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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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En chaleur

Chapitre 10

Hétéro
Mon nom est Sophie. Je fais du porno. Et, je suis contente car je viens de gagner LA PIPE D’OR DE LA MEILLEURE FELLATION au festival du film porno de Asstown. Elle dure 20 minutes , et j’en suis vraiment très fière.
    Du grand art... Les juges en sont partis dans leurs pantalons...
  Je joue une call-girl qui vient d’être réservée par 3 hommes d’affaires dans la cinquantaine..
Au début, classique : ils sont dans des fauteuils luxueux en rond autour de moi, qui leur fait un strip en règle. Le grand jeu. A quatre pattes par terre, robe moulante en latex mauve, petite culotte rouge vif, hauts talons de la même couleur. J’ai la tête sur le sol, les cheveux noirs en désordre, ma langue caresse mes lèvres de façon cochonne, les fesses en l’air et les jambes bien écartées. Rien qu’avec ça, je sais que ça bouge dans les pantalons. Vicieux quinquagénaires. Ils viennent de divorcer, la queue bien expérimentée, ils tirent sur tout ce qui bouge. Et ce qui bouge en ce moment, c’est mon cul, à quelques mètres de leurs regards lubriques. Il est prévu que je commence par une fellation monstre, pendant que les deux autres se préparent à me défoncer en s’agitant la queue. C’est bien sûr celui qui a la plus belle queue qui a été choisi pour la scène. Donc, je m’approche à quatre pattes entre ses jambes écartées et je commence à lécher sa braguette comme une salope. L’étoffe est déjà tendue par un énorme machin qui va en diagonale jusqu’à la ceinture. Une belle ceinture qui a dû coûter très cher et dont je respire l’odeur de cuir neuf. Puis j’attaque le zip que j’ouvre lentement et je plonge ma main à l’intérieur : l’étalon ne porte pas de slip, et me voilà avec le superbe membre dans la main. Ça sent le mâle. Je descends bien le pantalon pour dégager une magnifique paire de couilles. Poilues, mais pas trop, comme j’aime.
Et là , tout commence... Je fais ma petite langue vicieuse pour titiller le dessous de ses couilles pendant que je brandis à deux mains sa queue vers le plafond. Puis brusquement, je m’énerve, mon souffle s’accélère, je m’écarte pour contempler l’engin dans sa totalité, des couilles gonflées jusqu’au gland violacé près à éclater. Puis je me mets à cracher dessus de façon vulgaire, partout, et je l’enfourne dans ma gorge, au plus profond, jusqu’à ce que j’étouffe. Quand je ressors l’engin de ma gorge, il est baveux à souhait. De grands fils de bave vont de mes lèvres jusqu’au gland tout luisant. De ma main gauche, je remonte les couilles vers le haut, de la droite je branle le manche à toute vitesse, très violemment, pour qu’on entende bien le bruit que ça fait, ce bruit caractéristique des chairs baveuses maltraitées.
Maintenant, attends, vieux salaud, tu veux que je te suce à mort ? Tu vas payer pour les autres! Je lui retire son pantalon rapidement et lui soulève les jambes vers l’arrière... Superbe cul. Que j’attaque de ma langue et de mes doigts fouilleurs... Puis je remonte brusquement vers la queue que j’engloutis à nouveau, mais de ma main gauche, je lui fouille le cul à ce salaud. Tiens, c’est pour toutes les femmes que t’as enculée!!!
A chaque fois que j’enfonce mes deux doigts dans son cul, sa queue se raidit davantage et il ne peut pas résister à l’envie de se branler.
Je lèche maintenant lentement le membre prêt à exploser des couilles jusqu’au gland, trèèès lentement. L’étalon n’en peut plus, il se tortille dans tous les sens...et ce n’est pas fini...
Je m’installe un gros godemichet autour des fesses à la hâte, et je le lui plante entre ses fesses d’homme d’affaires bien pensant. Tiens mon salaud, tu jouis, hein?? T’en veux hein??? je le lime à mort, puis me retire d’un coup, appuie à fond sur les couilles du god, et des giclées de foutre artificiel viennent s’écraser sur le membre gigotant. Alors je lèche les belles traînées qui dégoulinent le long de l’énorme queue tendue, puis les recrache sur le gland distendu ... Comme des coulées de vrai sperme... De la bave et du sperme , ou presque... Le salaud en a plein la queue... c’est excitant pour moi de voir ça, cette belle queue baveuse qui ne demande qu’à cracher....
D’ailleurs, elle crache, la salope, elle m’en met plein la bouche et les lèvres, ma bouche est fixée sur le gland en éruption, pour ne rien perdre du jus odorant qui sort par saccades. Je presse la queue à mort pour l’expurger de ses dernières gouttes de foutre, que je lèche dès leur sortie. Puis quand l’éjaculation est terminée, je recrache tout le foutre mêlé de bave que j’ai dans la bouche, je le recrache au bout du gland, et je le regarde dégouliner lentement jusqu’aux couilles, et jusqu’à ses fesses écartées. Je l’encule avec mes doigts pleins de son foutre, et de mon autre main je barbouille la totalité de sa queue de ce mélange bien gluant fait de bave, de faux foutre provenant du god , et de vrai foutre tout frais giclé hors du gland.
  Le membre est maintenant légèrement ramolli. Je le prends dans ma main, à la base, juste au-dessus des couilles, le serre très fort, et lèche le gland encore tout gluant. Une dernière petite giclée, venue de l’extrême fond du plaisir, apparaît au bout du gland. Je la suce avec délice....
Enfin, je retire mon god , m’agenouille, les fesses en l’air, descends à mi-cuisses ma petite culotte , et ainsi, les jambes entravées, j’attends que les deux autres s’approchent. C’est vrai que d’avoir sucé cette grosse queue et d’avoir goûté à tout ce foutre, j’en peux plus moi! L’un se glisse sous moi, enfile sa queue dans ma chatte; je me mets un doigt dans le cul pour inviter l’autre à faire son boulot. Voilà, une deuxième queue se glisse avec force entre mes fesses. Et, une heure plus tard, défoncée par tous mes trous débordant de foutre, je perds connaissance..... VIRILO
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