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Cette punition qui a changé ma vie

Chapitre 14

Un mari obéissant et un chien fougueux

SM / Fétichisme
Un mari obéissant et un chien fougueux


Abasourdi je regarde ma femme, terrassée par le plaisir offert par ses deux amants, revenir lentement à elle.Ils restent collés les uns aux autres, savourant devant moi, le mari cocu, les derniers soubresauts de leur jouissance commune.Une douleur au bas ventre me ramène à la servile réalité. Je les quitte des yeux et descend mon regard vers la source du mal. A ma grande honte l’origine de la souffrance n’est que trop évidente. Devant le spectacle d’Alice se donnant avec application à ce couple dominant, mon sexe a pris une dimension que je ne lui connaissais pas. Malgré la cage qui le compresse, l’érection ne s’arrête pas, augmentant en permanence la douleur qui me cisaille.Quelle horreur tout le monde dans la salle, à commencer par Alice, peut constater l’état de ma bite. Alors qu’on a pris soin de me laisser libre de mes mouvements, tous comprennent pourquoi je n’interviendrai pas et combien cela m’excite en réalité de voir ma femme prendre son pied en s’offrant avec servilité aux caprices d’un couple inconnu.  La petite bonne revient vers moi. Toujours entravée par la barre entre ses chevilles, sa démarche semble encore plus chaloupée qu’en début de soirée, je réalise alors que Mademoiselle Isha lui a tendu plusieurs fois de grands verres d’eau pendant que je regardais obnubilé les trois amants. La pauvre petite doit avoir la vessie pleine.Probablement une punition de Mademoiselle.D’ailleurs Mademoiselle lui donne un autre verre
-         Pitié Mademoiselle, je n’en peux plus
Le visage de Mademoiselle se ferme immédiatement, elle n’a pas besoin de prononcer un mot, la bonne baisse la tête. En tremblant, elle tend la main vers le verre qu’elle avale d’une seule traite.Enfin, elle saisit la laisse et m’entraine vers ma femme qui se sépare lentement de ses amants. En marchant elle ne peut bloquer quelques gouttes d’urine qui s’échappent de sa vessie trop pleine, parsemant le carrelage immaculé du manoir. Elle me bloque alors sur les gouttes et appui sur ma tête, je saisis ce qu’elle veut quand elle détache le bâillon. J’essaie de me dérober mais un coup violent de cravache me cingle les fesses.Je la supplie des yeux, mais je ne suis pas en position de choisir, lorsqu’elle relève la cravache je sors avec appréhension la langue et ramasse devant le regard fixe de ma femme les petites flaques de pisse laissées sur le sol par la bonne. Les prunelles de ma femme prennent une couleur de plus en plus sombre au fur et à mesure que j’accepte devant elle ce traitement humiliant. J’y lis comme un mélange de compassion et d’envie. Un coup sec sur la laisse me sort de ma rêverie, nous nous approchons de ma femme toujours allongée sur l’épais tapis du salon.Me voyant arriver elle se positionne à quatre pattes, la tête dans les coussins, le cul dressé qu’elle prend soin d’orienter dans ma direction. Un murmure me parvient des coussins
-         Mon amour, nettoie le plaisir que notre Maître a bien voulu déverser dans mon cul
Plus que la situation et sa position totalement obscène, bizarrement,  je n’en reviens pas qu’elle utilise un vocabulaire aussi cru, elle qui a bénéficié d’une des meilleures éducations que l’on puisse recevoir.Mon regard se fixe sur sa rondelle dilatée d’où s’écoule doucement le jus de son amant. Elle a raison, je n’ai plus ici à revendiquer un quelconque rôle de mari, je ne suis que le petit chien Lopette. Je colle ma bouche sur son trou sors ma langue que je glisse doucement le long de sa raie culière dégoulinante. Puis je m’enhardis et approche ma langue dardée que je rentre avec douceur dans son cul défoncé.Les soupirs que j’entends me font comprendre que cette caresse lui fait du bien après la violence des assauts qu’elle vient de subir. Je m’applique encore et m’enfonce entièrement sans difficulté tant son conduit a été élargi par le gourdin de son Maître.Quand je ressors ma langue, plus une trace de sperme n’apparaît sur les fesses orgueilleusement dressées de mon amour.Avec fierté je regarde la petite assemblée présente dans la salle, toute honte bue je suis devenu un simple accessoire du plaisir qu’ils prennent avec ma femme, avec prétention je compte m’acharner pour être le meilleur dans cette nouvelle mission. Un claquement de langue d’Isha me ramène vers elle. Elle attrape la laisse et la tire pour amener ma tête entre ses cuisses. J’avance langue tendue pour lui donner du plaisir à travers la dentelle de son string, l’humidité de sa chatte transpire déjà entre les mailles du sous-vêtement si léger.Sa paume bloque mon front
-         Demande à tous si tu peux avoir l’honneur de goûter à mon nectar
Rouge de honte d’avoir à demander une telle chose devant ma femme, je m’exécute néanmoins docilement
-         La pute soumise que je suis peut-elle avoir l’insigne honneur de donner du plaisir à Mademoiselle ?-         Si telle est la volonté de Mademoiselle-         Applique-toi Lopette-         Profite de cet honneur petite salope
Après un court silence un petit
-         Oui
provient du tapis où est assise Alice.Cela ne convient pas à Mademoiselle.
-         Alice c’est comme cela que tu encourages mon soumis à me donner du plaisir
Sur son teint de blonde, même bronzée, le rouge de la honte marque particulièrement fort le visage d’Alice
-         Oui mon amour, je t’autorise à donner du plaisir à Mademoiselle, je veux que tu mettes tout ton savoir-faire pour l’amener au firmament.
Cela convient mieux à Mademoiselle qui pousse un soupir d’aise après cette nette victoire et me colle le visage sur son string suintant.La dentelle est si humide que j’ai l’impression de poser directement mes lèvres sur le sexe de Mademoiselle qui se détend complètement, la tête basculée en arrière, les paupières clauses, grâce aux efforts que je déploie entre ses cuisses. Je m’enhardi alors à frotter ma queue encagée sur ses cuissardes, elle me laisse faire sans doute en souvenir de mes débuts de soumis quand elle m’autorisait à me branler et jouir à l’intérieur de ses escarpins.Je crois un moment que ce frottement va me soulager mais la frustration ne fait que s’aggraver, je me sens prêt à toutes les humiliations en échange d’une autorisation de jouir ! Le bruit d’une porte qui claque me distrait et je vois du coin de l’œil la bonne qui revient dans la pièce portant dans ses bras une petite chienne toute mignonne.A son entrée les trois autres manifestent bruyamment leur joie et applaudissent à tout rompre. Tenant la jolie chienne à bout de bras comme une star, la bonne se rapproche de ma chérie qu’elle installe à quatre-pattes, puis avançant la chienne, elle frotte l’arrière train du petit animal contre les fesses de ma femme. Complètement ahuri je regarde sans comprendre ce qui se passe. Alice semble avoir saisi le sens de tout cela car elle jette un regard apeuré à Mademoiselle tout en faisant non de la tête dans une supplique désespérée.Comme à son habitude quand on la contrarie, Mademoiselle la fixe sans répondre.Hypnotisée, Alice baisse la tête. Je vois sa chatte tournée vers nous qui se gonfle, son corps est pris de frémissements dans l’attente d’une épreuve qui semble en même temps être le summum de l’excitation. Tout à coup un gémissement et sa chatte devient une fontaine dont le liquide coule en continue sur ses cuisses avant de s’étaler en une grosse flaque sur le sol.Elle a réalisé ce qui l’attend, cela paraît lui faire peur tout en l’excitant au plus haut point. Avec un éclair vicieux dans le regard, Mademoiselle se penche vers moi et murmure à mon oreille
-         La petite chienne est en chaleur
Je ne comprends pas en quoi ma femme peut être autant excitée par le frottement d’une chienne en chaleur sur ses fesses.
La bonne, de sa démarche ondulante, ramène la jolie petite chienne, ferme soigneusement la porte et se dirige vers une deuxième porte qui s’ouvre violemment à peine touche-t-elle la poignée.Celui qui vient de forcer le passage est un berger allemand mâle dans toute la fougue de sa jeunesse. Il rentre la tête droite, la queue en panache, sûr de la force que lui confèrent ses 40 kilos de muscles.Il trottine, excité d’être enfin libéré de la salle où on le retenait, donne un coup de langue à sa maîtresse, renifle un peu tout le monde, il s’arrête assez vite cependant, la truffe dressée, l’air intrigué.Il a repéré l’odeur de la chienne en chaleur.Les sens en alerte il tourne dans la pièce à la recherche de cette chienne à l’odeur si forte. Après un instant il doit se rendre à l’évidence, les effluves proviennent de cette femelle humaine à quatre-patte, en position de saillie, qui semble l’attendre.Visiblement la situation est nouvelle pour lui. Il s’approche doucement et colle sa truffe entre les fesses de ma femme.
-         Oooh oui, sens moi, je suis en chaleur pour mon mâle
Le chien comprend le ton utilisé par la femelle, c’est un encouragement. Enhardi il glisse sa langue sur la source où se mélange ces parfums de chienne et de femme en attente du mâle. Les gémissements d’Alice trahissent son appétit d’encore plus. Le chien insiste avec sa langue sur les lèvres gonflées à faire mal.Le temps de ces caresses, un dard rouge est sorti de son fourreau, déjà luisant de l’envie du chien. Il gémit d’impatience, grimpe sur le dos d’Alice. Elle fléchi sous le poids de la bête ce qui a pour effet de soulever son cul glorieux qu’elle offre ainsi aux assauts du mâle.Il essaie maladroitement de la pénétrer mais son vit écarlate tape ses cuisses, ses fesses sans trouver la caverne humide. De frustration il pousse des gémissements qui se joignent à ceux d’Alice tout aussi impatiente désormais de goûter à cette saillie bestiale.La solution vient de la cuisinière, les yeux exorbités devant le spectacle, elle attrape l’instrument du chien et le positionne devant le sexe offert de ma chérie.D’un coup de rein violent, en un seul mouvement il enfonce la totalité de l’engin dans la femelle en rut, lui arrachant un cri de contentement, suivi par des grognements plus violents encore lorsqu’il commence à la limer à une rapidité folle. Je n’avais jamais jusqu’à présent assisté à l’accouplement d’un chien avec une chienne. C’est d’une extrême violence, le chien baise sa femelle à grands coups de reins qui se succèdent à une allure effrénée. Les deux sont dans leur univers à la recherche d’un plaisir animal puissant et quasi immédiat.Je l’avais oublié un instant mais je réalise que la chienne qui participe à cette saillie en poussant des cris de goret est tout simplement ma femme. Coincé entre les cuisses de Mademoiselle, je me tords la tête pour essayer de mieux voir ce que subit mon amour. Personne dans le salon ne prononce un mot, subjugué par l’accouplement contre nature.Le jardinier le sexe tendu tente un rapprochement vers la bouche ouverte d’Alice qui halète à l’unisson du mâle qui la pilonne. Un grognement sourd du jeune berger allemand l’arrête net. Le message délivré est clair
-         Tu passeras sur la femelle quand moi, mâle dominant, aurai fini de l’ensemencer.
Le chien continue son assaut.Un grand cri de plaisir s’élève enfin dans la salle, poussé par une Alice hystérique, un hurlement continu, comme si la bestialité du mâle pénétrait Alice en même temps qu’il fait sienne cette femelle offerte.Epuisé, le chien descend de la croupe de la chienne saillie. Je contemple horrifié Alice qui reste collée au chien, cadenassée de l’intérieur par son nœud gonflé. Un liquide abondant s’écoule de sa chatte prisonnière, mélange de sa jouissance et du sperme déversé en continu par son amant canin. Enfin d’un dernier coup de rein puissant le chien s’arrache de sa femelle et se dirige vers un fauteuil où il entreprend de se nettoyer sans plus porter le moindre intérêt à la chienne humaine qu’il vient de couvrir comme son rôle de reproducteur l’exige.Le désarroi se lit dans les yeux d’Alice, le sentiment de vide laissé dans sa chatte dilatée par le départ de ce nouveau chéri la laisse complètement hébétée. Elle redescend lentement sur terre, me regarde tendrement, écarte un peu plus les cuisses
-         Mon amour revient me nettoyer, tu le fais si bien
Mademoiselle détache la laisse et cette fois, sans hésiter, je me dirige vers la chatte offerte de ma bien-aimée. 
-         Frotte-toi le visage sur le plaisir de son amant
L’ordre sec vient de Mademoiselle. Je m’exécute, insensible aux ricanements du couple de domestiques. Enfin, le visage souillé par le sperme du chien qui continue à s’écouler de la chatte remplie, je tire une langue goulue que j’enfonce avec avidité dans la caverne de ma femme.Le goût fortement salé du sperme animal me surprend un peu mais je m’applique encore une fois à ne laisser aucune trace des pratiques de ma femme, allant jusqu’à lécher son dos où le chien a largement bavé.Mademoiselle quitte son fauteuil pour inspecter mon travail
-         Bon travail Lopette, tu as droit à une récompense
Alice me regarde avec fierté, je suis un véritable soumis, considéré et félicité comme tel par notre Maîtresse commune. Je sens que son amour n’a jamais été aussi fort pour moi.Mademoiselle m’appelle en claquant des doigts, je m’avance légèrement inquiet, si elle me promet une récompense je sais qu’elle aura lieu dans l’humiliation, obligatoirement liée à ma condition.Elle me tord violemment les poignets dans le dos, les attachent avec des menottes et me bascule sans ménagement sur le dos. La position est inconfortable mais j’oublie tout quand enfin elle détache la cage qui bloque mon sexe.Ma bite se gonfle d’un coup, mélange de douleur provoquée par l’afflux violent de sang et du délice de la sentir tendue prête à un plaisir trop longtemps bridé.La bonne se rapproche de sa démarche si sensuelle, et si c’était elle ma récompense ? Baiser une autre femme devant la mienne ? Je ne me sens pas encore prêt. Alice non plus d’ailleurs au regard triste qu’elle me lance.
Non, la bonne ne se baisse pas sur moi. Au contraire elle reste debout et positionne ses pieds de chaque côté de ma tête, ce qui a pour effet de placer sur mon cou la barre qui entrave ses chevilles, m’étranglant légèrement et m’interdisant ainsi tout mouvement.Mes yeux sont situés juste en dessous de sa chatte. Comme hypnotisé je la vois qui se gonfle, je ne comprends pas immédiatement. Les premières gouttes arrivent directement sur mes lèvres, suivies quasi immédiatement par un jet violent sorti tout droit de sa vessie gonflée telle une outre.Bouche ouverte j’essaie d’en capter le maximum, enfin j’arrive à fixer le déferlement au fond de ma gorge.Le flot semble encore s’accélérer, m’inondant la figure.C’en est trop pour moi. Je me cambre en un râle de plaisir, bouche ouverte sous la cascade, tremblant de tout mon corps, ma jouissance enfin libérée en spasmes qui m’inondent le ventre. J’ai l’impression que mon orgasme dure aussi longtemps que le ruissèlement sur mon visage.Enfin elle s’accroupit, me caresse doucement les cheveux pleins de son urine pendant que je lèche les dernières gouttes accrochées aux lèvres de sa chatte. Je suis au paradis.   *************************************************************************************************************************************** Depuis la terrasse je regarde avec un peu de nostalgie ce petit couple de jeunes soumis quitter le manoir. Je leur ai dit adieu, mon travail est terminé en ce qui les concerne. Visiblement tristes et un peu perdus d’arrêter toute relation avec celle qui leur a fait découvrir et aimer leurs propres perversions, ils se retournent, espérant me voir changer d’avis. A voir comme ils se tiennent tendrement la main, je sais que jamais leur amour et leur complicité sexuelle n’ont été aussi épanouis.Nul doute qu’ils mettront peu de temps avant de s’offrir à un nouveau Maître. Mumbai, Kamathipura, Juillet 2022
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