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Chaleurs Grecques

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Bien qu’apparemment étonnante, cette histoire s’est déroulée en 2010 et aurait presque pu arriver à n’importe lequel d’entre nous tous, pour peu que le couple soit harmonieux et désireux de vivre une sexualité épanouie.
Je viens déposer cette aventure ici, celle qui a changé notre vie, pour la partager et recueillir vos avis sur notre situation.Ma femme a lu mon compte rendu et le trouve assez fidèle. Elle tient à préciser que vu que c’est moi qui écris, il ne s’agit que de ma vision des choses. Pour le moment, nous vivons notre « nouvelle vie amoureuse » et elle ne souhaite pas me dire la façon dont elle, elle a vécu tout ça.
Je nous présente donc. Nous sommes Pierre et Nadine, en couple depuis presque 20 ans. Nous nous sommes connus jeunes. Nadine a maintenant 39 ans et j’en ai 44.Nos enfants sont grands et nous pouvons profiter un peu de la vie. Nadine est restée une très belle femme châtain, un peu bourgeoise, un peu conventionnelle et la tonicité de sa jeunesse a été remplacée par une rondeur sensuelle qui me plaît beaucoup. Si j’en juge par les regards insistants de certains hommes ou femmes dans la rue, elle est encore très désirable.Ses hanches sont larges, ses fesses hautes et rondes. Après les grossesses, sa poitrine est restée lourde et ses auréoles se sont agrandies.J’adore ces deux beaux seins (90C) légèrement tombants, bien remplis avec ces gros tétons érectiles qui prennent une teinte sombre et deviennent comme des framboises quand elle est très excité.Son puits d’amour est une douceur sans fond à laquelle je m’abreuve de ses liqueurs intimes. Je me plonge entre ses cuisses avec toujours autant de délectation. Sa chatte est large, suave et produit une mouille abondante qui nous permet tous les jeux dont la sodomie.Ce n’est pas qu’elle en raffole, mais quand elle est bien excitée elle aime se sentir soumise à la puissance de mon membre.Certes, avec les années, je me suis un peu empâté mais je garde une bonne vigueur malgré un sexe que j’aurais aimé avoir un peu plus gros. Je sens bien que Nadine aimerait être plus remplie parfois.
Notre sexualité a toujours été plutôt conventionnelle. Nous prenons toujours beaucoup de plaisir ensemble, même si parfois à la longue cela devient un peu toujours la même chose. Mais bon, nous faisons l’amour assez souvent et je sais que ma femme aime le sexe même si parfois je me demande si notre vie de ce côté-là n’est pas un peu « triste ».
Nous aimons toutes les choses de l’amour et avons déjà regardé des films pornographiques. Nadine dit que ça la "dégoûte », mais elle est quand même drôlement mouillée et très réceptive au sexe après une quinzaine de minutes de projection.Pour me faire plaisir et à mon insistance, nous sommes allés quelquefois en club échangiste. Les premières fois, nous étions comme des enfants excités et sommes rapidement rentrés faire l’amour, la tête encore pleine des images d’exhibitions et de fornications que nous venions de voir. Jamais nous n’avons échangé ni ne nous sommes mélangés avec d’autres couples. Une fois ou deux nous avons discuté, mais cela n’est jamais allé au-delà. À chaque fois, nous rentrions à la maison assez émoustillée par l’ambiance où certaines scènes que nous avions vues. J’aurais bien aimé aller plus loin, mais Nadine ne le souhaitait pas.
La dernière fois que nous sommes sortis ainsi, dans le courant de l’hiver 2010, nous avons surpris en déambulant dans les coins câlins une séance SM de domination d’un homme sur une femme qui, à ma grande surprise, a mis Nadine quasiment transe.Le type donnait des ordres et insultait la femme en la faisant jouir avec un gros godemichet qui lui écartait la chatte.Elle répondait qu’elle aimait ça, qu’elle était une salope et qu’elle avait besoin de bites. Elle a ensuite sucé tous les mâles de l’assemblée, dont certains avaient un très gros sexe. Je regardais Nadine du coin de l’oeil, elle semblait très impressionnée par certaines pines qu’elle avait presque à portée de main. La femme a faits gicler les hommes sur ses seins tandis que son maître l’enculait. C’est vrai que l’atmosphère était lourde et l’ambiance très sexuelle.Nadine ne pouvait détacher son regard de la scène et elle mouillait tellement que je sentais entre mes doigts sa cyprine qui glissait le long de ses jambes tremblantes. De longues coulures grasses qui s’échappaient du bord de son string et descendaient le long de l’intérieure de ses cuisses.Elle m’a entraîné dans la pièce d’à côté, a fermé la porte et m’a demandé le regard brûlant de lui plonger « la bite au fond du cul ».


Elle était quasi hystérique. Je bandais comme un âne moi aussi alors je suis rentré dans son anus chaud et glissant comme si je me coulais au fond de sa chatte. Elle a gémi de plaisir en concert avec la femme soumise qui continuait de se faire défoncer de l’autre côté de la fine cloison.Je l’ai pistonné cinq bonnes minutes, brutalement, violemment alors qu’elle me criait de la « défoncer encore plus ».C’était une découverte du potentiel de Nadine et je n’ai pas résisté très longtemps. Je me suis vidé en un orgasme titanesque au fond de ses reins pendant qu’elle se faisait jouir pour la troisième ou quatrième fois en quelques minutes, les yeux hagards, en se pinçant le téton et le clitoris. Je ne reconnais c’est pas la mère de mes enfants.Nous sommes repartis assez vite du club et elle n’a jamais voulu reparler de cette soirée. Depuis, je lui ai proposé plusieurs fois d’y retourner mais je la sens gênée de mon insistance et elle refuse.
Cette année, nous avons pris nos vacances d’été à la fin du mois de juin.Une promotion du CE de ma boîte nous a permis d’aller deux semaines ensemble dans un club hôtel d’une petite île grecque.Voilà 8 jours que nous sommes arrivés, c’est la fin du séjour. Plus que deux jours de farniente et de volupté.L’ambiance est bonne. Comme je suis souvent en train de lire des livres pour le travail, (je travaille dans l’édition) Nadine se fait régulièrement draguer au bar de l’hôtel, au début par le serveur, mais il a compris qu’il n’arrivera rien puis par quelques autres touristes, dont un couple, ce qui m’a étonné.Nadine a repris ses activités de peinture, elle part souvent en fin d’après-midi quand la chaleur est retombée pour une heure ou deux. Elle revient toute transpirante, mais heureuse d’avoir pu saisir la lumière de l’endroit.Elle s’est acheté quelques jolies robes légères et un petit bracelet en cuir de cheville à une des boutiques du village. Une de ces petites échoppes toutes blanches tenue ici par un ancien beatnik allemand venu en vacances et qui n’est jamais reparti. Un certain Karl, un grand gars costaud barbu et hirsute, à la démarche nonchalante et qui parle d’une voix douce. Je l’ai vu une fois ou deux au bar de l’hôtel. Dans sa boutique, il fabrique des bijoux et propose des cristaux « énergétiques » pour les touristes.
Ces vacances me font du bien. Ma femme est plus détendue. Elle est bronzée, belle, sensuelle. Si au début de notre séjour nous faisions peu l’amour, nous nous sommes bien rattrapés depuis. Depuis quelques jours, Nadine redevient la fougueuse pouliche que j’ai connue avant ses maternités.Nous faisons l’amour presque tous les jours ou même plus, nous baisons comme des sauvages, souvent l’après-midi après le repas au moment la chaleur est la plus importante. Dans l’alcôve de notre chambre blanche, elle se donne sans retenue et avant-hier, elle m’a même demandé de la sodomiser.Depuis cette nuit au club libertin, elle n’avait jamais été aussi expressive. Sa chatte coulait d’abondance et je suis entré dans son anneau intime avec grande facilité tellement elle était excitée. Elle qui n’était pas du tout « annale », elle semble y prendre gout, pour mon plus grand plaisir, et le sien.Elle grognait de satisfaction et je la voyais s’introduire deux puis trois doigts dans le vagin en même temps que je la pistonnais de toute ma vigueur.Nous avons joui en même temps. J’ai inondé son boyau culier de grandes giclées de semence épaisses. Je jouissais tellement que j’avais l’impression de pisser. Nadine râlait les yeux révulsés et je sentais ses doigts s’agiter dans sa chatte, de l’autre côté de la membrane de chair qui nous séparait, augmentant encore notre plaisir à tous deux.
Ces vacances au soleil la rendaient radieuse, féminine et beaucoup plus libre sexuellement. Elle arborait toujours un petit sourire coquin et des que je la caressais sur le creux des reins, empaumant un sein, jouant avec son téton qui devient aussitôt rugueux. Ses yeux se mettent à briller et elle se fait chatte.Hier soir, nous devions sortir prendre un verre à la boîte de l’hôtel. Elle a passé la porte de la salle de bains nue, et rasée intégralement.J’étais surpris et ravi de cette initiative. Elle m’a dit qu’elle se sentait mieux comme ça et que c’était pour me faire plaisir. Son œil brillait et je voyais bien à ses tétons tendus, au chaloupé de sa démarche et au temps qu’elle prenait pour se choisir une robe que sa séance d’épilation l’avait mis en émoi.Je n’ai pas résisté plus longtemps. J’ai juste sorti ma queue. Elle m’a senti arriver dans son dos et a fait quelque chose auquel je ne m’attendais pas. Elle s’est juste penchée en avant en s’appuyant des deux mains sur le mur, à écarté les jambes, cambré son cul et sans même regarder a simplement dit « vas-y, mets la moi au fond. »Cette vision de ma femme cambrée, les jambes écartées, la chatte toute lisse qui me demandait de la prendre comme ça, sans préliminaire, a manqué me faire décharger sur la moquette.Je me suis approché d’elle et j’ai promené mon gland le long de sa fente. Elle était gluante, dégoulinante. Nadine a gémi de volupté. Je sentais son clitoris tout dur contre ma hampe. Je l’ai soufflé à l’oreille :— tu la veux dans quel trou ?— N’importe lequel, met la moi juste maintenant. J’ai trop envie d’une bonne queue.
Incroyable. Elle n’avait jamais prononcé des mots comme ça, avec cette voix rauque et son cul qui s’agitait contre ma bite dans l’attente de la saillie.L’esprit en fusion, je me suis ajusté contre son vagin et j’ai plongé dans un volcan liquide.— Hhaaaaa, ouiiiii… C’est trop bon ta queue comme ça !! Souffla Nadine tandis que je la perforai.
Je ne sais pas ce qu’elle a bien pu faire dans la salle de bains, mais en ce moment, ma femme était devenue une belle salope qui demandait à se faire défoncer. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai commencé à la bourrer de toutes mes forces. Elle râlait en s’appuyant contre le mur d’une main et je sentais ses doigts travailler son clitoris de l’autre main. Je sentais monter l’orgasme en même temps que son jus me coulait sur les couilles.Elle criait que c’était trop bon d’avoir une « bonne queue dans la chatte ». Ces mots crus dans sa bouche augmentaient notre plaisir à tous les deux.Dans un éclair, je suis sorti de son antre bouillant, remonté mon gland de 2 cm et je suis rentré dans son cul avec la même facilité que la dernière fois.Nadine criait que c’était encore meilleur par-là. Elle m’encourageait avec des « vas-y, vas-y, défonce moiii. Je suis ta salope… »J’étais surpris d’entendre de telles expressions, elle, plutôt réservée se lâchait vraiment. Mais j’étais trop heureux de ces changements pour y réfléchir. C’est vrai qu’en trois jours, elle m’avait demandé de l’enculer deux fois, en comptant cette fois-ci. Quelle fréquence !Je me suis vidé en râlant avec elle.Nous avons pris notre douche ensemble, en nous frottant mutuellement. J’ai même recommencé à bander un peu elle en a profité pour me sucer quelques minutes, à genoux dans la baignoire de la salle de bains sous le jet de la douche.Nadine n’avait jamais prodigué ce genre de gâteries dans de telles circonstances. Une fois, en revenant de promenade dans les bois, elle m’avait sucé dans la voiture sur le parking désert, sans aller jusqu’au bout. Jamais elle ne m’a laissé jouir dans sa bouche. Elle me disait que c’était sale, qu’elle n’aimait pas. Par curiosité, j’avais gouté mon propre sperme. Ce n’était pas mauvais. Particulier, un peu acre, légèrement salé, mais pas mauvais. En tout cas, un gout et une odeur à nulle autre pareille.Nous avions fini à la maison mais bien plus sagement que dans cet hôtel grec.
Le reste de la soirée à la boîte de l’hôtel fut excellent. Nous avons dansé, un peu trop bu, et Nadine s’est laissée gentiment faire la cour part deux routards babas cool qui venaient sûrement chercher de la touriste bourgeoise pour finir la nuit.Depuis ma table, je la regardais rire avec eux à gorge déployée en dansant. Elle les laissait lui caresser les fesses, les cuisses et même parfois la poitrine. Il faut dire qu’elle était peut- -être la plus belle femme de la soirée avec ses gros seins lourds qui dansaient sous la robe, elle n’avait pas mis de soutien gorge, son visage fin, sa coupe de cheveux sage et la sensualité qui se dégageait d’elle la rendait infiniment désirable. Mais toujours elle s’échappait de ses deux prétendants dans un clin d’œil espiègle.De retour dans notre chambre, il était quand même près de 3h00 du matin. Je me sentais un peu jaloux et je lui reprochai son attitude un peu trop détendue. Elle a ri en me disant de me « décoincer ». Que nous étions en vacances et il ne fallait pas le prendre mal, que je devrais plutôt être flatté d’avoir une femme qui plaisait encore à des hommes jeunes et bien bâtis et sûrement « montés comme des ânes ». J’ai été touché qu’elle puisse faire une référence aussi directe à la taille du sexe de l’homme et je l’ai un peu pris pour moi.

Puis avec un grand sourire canaille, elle ajouta :— et moi, je sais bien comment te détendre.
Elle m’a allongé sur le lit et m’a prodigué une pipe de rêve en m’avalant très loin avant de me chevaucher pour une nouvelle partie de sexe endiablée.Nadine devenait insatiable. Je ne savais pas trop d’où cela pouvait venir, mais ce dont j’étais sûr, c’est que j’adorais ça.
Je me rappelle par contre très bien de cet après-midi qui suivit la soirée.Nous étions fatigués de notre nuit d’amour. Nous avions baisé pendant plus de deux heures, jusqu’à presque 5h00 du matin. Nadine m’a demandé de la prendre par tous les orifices, plus femme et femelle que jamais. Depuis quelques jours, nous faisions l’amour très souvent et je nageais dans la volupté de vivre avec cette femme exceptionnelle.
Nous sommes tous les deux nus, sur le lit, tandis que la chaleur écrase tout à l’extérieur. Les volets sont fermés. Nadine dort sur le dos tandis que je tente de rester un peu éveillé pour lire le roman que j’ai commencé. Nous n’avons pas quitté la chambre depuis hier soir. Les restes du petit déjeuner sont posés sur un petit meuble au pied du lit. Nous avons explicitement mis le petit panneau sur la porte « ne pas déranger ». De toute façon, l’hôtel n’est pas grand et tout le monde sait bien que ma femme est « une chaude » si j’en crois certaines bribes de conversations attrapées ici et là, certains sourires en coin, sans parler de l’isolation de la chambre qui est incapable de contenir nos échanges de plus en plus sauvages au fur et à mesure que les vacances avancent.
Nous avons pris une douche et Nadine fait la sieste. Allongée, un bras à l’équerre, l’autre sous la tête, elle dort paisiblement. Je ne peux m’empêcher de contempler son corps bronzé. Sa respiration soulève lentement sa poitrine galbée. Les larges auréoles font bien 3 cm de diamètre et au milieu, le téton un peu mou surplombe le globe. On dirait des œufs au plat en miniature.Plus bas, j’admire le ventre légèrement bombé et le mont de Vénus lisse. Il y a encore une semaine, il était tout couvert de poils et les lèvres intimes ne s’écartaient pour laisser passer ma pine que bien trop peu souvent à mon goût.Depuis, il ne se passe pas une journée sans que ce puits de miel chaud ne m’aspire au fond de lui et me masse le gland, le membre, tant et si bien que je lui crache ma liqueur d’homme. J’en viens à me dire que je ne serai bientôt pas de taille pour rassasier ce minou goulu.Elle a les jambes écartées. Le genou plié, sa fourche intime est grande ouverte. J’observe longuement les grandes lèvres glabres, un peu sombres, sagement refermées l’une contre l’autre. La corolle crénelée des petites lèvres dépasse un peu, et légèrement au-dessus, on devine à peine la petite bosse du clitoris. Plus bas, j’imagine l’ouverture du vagin, protégée par la fermeture des lèvres je pense à son œillet intime, qui aime maintenant à être violenté, perforé, « défoncé », comme elle le dit elle-même.L’ensemble est magnifique, j’ai l’impression que les muqueuses sont un peu irritées, mais c’est normal me dit-je vu la fréquence avec laquelle nous pratiquons. La pauvre petite chatte n’a plus l’habitude.
Sa respiration est à peine perceptible et je contemple amoureusement ce tableau vivant bien plus fort que « l’origine du monde » de Courbet. Dans le silence de la pièce, j’entends distraitement tourner deux ou trois grosses mouches en repensant à l’attitude de ma femme qui semble glisser de la gentille petite épouse vers une femelle sensuelle avide de plaisirs trop longtemps refoulés. Je souris silencieusement à l’idée que ces changements ne soient pas dus qu’aux vacances. Est-ce l’approche de la quarantaine ? En tout cas elle se libère et j’en suis le premier bénéficiaire. Je sens que je bande un peu je m’allonge doucement sur le dos pour ne pas la réveiller et profiter les yeux fermés de la vision de sa chatte ouverte, du souvenir de ces cris de plaisir, de la suave impression que j’ai eue en m’enfonçant dans son anus accueillant comme une chatte.C’est tellement bon que je sens de petits picotements sur mon gland. Une sensation légère, presque imperceptible, et pourtant si agréable. Comme si une petite main me caressait l’extrémité de la bite. Une microscopique bouche qui tenterait de téter ce gland monstrueux pour elle.

Je me sens bander de plus en plus fort et j’entrouvre les yeux pour voir ma pine vaillante en me disant que ce serait dommage de gâcher une telle rigidité et que Nadine, avec sa nouvelle gourmandise, trouvera sûrement agréable d’être réveillé par la sensation d’un sexe s’enfonçant lentement dans son vagin que je soupçonne d’être toujours humide de la dernière fois.Surprise ! C’est une mouche qui me procure toutes ses sensations. Une jolie et assez grosse mouche noire qui se promène sur mon gland et produit toutes ces petites impressions.Une idée perverse me vient instantanément. Pourquoi ai-je eu cette idée-là ? Quelle mouche a bien pu me piquer ? Peut-être que si je n’avais rien fait, juste chassé d’un revers de la main le petit insecte, rien de tout ceci ne se serait produit et je n’aurais peut-être jamais rien su de la cause de la transformation de ma femme. Mais cet instant, je ne sais rien à part cette drôle d’idée coquine qui me traversent l’esprit.Tout doucement, je me lève pour récupérer du bout du doigt une infime quantité de confiture sur le plateau du petit déjeuner.Jubilant intérieurement, je me rallonge à côté de Nadine qui n’a pas bougé et pose un soupçon de mélange fruité sur chacun de ses tétons. Elle n’a pas bougé, sa respiration n’a pas changé.Je n’attends pas longtemps. Une des mouches de la chambre vrombit à mes oreilles avant de se poser sur le mamelon flasque. J’observe l’insecte qui se promène sur l’auréole, puis trouve la confiture et commence à se régaler. Sans bouger, je remarque le sein qui gonfle, l’auréole se rétracter en même temps que le téton durci, se redresse et prendre du volume et de la hauteur. Tout à son affaire, la mouche ne remarque rien et continue son repas.Je regarde le visage de Nadine, il est serein mais la respiration s’est légèrement amplifiée. Les joues sont un peu plus roses. Pas un geste pour chasser l’intruse, l’effet produit est au-delà des espérances. Le sein est maintenant gonflé, tendu, et le téton est gros comme une petite framboise.

Je meurs d’envie de le saisir entre mes lèvres, de le faire rouler entre mes doigts. Mais je me retiens. Sûrement par un quelconque effet de relation interne, l’autre sein a gonflé aussi. Sans être aussi dur que celui qui supporte la mouche, il donne envie de le malaxer, le cajoler, le travailler.La mouche change de sein. Elle lui fait subir le même traitement qu’à l’autre. Nadine soupire et change un peu de position. En fait, elle a maintenant les jambes grandes ouvertes. Le cœur en émoi, la respiration courte et la queue comme un morceau de bois, je descends un peu plus bas pour regarder sa vulve. Depuis tout à l’heure, elle a bien changé. Elle gonfle doucement sous l’afflux du sang dans les tissus si fins, si innervés. J’observe le cœur battant la chamade les petites lèvres se déployer, changer de couleur pour passer du rose pâle au rouge profond. Je contemple le clitoris qui gonfle et pointe hors du capuchon, comme une toute petite pine timide. L’orifice du vagin s’ouvre doucement, palpite au rythme de la respiration de Nadine qui s’est amplifiée, accéléré. Une perle de mouille claire suinte de l’orifice. J’ai peur qu’elle ne change de position… mais non. Il me reste un peu de confiture sur le bout du doigt. Tout doucement, j’en dépose un peu sur le sommet du clitoris sorti. À cet attouchement, tout son sexe à une contraction. Nadine soupire, ou plutôt gémit et l’entrée de son con s’ouvre encore plus. Elle doit rêver ou être dans un état d’excitation intense car je n’avais pas encore remarqué que sa grotte d’amour était naturellement si dilatée. Je m’aperçois que je pourrais introduire mon petit doigt sans toucher les bords. Le fluide gras de son plaisir coule pour se perdre entre ses fesses, sûrement en poissant son trou du cul qui doit être dans le même état.Le feu aux tempes, j’approche le bout de mon doigt sucré du téton tendu ou la mouche officie toujours. Sans se rendre compte de rien, tout à son affaire, elle monte sur le bout de mon index. Sans mouvement brusque, j’emmène le petit passager jusqu’à la vulve gonflée et le dépose sur le haut de la fente de Nadine.Rapidement, la mouche trouve le nouveau festin et je la regarde se régaler juchée sur le clitoris tendu de Nadine.L’effet est puissant, immédiat.La respiration de ma femme devient profonde, sa gorge se teinte de rouge et elle se met à gémir doucement en ouvrant la bouche. De sa langue humide, elle s’humecte les lèvres en soufflant d’imperceptible « ho ooo, Haaaa .. Mmmmm ouiiii »
Sous les paupières closes, je vois bouger les yeux rapidement. L’entrée de sa connasse s’évase encore plus en palpitant au rythme de ses pulsations cardiaques qui s’accélèrent également.Les jambes grandes écartées, Nadine ondule doucement du bassin pendant que je me retiens de ne pas l’embrocher sur-le-champ.Je regarde ma bite, elle est tendue à l’extrême et de pré-sperme coule depuis le méat le long de la rampe jusqu’à mouiller le drap du lit.La mouche sur le clitoris de Nadine la met dans un état indescriptible. Elle a relevé les talons sous ses fesses, la fourche grande ouverte, une de ses mains se caresse le ventre et elle suce le doigt de l’autre, les yeux toujours fermés, vraisemblablement en proie à un rêve alimenté par les sensations de son corps.L’entrée de sa chatte s’est encore ouverte. Je suis sûr que je pourrais maintenant y introduire mon pouce sans toucher les bords tellement elle est dilatée. Le fluide de sa mouille s’écoule à intervalles réguliers au rythme des pulsations de sa carmouille gonflée et vibrante. Elle ne respire plus, elle gémit continuellement. Elle est dans un tel état. Je ne sais plus quoi faire. Je ne pensais pas qu’elle finirait comme ça en commençant ce jeu anodin. Quitte à être pervers, autant l’être jusqu’au bout.Je tends le bras, lui saisit le téton droit, il est gros, énorme, sombre et tendu. Je le presse fortement en tirant dessus et en tournant.— Hooooooooo…Mmmmmmm….Ma femme gémit et se met à sucer son doigt avec avidité. Son autre main remonte vers l’autre sein et elle fait subir en dormant toujours le même traitement à son mamelon gauche.Ces hanches roulent de plus en plus et la mouche est partie. Sa chatte est magnifique de féminité sexuelle. Lâchant le sein, je saisis chacune des grandes lèvres et les écarte doucement pour libérer cette vulve dans toute sa splendeur.
Un roulement de hanches plus appuyées montre qu’elle apprécie le traitement. Elle détache même ses fesses du lit. Une grosse tache de mouille grasse indique l’ampleur de son envie. De son côté, la mouche tourne encore un peu au-dessus de nous et vient finalement se poser sur la lèvre inférieure de Nadine, luisante de salive. La situation est d’un érotisme incroyable.Sentant quelque chose sur sa lèvre, ma femme alors une réaction étonnante. Elle ouvre la bouche et sort sa langue comme pour quémander quelque chose. Que ne donnerai je pour savoir ce qu’elle a en tête, elle qui n’apprécie que modérément la fellation et n’a jamais accepté de recevoir mon sperme en bouche.
Face à pareille réaction, la mouche s’envole vers le plafond. L’instant de félicité s’évanouit en même temps.La main gauche de Nadine descend vers moi j’ai peur qu’elle ne m’attrape le bras. Mais non, elle se saisit de sa fesse gauche et l’ouvre pour écarter encore plus ses orifices. Je contemple son anus ouvert, dilaté, boursouflé. Il est tout rouge et semble irrité. Les mouvements oculaires de Nadine sont maintenant très rapides et sa respiration est de plus en plus courte.
Le petit oeillet palpite également. Il est tout gras et tout luisant de la cyprine qui s’écoule du trou juste au-dessus. J’en ai trop envie. Je suce mon index et mon majeur pour les rendre un peu plus glissant et je les approche de l’orifice intime. Je pose le gras de l’index au centre de l’anneau et appuie un peu. Je me retiens pour ne pas jouir et gicler de partout en voyant et en sentant l’orifice anal s’ouvrir dès le contact tandis que d’un léger mouvement de reptation, Nadine s’encule elle-même sur mes doigts en dormant !Elle souffle, gémit, je l’entends parler doucement.— Mmmmm Ouiiii, haaaaaaaaa, ta bite dans mon cul, c’est trop bon, ramone moi comme une chienne….. je suis ta salope…
Quel langage, mais je suis fier d’être l’objet d’un rêve érotique aussi intense.Je ne bouge pas la main et c’est elle qui s’encule sur mes doigts en faisant monter et descendre son postérieur au dessus de moi. Elle est vraiment bien ouverte. Je me demande si je ne vais pas rajouter un doigt quand, le feu aux tempes, je remarque au pied du lit le flacon d’huile solaire. Il est long, de forme phallique et de belle taille. Je me dis que ce n’est pas pour rien que les designers ont conçus cette bouteille de la sorte.Inconsciemment, elle ressemble quand même à une grosse bite sombre prête à cracher son huile dans la main pour que les femmes se l’étendent sur le corps. Mais je n’en suis pas à ces considérations de marketing quand je saisis la bouteille qui ressemble grosso modo à une bouteille de coca, sans le goulot fin et avec un bouchon en forme de tête de nœud.Je retire mes doigts du cul de Nadine. L’oeillet palpite de mécontentement, on dirait qu’il réclame une intromission.J’ai peur que ma femme ne se réveille sous la frustration.Sa tête roule doucement sur l’oreiller, elle transpire, en même temps qu’elle se maltraite la poitrine en insistant bien sur les bouts. Son autre main à remplacé la mouche sur le clitoris. C’est la première fois que je vois Nadine se branler. Je me demande si elle le fait quand je ne suis pas là ?
En tremblant, j’approche l’objet de la chatte luisante et béante de ma femme. En même temps que moi, la main qui maltraitait les tétons glisse par derrière et remplace mes doigts dans l’anus. Elle se branle des deux mains, tandis que l’une s’acharne sur le clitoris tendu, gros et sombre comme un haricot rouge, elle s’investit le fondement de deux doigts de l’autre pour remplacer les miens.Je n’en reviens pas. Dès que ses chairs intimes sentent le goulot gros comme un abricot (c’est-à-dire au moins deux fois la taille de mon gland) presser contre l’entrée du vagin, Nadine relève les jambes ce qui a pour effet de faire descendre son cul sur la bouteille tendue. D’une traite, son con avale la moitié de l’olisbos improvisé. Le flacon est aspiré à l’intérieur de la matrice, tandis que dans un souffle elle gémit— Hooo, ouiiiiiiii, c’est trop boooon ta grosse queue dans ma chatte, Karl.
Karl ? Karl ? Mon sang se glace en même temps que je comprends instantanément le sens de tout ça.Ce n’est pas de moi qu’elle rêve, ce n’est pas mon sexe dont elle à envie, et je comprends tout de suite d’où vient son attitude de plus en plus délurée de ces derniers jours.Ma femme me trompe avec un baba cool sur le retour qui doit avoir un sexe au-delà de toute mesure vu la façon dont elle s’agite sur le flacon d’huile solaire avec en plus deux doigts dans le cul.Ma femme rêve qu’elle se fait dilater la moule par le membre de ce Karl ! Et moi je suis là comme un con en imaginant les fameuses sorties « peinture » de la fin d’après-midi.Je comprends mieux maintenant les discussions messes basses des employés de l’hôtel, les sourires en coin…Tout le monde devait être au courant, sauf moi. Tout m’apparaît clairement.

Et pourtant, en ce moment même, sous mes yeux, Nadine ne se doute de rien tandis qu’elle rêve au membre de ce gourou d’opérette en train de lui pistonner la chatte. Elle est belle de toute sa sensualité, plus belle que je n’ai jamais vue avant. J’ai terriblement envie d’elle. À la fois car mon excitation est à son comble et aussi pour reprendre possession du corps de ma femme qui, indirectement, me fait bien profiter de ses incartades.
Elle a retiré ses doigts de son anus et les suce goulûment. Qu’elle dorme ou qu’elle ne dorme plus, cela n’a pas d’importance. Elle est en pleine extase sexuelle et je compte bien en profiter.Je pose mon gland contre son anus et je l’encule d’une traite, tant pis si je la réveille. Sous le traitement, elle ouvre la bouche et les yeux. Je la tiens par les hanches et dans le même élan, mon pubis propulse le flacon d’huile au fond de sa matrice de salope adultère.Elle se réveille, comprend qu’elle ne rêve pas et que je la baise. Mais elle est également aussitôt emportée par le volcan de sa jouissance. Elle repart en transe, se frappe le clitoris du plat du bout des doigts en me criant de l’enculer, de la défoncer.Tout à ma colère, les dents serrées, je la prends de toutes mes forces en faisant claquer mon bas-ventre contre ses fesses. Dilatée par le gode improvisé, elle est ouverte de toutes parts. Je l’insulte, elle me répond qu’elle est une chienne. Elle jouit sans discontinuer tandis que je sens monter ma sève.— Putain, salope, je vais te jouir dans le cul… Les mots sortent tout seul de ma bouche.— Non, non, pas dans mon cul, viens dans ma bouche je veux te sentir jouir sous la langue. !!!
Je décule prestement et m’approche de son visage. Elle m’engloutit jusqu’au fond de la gorge et se met à me sucer avec avidité. Je ne tiens pas longtemps. En râlant, je me vide en longs jets puissant dans son gosier et à ma grande surprise, alors que c’est déjà une première, elle avale tout mon sperme en me malaxant les couilles pour en extirper toute la substance.Complètement réveillée, elle lève vers moi ses grands yeux en amande et me sourit d’un sourire d’amour.Je sais que Karl n’aura jamais dit ce regard ni se sourire.— Où la la, on s’est bien lâché mon chéri cette fois-ci. J’ai dû faire un rêve érotique et tu en as profité n’est-ce pas ?Me dit-elle en s’étirant comme si de rien n’était. Visiblement, elle n’a pas souvenir d’avoir divulgué son secret. Elle retire le flacon de sa chatte en souriant.— Très gros, mais très bon. Quelle drôle d’idée tu es eu la mon amour, mais tu as bien fait, j’ai adoré.

Elle s’allonge contre moi, devient chatte et nos peaux en sueur glissent l’une contre l’autre.— Je crois que je vais aller prendre une douche.— Moi aussi, je te rejoins.
Nous nous savonnons sensuellement tous les deux tandis que je lui explique qu’elle a rêvé et que j’en ai profité. Une petite lueur inquiète passe dans son regard quand elle me demande si elle a parlé en dormant. Je lui réponds que non (mensonge…)…De retour sur le lit, nous nous câlinons encore un peu, mais mon esprit repense à toutes les révélations que je viens d’avoir.
Je regarde discrètement l’heure, un peu plus de 4:00. Le soleil va commencer à décliner et elle ne va pas tarder à me dire qu’elle va « profiter de la lumière du soir » pour aller peindre jusqu’à la tombée de la nuit.La fourbe ! Elle va plutôt aller se faire sauter pendant plusieurs heures. Un sentiment de jalousie mêlée à une excitation de la savoir femelle avide entre les mains de ce géant fait remonter ma pression artérielle.La tête posée contre mon torse, elle voit mon sexe reprendre la vigueur, enfler, se déployer. Non ! Pas ce soir, je ne veux pas la laisser le rejoindre. Tout à mon nouveau statut de cocu, je vais baiser ma femme moi-même.
Ma main glisse sur sa fesse, sa hanche soyeuse frémit sous mes doigts. Je lui soulève le menton et sans un mot l’embrasse profondément en jouant de nos langues à en perdre haleine. Je lui pince le téton « HMmmm » gémit-elle la bouche verrouillée par ma langue, elle a sûrement un peu mal mais je sens gonfler son clitoris et elle écarte les jambes.La salope ! Je la découvre soumise, aimant la douleur ou en tout cas ses prémices alors que j’avais toujours cru que le respect et la douceur étaie les seuls moyens d’amener une femme au plaisir.Je lui pince le clitoris, moins fort que le téton, et sa chatte inonde ma main en même temps qu’elle ondule du cul.— Suce-moi !Je lui en donne l’ordre d’un ton qui ne laisse pas de place à la discussion. Elle me regarde de ses grands yeux de biche triste mais je vois briller une lueur de perversion au fond de ses prunelles. Sans rien dire elle descend vers mon pubis en léchant mon torse, mes seins, mon ventre et finit vers ma verge qu’elle engloutit dans le même mouvement.Je me tourne un peu et lui assène une grande claque sur les fesses.— Mmmmm, pas trop fort quand même.Arrive-t-elle à maugréer en mâchouillant mon gland.— Ta gueule ! Suce ou tu vas dérouiller du cul ma salope.Elle s’arrête. Je ne lui avais jamais parlé de la sorte ni sur ce ton ni avec ces mots. Une seconde d’hésitation qui dure une éternité. Va-t-elle se rebeller ?Ma queue vibre dans sa bouche. Elle ne suce plus mais ne la recrache pas non plus. Comprenant le danger de la situation, d’autorité je lui visse deux doigts dans le vagin. Elle est trempée, large, souple et si douce à l’intérieur de son ventre.— Ouiii, souffle-t-elle. Mets tes doigts ….
Et elle reprend sa fellation. Elle est vaincue. C’est sûr maintenant, Nadine est une soumise qui s’ignorait et c’est que ce Karl a détecté puis révélé. Tout ce temps avec elle et je n’avais rien senti. Je n’en veux plus à mon concurrent. Je la regarde me sucer avidement en salivant sur mes couilles. Quel délice, quel plaisir ! Je pourrais me vider dans sa bouche et elle avalerait tout j’en suis sûr maintenant.Je commence alors un jeu diablement pervers. Une grande claque sur les fesses suivie d’une pénétration de deux doigts puis à nouveau une grande claque, puis à nouveau les doigts…Elle mouille de plus en plus, je sens son clitoris dur contre mon pouce, elle bouge ses fesses pour appeler une nouvelle claque. Les coups secs résonnent dans la chambre alternativement avec et le bruit de mes doigts dans son con ouvert. En même temps, je lui pince les tétons. Elle commence à jouir vraiment car elle me suce de plus en plus fort alors même jusqu’à engloutir entièrement ma pine au fond de sa gorge.Si elle continue, elle va me faire jouir comme ça.— Reste à genoux comme ça ! Je lui intime de ne pas bouger, me dégage de sa bouche si agréable, la positionne bien à genoux au bord du lit et l’embroche, moi debout, elle à genoux, d’une seule traite dans sa matrice en fusion.Elle crie à nouveau de plaisir, nous crions de concert alors que je la pistonne de toutes mes forces. Mes couilles claquent contre son clitoris, elle se caresse les seins, se branle, augmente sa jouissance par tous les moyens.Au moment d’orgasmer, je lui enfonce mon pouce dans le cul. Il rentre tout seul dans l’orifice chaud et moelleux et lui provoque une énième jouissance en même temps que je libère ma semence au fond de son ventre si accueillant.
Nous restons ainsi une bonne minute sans bouger, elle cassée en deux à genoux sur le lit, moi toujours enfoncé dans son vagin, le doigt dans le rectum. Elle se retourne, me sourit et se dégage précautionneusement.La verge flasque, je m’allonge sur le lit en souriant tandis qu’elle se relève pour se diriger de nouveau vers la salle de bains. Une grosse coulée de sperme glisse le long de sa cuisse, elle n’en a visiblement cure alors qu’il y a à peine un mois, elle aurait couru vers les toilettes la main entre les jambes. Mais là, de sa démarche sensuelle que j’aime tant, elle apprécie de sentir mon jus mélangé au sien couler jusqu’à sa cheville.La vie m’apparaît soudainement beaucoup plus agréable. Je réfléchis. Et je pense à un magnifique stratagème pour connaître et profiter des nouvelles dispositions de mon épouse.
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