Lorsque Mario raccompagna Nanou au camping, il était un peu plus de treize heures. Le grand noir n’était pas en vacances et s’il avait pris une matinée de RTT pour honorer sa nouvelle maîtresse, il devait retourner dans l’après-midi à son bureau où il exerçait les fonctions d’acheteur pour une enseigne locale de bricolage. Son poste nécessitait des déplacements fréquents à la capitale où il entretenait plusieurs liaisons adultérines avec de belles et pulpeuses parisiennes. Flo et Marc étaient en train de déjeuner devant le mobil-home des filles, abrités du soleil par le large auvent qui en protégeait l’entrée. — Ah! Te voilà enfin ! lâcha Flo en apercevant son amie dans sa tenue de la veille.— Tu as de petits yeux dis-moi. À mon avis, tu n’as pas dû beaucoup dormir.Nanou n’esquiva pas la question.— J’avoue, ce n’est pas facile de trouver le sommeil avec cette chaleur nocturne. Mais, j’irai me reposer plus tard car je commence à avoir faim. Flo fit un clin d’œil à Marc avant de répondre à son amie.— Tu as de la chance, je t’ai gardé de la salade de riz et il y a du fromage dans le frigo. — C’est super sympa. Je rentre me changer et je vous rejoins dans quelques minutes.Marc, qui n’avait pas prononcé un mot jusque là, parla à Nanou.— Je te trouve très bien comme ça ma belle. — Sans doute, mais j’ai un peu trop transpiré.— En tout cas, l’absence de culotte te va à ravir.— Justement, c’est pas très pratique quand on a subi les assauts d’un mâle avec des couilles remplies à ras-bord. Heureusement que je ne sors jamais sans tampons hygiéniques. Flo éclata de rire alors que Nanou rentrait dans la petite maison.Une dizaine de minutes plus tard, elle réapparut vêtue d’un micro-short et d’un dos nu sous lequel elle n’avait pas jugé bon de porter de soutien-gorge.— Je suis affamée, lâcha-t-elle en s’installant. Où est passé Marc ? Questionna-t-elle ensuite en constatant l’absence du séduisant macho.— Il avait un truc à faire dans sa cabane, paraît-il et il a ajouté qu’il préférait nous laisser seules parler chiffons.— C’est très sympa de sa part, lâcha Nanou avant d’avaler une grande fourchette de salade. Vous vous êtes bien éclatés tous les deux cette nuit ?— Pas vraiment, un petit coup avant d’aller dormir. Je pense que notre ami n’avait pas totalement récupéré de ses exploits d’hier avec nous deux. Et pour toi, ça s’est bien passé ?
— C’était dément. Mario était en pleine forme et j’ai eu droit à la totale. — Tu veux dire que tu lui as même autorisé le passage par la petite porte ? S’étonna Flo.— Oui et on a remis ça ce matin. Je dois avouer que tu avais raison. Toute femme devrait essayer la sodomie au moins une fois dans sa vie. J’ai découvert des sensations inconnues. — Il est aussi bien monté que Marc, ton étalon noir ?— À mon avis, les longueurs se valent mais celle de Mario est plus épaisse. Et je peux te dire que je l’ai vraiment sentie passer. C’était incroyable.— Vous allez continuer à vous voir?— Bien sûr. C’est la première fois que je ressens ce désir pour un homme. C’est presque animal. Et rien qu’en y pensant, j’ai des papillons dans le ventre.— Oula la, méfie-toi tu es en train de devenir une BAB.— Une quoi ?— Une blanche à black, comme ces femmes qui deviennent accro à des hommes noirs imposants, musclés et bien sûr dotés de queues énormes. La déclaration de Flo plongea Nanou dans une profonde réflexion. C’est vrai que le plaisir que lui avait procuré Mario était sans commune mesure avec ce qu’elle avait connu jusque là. Car, même si Marc l’avait bien faite jouir en la baisant la veille, ce qu’elle avait ressenti avec Mario était beaucoup plus intense. — Tu veux faire quoi cet après-midi? demanda Nanou à son amie après avoir terminé son déjeuner. J’aimerais bien aller bronzer et me baigner un peu.— C’est une bonne idée. Je crois que Marc doit participer à un match de volley. Mais d’abord, il m’a proposé une petite sieste crapuleuse en sa compagnie.— Très bien. Je vais en profiter pour dormir un peu. Il faut que je sois en forme pour ce soir. Mario m’a dit qu’il passerait vers dix-neuf heures. Il a l’intention de m’emmener dans un petit restaurant de fruits de mer.— Je suppose que tu ne dormiras pas dans le mobil home. — Ça m’étonnerait. @-------@ La nuit que partagèrent Nanou et Mario après le dîner fut effectivement torride. Et ils purent profiter du début de week-end pour faire la grasse matinée. Dès le réveil, Mario en pleine forme baisa une nouvelle fois sa maîtresse avant de préparer un brunch reconstituant pour elle et lui. @-------@ — Viens me sucer ma belle, s’exclama le grand black en flattant la belle croupe de Nanou allongée entièrement nue sur le ventre à ses côtés.La quadragénaire blonde lézardait langoureusement au soleil et la voix puissante de Mario la fit sursauter et sortir de sa torpeur.— Je te trouve bien directif, lâcha-t-elle d’un ton boudeur.— Allons épargne moi tes états d’âme. Moi les bourgeoises, je les aime bien salopes comme toi, mais aussi dociles. Et quand je demande une faveur, je n’aime pas attendre.Nanou se mit à rougir quelque peu choquée par le ton dur de Mario mais elle quitta néanmoins sa serviette pour se rapprocher de son amant. La vue du sexe monstrueux fièrement érigé du noir provoqua chez elle un effet puissamment aphrodisiaque semblable à un coup de fouet et la belle blonde ne tarda guère à venir s’asseoir près de son étalon mollement étendu sur le dos. Nanou saisit alors spontanément le pieu dressé avant de se pencher pour introduire le brugnon marron entre ses lèvres pulpeuses. Lorsque le bout du membre disparut dans sa bouche, Nanou eut une brève pensée pour son mari. Mais elle oublia vite tout scrupule pour se concentrer sur le formidable engin qui lui écartelait la mâchoire. Tout en examinant avec intérêt le corps puissamment musclé du colosse, elle s’appliquait à lui procurer le maximum de plaisir avec sa langue. Avant ces vacances aux péripéties inattendues, Nanou n’avait connu que des sexes ordinaires, et elle mouillait comme une chienne en chaleur en imaginant le moment où elle allait accueillir une fois de plus ce braquemart si imposant entre les cuisses. Trop excitée pour patienter plus longtemps, elle se redressa et s’accroupit afin de venir se positionner au dessus du pieu dressé. Elle saisit ensuite fermement le manche et glissa délicatement la tête gorgée de sang à l’entrée de sa vulve. Nanou ne put réprimer un cri de douleur lorsque le pilon commença à lui dilater la chatte. La sensation était incroyablement puissante et la femme submergée par le désir hurla à nouveau lorsque le bout du rondin percuta son utérus. Mario avait saisi sa maîtresse par la taille pour l’aider à coulisser sur sa queue. Le vagin de Nanou s’adaptait lentement mais sûrement à l’épaisseur peu commune du sexe masculin. Toute au plaisir procuré par son amant, la belle blonde gémissait bruyamment et bien vite un violent orgasme la submergea. Pendant plusieurs minutes, elle crut jouir sans s’arrêter jusqu’à ce qu’un jet violent de sperme se déverse au fond de son con.Ivre de jouissance, Nanou s’affala sur son amant lui offrant spontanément ses lèvres pour un baiser torride. @---------@ À quatre pattes sur le grand lit de la chambre de Mario, Nanou gémissait bruyamment sous les coups de boutoir de l’étalon qui lui alésait le fondement énergiquement. Envolées, les hésitations des premiers jours. Depuis qu’elle avait cédé à Marc, le macho qui l’avait pratiquement forcée à l’ombre d’un bosquet perdu dans les bois, Nanou ne pensait plus qu’à profiter des vacances pour s’envoyer en l’air. Et in fine, c’est Mario le copain black de Marc qui avait su dompter la belle bourgeoise blonde en la rendant accro à son énorme bite. Nanou n’avait alors refusé aucune pratique à son amant trop heureux de lui déflorer le cul alors qu’elle avait toujours refusé cette pratique auparavant. Ces vacances en compagnie de son amie Flo, avaient finalement constitué l’élément déclencheur qui avait permis à Nanou de prendre enfin conscience qu’il était stupide de refouler sa sensualité naturelle. Arborant de plus en plus souvent tenues minimalistes et talons démesurés, la belle blonde avait décidé de ne plus porter de sous-vêtements pendant tout le reste du séjour car elle tenait à être toujours prête à se faire saillir par son infatigable amant black. @--------@