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Le Challenge

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire comprend 4 chapitres. AntoineJe m’appelle Antoine, j’ai 24 ans. Ma famille est plus orientée Montagne que Mer. Rien de surprenant à ce que cette année mes parents, Philippe et Valérie, aient jeté leur dévolu sur la location d’une belle villa dans la vallée de la Tarentaise, dans les Alpes. Ce qui était plus étonnant, en revanche, c’est que ma sœur, Camille, de deux ans mon aînée et moi-même ayons accepté de les accompagner. Cela faisait des années que ce n’était plus arrivé. Mais, ayant tous deux rompu depuis le début de l’année avec nos compagne et compagnon respectifs et n’ayant rien planifié à l’avance du fait de la Covid, nous avions accepté leur invitation sans nous être concertés. Deux semaines de détente en famille.Autant mes parents n’hésitaient pas à coucher dans des refuges aux équipements sommaires, voire même à dormir à la belle étoile, autant ils ne lésinaient pas sur le confort de leur camp de base. La villa était conçue pour 3 ou 4 couples, et disposait d’une piscine chauffée. Nous n’étions que quatre. Camille et moi avions chacun notre chambre qui se partageaient une salle de bains, alors que Philippe et Valérie goûtaient le luxe de la suite parentale.A peine avais-je fini de défaire mon sac de voyage que Camille déboula dans ma chambre.― Antoine, j’ai une proposition à te faire.Ma sœur ne manquait jamais d’idées, souvent surprenantes, parfois à la limite du bon goût. J’étais curieux d’entendre ce qu’elle allait me soumettre, un peu inquiet aussi.― Le risque pour nous ici, c’est l’ennui. T’es d’accord ?Je ne la contredis pas.― Alors, en toile de fond de notre séjour, je te suggère un challenge.Et elle m’exposa en quelques phrases la teneur de l’épreuve qu’elle avait en tête. Son projet ne dénotait pas avec ce qu’elle avait l’habitude de proposer. J’avoue que je fus à deux doigts de refuser. Là, elle allait trop loin. Puis je mis en balance la vacuité dans laquelle risquaient de sombrer ces vacances, ainsi que la récompense promise. Au moins, la proposition de Camille ne manquait pas de piquant et le défi était loin d’être gagné, pour l’un comme pour l’autre. Je finis par accepter.

* * *

Le séjour démarra gentiment. Dès le lendemain, nous nous retrouvâmes tous les quatre en maillot de bain, au bord de la piscine.Camille ne tarda pas à soumettre une distraction qui ne serait venue à l’esprit de personne d’autre.― Et si on faisait une joute dans l’eau ? Les hommes font les canassons, et les femmes les cavalières. Le but sera de désarçonner l’autre équipage.― Me concernant, je préfère que tu parles d’étalon, pas de canasson, c’est plus ressemblant, la repris-je. Elle ignora superbement ma correction. Ma mère fut la première à réagir sur le fond, mon père et moi ne nous étant pas précipités.― Heu… Tu crois ?― Ouais, tu vas voir, ça va être marrant !― On peut toujours essayer, proposa mon père, le plus conciliant de nous quatre.
Je me mis à l’eau et me courbai un peu en avant en apostrophant ma sœur. ― Allez, grimpe !― Ah non ! Je ne veux pas de cette rosse, moi ! On ne va pas la jouer « affrontement des générations », version aquatique et moyenâgeuse ! Je chevauche papa et tu portes maman.Je ne sais si, quand on était enfants, mes parents avaient tenté de discuter avec Camille lorsque qu’elle exprimait une idée bizarre et bien arrêtée, pour la faire changer d’avis. Je n’en ai pas le souvenir. Moi, j’avais toujours trouvé plus simple d’abdiquer tout de suite.― Et au fait, pas sur le dos les cavalières, sur les épaules ! Ajouta-t-elle.La piscine était à fond plat et on avait pied partout. En tous cas, mon père aussi, bien qu’un peu plus petit que moi. Mais juchées sur les épaules, cela voulait dire que nos jockeys seraient intégralement hors de l’eau. La poussée d’Archimède ne nous aiderait pas à soutenir leur poids. J’étais plutôt costaud, et même si ma mère, de taille moyenne et moins fine que lorsqu’elle avait vingt ans, devait peser son poids, je ne devrais pas avoir trop de mal à la véhiculer.Mon père était moins charpenté que moi, mais c’était un sportif accompli et il ne devrait pas non plus peiner à porter Camille, bien qu’elle soit presque aussi grande que lui. Ma mère m’avait rejoint dans l’eau. Elle se tenait sur la pointe des pieds pour garder le nez et la bouche hors d’eau. ― Comment on fait pour se mettre en selle ? demanda-t-elle.― Le plus simple, tu écartes un peu les jambes et je te soulève. Elle s’exécuta et je plongeai. J’accrochai au passage une de ses jambes et la surprise faillit la renverser. A la deuxième tentative, je glissai ma tête entre ses cuisses, lui agrippai les quadriceps et la remontai doucement. Elle se mit à crier, comme une adolescente sur le grand-huit. ― Du calme ! Normalement, ce n’est pas l’étalon qui doit apaiser la cavalière, mais plutôt le contraire. Garde bien tes jambes serrées et efforce toi de conserver ton centre de gravité à l’aplomb de mes jambes. Sinon, tu vas tomber.Camille avait tenté d’enfourcher sa monture à la Zorro, et la première tentative s’était soldée par un échec.― Regarde-les, ils n’arrivent même pas à se mettre en position.Mon père suggéra à ma sœur d’appliquer la même tactique que nous, mais Camille refusa obstinément. Elle tenait absolument à sauter sur mon père. Je sentais ma mère un peu crispée. Elle serrait les jambes autour de ma tête ce qui atténuait grandement les sons qui parvenaient affaiblis à mes oreilles. Elle cherchait toujours à quoi accrocher ses mains. Elle avait conclu d’elle même qu’enfoncer ses doigts dans mes orbites ou mes narines n’étaient pas une solution acceptable. Mes pavillons étant coincées entre ses cuisses et donc hors de sa portée, elle se rabattit sur mes cheveux. Je regrettai un instant de ne pas être un skinhead.― Tu dois garder tes mains libres pour faire basculer Camille, lui-conseillai-je. Bon, on va avancer, puis je vais faire quelques mouvements qui simuleront ceux du combat.La première partie de mon plan se déroula sans encombre. Je ne dirai pas qu’elle ne faisait qu’un avec sa monture, mais elle ne tomba pas. Je ne marchai pas, je glissai sur le fond de la piscine, tel un patineur expérimenté, sans à-coups. Malgré cela, elle avait les mouvements désordonnés de quelqu’un qui serait trimballé sur un mauvais chemin rempli d’ornières. Lorsque je me mis à effectuer des changements de rythme et de direction, le résultat fut catastrophique. Au lieu de rééquilibrer notre attelage, elle amplifiait le déséquilibre. Elle tomba plusieurs fois.Nous n’étions pas prêts, mais nous affirmâmes le contraire lorsque Camille nous posa la question. De toute façon, nous ne le serions jamais. La joute commença, et son résultat fut sans surprise. Dès que Camille tendis les mains vers elle, Valérie se jeta en arrière, m’entrainant dans sa chute. Je ne crois même pas qu’elle ait été touchée. Je passe sur les détails, mais au bout d’une dizaine d’engagements, nous n’en avions pas remporté un seul. Même pas un match nul. Camille n’était pas descendue une seule fois des épaules de notre père. Je sentais ma mère fatiguée, et je décidai de jeter l’éponge.― On arrête pour aujourd’hui. Mais vous allez voir demain ! C’était une simple rodomontade. Je n’y croyais pas plus que les autres. Nous nous mîmes à sécher sur les transats au bord de l’eau.― Votre revanche ne sera pas pour demain, notifia mon père. Je vous propose une randonnée de trois jours, pour faire le tour de la Pointe de Combe. Un jour pour arriver au refuge du col des Vents, un deuxième pour effectuer le tour de la Pointe, retour au refuge, un troisième pour retrouver les voitures. J’ai réservé le gîte pour deux nuits pour nous tous seuls, et ils n’avaient plus que ce créneau. Donc, départ demain matin à 6H00 pétantes. Qu’en dites-vous ?Camille s’enthousiasma, moi moins. Quelques années auparavant, je me serai aussi exclamé de joie, mais là, ça ne me disait rien. Je n’avais pas envie de repartir à peine arrivé. Je voulais faire la grasse matinée, pas me lever à 5H00 du matin, j’aspirai à lézarder au soleil au bord de la piscine, pas à crapahuter sur des chemins rocailleux pendant des heures.― Malheureusement, je ne pourrais pas vous accompagner. Je me suis fait une entorse la semaine dernière en jouant au foot avec les copains, et c’est trop tôt pour embrayer direct sur trois jours de marche avec un sac à dos. Désolé. Je préfère réserver ma reprise pour une petite balade d’une demi-journée. Et monter en charge petit à petit.Mon père ne dit rien, qu’aurait-il pu objecter ? Je le sentis déçu. Il adorait les balades en montagne et avait réussi à transmettre cet amour à ses deux enfants. Je crois bien que c’était la première fois que je déclinai une de ses invitations. Mais là, j’avais une sorte de certificat médical, même s’il était bidon. Je m’étais bien tordu la cheville la semaine précédente, mais j’avais fini le match sans difficulté.― Eh bien, tant pis pour toi, trancha ma sœur. Je veux dire, remets toi bien…― Je crois que je vais décliner aussi, dit ma mère d’une petite voix hésitante. Je ne me sens pas très bien en ce moment. Comme Antoine, je préfèrerai y aller plus crescendo.― Je n’ai pas eu le choix des dates à cause de la réservation du refuge, protesta mon père.― Je sais, je ne te reproche rien, bien sûr. Tu as fait ce qu’il fallait. Mais si ça ne te gêne pas, je saute mon tour moi aussi.Le reste de l’après-midi passa dans une ambiance un peu moins décontractée qu’en début de journée. Notre double défection avait jeté comme un froid que l’enthousiasme démonstratif de Camille ne parvenait pas complètement à dissiper.

* * *

Je fus réveillé à cinq heures en même temps que les deux randonneurs. Camille s’en serait certainement voulue de me laisser dormir tranquillement. Je ne lui fis pas le plaisir de me lever, et j’attendis patiemment leur départ pour plonger à nouveau dans les bras de Morphée. Finalement, j’eus quand même droit à ma grasse matinée. Je retrouvai ma mère vers 10H00, en train de siroter un café dans la cuisine, déjà dans un maillot deux-pièces. Je déposai un baiser sur sa joue.― Ça va ?― Ils m’ont réveillé, me répondit-elle.― Tu m’étonnes. Moi aussi. Je suis sûr que Camille l’a fait exprès. Tu as pu te rendormir après ?― Un peu. ― Alors, ça va ?Elle me sourit.― Oui, ne t’inquiète pas, je ne suis pas moribonde. Mais je n’avais pas envie de démarrer ces vacances avec des obligations. J’ai eu ma dose cette année. J’ai besoin de me détendre. Ma fatigue est plus psychologique que physique. Ma mère mesurait environ un mètre soixante-huit. Elle avait des jambes bien dessinées, dont la fermeté était entretenue par la pratique régulière du tennis et de la randonnée. Elle n’était pas maigre, mais pas potelée non plus. L’impression de rondeur qui émanait d’elle était renforcée par sa généreuse poitrine. Je dirai à vue d’œil quelque chose entre du 90 C et du 95 D. Son bronzage était particulièrement mis en valeur par son bikini blanc. Valérie était indubitablement une belle femme.― Je vais au bord de l’eau. Tu me rejoins ?― Je finis mon café, je passe un maillot et j’arrive. ― Je préfère être là que gambader dans la montagne. En tout cas, pour aujourd’hui, m’affirma ma génitrice lorsque je l’eus rejointe sur les transats.J’approuvais. Nous lûmes un peu, en échangeant de temps en temps quelques paroles. Le temps passa. J’étais bien. ― J’ai été catastrophique hier, n’est-ce pas ?Que lui répondre ? Oui, elle n’avait pas spécialement été brillante. Mais ça n’avait aucune importante.― Non, j’ai apprécié ton attitude. Tu n’as rien lâché.― C’est idiot de se focaliser sur un jeu de gamin, mais j’y ai repensé cette nuit. Je crois que j’ai compris ce qui pêchait et ce que tu me disais de faire. Tu veux qu’on s’entraîne ?Je ne m’attendais pas à une telle proposition. Mais pourquoi pas ?― Si tu veux.Une fois dans l’eau, j’entrepris de lui diffuser mon savoir. Enfin, disons ma vision de la tactique à employer.― Ce qui compte le plus, c’est de conserver notre centre de gravité à l’aplomb de mes pieds. Comme je suis dans l’eau, je pèse moins que toi. Donc, il est assez haut. C’est pareil pour eux, en fait. Si tu pars en arrière, tu déplaces ce centre de gravité hors de notre assise, et c’est la chute. Tu dois donc bien veiller à rester au-dessus de ma tête. Au pire, si tu dois plonger, plonge vers l’avant. Nous nous appuierons sur eux. Et n’hésite pas à te baisser. Ça améliore notre équilibre.Ainsi pontifia le professeur des joutes aquatiques. Mais je crois qu’elle comprit. Une fois sur mes épaules, j’entrepris des mouvements saccadés, comme la veille. Elle faillit tomber mais s’accrocha jusqu’à ce que j’accélère brusquement vers l’avant. Elle partit en arrière et ne parvint pas à se redresser. Je l’encourageai. Elle resta quelques instants dans un équilibre précaire puis céda et s’affala dans l’eau.Elle voulait remonter tout de suite mais je lui montrai son transat qu’elle rejoignit. Je posai ma main sur son abdomen et le caressai.― Je crois que tu as un petit problème de ceinture abdominale. Tu n’as pas réussi à te redresser. Il serait bon que tu la travailles…― Tu veux dire que je fasse des abdos ? Mais j’ai horreur de ça !― Je me doute. Personne n’aime ça. Tu veux essayer ?Elle me regarda bizarrement. Je compris son message : « je n’en ai pas envie, mais je vais le faire quand même ». Elle s’allongea à côté de moi sur un tapis de gymnastique, souleva ses jambes et entreprit de les croiser dans un sens puis dans l’autre. Je posai à nouveau ma main sur son ventre, plus pour l’encourager que pour constater un hypothétique raffermissement spectaculaire et ultra-rapide de sa musculature.― C’est exténuant !― L’avantage des abdos, lui dis-je, un brin sadique, c’est que ce sont des muscles qui peuvent se travailler plusieurs fois par jour. Allez, recommence.Elle s’exécuta et enchaina trois séries complémentaires, avant de décider d’arrêter.― Fini pour ce matin !― C’est bien, tu fais vraiment des efforts. Je continuais à caresser son ventre plat. Elle n’était vraiment pas mal foutue du tout.Puis nous rentrâmes, le temps de préparer une salade. Le repas expédié, nous nous retrouvâmes au même endroit que le matin.― Tu veux vraiment que je refasse des abdos ?― Juste quatre séries, comme ce matin.Elle soupira mais s’exécuta courageusement.― Repose-toi maintenant. Après, on ira dans l’eau.Elle se positionna sur le côté et posa sa tête sur ma cuisse. Du coup, ma main déserta son abdomen pour se promener sur sa hanche. Sa main explorait mon propre ventre.― Toi, tu as de beaux abdos.Je les contractai ostensiblement.― Oh, le macho !Une demi-heure plus tard, nous étions à nouveau dans l’eau.― Bon, cet après-midi, on va travailler la concentration. Tu ne dois pas te faire surprendre par mes mouvements, mais les anticiper. Puis j’introduisis ma tête entre ses jambes et la relevais. Elle commença alors à gigoter et glissa une main entre ma nuque et son entrejambe.― Qu’est-ce que tu fais ?― Je remets mon maillot en place. Il a un peu glissé lorsque tu t’es redressé.― Ce n’est pas grave, de toute façon personne ne peut le voir dans cette position, moi moins que tout autre.― C’est pas pour ça, c’est que ça me gêne qu’il ne soit pas droit !― Tu es censée te concentrer. Sur ton équilibre, sur l’adversaire, pas sur ton maillot. Alors, s’il te perturbe, je te l’enlève !C’était sorti comme ça. Et lorsque je compris la portée de ce que je venais de dire, il était trop tard pour faire marche arrière.― Je vois. Tu veux me déshabiller ?― Quoi ? Non ! Je veux que tu te concentres sur ta position, pas sur un bout de tissu.Et j’entrepris d’avancer d’un pas dans une direction, puis de deux dans une autre, etc. Malheureusement, elle n’était pas attentive, les mains et le regard toujours obnubilées par la position de son maillot sur son entrejambe. Elle bascula sur le côté, ne put se rattraper et tomba dans l’eau. Elle revint vers moi, pas très fière.― Si ton maillot te gêne, on va faire sans. Ayant dit, je plongeai et fit glisser le bout de coton le long de ses jambes. Elle ne m’en empêcha pas, elle souleva même un pied puis l’autre pour me permettre de l’évacuer. Je le lançai sur la margelle, près des transats.― Maintenant, tu te concentre !Et je m’immergeais à nouveau pour la soulever. Découvrir sous l’eau ses fesses nues m’excita profondément. Je nous redressai. Je ne peux pas dire que je sentais à proprement parler sa vulve contre ma nuque, sans rien entre les deux. Mais j’en avais conscience, et ça aussi, c’était très excitant. Je ne vous surprendrais pas en disant que je bandais. Mais je devais moi aussi rester concentré.Je repris mes mouvements autour de ma position. Elle réagissait plutôt bien.― Baisse-toi ! Lui dis-je.Elle se pencha franchement sur moi, et je faillis basculer en avant de surprise, mais je parvins à éviter la perte d’équilibre. J’apercevais ses seins toujours dans leur écrin blanc et sentais leur poids peser sur mon crane.Elle prit peu à peu de l’assurance, et j’accélérai, sans parvenir à la déstabiliser. Au bout d’un quart d’heure de ce régime, j’étais un peu essoufflé et nous décidâmes d’arrêter la séance. Je l’aidais à pivoter sur mes épaules et sentis sa toison à peine taillée effleurer mon visage. Lui soutenant les fesses, je la fis glisser le long de mon torse jusqu’à ce que ses pieds touchent le fond de la piscine.― C’est la première fois que tu descends de ta monture autrement que par une chute. Tu as vraiment fait de sacrés progrès.― Merci. Je me sens plus à l’aise, c’est sûr.― Tu aurais dû me le dire plus tôt, que tu préférais t’entrainer sans maillot !Elle ignora superbement le petit bout de tissu blanc qui gisait par terre et s’allongea sur le transat. C’était un drôle de spectacle que de la voir étendue comme ça, très décontractée, les seins toujours sagement rangés dans son soutien-gorge, mais le sexe à l’air.― D’habitude ce sont les chevaux qui ne portent pas d’habits, pas les cavalières, reprit-elle.― Ça dépend. Il y en a qui aiment monter à cru.― Elles montent à cru des chevaux habillés ?― Je te concède qu’il s’agit là d’un attelage plutôt rare.Elle ne rajouta rien et me regardait avec un petit sourire amusé. Elle était très détendue, les jambes entrouvertes, me dévoilant sa vulve sans témoigner la moindre gêne.Attendait-elle que je retire à mon tour mon slip de bain ? Je n’en étais pas certain, mais comme c’était ce que moi j’avais envie de faire, je m’en débarrassai.― J’étais sûre que tu avais une érection.― Comment ne pas en avoir avec le magnifique spectacle que j’ai sous les yeux ?― Ce ne serait pas flatteur pour moi si tu n’en avais pas.― Aucun risque, lui répondis-je en posant mes mains sur ses genoux et les écartant un peu. Elle accompagna volontiers le mouvement, me découvrant largement son intimité. Ses petites lèvres désormais séparées laissaient entrevoir un petit espace rose clair.Puis je me redressai et me tins debout, à l’aplomb de son visage. Elle avait une vue imprenable depuis le bas, sur mes testicules et ma verge tendue qui tenait la position d’un gymnaste bien entrainé, à l’équerre par rapport au reste de mon corps.Elle se redressa en position assise. Son visage n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de mon sexe en érection. J’étais convaincu qu’elle allait franchir cette si courte distance, déposer un baiser sur mon gland ou prendre mon vit dans sa bouche. Je n’attendais que ça.― Je crois que ce que j’aime le plus dans la montagne, c’est que quelle que soit la direction vers laquelle on tourne son regard, on découvre toujours une vue époustouflante.Elle avait dit ça sans tourner la tête vers les sommets qui nous environnaient. Son regard n’avait pas dévié de ma verge.C’est ainsi qu’elle allait la jouer. Provocation et ambiguïté. Elle ne ferait pas le premier pas. Je devais évoluer dans le même registre. ― Moi aussi, j’aime les paysages montagnards. J’aperçois deux magnifiques sommets arrondis, malheureusement recouverts par une brume blanche ou un manteau neigeux, je ne saurai dire. C’est dommage, ça gâche un peu le point de vue.― Tu n’as qu’à souffler dessus pour dissiper la brume…― Je crains que ça ne suffise pas. Il me faudra une intervention des dieux ou d’une déesse pour dégager le panorama.Mais elle ne saisit pas la perche que je lui avais tendue et conserva le haut de son bikini. Je décidai de m’allonger sur le tapis de sol qui servait pour ses séances d’abdominaux, en sens inverse d’elle pour conserver une vue sans obstacle sur sa vulve.― Tu aurais dû me dire plus tôt que tu ne pouvais donner ton meilleur qu’à condition que rien ne se glisse entre toi et ta monture.― Je ne le pouvais pas parce que je ne le savais pas. Mais c’est vrai que je me sens beaucoup mieux ainsi. J’adore monter à cru. J’ai bien envie de recommencer.Je ne dis rien. Il me semblait inutile de l’encourager. Elle avait déjà décidé de ce qu’elle allait faire. Elle se leva, s’assit à califourchon sur mon ventre, et commença à bouger lascivement. Elle se frottait la vulve sur mes abdominaux. C’était une sorte de masturbation dans laquelle je ne tenais qu’un rôle passif.― Hummm ! Qu’est-ce que c’est bon ! Je ne te dérange pas ?― Depuis quand demande-t-on à sa monture si ça la contrarie de se faire chevaucher ? Tu as tous les droits…― Alors je continue…Et elle se rapprocha un peu de mon visage, passant de mon abdomen à mes pectoraux. Je distinguais parfaitement la naissance de sa fente. Je posai une main sur ses fesses, l’autre sur son pubis. Elle amplifia alors ses mouvements, se soulevant un peu parfois, ce qui me permettait d’admirer sa vulve presque en entier. Elle m’allumait et j’adorai ça. Je voyais clairement qu’elle mouillait.Je gonflai ma poitrine et soufflai en direction de ses seins. Elle lâcha un petit sourire et, sans interrompre ses mouvements langoureux, défit le nœud dans son dos et jeta le haut de son bikini un peu plus loin. Ses seins tombaient un peu sur son torse, mais je les trouvais très stimulants. J’ai toujours préféré les poitrines dodues des femmes mûres que les petits seins des adolescentes. Elle se pencha en avant jusqu’à ce que ses tétons effleurent mes lèvres. J’avais envie de mordre dedans mais je savais que je ne devais pas me précipiter. Elle se souleva et s’avança encore un peu Elle était désormais à l’aplomb de ma bouche. Je ne commis pas l’erreur d’esquisser un mouvement dans sa direction. Quelques gouttes de cyprine se détachèrent d’entre ses cuisses et atterrirent sur mes babines. J’ouvris la bouche pour les recevoir. Elle relâcha alors la tension de ses muscles et son sexe entra brusquement en contact avec mes lèvres et ma langue. Elle remuait plus fort que tout à l’heure. Je m’efforçais de lécher son clitoris. Une de mes mains lâcha ses fesses et empoigna un sein. Elle frottait vigoureusement son entrejambe contre ma bouche en poussant des petits cris. Peu à peu, sa respiration se ralentit, sa voix se fit plus rauque, puis elle se cabra, lâcha un cri aigu de jouissance et ralentit ses mouvements.― Ohhh ! Qu’est-ce que c’est bon !Elle mouillait tellement que je bus goulûment à sa fontaine. Je me fis la réflexion que je passerai bien le reste de nos vacances la bouche collée à la vulve de ma mère.Elle se rassit sur un transat, écarta ostensiblement les jambes et se pencha pour examiner l’intérieur de son sexe qu’elle écarta de deux doigts. Peut-être voulait-elle vérifier que son clitoris n’avait pas été porté à incandescence ?― J’avoue que je ne me souviens pas avoir déjà joui si fort !A SUIVRE…
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