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Ma sœur, cette superbe femme

Chapitre 2

Inceste
À la suite de cette nuit mémorable, bien que légèrement gêné par la situation et l’attirance que nous éprouvions l’un  pour l’autre, nous ne laissions rien paraître à notre mère qui ne se doutait de rien. Ma sœur faisait naitre en moi des envies de sexe bestial, elle le savait, et ne perdais pas une occasion pour m’allumer même en présence de notre mère, en se baissant pour ramasser quelque chose, le cul bien tendu vers moi, ou me frôler avec le bout de ses seins en me disant "ne bouge pas je prend juste mon sac".Je n’arrivais plus à penser, mon désir devenait si présent qu’il réussi à occulter le reste de ma vie pendant les trois jours durant lesquels nous n’avions pas pu nous toucher.Au matin du quatrième jour, elle fut la dernière à descendre pour le petit déjeuner, je la vois encore en haut de l’escalier qui donne directement dans la cuisine, elle porte un pyjama tellement moulant et fin que j’arrive à distinguer la fente ourlée de ses deux lèvres légèrement charnues, un afflux de sang incontrôlable dresse mon gourdin en quelques secondes. Je cache tant bien que mal mon barreau à ma mère et continue à mater discrètement ma soeur, toujours dans l’escalier, je vois à présent ses seins, à chaque pas, il se balancent  librement sous la fine étoffe tendue qui, loin de cacher son anatomie, en révèle les moindres détails, de gros seins, une paire de mamelon conique terminé par des tétons saillant. J’en peux plus! Je la veux! Ma queue et tendue comme un ballon trop gonflé, j’ai eu beau me masturber beaucoup ces derniers jour, mon envie de faire l’amour à ma sœur et toujours aussi sauvage...Ma mère finit par partir au travail, dès que la voiture ne fut plus visible, je me levais en même temps que ma sœur pour nous retrouver enfin. Nos bouches se mêlèrent, elle mit ses deux mains dans mon bas de pyjama et en sorti ma bitte déjà dure comme un barreau de chaise je me mis à lui caresser frénétiquement les seins les cuisses et les hanches, mon excitation étant incontrôlable.— doucement petit frère! Tu est en rut là!ta grosse queue m’a manquée tu sait. dit moi que tu vas me la mettre comme la dernière fois.Elle joue le chaud et le froid, mon désir et décuplé.— OH OUI ! TU VAS LA SENTIR CROIS MOI!Je la retourna violemment et lui plaqua le buste sur la table, d’un geste je lui retira son bas de pyjama,  et trouva de suite l’entrée de sa chatte déjà bien luisante de son jus, j’aimerai déguster son abricot mais d’abord il faut que je me vide une première fois, fou de désir, je lui plante mon pieu bien profond.—  AAAAAH !!! OUIIIIII!!!!!— tu l’aime la queue de ton frère?— OUIII! VAS Y DÉFONCE MOI!Je perd la tête, les mains sur ses épaules je la bourre sauvagement, la bête surgis en moi, elle n’est plus qu’une poupée de chiffons, je la lime avec une telle violence qu’elle ne dit plus rien, la table ne va pas tarder à se désarticuler, les couverts et les bols sont parterre, soudain, la jouissance arrive, m’électrise le bas ventre, je ne contrôle plus mes mouvements, je lui tamponne le cul avec rage, ma queue se raidit encore plus en elle et lâche de nombreuses giclées d’un foutre épais et abondant. Je reste planté en elle un moment, nos jus dégouline sur ses cuisses.— eh ben, je t’excite drôlement, ma parole, comment j’ai pris cher!— excuse moi, j’en pouvais plus, je ne pense plus qu’à toi, tu m’obsède...— j’ai bien vu que je te rendais fou, j’aime te faire bander petit frère, ca m’excite de te voir ruer comme un cheval sans pouvoir me sauter, je me suis beaucoup masturbé en pensant à toi...Je regrette mes excuses, elle m’a torturé pendant trois jours, je ne lui en veut pas, elle a provoqué chez moi un besoin de primate dont je ne soupçonnais pas la violence et encore moins l’extase de son accomplissement.Je la prend dans mes bras tendrement et la couvre de baiser, mes caresses se font douces— tu est une déesse, ma vie s’arrête quand je te regarde... Ta beauté me touche à en pleurer, tu me paralyse l’esprit, tu hante mes jours et mes nuits.Je lui embrasse le cou et remonte vers son oreille, un frisson la parcoure, elle me dit:-Viens, on vas dans ma chambre, ont sera plus à l’aise.Une fois arrivé à l’étage je lui demande de mettre son soutien gorge bleu et sa culotte en satin coordonné.— je vois que tu connais ma lingerie par cœur petit vicieux...Elle avait un goût immodéré pour la lingerie en satin et j’adorais ça, je lui avouais que de temps en temps je fouillais dans son tiroir à lingerie et découvrais avec délectation les trésors qu’il renfermait,  des balconnets très profond dans lesquelles j’imaginais ses seins, des slips tanga ou brésilien que je portais à mon visage en imaginant  ma sœur s’asseyant sur ma bouche. Parfois, n’en pouvant plus d’excitation, je sortait ma queue pour me soulager en me branlant avec un de ses sous vêtement enroulé sur mon membre, la situation m’excitait terriblement et ma jouissance était à la mesure du danger qu’on me découvre dans la chambre de ma sœur, un de ses slip enroulé autour de ma queue et me branlant frénétiquement... J’avais honte de désirer ma soeur mais je ne pouvait pas m’empêcher de renifler ses culottes sales en imaginant plonger  mon museau au coeur de ses chairs, me délecter de sa magnifique paire de fesses...Mon fantasme était devenu réalité et ma soeur se tortillait sur son lit en se caressant la chatte et me lançant des regards d’une chaleur qui me rendais fou. Je restais un moment devant ce spectacle incroyable, subjugué par la beauté de cette femme qui désirait qu’on lui fasse l’amour.— Mais qu’est ce que tu attend! Viens me baiser merde!Son buste bronzé était plaqué sur son lit, ses gros seins débordait sur les côtés, la croupe bien en l’air et  les reins tellement cambrés que je pus lui enlacer le derrière entièrement, le visage entre ses fesses, je profitais de cette instant un moment, lui reniflant le cul avant de lui retirer sa culotte pour déguster son sexe humide et chaud, ma langue fouillait son intimité pendant que je lui introduisait un doigt dans l’anus, mon expérience était plus que limitée mais mon amour des femmes me guidait naturellement tant j’aimais les voirs jouir. Elle se mis sur le dos et je pris ses deux fesses dans mes mains pour porter son calice à ma bouche. pendant un quart d’heure je détaillais son entre jambe de ma langue tout en lui caressant tendrement les seins, en fouillant de ma langue entre ses lèvres gonflées, je frottais son bouton bien dur avec mon index, puis, je le suçais bruyamment, mon visage était badigeonné de sa liqueur intime qui coulait abondamment entre ses fesses, son bassin roulait de façon incontrôlable.  Ses gémissements furent de plus en plus fort comportant un trémolo qui glissaient vers les basses, soudain, elle fut parcouru de violents spasmes elle cria longuement et fini par un petit rire en se trémoussant comme une gamine. AAAAAH OUI!!! SUCE MOI BIEN LE CON MON SALAUD!!!! TU ME FAIS JOUIR!!!Je me blotti contre elle en cuillère pour profiter de ce moment d’extase, ma sœur tremblais et affichais un sourire béat, moi, je ne débandait pas et faisait glisser ma queue entre ses fesses humide dans un lent mouvement de bassin. elle mis dix bonnes minutes à retrouver ses esprits sous mes tendres caresse puis, elle se retourna en me présentant sa superbe poitrine, je dégrafa son splendide soutient gorge bleu pour lécher ses mamelons érigés pendant qu’elle me branlait, tout doucement au début puis de plus en vite jusqu’à la frénésie, avec ce regard satanique qui la rendait incroyablement sexy, ses seins tremblant frôlait mon visage et je sentais poindre un orgasme mémorable, je pris possession de ses merveilleux nichons pour les malaxer et faire rouler ses tétons entre le pouce et l’index.— VAS Y PETIT FRÈRE, JUTE POUR TA SŒUR! LÂCHE TON FOUTRE !! ARROSE MOI!!!Je fit des efforts surhumain pour bloquer mon sperme et rendre mon orgasme surpuissant, soudains, n’en pouvant plus de contenir ma jouissance ma queue se tendit à me faire mal et mon orgasme explosa dans tout mon corps, de mon membre turgescent surgit avec violence un sperme très liquide qui éclaboussa ses cuisses et enduit sa main.Je hurlais:—  AAAAAAAH! TU ME BRANLE BIEN!!!!— tu as aimé te faire branler par ta sœur petit cochon? — bon sang quel pied! Tu me vide totalement.En effet cette baise m’avait totalement vidé, et pas seulement les couilles, nous sommes resté emboité dans notre position favorite pendant un bon moment, le contact de son corps doux et chaud m’envoya dans les bras de Morphée très rapidement tant j’étais vanné. à mon réveil, elle n’était plus là, seul souvenir de sa présence: sa culotte bleu en satin maculé de son jus au fragrance provocatrice, je gardais sa culotte toute la journée et me sentit heureux et léger comme je ne l’avais  jamais été. Malgré ou à cause de l’interdit d’une telle relation, je me sentais étrangement détendu, mes rapports avec ma sœur se firent de plus en plus proche car ses besoins sexuels égalais les miens, dès qu’une partie de jambe en l’air été possible entre nous, aucun des deux ne se faisait prier, nous étions tous les deux comblés sexuellement à tel point que notre entourage commença a se poser des questions sur notre goût soudain pour le célibat....
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