Nanou et Flo s’étaient installées deux jours plus tôt dans un confortable mobil-home qu’elles avaient loué pour deux semaines. Situé dans un camping haut de gamme de la cote languedocienne, leur trois-pieces disposait d’un séjour accueillant et de deux chambres indépendantes équipées chacune d’un grand lit confortable. Profitant de l’absence de leurs progénitures dispersées dans divers stages de sport et autres séjours linguistiques, les deux quadragénaires sexy avaient en effet décidé de s’offrir un peu de bon temps entre filles, délaissant sans regret leurs maris condamnés à trimer à la capitale. Tandis que les deux femmes sirotaient leur café matinal confortablement installées dans leur chaise longue, Flo s’adressa à son amie.— Tu as eu une excellente idée en nous proposant ces vacances dans cet endroit. Le temps est magnifique, et on est vraiment peinardes sans nos mecs sur le dos.Nanou confirma sans réserve. — Tu as bien raison. D’un autre côté, je ne m’offusquerais pas si un chevalier servant avenant insistait pour me passer de la crème, lâcha la belle femme blonde avec un grand sourire. — Tu plaisantes ! Répondit Flo avec surprise.— Pas le moins du monde! Je te rappelle que nous sommes venues ici pour nous détendre et aussi nous éclater un minimum. Et ça ne me déplairait pas que nos charmants voisins installés dans les bungalows d’en face, pour ne citer qu’eux, nous accordent une certaine attention et nous proposent quelques sorties, en tout bien tout honneur, évidemment. Flo esquissa un sourire entendu.— Tu t’es sans doute rendue compte que tu avais un ticket avec le grand brun baraqué. — Qu’est ce qui te fait croire ça? lâcha Nanou d’un air hypocrite. Flo haussa les épaules avant de poursuivre:— Ne fais pas l’innocente. Le beau Marc ne va pas se priver de te draguer. Il faut que tu détermines la limite à ne pas franchir si jamais ça dérapait. Jusqu’à nouvel ordre, tu es une femme fidèle, il me semble. — Il est vrai que contrairement à toi, je n’ai jamais trompé mon mari. Mais ça ne signifie pas que je vais rester cloîtrée au camping tous les soirs. Marc est très séduisant et il semble posséder tous les attributs du mâle dominant ce qui en fait potentiellement un chevalier servant tout à fait acceptable pour un flirt innocent. Flo poursuivit sur un air coquin. — Je ne suis pas sûre que ce genre de macho se contente d’un flirt. Je me demandais d’ailleurs si tu avais remarqué que son short laissait supposer une anatomie très avantageuse. De toute façon, ce n’est pas moi qui te ferai des reproches si jamais tu te laissais aller. Nanou fit mine de s’offusquer:— Dis donc toi, je trouve que tu as l’esprit bien mal tourné. Avant d’ajouter rêveuse:— J’avoue néanmoins que j’aimerais bien voir ce que notre ami peut bien cacher de si volumineux dans son bermuda.— Seulement le voir? Rétorqua Flo avec gourmandise.Les deux femmes riaient aux éclats lorsque Marc, le grand brun ténébreux âgé de 37 ans et principal sujet de la discussion des deux femmes, apparut à l’entrée de son mobil-home. Ayant aperçu ses voisines, il se dirigea vers elles. — Vous me semblez bien gaies toutes les deux. Peut-on savoir ce qui vous amuse tant ?— Secrets de nanas, répondit Flo avec un air conspirateur tout en faisant un clin d’oeil à son amie.Marc fit un grand sourire avant de déclarer sur un ton badin:
— En général, quand des filles échangent des secrets, c’est qu’elles parlent de cul ? J’espère que les oreilles de vos chers maris ne sifflent pas trop. Flo éclata de rire. — Venant de toi, je trouve que cette réflexion ne manque pas de sel. De toute façon, on n’a rien contre le fait de passer d’agréables moments avec des vacanciers charmants et sympathiques. — Tu partages cet avis belle blonde? demanda alors Marc avec intérêt en se tournant vers Nanou ce qui fit rosir légèrement la jolie femme. — Qui sait ? répondit cette dernière après une courte hésitation.— Tout dépend ce qu’on entend par "agréables moments", commenta Flo. L’homme changea de sujet. — J’ai l’intention d’aller sur une petite plage tranquille pour faire un peu de bronzette. Ca vous dirait de m’accompagner mesdames ?Flo fut la première à répondre.— Je viendrais bien, mais j’ai déjà prévu d’aller faire une course en ville. Marc s’adressa alors à Nanou:— Et toi ma belle, tu serais d’accord pour monter dans mon bolide et découvrir un petit coin tranquille éloigné des plages bondées?— Je ne vois pas comment je pourrais refuser une telle invitation. — Toi aussi tu me trouves irrésistible? déclara le macho sans fausse modestie.— Ne t’emballe pas trop, mon cher Marc, et laisse moi le temps de passer une tenue correcte si tu veux que je t’accompagne.Nanou, après avoir revêtu un bikini assez sage, opta pour une robe noire courte et décolletée qui dénudait ses épaules. Après avoir chaussé ses sandales à hauts talons compensés, elle attrapa son sac de plage et alla s’asseoir dans la décapotable de Marc qui attendait sagement au volant que la belle blonde vienne le rejoindre. Le dernier kilomètre de la route qui menait à la plage n’était pas goudronné, ce qui selon Marc rebutait pas mal de beaufs et les empêchait de venir s’entasser dans le coin.L’homme se gara au pied d’une dune que les deux vacanciers gravirent pour se diriger vers la mer. Nanou ne refusa pas la main tendue de son chauffeur pour l’aider à franchir les passages les plus pentus de la montée.Une fois sur la plage, Nanou put en effet constater que les estivants présents étaient relativement peu nombreux et que la plupart d’entre eux bronzaient entièrement nus.— Tu ne m’avais pas prévenu que tu allais me conduire sur une plage naturiste, lâcha la vacancière d’un air contrarié.Marc répondit d’un ton enjoué.— Rassure-toi. Ce ne sont pas des intégristes. Tu peux garder ton maillot si tu as peur de me dévoiler l’intégralité de ton corps sublime. Nanou, plutôt flattée, ne releva pas la remarque de Marc qui se dirigeait d’un pas décidé vers un espace quelque peu éloigné de la mer.D’après lui, l’emplacement avait l’avantage d’être discret et quasiment invisible pour les autres estivants. Marc étala sa serviette sur le sable chaud avant de s’exprimer. — Tu fais comme tu le sens, mais moi je pratique le bronzage intégral, expliqua-t-il en se dénudant entièrement confirmant ainsi à Nanou que ce que Flo avait pressenti était vrai. Leur voisin au camping était effectivement doté d’attributs virils particulièrement développés.Cette vision troubla la jolie femme qui détourna rapidement les yeux pour masquer son émoi. — Tu viens piquer une tête avec moi ? demanda alors Marc à Nanou.— Non merci, je préfère bronzer un peu d’abord.— Comme tu voudras. Je te suggère de patienter quelques minutes pendant que je fais trempette. Ainsi, à mon retour, je me ferai un plaisir d’enduire ton corps de déesse de crème solaire. Sans laisser le temps à Nanou de répliquer, l’homme courut vers la mer, ce qui eut pour effet de faire rebondir en tout sens son imposant membre viril. La belle blonde resta quelques instants interdite en regardant Marc exhiber ainsi au vu de tous son épais manche de pioche. Une fois son trouble évacué, Nanou décida de s’allonger sur le dos et ferma les yeux pour profiter du soleil qui, espérait-elle, allait bien vite donner à sa peau une jolie teinte cuivrée. Quelques minutes plus tard, elle fut tirée de ses pensées par Marc qui ramassait sa serviette pour se sécher. Les yeux vaguement entrouverts derrière ses lunettes de soleil, la séduisante blonde regardait l’homme essuyer avec application ses attributs masculins, impressionnée plus qu’elle ne l’aurait voulu par la taille indécente du tuyau et les énormes boules poilues qui pendaient impudemment entre ses cuisses de taureau. Marc ne cachait visiblement pas sa fierté d’être si bien monté, et d’ailleurs, il se privait rarement d’exhiber ses parties intimes lorsque l’occasion lui en était donnée. Il savait par expérience que peu de femmes pouvaient rester parfaitement sereines en découvrant son service trois pièces hors normes. Nanou ne fit pas exception à la règle, et pour cacher son trouble, elle se retourna sur le ventre.Marc s’adressa alors à elle. — Je vois que tu n’as pas encore mis de crème solaire. Tu es toujours partante pour que je m’en charge ?— Si ça t’amuse.... répondit Nanou après une courte hésitation.— Je considère plus ça comme un plaisir que comme un amusement. Marc saisit aussitôt le tube posé sur la serviette de la pulpeuse blonde et il s’agenouilla tout près d’elle pour pouvoir exécuter sa tâche. Sans demander son avis à la femme, Marc ne tarda pas à dégrafer le haut bandeau de son bikini pour étaler délicatement la crème sur la surface plus claire de sa peau n’hésitant pas à pousser jusqu’à la naissance de ses seins généreux. Il ne se gêna pas, non plus, pour se moquer gentiment de l’insistance de Nanou à vouloir conserver son maillot. — Je pensais en t’emmenant sur cette plage discrète, que tu serais ravie d’exposer ton corps au soleil. Mais tu préfères sans doute arborer de vilaines marques blanches dans le dos ou sur ton joli buste. La blonde s’abstint de répliquer alors que Marc étalait consciencieusement la crème sur tout le derrière de ses jambes insistant particulièrement sur le haut de ses cuisses. Lorsqu’il lui demanda de se retourner, Nanou s’exécuta lentement en maintenant les bonnets de son soutien gorge plaqués sur ses seins fermes et généreux, mais devant l’air navré de Marc, elle finit par déposer son bandeau, dévoilant non sans une certaine émotion, matérialisée par un léger afflux de sang dans son visage joliment dessiné, ses globes opulents au mâle ravi. — Tu vois que ce n’était pas si compliqué, lâcha Marc avant de préciser. — J’ai toujours un peu de mal à comprendre ces minauderies de pucelle effarouchée chez une femme bien mieux foutue que la plupart des nanas qui bronzent à poil sur cette plage. Allonge-toi maintenant que je puisse m’occuper de ton torse. Nanou ferma les yeux tandis que Marc lui crémait le ventre avant de s’occuper de sa généreuse poitrine. Nanou faillit s’insurger contre ce massage pour le moins familier mais elle préféra se taire parce que ses tétons érigés et gorgés de sang trahissaient l’excitation qui la gagnait peu à peu. Marc ne fit aucun commentaire et il termina sa tâche en s’occupant de l’intérieur des cuisses et des jambes de la blonde. Il jeta ensuite un regard satisfait sur le corps de Nanou avant de s’adresser à elle. — Voilà ma belle, j’ai presque fini. Maintenant tu envoies balader ton slip de bains et tu seras parée.La demande choqua Anne.— C’est hors de question!— De quoi as-tu peur ? Je ne vais pas te sauter dessus parce que tu es toute nue. Je veux simplement que nous nous retrouvions sur un pied d’égalité toi et moi. Ne voulant pas passer plus longtemps pour une rabat-joie, Nanou réprima une grimace de contrariété et finit par s’exécuter offrant à son compagnon une vue imprenable sur sa toison intime totalement naturelle. — Veux-tu que je mette de la crème sur ton joli postérieur ? demanda alors l’homme à Nanou dont le visage avait pris une teinte rouge pivoine. N’espérant pas de réponse à sa demande provocatrice, Marc s’étendit sur le dos, allongea ses bras le long de son corps et écarta largement les cuisses.Le bout de son sexe reposait désormais sur sa serviette. Il proposa ensuite à Nanou de s’activer à son tour en étalant de la crème solaire sur son corps. La blonde, qui ne se souciait plus vraiment de sa nudité, n’émit aucune protestation et elle vint s’agenouiller à quelques centimètres de l’abdomen du séduisant macho. Elle commença par déposer quelques noisettes de crème sur son torse musclé et velu. Puis elle entreprit un lent massage commençant par les pectoraux musclés de Marc avant de descendre peu à peu vers son pubis. Le mâle trouvait visiblement le traitement à son goût car bien vite, Nanou put clairement distinguer les effets produits sur son anatomie. La tige orgueilleuse de l’étalon s’était gonflée de sang et elle se redressait inexorablement vers le ciel. Réellement impressionnée par les proportions spectaculaires atteintes par le sexe masculin, Nanou se sentait gagner par une excitation difficilement contrôlable. Sa chatte de plus en plus humide traduisait son émoi et elle se doutait que Marc ne tarderait guère à constater l’état de trouble dans lequel elle était en train de basculer. Rassuré par l’impact de sa puissance virile sur la belle Nanou, Marc exultait intérieurement. Il avait désormais la confirmation de son ascendant sur la blonde aux formes inspirantes.Et il se félicita de l’avoir emmenée dans ce coin discret et bien sûr d’avoir su la convaincre de se dévêtir intégralement. Marc pensa alors qu’il était temps de profiter de la situation pour pousser son avantage. Il brisa le silence d’une voix affirmée. — Tu as des doigts de fée ma belle Nanou. Ta manière de passer de la crème est très sensuelle et d’un érotisme certain. J’espère que tu n’es pas choquée par les manifestations exacerbées de ma virilité. Nanou était trop émue pour répondre et elle toussota pour se donner bonne figure. N’osant plus bouger, elle laissa à Marc le loisir d’attraper sa main immobile et de la tirer fermement contre son dard désormais dressé à la verticale.— Profite de ce moment ma belle Nanou. Je vois bien que tu meurs d’envie de vérifier la dureté de ma virilité que tu as si bien stimulé par ton massage.Pour vaincre les dernières réticences de Nanou, Marc posa sa main sur sa taille et il la rassura de sa voix de séducteur.— N’aie crainte ma belle, là où nous sommes, nul ne peut espionner nos petits jeux coquins.La femme enserra alors fortement le fabuleux manche de Marc tandis qu’un délicieux frisson se diffusait dans son bassin. Son trouble augmenta de plus belle lorsqu’elle se rendit compte que ses doigts ne pouvaient entourer entièrement la base de la hampe majestueuse qu’elle n’avait désormais aucune intention de lâcher. Satisfait, Marc se détendit et, à mots couverts, il encouragea Nanou à le masturber. La belle blonde semblait comme hypnotisée. En train de perdre pied, elle était incapable de contrôler le flot de cyprine qui inondait son fourreau intime. Tout en gardant les yeux rivés sur la queue géante du macho, elle avait commencé à faire coulisser sa paume sur la hampe tendue. Puis elle avait accéléré le mouvement de plus en plus excitée par le jeu érotique auquel elle était en train de se livrer. Marc appréciait la caresse à sa juste valeur transporté par le plaisir délicieux qui envahissait la moindre de ses extrémités. Puis, alors que Nanou prenait de plus en plus d’assurance, faisant fi du torrent de jus qui trempait ses cuisses, ses mouvements soignés et destinés à donner toujours plus de plaisir à Marc finirent par produire l’effet prévisible. Alors que Marc avait contracté tous ses muscles en poussant un grognement de grizzli, plusieurs jets conséquents de sperme allèrent se perdre dans le sable chaud à bonne distance du couple. Nanou laissa échapper une exclamation de surprise en découvrant le volume et la force de l’éjaculation qu’elle venait de provoquer et lorsqu’en proie à un désir animal, elle pinça machinalement son bouton intime qui n’avait jamais été autant gonflé, elle fut instantanément submergée par un orgasme aussi incroyable qu’inattendu. Malgré leurs quinze ans de vie commune, Nanou n’avait jamais osé branler Pierre, son époux.Elle ne put s’empêcher de penser qu’elle se serait livrée à cette pratique depuis bien longtemps si son mari avait été doté d’une aussi belle bite que celle de Marc. Et bien sûr, l’idée de recevoir ce pieu géant au plus profond de son intimité ne tarda pas à s’immiscer dans son esprit. Très perturbée par ses pensées et les caresses qu’elle venait de prodiguer à un quasi-inconnu, Nanou choisit de retourner s’allonger sur sa serviette pour évacuer son trouble. Une minute plus tard, Marc était venu s’asseoir à ses côtés lissant nonchalamment ses longs cheveux blonds. — Tu m’as comblé belle Nanou, ta caresse était un vrai bonheur, déclara l’homme à voix basse avant de poursuivre. — Je vais être franc avec toi. Depuis que je t’ai croisée pour la première fois avant-hier, je n’ai pas arrêté de te désirer. L’aveu de Marc troubla à nouveau Nanou qui ne se déroba pas lorsque l’homme fit pivoter sa tête avant d’approcher son visage pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche. Leurs langues se mêlèrent spontanément et Nanou se renversa sur le dos pour mieux offrir ses lèvres à l’étalon qui en profita pour caresser délicatement les courbes et les vallées qu’elle venait de mettre à portée de ses mains.Le mâle bandait à nouveau comme un cerf ajoutant au désarroi de Nanou. La belle quadragénaire se sentait de plus en plus tiraillée entre son statut de femme honnête et fidèle et son désir croissant de se faire remplir par le pieu arrogant et tentateur de son séducteur. Doucement, Marc approchait sa queue toute raide de la vulve de la belle blonde. Se préparant à prendre possession de son corps aux courbes tentatrices, il plaqua sa main gauche sur la croupe bien ronde de Nanou, avant de poser son brugnon turgescent sur la fente trempée de la femme. Mais avant que l’énorme gland force le passage brûlant situé entre ses cuisses, Nanou se mit à résister. — Non, ne fais pas ça, je t’en prie... supplia-t-elle. Je ne peux pas m’offrir à toi. Marc voulut passer outre mais Nanou s’opposa à nouveau.— Non s’il te plaît, Marc. Je ne veux pas... Sois respectueux. Je ne suis pas une putain que tu peux sauter à ta guise. J’ai une famille et un mari que je respecte. Marc avait compris que le corps de Nanou exprimait exactement le contraire des mots qu’elle venait de prononcer. Mais il sentait aussi qu’il serait criminel de forcer la belle femme blonde malgré la chaleur dissipée par son fourreau brûlant qui trahissait avec évidence son violent désir de se faire transpercer. L’étalon s’écarta donc précautionneusement de Nanou, décollant le bout de son sexe de l’entrée de la fente si attirante, puis il se releva d’un coup et courut se jeter dans la mer pour calmer son excitation. Une belle trentenaire rousse en tenue d’Ève poussa un cri en apercevant par hasard l’érection phénoménale de Marc qui, une fois dans l’eau fraîche, dut patienter plusieurs minutes avant de débander. Lorsque le mâle vigoureux retrouva Nanou, celle-ci avait revêtu sa robe noire. Elle voulait à tout prix oublier cette étreinte inaboutie qu’elle avait refusée à son corps défendant, et elle n’osait regarder Marc dans les yeux consciente que son comportement témoignait de son manque de volonté et de sa difficulté à assumer ses désirs profonds. — Détends toi ma belle, la rassura l’homme en voyant l’air déconfit de la quadragénaire. Je comprends très bien tes scrupules et je n’ai pas l’intention de te faire de reproches.Maintenant, je pense qu’il vaut mieux que je raccompagne à ton mobil-home, si tu le souhaites toi aussi. — Oui s’il te plaît Marc. Je ne t’en veux nullement pour ce qui vient de se passer. Tu es un homme très attirant. Et j’aurais dû me douter que pratiquer certains jeux avec toi n’était pas sans danger. Mais je n’aurais jamais pensé que la situation allait dégénérer à ce point. Je m’en veux de m’être abandonnée aussi facilement.— Allons ma belle, rétorqua Marc en enfilant directement son bermuda sur sa peau nue, tu es une très belle femme qui déborde d’une sensualité qui ne demande qu’à s’épanouir. Et j’espère que ce qui s’est passé ce matin ne nous empêchera pas de continuer à nous fréquenter pendant votre séjour. Nanou lui fit un sourire mitigé et elle ramassa son sac de plage alors que Marc lui tendait la main pour la conduire vers le chemin de la dune. Le mâle était convaincu que ce contretemps n’aurait que peu d’incidence sur la suite de sa relation avec Nanou. Il était en effet intimement persuadé que la belle blonde ne tarderait pas à se donner à lui sans tabou.
