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Cette punition qui a changé ma vie

Chapitre 9

Une Belle-Mère perverse

SM / Fétichisme
Chapitre 9
Une belle-mère perverse


Le léger couinement de la poignée de la porte me ramène brutalement à la réalité.
Précipitamment, je balance la photo de l’autre côté du lit, je ferme les yeux, faisant semblant de dormir. J’espère, un peu naïf, que ma belle-mère mettra sur le compte de la fièvre l’érection que je n’ai pas le temps de dissimuler sous les draps.

Je m’appelle Martine, j’ai 57 ans, je suis veuve depuis deux ans. Depuis la mort de mon mari, je dirige seule, d’une main de fer, le petit empire qu’il m’a laissé. Je n’ai pas choisi cette attitude sans concession, mais les requins guettent le moindre faux pas pour dépecer cet héritage. Mon physique m’aide beaucoup à m’imposer et à écarter sans pitié les malheureux qui tentent de se mettre en travers de mon chemin.
Je suis plutôt grande, près d’un mètre quatre-vingt, un corps svelte aux muscles secs que j’entretiens sans faillir, les cheveux d’un noir de jais, et les yeux encore plus foncés si cela est possible. Toujours habillée stricte, tailleur gris anthracite, du haut de mes chaussures à talons qui ne me quittent jamais, j’aime toiser mes collaborateurs et les faire bafouiller quand je les prends en défaut.
Bien sûr, mon mari me manque, sa présence, sa tendresse et plus encore notre complicité amoureuse, ou plutôt devrais-je dire notre complicité érotique. Malgré nos plus de trente années de mariage, nous nous sommes toujours entendus dans ce domaine, restant avides d’inventer de nouveaux jeux.
Notre distraction préférée se tenait dans un château isolé des vignes bordelaises où nous allions choisir un soumis, homme, femme, que nous utilisions pour le week-end. Quel bonheur de voir la jouissance de mon homme quand il se vidait dans le conduit étroit de notre partenaire d’un soir ! Quelle excitation de voir sa verge grossir, durcir, pendant qu’une soumise la tête entre mes cuisses faisait monter mon plaisir.
Mon Dieu tous ces mâles et femelles obéissants qui nous ont offert et à qui nous avons procuré tant de félicité.
Très franchement, je n’ai plus de temps à consacrer à ces joutes sexuelles. Mon entreprise m’accapare toute la semaine. J’ai bien essayé des coups d’un soir, histoire d’oublier les frustrations nées de ma libido insatisfaite. Quelle platitude, quel manque d’imagination en comparaison de ce que j’ai vécu pendant mon mariage.Le seul dont la présence me donne la chair de poule est mon gendre, Raphael. Ce ne sont pas son charme ni son physique qui font pousser en moi des bouffées de désir, c’est de le voir mal à l’aise, impressionné face à moi, n’osant soutenir mon regard quand je simule irritation ou colère lorsque nous discutons en l’absence de ma fille.Je retrouve avec lui le plaisir pris à humilier ces esclaves qui me regardaient les yeux humides de dévotion. Malheureusement, ce jeu a été jusqu’à présent purement cérébral, je n’ai pas encore trouvé l’occasion de transformer mon gendre en un objet sexuel obéissant.
J’ai profité d’un colloque sur New Delhi pour venir passer quelques jours en famille à Mumbai. Les premières journées sont occupées à la joie des retrouvailles, à visiter la ville, mais aussi à faire connaissance avec leur charmante maid, Isha.Néanmoins, très rapidement, j’ai la sensation que règne une atmosphère étrange dans ce grand appartement de standing. C’est un sentiment diffus sur lequel je n’arrive pas à mettre des éléments tangibles. L’air est traversé de pulsions érotiques, j’y respire une moiteur quasiment sexuée.Rien de concret, c’est un feeling, mais je dois comprendre s’il s’agit juste de l’humidité et de la chaleur, omniprésentes à Mumbai, ou s’il se trame quelque chose d’autre dans ce huis clos.
Je décide donc d’accompagner ma fille et Isha dans leur virée du samedi qui semble être une institution. C’est étrange que ma fille si réservée d’habitude se lie d’amitié avec sa bonne, et cette bonne me paraît trop bien éduquée avec des tenues beaucoup trop chères vu le salaire versé pour son travail.Las, mon godiche de gendre nous sort une crise de palu terrible. Je décide donc de rester avec lui, je vais en profiter pour le faire parler, je sais qu’il ne résistera pas à un entretien poussé avec moi. Je laisse partir les deux amies et prépare mon attaque.
Je tourne en rond dans l’appartement à la recherche d’une stratégie pour prendre le lead dès mon entrée dans la chambre.La tenue d’abord, exit la culotte il ne pourra éviter de loucher sur mon abricot totalement épilé quand je m’assiérai face à lui. Idem pour le soutien-gorge, quand je me pencherai vers lui pour tâter son front, mes seins se balanceront librement à cinq centimètres de ses yeux. Pour faire bonne mesure, je détache les trois premiers boutons de ma robe. Et bien sûr, mes pieds ne resteront pas nus et seront enfilés dans des escarpins aux talons vertigineux.
Ainsi apprêtée, je trouve enfin l’idée qui le mettra définitivement en infériorité, une prise de température. Je n’ai trouvé qu’un thermomètre buccal, mais il n’y verra que du feu, le thermomètre se transformera en anal pour mon doux gendre. Cela me permettra de dévoiler à la fois son bas-ventre et son joli petit cul. Une fois que j’aurai commencé à jouer avec sa petite fleur, mes doigts prendront vite la place de l’instrument médical et je sais y faire avec une sodomie bien doigtée pour donner du volume à une bite, même celle d’un gendre timide.
A partir de là, il avouera sans résistance à quel jeu on s’occupe dans cet appartement.
Arrivée devant sa chambre, j’ouvre doucement sa porte pour le surprendre dans son sommeil.
Il a certainement une poussée de température, ses draps sont roulés sur le côté, il dort totalement nu et sa respiration est rapide. Cependant un point m’intrigue, comment peut-il avoir une érection aussi dure en dormant ? Un effet secondaire de la fièvre ?Je m’approche sans bruit et m’assieds au bord du lit, sa tige ainsi dressée est vraiment magnifique et donne envie. J’hésite un instant à la prendre en bouche. Mais je reviens à mon plan initial, il doit être persuadé que seule ma sodomie lui donne une érection, ce sera d’autant plus facile que tout le travail est déjà fait. J’avance ma main entre ses cuisses en direction du petit trou serré cible de mes attentions.Arrivée à destination, je suis bloquée. Un élément extérieur m’empêche d’avancer davantage !
J’exerce une imperceptible pression à l’intérieur des cuisses pour l’amener à les écarter dans son sommeil. Docilement, les jambes s’éloignent l’une de l’autre et je découvre un magnifique plug enfoncé dans son petit trou, là où je voulais juste mettre un doigt !Je comprends mieux l’érection que j’ai sous les yeux.Excitée, j’exerce de légères pressions par saccades sur l’engin, le faisant encore plus disparaître entre ses petites fesses, son sexe répond par autant de tressaillements. Sa respiration s’accélère, ses soupirs deviennent parfaitement audibles : cette poupette fait clairement semblant de dormir.
Je n’en reviens pas, mon gendre est la poupée d’une des deux femelles de l’appartement et il lui est tellement soumis qu’il n’ose même pas montrer le plaisir pris sans autorisation avec une autre femme.Eh bien en ce qui me concerne, j’ai l’intention d’exprimer ma jouissance !
Sans attendre davantage, je saute sur le lit, je grimpe à cheval sur mon gendre. Utilisant mes talons comme des éperons sur une pouliche, je luis fais resserrer les cuisses. Je remonte ma robe à la taille et m’empale d’un coup sur son pieu dressé.
De surprise, ce benêt a failli ouvrir les yeux, oubliant sa posture de dormeur angélique.J’avais oublié comme la bite d’un homme jeune peut être dure, vivante, réactive à la moindre pression. Je savoure mon bonheur, alternant tous les mouvements imaginables qu’un vagin peut faire sur la verge d’un homme, reprenant régulièrement ma respiration en posant sans bouger son gland au bord de mes lèvres, puis relançant la ronde de mon bassin sur ce merveilleux instrument.
Peu à peu, l’odeur de ma mouille envahit la pièce, je sens mon jus couler sur son ventre et ses couilles, transformant le lit en marécage. Enfin, n’y tenant plus, j’enfonce au maximum son gourdin dans ma grotte, là je bloque mes mouvements et laisse le plaisir monter en moi.
Je ne me souviens plus depuis combien de temps je n’avais poussé de tels cris au moment de jouir.
Quel pied j’ai pris avec cette poupée qui continue à feindre le sommeil. Haletante, je suis couchée sur mon gendre, son pieu toujours dur fiché en moi.Le visage au-dessus du sien, je lui murmure :
— Je crois que tu as trouvé une autre Maîtresse. Désormais lorsque je voudrai jouer avec toi, tu m’appelleras Maman, car tu vas devenir mon petit garçon obéissant.
Bien entendu, il ne répond pas. Je dois cependant remercier mon nouveau jouet pour le pied que j’ai pris en le chevauchant. C’est la base avec les petits soumis, il ne faut pas les désespérer. Je me redresse et recommence à onduler du bassin en prenant bien soin cette fois de faire monter progressivement son plaisir. Je ne suis pas en reste, moi aussi je sens revenir une chaleur moite entre les jambes.Je dégage les épaules de ma robe qui tombe en chiffon autour de mes hanches, dégageant ainsi mes petits seins, je me penche pour les amener dans le champ de vision de ses yeux qui commencent à papillonner. Je lui en mets plein la vue, je secoue ma poitrine au rythme du galop de mes reins, ses paupières entrouvertes n’en perdent pas une miette.
Quand je sens à nouveau ma jouissance arriver, mes ongles crochètent violemment ses tétons, s’y accrochant avec un emballement sadique. C’en est trop pour lui, il se cambre d’un coup, me soulevant sauvagement, lâche sans retenue des râles sauvages, m’accompagnant dans mon plaisir.J’ai l’impression que des litres de sperme se déversent dans mon vagin, je sens des spasmes sans fin qui parcourent le corps de mon nouveau jouet.Enfin, il se détend, retombant comme une loque, la poitrine secouée par sa respiration haletante, mais les yeux refermés.Je souris, pense-t-il vraiment m’apprendre les règles des jeux érotiques ?
J’abandonne avec regret l’engin enfoui en moi et avance en rampant vers son visage que mon corps dépasse petit à petit, ma bouche, mes seins, mon ventre. Enfin arrive mon sexe et d’un coup de reins, je m’assieds sur ce visage aux yeux clos.Lentement, mes petites lèvres se promènent sur son front, ses yeux, sa bouche, laissant s’écouler le mélange de nos deux plaisirs sur sa figure redevenue impavide.
Satisfaite d’avoir ainsi marqué ma propriété, je m’arrache à la langueur qui suit l’amour, me lève et marche doucement vers la porte de la chambre, ma robe me faisant une ceinture autour des reins. Avant de sortir, je me retourne une dernière fois, n’oubliant pas que je me suis fixé une mission.
— Ne guéris pas trop vite, je reviens demain.
Sa réponse me parvient dans un souffle à travers ses lèvres maculées de sperme :— Oui Maman.
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