabane à te branler à poil avec ton gros bide et ta bite de pédé…T’avais l’air de quoi ? T’es une couille molle, c’est tout !
Je l’entends rigoler sans aucune discrétion, puis elle reprend :– Je ne l’ai pas dit à tout le monde ; t’es un malade ! Tu crois que j’ai envie qu’on sache qu’un vieux pervers se branle devant moi ? Ça va pas ! Il y a que Rachid qui le sait ; c’est un pote du bahut. T’inquiète pas ; arrête de psychoter. C’est bon ? Tu es rassuré ?
Moi :– Oui, mais pourquoi vous lui avez dit ?
Natasha :– Lâche-moi avec ça ! Bon, on revient au tél. Comment on fait ça ? Vendredi soir, je t’appelle. Tu feras le taxi pour la boîte, comme ça tu ne viendras pas pour rien ; et emmène le tél et la carte sim ; t’as pas intérêt à oublier !
Moi :– Vers quelle heure ? Et tu avais… VOUS aviez parlé de cadeau ?
Natasha :– Je t’appelle, OK. Tu ne vas pas me faire chier avec l’heure ; et ton cadeau, tu l’auras vendredi. Je ne suis pas une garce : je l’ai dit, tu l’auras… Et arrête de me vouvoyer ; ça commence à me fatiguer. J’en ai marre !
Elle raccroche. La discussion n’a pas été simple… la tutoyer, maintenant ! C’est une vraie girouette, pas une garce ! C’est vite dit : elle me prend pour sa banque, elle en profite quand même… Tu es une petite garce, Natasha ; que c’est bon de le dire ! J’ai l’impression de me venger.Un téléphone à 250 € et un abonnement illimité comme cadeau, cette jolie petite branleuse a intérêt à me faire un cinéma d’enfer ; humm… j’ai hâte d’être à vendredi soir !

Arrivé au vendredi, dès midi je prends la précaution de prévenir ma femme que je vais devoir bosser très tard, ce qui m’évitera de trouver une nouvelle excuse pour ma sortie ce soir.
À 17h, je reçois un appel : un numéro de ligne fixe, le domicile de Natasha (je la trouve très en avance pour une sortie en discothèque) :– Tu bouges. Je t’attends chez moi ; ma mère n’arrive pas avant 18h, et prends le téléphone !
Et elle raccroche, ne me laissant même pas le temps de répondre. Et si j’avais été bloqué au boulot ? Elle semble s’en foutre.
Je prends donc le paquet du téléphone, monte en voiture et me dirige vers son domicile. Arrivé à destination, l’absence de la voiture de sa mère me rassure et confirme ses dires.Après m’être garé, je sonne à la porte d’entrée. Natasha m’ouvre, regarde mes mains, voit le paquet, le prend et part avec vers sa chambre. Moi, je reste devant la porte ouverte comme un con !
Je décide donc de rentrer et d’aller dans sa chambre, prenant soin de refermer la porte d’entrée derrière moi.Mon « cadeau » promis, dans la chambre ? Qu’a-t-elle prévu ? J’en bande déjà…La porte de la chambre est entrouverte ; je la pousse pour pouvoir contempler mon « cadeau ». Elle est allongée sur son lit, tapant sur son ordinateur, le téléphone relié à celui-ci ! Sa tenue, comme sa position n’avait rien du cadeau promis. Elle paramétrait son téléphone, c’est tout !!!!!!!!
Elle m’entend entrer, tourne la tête avec un regard surpris. Sur un ton méprisant, elle me dit :– Qu’es-tu fous là ? Dégage ! Et ferme la porte derrière toi !
La sensation de m’être fait avoir revient, comme mercredi dernier quand j’ai appris que ce type était au courant. L’énervement me prend, et d’un ton agressif je lui dis :
– Natasha, arrête de me prendre pour un con : tu n’es qu’une petite branleuse, tu me redonnes tout de suite ce téléphone et je ne veux plus entendre parler de toi, petite conne !
Le ton est donné ; c’est exactement ce que j’aurais dû faire la première fois. Là, elle va trop loin !
Je vois qu’elle est surprise par ma réaction ; une impression de crainte apparaît même sur son visage. Elle reprend une attitude que, logiquement, une gamine devrait avoir face à un adulte qui lui a fait des remontrances appuyées.
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, et poursuis :– Bon, tu remets tout ça dans la boîte et tu me le redonnes. Dépêche-toi !
Son regard semble apeuré, son visage est abattu ; elle me donne l’impression d’une petite fille à qui on retire son cadeau (ce n’est d’ailleurs que vengeance : je venais de ressentir la même chose). Mais elle semble reprendre de l’assurance, pas entièrement mais assez pour me dire :– Pourquoi tu changes d’avis ? Tu étais d’accord, non ?
Sa voix n’est pas assurée ; j’ai envie d’en profiter et de lui assener le coup de grâce, mais elle me fait pitié, ne semblant pas comprendre. Je décide alors de lui expliquer calmement la raison de mon attitude :– Natasha, la semaine dernière je t’ai donné des cigarettes et du fric ; là, tu me demandes un téléphone portable. Je t’ai dit que ça faisait beaucoup, sans parler de ton copain que tu avais mis au courant, mais je suis gentil : j’accepte parce que tu m’avais promis un cadeau ! Venant de toi, tu sais très bien quel style de cadeau j’attendais ; mais toi, tu prends le téléphone et me demande de partir. Clairement, tu me prends pour ta banque, donc non, c’est fini…
Je reprends mon souffle et continue :– C’est vrai que j’ai été trop loin avec toi ; c’est moi le responsable, et pas toi. Avec ce téléphone, le jeu aurait pu dégénérer ; donc, dans un sens, je suis content que tu l’aies pris comme ça. Maintenant, tu me le redonnes, je le rends et tout rentre dans l’ordre. C’est plus simple pour moi comme pour toi.
Elle m’a écouté jusqu’au bout, sans me couper la parole. Elle se décide à parler avec une voix douce :– Je comprends…
Elle se lève, descend du lit, marche vers moi, se positionne face à moi.Je commence à bien connaître ses réactions : elle veut essayer de reprendre la main en me giflant. Je m’apprête à anticiper son geste quand je reçois un violent coup dans le bas du ventre.Elle venait de me donner un coup de genoux dans les couilles. À peine avais-je compris ça qu’elle me balance cette fois-ci un coup de pied au même endroit. Je tombe à genoux et me tords de douleur. Et je l’entends :– C’est pour ça que tu me fais chier ? Pour ton CADEAU ?
Sa voix n’est pas violente ; juste un peu forte, mais douce.Elle me prend la tête par derrière, sans vraiment me tirer les cheveux, et la colle à son sexe !(elle portait un jean noir).
Je ne l’avais jamais approchée d’aussi près ; ma douleur était toujours présente, mais j’avais trop envie de la toucher. La position étant inconfortable, je passe mes mains sur ses fesses pour mieux me tenir. Elle s’adresse de nouveau à moi en me caressant les cheveux, un peu comme elle le ferait pour un chien :– Tu aimes ? Je te plais… C’est bon de me peloter le cul, hein ? Vas-y, profites-en !
Puis elle se met à rigoler, de ce rire moqueur qu’elle a l’habitude d’avoir avec moi, et rajoute :– Ça, c’est rien ; tu l’auras, ton cadeau, mais pas maintenant : ce soir, quand tu joueras le taxi, je te promets que tu t’en rappelleras. Je n’ai pas une parole de pute.
Elle me tire la tête en arrière ; je n’ai pas arrêté de lui peloter son joli petit cul. Elle m’écarte mes mains et me dit :– Tu t’es assez amusé comme ça : le reste, ce soir. Je t’envoie un SMS et tu rappliques, OK ?
Moi :– Tu ne me fais pas marcher, pour le cadeau ?
Natasha :– Tu as aimé te branler en matant ma petite culotte, dans la cabane, non ?
Moi :– Oui, tu es belle…
Natasha :– Oui, je suis belle, je sais : tu me l’as déjà dit. Mais, dans la cabane, tu as eu tout ça pour UN paquet de cigarettes ; pour un téléphone, ça va être du spectacle ! T’imagines même pas…Alors ce soir, tu te ramènes si tu veux l’avoir, ton cadeau. OK ?
Moi :– D’accord, j’attendrai ton SMS.
Natasha :– C’est bien ; j’aime mieux quand tu es comme ça. Par contre, pour ce soir, pas de caleçon ou de slip, et avec un jeans. Maintenant, dégage si tu ne veux pas avoir à expliquer à ma mère ce que tu fais là. Allez, bouge !
Elle se jette sur son lit et reprend le paramétrage de son téléphone. Je me relève, une douleur toujours présente au bas du ventre, ressors de la maison et remonte dans ma voiture.Obligé de repasser chez moi pour me changer comme elle me l’avait demandé. Je prétexte à ma femme un peu de fatigue et vouloir rentrer prendre une douche pour me revigorer avant de repartir au boulot. Ce que je fais, prenant soin de changer de vêtements : jeans et chemisette blanche à manches courtes, avec un caleçon, mais que j’ôterai plus tard.
De retour au bureau, je patiente en prenant soin de ne pas me branler, me réservant pour ce soir.
À 23h30, un SMS de son nouveau téléphone, dont j’avais déjà enregistré le numéro :
[Viens, et sonne à la porte]
Sonner à la porte… mais sa mère doit être là ? Mieux vaut ne pas chercher à comprendre avec elle. J’ôte mon caleçon et le laisse dans un tiroir du bureau ; merde, je bande déjà ! Il va falloir me calmer, si sa mère m’aperçoit. J’espère que non ; Natasha a dû tout prévoir.
J’arrive devant la porte d’entrée ; la voiture de sa mère était devant la maison. Je sonne.
J’entends « entrez » : c’est Natasha. Ouf ! J’ouvre et j’aperçois Natasha, mais surtout sa mère un peu plus loin dans la cuisine ! Je l’entends me dire :– C’est gentil de bien vouloir l’amener et la ramener de boîte ; sans ça, je ne l’aurais pas autorisée.
Je ne sais pas ce qu’elle avait raconté à sa mère, mais moi je me retrouvais dans un sale pétrin : si sa mère parle de ça à ma femme, comment expliquer ma présence avec Natasha ??Mon regard revient sur Natasha : elle est magnifique. Mon inquiétude est oublié ; elle porte des chaussures d’été beige à lanières et à talons de 8 cm attachées par une bande de la même couleur montant au-dessus du mollet, une petite jupe volante courte marron foncé (humm… quelle jambes !) et un blouson léger ne me permettant pas d’apercevoir ce qu’elle porte dessous.
À peine sa mère avait-elle fini sa phrase que je la vois sortir. Sur le pas de la porte, elle se retourne vers moi :– Bon, on y va.
J’étais perdu dans mes pensées en l’admirant marcher vers la porte ; j’espère que sa mère ne s’en est pas aperçu. Je la rejoins immédiatement en laissant sortir un :– Oui, j’arrive tout de suite.
Et je la suis, sans même avoir dit au-revoir à sa mère, tellement captivé par la sensualité que Natasha dégage.Je démarre la voiture. Natasha me regarde toute souriante :– Putain, tu me kiffes grave, ce soir ! Tu m’as matée direct sans faire gaffe à ma mère ! Fais attention, merde !
Moi :– Pardon ; c’est vrai, mais tu es tellement jolie habillée comme ça.
Natasha :– Bandante, tu veux dire ! Allez, arrête-toi sur le parking de la dune, au fond, OK ?
Moi :– Oh oui, tout de suite !
L’enthousiasme de ma réponse la fait rigoler ; je stationne au fond du petit parking, près des dunes. Elle descend et me fait signe de venir la rejoindre ; elle est debout, appuyée à la voiture, moi en face d’elle ne sachant pas vraiment quoi faire, mais je bande comme un dingue. Elle l’a vu, et sourit en me disant :– Bon ; ça, c’est pour le téléphone. Pour l’abonnement, tu verras ça quand tu viendras me rechercher.
Je sens déjà que je vais adorer cette nuit…Elle ajoute :– Déboutonne ta braguette, et approche-toi. Tu as le droit de me toucher, mais dès que tu as giclé, c’est fini. OK ?
Je ne réponds même pas ; je déboutonne vite fait ma braguette et m’avance tout de suite vers elle, ma main droite sur sa cuisse, la gauche essayant de passer sous son blouson. Je ne me branle pas, voulant faire durer le plaisir de la toucher le plus longtemps possible.Elle rigole une nouvelle fois, me repousse de la main, et enlève son blouson qu’elle pose sur le toit de la voiture. Humm, elle porte un top écru à bretelles, laissant découvrir un large décolleté mettant en valeur sa jolie poitrine ; elle ne porte pas de soutien-gorge, ses petits seins étant bien fermes, son utilité n’était qu’accessoire. Elle me regarde, toujours aussi souriante :– T’as le droit de les embrasser, mais t’as pas intérêt à dégueulasser mes fringues… Allez, régale-toi mon gros !
Sur cette invitation, je ne peux m’empêcher d’embrasser la naissance de ses seins ; elle sent bon. De la main gauche je touche sa poitrine ; humm, c’est bon… Ma main droite remonte en haut de sa cuisse. Et là, je sens sa main qui rentre dans mon jeans, me prend le sexe. Je l’entends dire :– Faut la trouver, ta petite bite !
C’était un peu exagéré quand même ; mais bon, elle ne peut pas s’empêcher d’en rajouter. Sa main tiède sur ma bite m’excite encore plus ; elle me branle, je l’embrasse dans le cou, ma main droite remonte sur son sexe : je suis aux anges, mais l’extase est de courte durée. Elle retire violemment ma main de son sexe, me repousse, et m’envoie une gifle !– Tu ne crois pas que tu va me baiser, quand même… Tu me pelotes, c’est tout. Tu ne touches pas à ma chatte !
Et avec la même main qui m’avait asséné cette claque, elle me prend par derrière le cou et me tire de nouveau à elle, ma tête à la hauteur de ses épaules. Elle reprend sa branlette sur mon sexe. Je pose mes deux mains sur ses cuisses ; elles sont douces, j’en peux plus… Je prends le risque de glisser ma bouche sur ses lèvres ; elle ne bouge pas, me laisse l’embrasser, mais sans ouvrir la bouche. Ses mouvements de va-et-vient s’accélèrent ; je ne peux pas m’empêcher de jouir, et je lâche tout…Elle arrête ses mouvements, mais ne relâche pas mon sexe, prenant soin de diriger mes giclées sur ma cuisse gauche à l’intérieur de mon jeans. Elle ressort sa main tout en me repoussant pour me dire clairement « c’est fini », s’essuie la main sur ma chemise, rajuste son top, prend sa veste et remonte en voiture sans me regarder.
La récréation est finie : même sans parler, elle sait se faire comprendre.Je reprends ma place et démarre, sentant mon sperme se coller à mon jeans. Elle, comme à son habitude, me demande une cigarette ; je ne cherche pas à réfléchir : j’en sors une, l’allume et la lui tends. Pas de merci, bien évidemment, mais elle tire sur la cigarette, m’envoie la fumée et me dit :– Le paquet, donne-le !
Je n’oublie pas qu’une seconde surprise m’attend dans quelques heures. Comme elle semble de bonne humeur, je ne voudrais pas la faire revenir sur ce « second cadeau » alors je sors le paquet et le lui donne. Elle :– J’croyais que ça allait durer un quart d’heure ; mais même pas 5 minutes, c’est encore mieux ! T’en as profité, quand même, hein ?
Moi :– Oui, mais pas longtemps…
Natasha rit aux éclats en ajoutant :– Fallait pas gicler si vite, mon gros !
Facile à dire : la toucher, l’embrasser, la sentir… dur de se retenir ! Surtout que la dextérité qu’elle avait mise à me branler laissait à penser qu’elle n’était pas à sa première expérience de branle : elle devait même en connaître tous les aspects ! Je n’avais aucune chance de tenir, et elle le savait.
En arrivant à la boîte, et elle me dit :– Tu connais la musique : quand je veux partir, je t’envoie un SMS et tu rappliques, OK ? Au fait, ne t’amuse plus jamais à m’embrasser sur la bouche. T’as bien compris ? Et tu restes dégueu pour t’à l’heure : t’as pas intérêt à te changer… Arrête-toi là, je descends.
Ces paroles n’attendaient aucune réponse, et d’ailleurs elle ne m’en a pas laissé le temps. J’admire une dernière fois ses jambes pendant qu’elle s’engouffre dans la foule.
Je fais demi-tour, essayant d’imaginer la surprise qui m’attend…
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