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Chaleurs estivales

Chapitre 2

Nanou lâche du lest.

Hétéro
Marc venait de quitter la partie non goudronnée de la route menant à la plage naturiste et il s’apprêtait à retourner au camping. La voiture était à peine engagée sur la départementale lorsque le téléphone de Nanou se mit à sonner.
Marc eut le temps d’apercevoir le visage souriant de Flo s’afficher à l’écran avant que Nanou colle l’appareil sur son oreille droite. — Coucou Flo, tout va bien ? demanda Nanou. — Très bien et toi, comment se passe ta matinée avec le beau Marc? Nanou répondit de manière évasive.— Ça se passe. Nous sommes en route pour rentrer au camping. — Ah bon déjà ? Il y a eu un problème entre vous deux ? — Rien de grave, ne t’inquiètes pas. Je t’expliquerai quand on se reverra. Tu comptes déjeuner au mobil-home ? — Et bien non. C’est d’ailleurs pour ça que je t’appelle. Il se trouve qu’un homme charmant, que j’ai rencontré sur Internet il y a quelques semaines, passe trois jours dans le coin et il m’a proposé de le rejoindre dans un petit hôtel-restaurant disposant d’une jolie vue sur la mer.
Nanou émit un petit rire avant de déclarer. — Tu ne perds pas le nord toi, au moins. — Tu me connais assez pour ne pas être surprise. D’ailleurs, tu devrais faire comme moi et déjeuner avec Marc. Je suis sûre qu’il serait ravi. Nanou tourna la tête vers son chauffeur et leurs regards se croisèrent un bref instant. — Je ne sais pas, répondit Nanou à son amie avant de lui souhaiter de passer un bon moment. — Qui vivra verra , conclut Flo avant de raccrocher.
— Que voulait ta copine si ce n’est pas indiscret? demanda Marc d’une voix détachée. — Oh rien de particulier. Elle vient de m’apprendre qu’elle préfère déjeuner avec un inconnu plutôt qu’avec sa meilleure amie.
Marc eut un léger sourire qui disparut dès qu’il constata la déception de Nanou. Pour la réconforter, le viril macho posa sa main droite sur la cuisse de sa voisine ce qui fit légèrement sursauter la jolie blonde. — Désolé ma belle, lâcha l’homme en retirant sa main. J’aurais dû éviter ce geste un peu familier, mais je n’aime pas te voir avec l’air triste. — C’est gentil et ne t’en fais pas. Le contact de ta main ne ne me dérange pas plus que ça. — En ce cas... lâcha Marc en reposant sa main sur la cuisse de Nanou ce qui déclencha un rire discret chez la belle quadragénaire.
— J’ai l’impression que tu ne laisses jamais passer une occasion toi, déclara-t-elle. — Tu n’as rien d’une vulgaire occasion chère Nanou. Pour moi, tu es une magnifique première main que je rêve d’enlacer. — Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais je suppose que tu dois dire ça à toutes les femmes qui te plaisent. — Ça dépend. Je ne connais pas ton histoire mais j’ai l’impression que ton magnifique chassis n’a pas eu beaucoup d’occasions de vibrer. J’ai la prétention d’avoir quelque expérience avec les femmes et je sais reconnaître celles qui ont fait le choix désolant de mettre entre parenthèses une sensualité explosive.
La remarque de Marc fit rougir Nanou. — Tu penses que je fais partie de ces femmes ? Demanda-t-elle d’une voix hésitante. — J’en suis persuadé, ma belle. Mais la bonne nouvelle pour toi, c’est que tu m’as rencontré et que j’ai bien l’intention te faire découvrir le plaisir charnel.
La déclaration de Marc estomaqua la jolie blonde.— Tu es sérieux quand tu me dis un truc pareil ?— Sans doute plus que toi si tu me racontes que ton mari te comble sexuellement.
Les mots de Marc troublèrent un peu plus Nanou qui admit intérieurement que l’homme avait au moins partiellement raison. Ce qui n’échappa pas à Marc qui poussa son avantage tout en caressant la cuisse de Nanou. — J’ai vu comme tu étais excitée lorsque tu tenais ma queue dans ta main, commença-t-il. Beaucoup de femmes pensent que la taille n’a pas d’importance avant de rencontrer un mâle mieux doté que les autres.
Le coeur de la belle quadragénaire se mit à battre la chamade alors qu’une chaleur prégnante envahissait à nouveau son intimité.— Tu n’as sans doute jamais eu l’occasion de coucher avec un étalon doté d’une bite énorme, poursuivit Marc. — Non jamais... avoua Nanou d’une voix blanche après un temps d’hésitation.— De toute façon, je n’ai pas connu beaucoup d’hommes dans ma vie. — As-tu déjà été excitée en regardant des vidéos pornos dans lesquelles des belles femmes aux formes épanouies se faisaient monter par des hommes possédant de très gros sexes ?
Nanou n’osa pas répondre. — T’es-tu déjà caressée en imaginant que tu te faisais prendre par un type surmembré ?Nanou restait silencieuse mais son trouble était de plus en plus évident alors que des images furtives de coïts hors normes lui revenaient en mémoire.
Une large tache de cyprine était en train de tremper le bas de maillot de sa paysagère et Marc s’en rendit compte après avoir glissé son index sous l’étoffe du vêtement. Il avait en effet estimé que c’était le bon moment pour profiter de l’ excitation croissante de Nanou, qui troublée, avait inconsciemment écarté les cuisses.Et Marc commença à explorer le pubis de sa passagère avec des gestes lents et mesurés. Lorsque la phalange de Marc atteignit sa fente intime, Nanou sursauta avant d’écarter le bras de l’homme. — Je t’en prie Marc, ne recommence pas. Je ne suis pas prête à céder à tes avances.
Le ton de la quadragénaire était de moins en moins convaincant.— Serait-ce si insupportable si tu t’offrais à moi ? Demanda l’homme en retirant lentement sa main.— J’ai une formidable envie de te baiser et je pense que tu partages mon point de vue.
Nanou rougit violemment incapable de prononcer un mot.
Marc repéra alors un petit chemin qu’il emprunta jusqu’à ce qu’il trouve un coin discret et ombragé.
Nanou resta silencieude jusqu’à ce que son chauffeur immobilise le véhicule à l’ombre d’un grand cèdre.Après avoir coupé le moteur, Marc détacha sa ceinture de sécurité ainsi que celle de sa passagère. Puis il se pencha vers Nanou qui fit mine de le retenir du bras gauche. Mais le geste de la femme blonde manquait de fermeté et elle ne détourna pas la tête lorsque les lèvres du mâle entrèrent en contact avec les siennes.Tandis que sa langue agile forçait la bouche brûlante de Nanou, Marc en proie à une douloureuse érection défit les boutons de son bermuda permettant à sa queue turgescente de jaillir telle un ressort. Saisissant son membre à pleine main, il l’orienta vers Nanou, puis décolla ses lèvres de celles de sa passagère avant de s’exprimer d’une voix fière. — Regarde ma queue. Tu vois comme elle est grosse n’est-ce pas ? Tu n’imagines même pas comme tu vas jouir lorsque je vais te baiser !
Nanou baissa les yeux comme hébétée incapable de contenir le sentiment partagé entre frayeur et désir irrépressible qui la gagnait peu à peu. — Mais qu’est-ce que tu fais ? s’écria-t-elle. — Tu le vois bien, ma belle! Rétorqua Marc. Je me prépare à t’offrir le plaisir auquel tu aspires même si tu t’entêtes à prétendre le contraire.Nanou encaissa la réponse alors qu’un afflux de sang irriguait son visage et son clitoris.— Maintenant tu vas cesser tes jérémiades de pucelle effarouchée.Ensuite tu sortiras de la voiture et tu te mettras à poil pendant que je nous installe un petit nid d’amour.
Sans se préoccuper plus longtemps de sa passagère, Marc quitta la décapotable. Puis il se débarrassa de son polo, son bermuda et ses chaussures avant de poser une grande couverture sur l’herbe jaunie. Ensuite, il se rendit vers la portière passager qu’il ouvrit avant de saisir Nanou par le bras et de la tirer à l’extérieur d’une main ferme.
Le trouble de la belle blonde était à son paroxysme mais elle ne résista pas à la poigne du mâle dont le sexe gonflé de désir pointait tel un canon menaçant prêt à prendre possession de son intimité ruisselante .Avec des gestes précis, Marc dégrafa la robe de Nanou et il l’aida à se débarrasser de son slip avant de la coucher sur la couverture en la maintenant par la taille. Leurs lèvres s’unirent tandis que Marc s’allongeait sur Nanou. Tout en maintenant fermement les cuisses de la quadragénaire écartées, il força lentement mais inexorablement sa fente intime.Lorsqu’il estima que sa conquête était prête, il poussa d’un coup pour la pénétrer jusqu’au fond de son vagin. La blonde en eut le souffle coupé tandis que Marc commençait à aller et venir en elle.La femme vaincue abandonna alors toute velléité de repousser l’étalon pour consacrer toute son attention au membre monstrueux qui lui écartelait les parois intimes. Consciente de sa vulnérabilité, Nanou acceptait enfin de rendre les armes et de laisser son corps exprimer un désir qu’elle ne pouvait refouler plus longtemps.
La crainte de la douleur d’accueillir un si gros tenon s’estompait peu à peu tandis que le frottement des veines saillantes du membre viril sur les parois de son vagin commençait à lui procurer de fantastiques sensations.Jamais Nanou ne s’était sentie si remplie et à chaque coup de boutoir, Marc s’enfonçait plus profondément en elle, déclenchant de puissantes ondes bienfaisantes dans tout son bassin. À chaque fois que le gland monstrueux de son amant percutait son utérus, Nanou ne pouvait s’empêcher de pousser un râle langoureux. Seul comptait désormais pour la quadragénaire frustrée, le plaisir inouï qu’elle ressentait en se faisant saillir bestialement par l’étalon en rut.
— Ouiiii! hurlait-elle. Viens plus loin! Baise moi! Défonce-moi! Fais moi jouir!
Ce n’était plus Nanou qui s’exprimait mais une femelle en chaleur encore plus déchaînée que le mâle triomphant qui la baisait sans retenue. La femme de quarante ans enchaînait les orgasmes sur un rythme effréné et elle faillit s’évanouir lorsque Marc se mit à déverser des flots de foutre au fond de son con.
Les deux amants restèrent ainsi soudés de longues secondes. Marc fut le premier à réagir. Il enlaça Nanou de ses bras puissants puis il chercha ses lèvres. La femme répondit à l’invitation en ouvrant la bouche pour échanger un baiser torride avec l’homme qui venait de lui procurer le plus intense orgasme de son existence.
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