Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 130 J'aime
  • 4 Commentaires

Un chalet en montagne. Des odeurs, l'inconnu.

Chapitre unique

Hétéro
— Prends de la hauteur !
On lui avait dit de prendre de la hauteur. C’était bien facile pour ceux qui ne sont pas dans votre tête de dire ces quelques mots faussement réconfortants. Comme si tout pouvait être relativisé, comme si rien n’avait d’importance. Mais très bien, elle avait fait un effort, puisqu’on veut panser ses maux par des mots, alors elle avait pris de la hauteur et s’en était allée louer un petit chalet à 1349 mètres d’altitude.
— Un havre de paix, avec une vue surplombant la vallée, réveillez-vous avec le chant des oiseaux, vivez avec le silence de la montagne, et dormez sous la voie lactée.
La description était simple, mais cela convenait très bien à ses envies, à savoir de l’apaisement, rien à attendre, juste à contempler.
Après quelques heures de voitures à travers les lacets de plusieurs cols, elle était arrivée devant un panneau qui annonçait le parking du domaine où se trouvait sa résidence d’une semaine. Elle se rendit rapidement compte, en récupérant les clés dans une petite cabane à quelques pas d’elle, que son logis se trouvait à vingt minutes de marche. Il n’y avait en effet pas de route qui menait au chalet, juste un petit sentier, de quoi ne pas être gêné par le passant. Tout d’abord, elle fut prise de la crainte de l’isolement, puis finalement, elle préféra penser qu’elle serait enfin au calme, loin de tout, et qu’elle pourrait peut-être définitivement prendre cette hauteur salvatrice.
Une fois arrivée en haut, non sans effort, elle fut émerveillée par le cadre. Un léger manteau blanc couvrait toute la vallée qu’elle surplombait, à l’horizon, quelques nuages blottis contre les plus hauts sommets de la région, au sol, les feuilles vertes d’un parterre d’edelweiss venaient trancher avec le velours blanc qui recouvraient leurs pétales. Le chalet n’était pas très grand, mais disposait de tout ce qu’il fallait pour qu’elle s’y sente bien, chaleureux et apaisant.
Les jours passèrent, et M se faisait de plus en plus à cette vie. Elle se levait le matin, réveillée par les rayons du soleil qui venaient se coucher sur son lit pour la remplacer, et après quelques préparatifs du corps, elle s’en allait arpenter les quelques chemins sinueux qui l’emmenèrent vers de beaux panoramas, un lac, et même une prairie où elle croisa quelques bouquetins qui semblaient parfaitement se faire à l’idée de cohabiter avec cette divine demoiselle. Et divine elle l’était en effet, nous n’en avons pas encore parlé, mais chacun pourra se faire à l’idée, une petite trentaine, un regard étincelant, des courbes épurées, comme dessinées d’un seul coup de crayon, des lèvres délicieuses d’où se dévoilait un sourire léger, nacré, des fesses rebondies, et un tempérament de feu.
Ses soirées débutaient en général par un bain, l’eau venant communier sur sa chair flamboyante, elle avait plusieurs fois laissé ses mains dériver vers ses cuisses jouant une douce mélodie qui accompagnait parfaitement les hululements réguliers qui résonnaient dans la vallée et continuant de la bercer une fois glissée, nue, dans son lit.
L’apaisement et la sérénité la remplissaient à quelques jours de son départ, encore trop éloigné pour provoquer en elle une quelconque mélancolie. Un après-midi, elle décida de partir sur un sentier qu’elle avait déjà arpenté, au détour d’une forêt de cèdres dont l’odeur provoquait en elle quelques soupirs de plaisir. Après plusieurs dizaines de minutes de marche, elle s’assit au bord d’une rivière, prête à apprécier le tableau qu’elle connaissait déjà bien et dont chaque jour, elle découvrait de nouveaux détails. Soudain, elle entendit comme une pierre tomber dans l’eau. Elle pensa tout d’abord qu’un animal venait d’y plonger, puis se rendit compte que c’était un maladroit, perdu comme elle dans cet Eden, qui avait trébuché et s’était retrouvé sur le dos, les quatre fers en l’air, dans cette eau glaciale. Elle s’approcha rapidement et sans omettre de le saluer en mentionnant son prénom, lui tendit la main pour l’aider à se relever.
En temps normal, elle se serait méfiée de cet inconnu qui venait troubler sa plénitude, mais sur le moment, elle trouva cela naturel. Il lui répondit d’un sourire et saisissant cette main tendue, se releva, la remerciant tout en s’excusant de l’avoir dérangée.
Cet homme, qui était apparu comme dans un mythe, sorti tout droit de la rivière, avait certes une allure maladroite, mais dégageait une présence agréable, presque réconfortante pour celle qui n’avait croisé aucune âme de son espèce depuis déjà plusieurs jours.
Ils échangèrent quelques mots, cherchant l’un et l’autre à savoir la raison de leur présence mutuelle, puis il lui dit qu’il avait besoin de faire un feu afin de se sécher. Cela la fit rire, et plutôt que de l’aider à chercher quelques branches, elle l’invita dans son chalet à venir se sécher près de son poêle. Comment était-il ? Difficile de le décrire, mais disons qu’il était exactement le type d’homme qui se mariait avec ce paysage, exactement celui qu’elle aurait voulu croisé si elle l’avait souhaité.
Une fois rentrés au chalet, après quelques échanges qui les firent tous deux sourire, et des regards échangés qui ne trompent pas, trop insistants pour être indifférents, trop fuyants pour être dénués d’attirance, elle souffla sur les braises encore chaudes de la veille pour raviver cette flamme qui n’avait aucun secret sur elle, l’aida à enlever les premières couches qu’il portait, et lui proposa de se retourner le temps qu’il enlève ses derniers vêtements. Il acquiesça en souriant et fut surpris qu’elle ne se tourne pas.

— C’est à vous de vous retourner. Je ne tourne pas le dos à un homme si facilement.
Pris au jeu, bien que surpris, il se retourna, termina de se déshabiller, et offrit le spectacle de son dos et ses fesses nues, la chair colorée d’orange par le feu qui avait pris forme. Elle s’avança et l’enveloppa d’une couverture en laine, en suivant la ligne de ses épaules jusqu’à ses cuisses. Les deux corps furent comme électrisés par ce contact et dans cette atmosphère tamisée, bercés par les flammes et la nuit qui tombait, l’odeur du bois brûlé envahissait la pièce.
Reprenant ses esprits, elle lui proposa un verre, elle n’avait qu’un alcool local dont elle ignorait la provenance et le nom, mais dont les notes herbacées et les degrés ne pourraient que les réchauffer.
Après ce premier verre, puis un deuxième, elle commençait à avoir chaud et il lui proposa d’enfiler quelque chose de plus léger. Elle lui dit qu’elle n’avait rien à se mettre qui conviendrait, mais il rétorqua qu’il avait quelque chose pour elle, et lui demanda de se retourner.
Elle se tourna, il se releva du fauteuil sur lequel il était installé, l’aida à se déshabiller comme elle l’avait fait pour lui auparavant, admirant ce corps brûlant sous lequel glissaient ses doigts, et lorsqu’elle fut nue, il l’entoura de ses bras en lui demandant si cette parure lui convenait.
Elle répondit en penchant sa tête en arrière, et l’embrassa. Tandis que leurs langues virevoltaient ensemble, sa main posée sur sa hanche remonta, effleurant le bout de son sein gauche qui se tendit et fit frissonner tout son corps. Elle commençait à onduler comme une flamme sous ses caresses, se cambrant légèrement pour coller ses fesses pour épouser le corps de celui qui la faisait déjà haleter. Ses lèvres parcouraient sa nuque, qu’elle lui offrait, tandis que ses lèvres étaient déjà humides. Elle bouillonnait, tout comme lui, qui avait désormais une main sur son sein, qu’il faisait rouler entre ses doigts et une autre qui remontait le long de sa cuisse. A chaque soupir, ces deux âmes dansantes respiraient l’odeur du bois chaud et de la nuit glaciale qui se mêlaient.
Tandis qu’elle passa sa main dans son dos pour se saisir de sa queue qu’elle sentait se tendre contre ses fesses, il lui dit à l’oreille en passant un index sur sa bouche « Je vais te mettre ce doigt dans ta belle chatte ». Cette phrase suffit à lui faire ressentir cette sensation, et elle n’avait qu’une envie, qu’il mette son doigt à travers ses lèvres pour le glisser en elle. Il descendit ce doigt le long de son corps, lentement, lui demandant d’écarter les jambes, effleurant son clito, s’arrêta à l’entrée de son vagin trempé d’excitation, ce qui la fit vaciller dans cette attente interminable, et d’un seul coup l’enfonça sans un effort et transperça son âme. Elle gémit, et pendant qu’il continuait de caresser son intérieur, elle caressait sa queue de haut en bas, jugeant sans l’avoir vue qu’un plaisir plus fort l’attendait.
Cela faisait quelques minutes que tu te faisais guider, quand tu basculas en arrière pour te retrouver allongée sur le dos, sur ce tapis épais et soyeux, ce qui me fit immédiatement tomber à genoux au-dessus de ta tête. Tu me tiras alors vers toi, pour embrasser cette queue délicieuse, l’embrassant d’abord avant de la prendre en bouche. Alors que je gémissais de plaisir, je me courbai pour venir embrasser ton bas-ventre, mis chacune de mes mains sur tes cuisses, et vins glisser ma langue le long de ta chatte. A chaque instant où tu prenais ma queue au fond de ta gorge, je faisais tourner ma langue sur ton bouton gonflé de désir. Nos bassins ondulaient sur un même rythme, mes doigts venaient caresser l’entrée de ton vagin, tes mains caressaient ma queue de haut en bas, nos corps brûlants rimaient avec le brasier qui les avait réchauffés en entrant dans ce chalet. L’atmosphère était un mélange de bestialité, de sensualité, de partage et d’extase.
— J’ai envie de sentir ta queue en moi.
Sur ces mots, tu me demandas de m’allonger sur le dos, tu te relevas et en m’embrassant, tu vins t’assoir sur ma queue, qui entra d’un seul coup au fond de ton vagin. Tu ondulais comme une déesse, et je sentais couler sur mes cuisses ton plaisir. Je me relevais pour embrasser tes seins, les mordiller, tandis que mes mains cramponnaient et caressaient ton superbe cul dont la vue dans le reflet de la fenêtre m’excitait sans cesse. Chaque coup de bassin était une explosion de plaisir. Mes mains se faisaient de plus en plus insistantes sur ton cul, et mes doigts vinrent y glisser à l’entrée, juste l’effleurer. « J’ai envie de ton cul », en prononçant cette phrase, je fis rentrer un doigt, claquant ta fesse bouillante de l’autre, tandis que nos corps enlacés étaient ivres. Nous étions au bord de la jouissance, ma queue allant et venant dans ta chatte trempée, mes lèvres embrassant tes seins, mes doigts caressant ton cul. Nos regards plongeaient dans les yeux de l’autre.
— Mets-toi à quatre pattes, je veux que ma queue remplace mes doigts.
Tu te relevas, te mis dans cette position, et je vins approcher mon visage de tes fesses, embrassant chacune d’elle avant de glisser ma langue, de ta chute de reins jusqu’à ce cul, chaque caresse, chaque baiser, sur tes fesses relevées te faisant écarter les cuisses et gémir. Je pris tes deux mains, les mis dans ton dos, approchai ma queue de ton cul, et te dis de reculer pour que tu la mettes au fond. Tu ondulais d’abord lentement sur cette queue humide, puis tu la fis glisser lentement à l’intérieur de toi, nous arrachant un cri de plaisir qui fut rejoint par celui de mon bassin qui claquait contre tes fesses. En quelques minutes de ces aller-retours incessants, au bord de la chute libre, je libérai tes mains, approchai mes lèvres de ta nuque, et te murmurai de te caresser en guidant ta main entre tes cuisses.
Tu caressas ton clito déjà tendu et gonflé d’excitation, chaque gémissement m’excitant encore plus et me faisait gémir aussi, et d’un coup, nos corps se sont tendus, tu me sentis jouir au fond de toi, déversant chacun le nectar de notre plaisir dans un ultime orgasme.
Nous nous écroulâmes l’un contre l’autre, et dans un dernier soupir, vint se mêler à l’odeur du bois et du plaisir celle des edelweiss que tu ramassais chaque matin, et qui planait autour de ce chalet depuis ton arrivée.
Diffuse en direct !
Regarder son live