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En chaleur

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Nous étions deux copines au bord de la route, à la tombée de la nuit, en attente d’une voiture qui voudrait bien s’arrêter. Jenny et moi,Sophie. On remontait de la plage, la chaleur était encore
    torride. Sur nous, juste un petit short et un soutien gorge. Enfin une Jaguar s’arrêta. Grand luxe : au volant, un homme dans la cinquantaine, tempes grisonnantes, l’air assez coincé. " Vous allez où?"
    On rentre à l’hôtel, on n’a pas de voiture, à peine 40 ans à nous deux... Et nous voilà embarquées, Jenny à l’avant, et moi bien sagement à l’arrière...
    Depuis le début des vacances , Jenny m’avait initiée , moi la timide, à quelques plaisirs...Et c’est vrai que j’y avais pris goût. Et maintenant, ma chatte en redemandait. Comment la soirée allait-elle se
    terminer ? Avec Jenny, il fallait s’attendre à tout !
    À l’avant , l’homme parlait de tout et de rien avec Jenny. Il semblait imperturbable. Du coup, je m’assoupis un peu, en rêvant de tous les maillots que j’avais vus sur la plage, bien gonflés par des
    queues bandantes, et parfois carrément bandées... À mon réveil, la nuit était tombée et, tiens, plus un mot. Juste un petit gémissement , à peine perceptible, et des bruits de tissus froissés.
    Je m’avance un peu pour regarder : la main gauche de Jenny s’active sur une queue déjà bien tendue, émergeant d’un caleçon de très bonne qualité... Jenny, je pense, Jenny, qu’est-ce qu’elle va
    nous faire encore ? L’homme regarde la route, il respire très fort.. Dans la pénombre, je vois maintenant la tête de Jenny se pencher vers cette belle queue de quinqua. Jenny, je la connais, elle ferait
    n’importe quoi pour avoir sa queue quotidienne à bouffer. De préférence une différente tous les jours. Et là, elle avait gagné le gros lot : c’est vrai qu’elle était belle, d’un bon diamètre, au moins
    20 cm de longueur, et un gland bien formé pour défoncer n’importe quel trou...Le gland luisait dans la nuit de la salive de Jenny. Ça me faisait envie, dis donc... Pas connu ça encore, une queue
    de cinquante ans.. Elle doit être expérimentée, vicieuse, elle a dû posséder des centaines de petits culs... Maintenant Jenny devient folle, elle baisse nerveusement le caleçon , elle s’attaque
    aux couilles, qu’elle lèche en faisant sa petite salope. Elle m’a déjà avoué qu’elle adore l’ odeur des queues, elle veut sentir le mâle... Et je la vois qui remonte sa langue lentement jusqu’au gland,

    et là, elle crache sur la queue pour la rendre bien baveuse, et puis elle la secoue violemment... La voiture fait une légère embardée sur le bas-côté. Mais Jenny administre une fellation magistrale
    au conducteur. Mais, la vicieuse, alors que je crois voir bientôt le sperme gicler partout, la vicieuse se calme brusquement , se relève et ordonne au conducteur totalement soumis : "Gare-toi "
    Deux minutes plus tard, nous voilà deux à attaquer la queue de l’homme, fièrement brandie dans la nuit. L’homme s’est laissé faire : nous l’avons plaqué sur le capot avant de la Jag, nous lui
    avons bien écarté les cuisses, et maintenant, nous le léchons, le suçons, le maltraitons. Jenny devient vraiment folle: la Jag rutilante, cette queue émergeant de vêtements si chics, les phares des
    voitures qui éclairent au passage la scène, de façon désinvolte... Et elle m’entraîne, moi , Sophie, la petit ingénue : " Tu vois comme il aime ça, le petit vicieux... Mets- lui le doigt, vas-y...
    Regarde comme sa queue frétille quand tu fais ça... " Sur ce, Jenny mets le type à plat ventre, lui écarte les fesses, contemple ce qu’elle voit, puis approche sa langue et m’invite à en faire autant.
    À mon grand étonnement, l’homme se laisse faire, mieux : il se tortille, tandis que Jenny , ayant passé une main sous son ventre, continue de secouer à mort son engin devenu dur et
    brûlant... À intervalles plus ou moins réguliers, des voitures passent , leurs phares balaient la scène, ce qui nous excite encore plus...
    Soudain, alors que Jenny active sa langue entre les fesses de l’homme, elle me regarde d’un air vicieux et me dit lentement, sûre d’elle : " Sophie... Sophie, c’est ce soir... C’est ce soir que tu y passes..
    c’est le mec idéal pour faire ça... Sophie ! Allez ! " Je sais ce qu’elle veut dire.. Elle murmure quelque chose à l’oreille de l’homme... Alors , les deux se lèvent , me plaquent contre la portière avant,
    fesses vers la route, sans vergogne. Jenny adore les fesses. Après les fesses du mec, les miennes, qu’elle écarte avec énergie, pendant que l’homme fouille mon cul de sa langue chaude. Je me découvre
    totalement salope... Cet homme, cet étranger, enfonce sa langue humide dans mon petit cul, au bord d’une route, il se venge, il n’est plus qu’un mâle qui veut prendre la femelle. Nous avons tous
    tout oublié , nous ne sommes plus qu’instinct et vice, et sa langue baveuse entre mes fesses me conduit au comble de la féminité. Je ne veux plus être qu’un trou, un trou où l’homme , et avec lui
    tous les hommes , puisse soulager la douleur tendue de son membre..

    Voilà. Le moment est arrivé. Je vais pour la première fois être sodomisée. Le gland bien humide se présente, guidé par la main de Jenny. Il force l’entrée. Il est énorme , chaud, bien baveux. L’homme
    donne des petits coups experts avec sa queue, je me tortille et pousse mes fesses en arrière, je veux être prise de force, je suis soumise à cette volonté de pénétration. Et c’est un grand déchirement,
    un immense glissement en moi, je me cambre, j’accueille cette force qui me dilate et ouvre grandes les portes de l’éblouissement. Ce qui suit est hurlements, grognements, bruits obscènes, je lance une
    complainte dans la nuit : " Oui... Oui... J’adore ça,... Encule-moi. Dis-moi des saloperies. Tu me fais mal, c’est bon... Prends-moi, je suis ta chienne " Jenny , appliquée, sort de temps à autres la queue
    et crache dessus , et la queue rentre à nouveau, et glisse divinement en moi... Soudain, la queue donne un grand coup, les couilles de l’homme frappent mes fesses. Un grand silence, tout s’immobilise,
    puis un râle de puissance déchire la nuit, je sens des giclées de foutre m’inonder l’âme, des ondes innombrables me secouent, je perds presque conscience, presque... car mes sens encore éveillés sentent
    une liqueur chaude se répandre sur mes fesses, alors que l’homme, cabré, expurge de son membre exacerbé les dernières preuves de sa virilité. Virilo
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