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Ma sœur, cette superbe femme

Chapitre 1

Inceste
Ma sœur a toujours été une femme superbe ; déjà plus jeune, je commençais à fantasmer sur elle. C’est une grande et belle brune aux cheveux longs, avec des jambes interminables, de belles fesses rebondies, et surtout des seins à la beauté ravageuse, d’un volume conséquent, en forme de poire, qui se terminent par des mamelons érigés remontant légèrement : un délice visuel qui ferait bander un eunuque. N’étant pas pudique, elle se baladait à la maison souvent à moitié nue ou en débardeur échancré qui laissait apparaître ses magnifiques nichons qui ballotait admirablement sous le tissu léger.Évidemment, à la plage, elle était toujours seins nus et en string, ce qui ne manquait pas de provoquer une quasi émeute quand elle passait devant un groupe de garçons ; elle le savait, et ne faisait rien pour l’éviter, bien au contraire ! Moi j’arrêtai d’aller à la plage avec elle car j’avais de plus en plus de mal à camoufler mon érection quand elle me demandait de lui passer de la crème sur le dos. Elle me faisait beaucoup d’effet, et je me masturbais souvent en pensant à elle.L’histoire qui suit est arrivée alors que j’avais 17 ans ; elle en avait 22 et je fantasmais plus que jamais sur ses rondeurs.
Nous nous sommes retrouvés seuls dans la maison familiale un samedi soir. Comme nous ne voulions pas sortir, nous avons mangé vite fait un plateau repas devant la télé qui diffusait un reportage sur le Crazy Horse. À un moment elle me demanda :– Tu sais comment elles font pour avoir de beaux seins ?Ces quelques mots eurent l’effet d’une bombe dans mon caleçon : je fus pris d’une érection fulgurante.– Je sais pas ; elles utilisent de la glace, peut être ?– Non : elles se les font peloter avant de monter sur scène ; c’est pour ça qu’elle ont les tétons qui pointent !– Ah bon ? En voilà, un chouette métier...– Tu aimes masser les seins des filles, petit frère ?
Là, mon démonte-pneu ne demandait qu’à exploser mon caleçon. – Bien sûr que j’aime ça ! Tous les mecs aiment ça !– Tu les aimes comment ?– Comme les tiens.– Alors comme ça, tu me mates les seins, petit vicieux !– Ben... C’est difficile de les éviter.
Un blanc s’ensuivit. Je ne contrôlais plus grand-chose tant j’étais excité ; la pyramide qui se formait sur mon pantalon de survêt attira l’attention de ma sœur.– C’est moi qui te fais cet effet-là ?Là, n’en pouvant plus, je lui ai lâché :– Bien sûr que c’est toi ; qu’est-ce que tu crois ? T’es gaulée comme Cindy Crawford – en mieux – et tu t’habilles comme une ingénue qui fait mine de ne pas savoir ce qu’elle provoque dans le caleçon des mecs !Elle ne dit rien et vint s’asseoir sur mes genoux.– Je peux peut-être te soulager, tu sais : toi aussi, tu m’excites depuis que tu es devenu un homme. Je te regarde souvent prendre ta douche...Je perdis les pédales. L’inceste ? Je m’en foutais ; je ne voyais plus en elle qu’un objet de désir sexuel. Ma main, guidée par la sienne, descendit sur son entrejambe. Elle était en jupe ; je la retroussai : elle n’avait pas de culotte ! Je caressai doucement sa vulve trempée ; elle cala ses fesses sur mon sexe et fit rouler son bassin sur ma queue prête à exploser.Je continuai à lui titiller le clitoris de la main droite et passai ma main gauche sous son tee-shirt pour m’occuper de ses seins. Elle pencha sa tête en arrière et gémit légèrement. Avec les superbes seins de ma sœur dans mes mains, mon rêve devenait réalité… Je la caressais frénétiquement avec une excitation sans bornes quand, soudain, elle me dit de me lever, prit ma place dans le fauteuil et tira violemment sur mon froc et mon caleçon : ma bite jaillit comme un diable de sa boîte et rebondit sur son menton. Elle eut un petit rire et empoigna ma queue pour la branler rudement en me regardant droit dans les yeux avec un sourire de salope qui m’électrisait.– Tu aimes te faire branler par ta sœur, mon frérot ?– AAAAH OUI ! Mais si tu continues comme ça, je vais te gicler dessus tout de suite.– Mais c’est exactement ce que je veux, mon frérot.
Quelle salope ! Dès qu’elle eut fini sa phrase, je fus secoué par un violent spasme. Elle arrêta son branle ; je jouissais avec une puissance insoupçonnée ! Dans un râle puissant et rauque, je balançai mon foutre dans ses cheveux, sur son visage et ses seins ; la quantité de jus était impressionnante : elle en avait partout.– T’en avais bien besoin, hein ? Tes grosses couilles étaient bien pleines, mon frérot !Je ne débandais plus. Elle s’essuya avec son tee-shirt et me prit par la queue.– Viens, on va dans ma chambre ; tu vas me sauter. J’en ai trop envie…
À peine arrivés, nous étions déjà nus ; debout l’un contre l’autre, on s’embrassait fougueusement. Ma queue frottait sur son ventre ; elle était aussi excitée que moi. Je la pris par les fesses pour l’amener sur le lit. Elle se retrouva à quatre pattes, le cul en l’air, les reins cambrés : une vision de rêve… J’étais comme un fou ! Je me postai derrière elle ; de ma queue, je fouillais son entrejambe fébrilement. Elle m’aida de sa main et je m’introduisis d’un coup de reins puissant tout au fond de son étroit conduit. Elle hurla de plaisir ; mes mains sur ses hanches, je la secouais sauvagement, comme un Neandertal en manque de cul tout en la couvrant d’insultes :– Salope… Traînée… Tu m’as bien excité pendant toutes ces années ; que c’est bon de te baiser… HAN !– Vas-y, défonce-moi, frérot ; fais-toi plaisir ! BAISE-MOI FORT !!Sa chatte se resserra sur ma queue ; elle se mit à jouir en criant. Moi, n’en pouvant plus, je lui crémai le vagin dans un orgasme foudroyant, me bloquant bien au fond de son ventre pour lui envoyer mon jus avec la même violence que la première fois.
Finalement, nous nous sommes écroulés, blottis l’un contre l’autre, en sueur et heureux. Dix minutes plus tard, je bandais à nouveau ; ma sœur se mit à califourchon sur ma bite, les mains sur mon torse et, lentement, s’enfonça sur mon membre qui commençait à être douloureux. Le plaisir du contact doux, chaud et visqueux de sa chatte sur mon gland me fit immédiatement oublier la douleur. Je lui malaxais les seins pendant qu’elle s’empalait sur ma queue dans un mouvement de plus en plus rapide ; elle haletait, criait, me traitant de salopard, de vicieux. Je la pris par les hanches et commençai un ramonage rapide et puissant. Ses seins ballotaient dans tous les sens et m’excitaient terriblement ; je n’en perdais pas une miette ! Dix minutes de ce délicieux traitement ont suffi pour me vider les couilles une nouvelle fois, cette fois-ci sur son ventre et ses splendides nichons.
Cette nuit-là fut la plus mémorable de mon existence et, par la suite, chaque fois qu’on le pouvait, on se faisait du bien. Elle n’a jamais cessé de m’exciter ; et bien qu’elle ait aujourd’hui 45 ans et que nous soyons mariés chacun de notre côté, je trouve ses seins toujours aussi parfaits...
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