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Ma sœur, cette superbe femme

Chapitre 3

Inceste
Je recommençais à aller à la plage avec ma sœur, mais cette fois ci non plus en frère mais en amant. La ou nous habitions, le choix de la plage ou nous nous rendions dépendais de l’humeur de la journée: côté ouest il a une plage sauvage de trente kilomètre battu par de hautes vagues, la température y est très moyenne mais l’espace entre les estivants est énorme. Au sud, de petites plages en forme de criques abritées des vents dominants ou les services proposé et la douceur de l’eau attire en priorité des familles qui s’agglutine les unes au autres formant une bande de parasol et de glacière quasi ininterrompue. Ma sœur affectionnait ce genre de plage car elle pouvait y faire son show et croyez moi, elle remportait à chaque fois le césar de la fille la plus bandante, c’était inné chez elle, le plus naturellement possible, elle faisait exploser toutes les braguettes qu’elle croisait. Nous partions en vélo pour la journée tout deux très légèrement vêtus, elle portais souvent un débardeur moulant qui avait du mal à contenir ses seins et un short en jean éliminé qui laissait apercevoir le pli entre ses fesses rebondie et ses cuisses bien fermes, la voire faire du vélo était déjà en sois un spectacle divin, sa belle peau bronzée perlée de sueur, ses cheveux, longs et brillant ondulant dans le vent, ses seins et ses fesses tremblant au moindre cassis.... Je la regardais comme une œuvre d’art, sa beauté m’avais touchée durablement et provoquait en moi un étonnement mêlé à une catalepsie mentale qui pouvait s’avérer être  dangereuse en vélo.... Une fois arrivé à la plage, elle s’efforçait de trouver un endroit plutôt familial pour, d’après ses dires, ne pas être dérangé par les "jeunes cons" je crois en fait qu’elle préférais exciter les pères de familles qui avait les couilles dans un étau par la présence de leurs femmes, les pauvres! Je sentais derrière mes lunettes des dizaines de regards aussi furtif que lubrique sur le string de ma soeur et les seins encore brillant de la crème avec laquelle je la massais. d’ailleurs, les séances de crémage de son corps bien que tout à fait candide se finissaient parfois par l’ordre d’une mère de famille de quitter les lieux tant son mari et ses rejetons avaient le gourdin. Il faut dire que nous n’y allions pas de mains morte! Ces séances de massage étaient un supplice pour moi, un ravissement pour ma soeur et une provocation pour tous les autres... je lui massais les épaules, le dos, prenait ses mollet que je malaxais longuement je finissais par ses cuisses remontant toujours plus haut vers l’intérieur et finissant par ses fesses et ses hanches. Elle se retournait pour m’offrir son  ventre creusé et ses seins orgueilleux bien raffermit par le traitement que je venais de lui faire subir. Je lui caressais langoureusement le ventre et la taille en m’attardant sous le nombril, zone que j’aimais chatouiller car cela provoquait chez elle des contractions et des gémissements que j’adorais. Je remontais tout doucement sur ses seins sur lesquels je m’attardais provoquant une combustion spontané de la libido des gens qui nous entouraient, nous restions allongé là durant des heures,  la mains dans la mains. Quand le moment pour elle était venu de prendre un bain, je me relevais sur les coudes pour assister au spectacle, d’ailleurs, je pense que j’aurais pus vendre des billets puisque j’étais très loin d’être le seul à savourer la scène, elle se relevais et marchait jusqu’à l’eau en faisant rouler ses fesses que séparait uniquement la corde de son string, ses seins se balançaient en cadence et elle tirait ses cheveux en arrière dans un mouvement qui lui faisait cambrer les reins et mettait encore un peu plus en valeur son cul de déesse. le regard jaloux des autres filles contrastais avec les yeux ronds et plein d’envie de leurs mecs. Elle provoquais des engueulades dans les couples par le seul fait d’exister. Après quelques brases, elle sortait de l’eau et essorait sa longue tignasse avec la même posture provocante dont elle avez le secret, le soleil devenait le révélateur de ses formes majestueuses grâce à l’écrin de sa peau bronzée et ruisselante. une fois revenue sur sa serviette elle s’asseyait et je commençait à m’occuper d’elle comme d’un bijou précieux, je m’installais derrière elle pour la sécher de la façon la plus douce possible, il émanait de son corps une fraîcheur aux milles parfums qu’aucun bouquet de fleur n’égalait. Pour finir, je la peignait longuement et concsienssieusement. J’avais pour elle toutes les attentions et je la traitais comme une reine égyptienne, c’était d’ailleurs mon plus grand plaisir de la servir avec dévotion, elle était pour moi une monarque à la beauté absolue et j’aurais fait tout ce qu’elle me demandais, cependant, elle n’en abusais jamais et ne se comportais pas comme une petite fille gâtée. Parfois, ne pouvant me contenir, je lui susurrais à l’oreille toute l’extase dont elle me remplissais par la pureté de son être et la beauté de ses formes, touchée, elle me prenait par la main et m’emmenais dans une petite cuvette accessible en nageant, suivant la marée. là, nous retirions nos maillots pour nous enlacer tendrement. elle m’entourais la taille avec ses jambes  et mettait ses bras derrière mon cou Et le corps entre deux eaux je la caressait avec amour pendant que nous jouions avec nos langues. Très vite, je bandait au maximum et les mains sur ses fesses je l’ajustait pendant qu’elle cherchait sa fente avec ma queue dans la main. J’avançais doucement mon membre et elle ouvrait la bouche en lâchant un:— AAAAH!! OOOOOUI! Empale moi! J’suis à toi petit frère, j’suis ton jouet!Je m’introduisais lentement en la regardant dans les yeux et bien que je  ne cru ni au diable ni en dieu, son regard mystique et changeant me troublais profondément, parfois  diabolique et vicieux il devenais doux et adorable. au fils de la lente étreinte aquatique sa sensualité me faisait perdre la tête, le temps s’arrêtait et nous baissions jusqu’à perdre haleine sans même remarquer que deux ou trois mecs juché sur des rocailles se paluchaient en matant ce merveilleux spectacle, nous jouissions de concert, elle de façon cataclysmique et moi en la suivant de près tant elle était belle et désirable dans la jouissance. Après avoir retrouvé nos esprit, nous retournions sur la plage tranquillement. Un jour il m’ait même arrivé pendant que je la séchait assis derrière elle de descendre une mains entre son string et sa fente à la recherche de son bouton qui bourgeonna immédiatement, nous étions en publique, je ne savais  pas ce que je faisait et elle ne protesta pas, je continuais donc à m’occuper de sa chatte, elle recula le bassin pour caler ses fesses dans mon entre jambe et me révéler la splendeurs de son magnifique pétard rebondi, une fois de plus, je bandais comme un âne mais que pouvais je y faire? J’allais pas sortir mon chibre et me taper ma sœur en publique devant madame michu et  son septuagénaire de mari.... Je continuais donc à titiller ma sœur discrètement sous une serviette  en lui introduisant mes doigts dans son soyeux conduit, à force d’agacer son bouton, ce qui devait arriver arriva, et là je me rendis compte de toute l’incongruité de la situation, beaucoup de gens nous regardaient, certains les yeux plein de haine et hochant la tête de dépit, d’autres, plus amusés attendant de voir le bouquet final. ma soeur, malgré ses efforts ne pût couvrir son orgasme et je tentais en vain de masquer ses gémissements étouffés par une toux improvisée franchement pas vraisemblable, les gémissement se transformèrent en rire et elle se mis à se tortiller dans tous les sens, le silence autour de nous m’aidait à entendre un léger applaudissement suivi de rires d’adolescente, les: OOHH! SI C’est pas honteux de voir ça, où les: y’a des hôtels pour ça jeune gens! ne me touchais plus, j’enlaçais ma sœur comme je le faisait toujours après un orgasme, après un moment, le temps pour ma sœur de reprendre ses esprit et pour moi de débander (un exploit!) nous levions le camps et partions bras dessus, bras dessous comme si de rien n’était. Je pense qu’à cette époque (1988) tous ça n’était qu’un jeu et nous n’étions pas les seuls à mettre le feu à la plage, aujourd’hui je ne m’y risquerai pas avec ma femme, il y a toujours un CRS bienveillant qui pourrai nous dire que c’est punis par telle loi et nous envoyer une patrouille de flics pour nous apprendre à être de bon citoyens...
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