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Challenges

Chapitre 5

Le challenge originel : au tour de Laure

Hétéro
D’une voix calme mais ferme, Yann dit à Laure :
— À partir de la seconde où nous aurons franchi le pas de la porte de notre maison, tu auras une demi-heure pour me faire jouir trois fois. Pas une minute de plus. Carte blanche sur les moyens.
En fait, Yann ne sait pas vraiment s’il en sera capable, même s’il a accumulé beaucoup de retard pendant ces quelques jours. Deux fois sans débander à quelques minutes d’intervalle, ils l’ont souvent pratiqué. Trois fois en une heure également. Mais dans un laps de temps aussi court, jamais.
Laure ne semble pas plus inquiète que ça et répond gaiement, en savourant par avance le plaisir qu’elle va en retirer :
— Ça marche.
Alors qu’ils commencent à se diriger vers la voiture bras dessus bras dessous d’un pas vif, tout à leur joie de se retrouver et impatients, Yann rajoute avec un air faussement distrait :
— Ah! J’ai failli oublier un détail. Défense pour toi de jouir avant d’avoir réussi ton challenge.
Laure s’immobilise, se détache de Yann en le retenant par le bras et le regarde droit dans les yeux, avec un air à la fois réprobateur et effaré.
— C’est déloyal !— Du coup, tu as le droit de te rétracter. Tu fais marche arrière toute ?
Piquée au vif dans son orgueil et sachant l’ampleur de l’effort auquel Yann a consenti pendant près d’une semaine, elle lui répond, agacée et la mine boudeuse en reprenant sa marche en avant.
— Même pas dans tes rêves.— Je prends ça comme une confirmation, déclare Yann hilare, ravi de son petit effet.
Tous deux savent bien que ce sera peut-être la partie la plus difficile pour Laure, qui elle aussi a une caractéristique exceptionnelle : elle jouit extrêmement facilement et très rapidement, de bien des manières. Pénétration vaginale, sodomie, cunnilingus, masturbation… il n’y a guère qu’en suçant Yann qu’elle n’a encore jamais joui sans se branler en même temps.

Le chemin du retour se passe dans un silence inhabituel pour des retrouvailles. Laure réfléchit à une stratégie pour parvenir à ses fins pendant que Yann fantasme sur ce qu’elle va bien pouvoir lui concocter. Quand ils franchissent enfin le pas de la porte de leur maison, Yann lance ostensiblement le chronomètre de sa montre sans prononcer un seul mot.
Immédiatement, Laure s’agenouille devant lui, sort sa bite en érection maximale de son pantalon et la prend en bouche. Même si elle ne pratique pas encore la gorge profonde, qui fera l’objet d’un challenge ultérieur, Laure est une excellente suceuse. Mais là, pas la peine de mettre à contribution ses talents. Elle lui pompe simplement le gland énorme comme jamais et en masse le frein avec sa langue. De sa main droite, elle branle énergiquement cette queue qu’elle aime tant, en coordonnant ses mouvements avec ceux de sa bouche. De la gauche, qu’elle a glissée dans son boxer, elle masse ses couilles qu’elle découvre inhabituellement grosses et dures.
Après une petite minute de ce traitement, Yann décharge avec un cri de libération une quantité de sperme impressionnante en de nombreux jets puissants, qui atteignent le fond de la gorge de son épouse. Pourtant habituée à avaler le fruit de son plaisir, Laure manque de s’étrangler. Elle tousse et suffoque en recrachant sur sa robe le surplus de semence qu’elle ne peut déglutir, sans toutefois arrêter de le sucer et de le branler comme elle peut.
Après un orgasme aussi rapide et une aussi longue abstinence, Laure sait que Yann ne va pas débander. Elle se relève, fait voler sa robe souillée, expédie ses escarpins à l’autre bout de l’entrée et l’entraîne à l’étage vers leur chambre, nue comme au premier jour. Arrivés à destination, elle le déshabille à son tour en trois coups de cuiller à pot, en veillant à le stimuler constamment de ses mains habiles.
Laure doit prendre l’initiative car elle imagine bien que Yann va rester passif pour tenter de retarder l’échéance et lui compliquer la tâche. Une fois qu’il se retrouve lui aussi complètement nu, elle le pousse sur leur lit. Il y tombe sur le dos et reste comme prévu allongé sans bouger, affichant fièrement une érection qui barre son ventre jusqu’au nombril.
Laure le rejoint, l’enjambe en se positionnant à genoux face à lui, se saisit de son pieu qu’elle a du mal à placer en position verticale tant il est raide et s’empale en se laissant littéralement tomber. Vu l’état de lubrification de sa chatte, la pénétration se passe sans encombre mais lui fait l’effet d’une décharge électrique. Elle râle de plaisir de se retrouver ainsi investie car elle aussi est en manque, malgré le fait qu’elle se soit abondamment masturbée pendant l’absence de Yann. "Rien ne vaut la bite de mon chéri", se dit-elle en savourant ce moment qu’elle attendait tant. Mais pas question de se laisser aller sous peine de jouir bien trop vite. En même temps, elle doit s’activer pour que Yann éjacule une deuxième fois le plus rapidement possible. Elle veut se garder du temps devant elle car elle sait bien que son troisième orgasme sera le plus difficile à obtenir.
Laure entreprend un rapide mouvement de va-et-vient vertical en contractant ses muscles intimes autant qu’elle peut. Ses propres sensations sont intenses et elle essaie de lutter contre la montée du plaisir. En vain car, pour cela, il faudrait qu’elle relâche la pression sur la colonne qui la remplit et qu’elle ralentisse ses mouvements. Elle sent qu’un orgasme va la ravager sous peu sans qu’elle n’y puisse rien si Yann ne vient pas vite.
Dans une manœuvre un peu désespérée, elle saisit ses tétons, qu’elle sait extrêmement sensibles, et les pince violemment. Yann, qui a les yeux fermés, n’a rien vu venir. Il pousse un cri, sursaute sous l’effet de la douleur et éjacule simultanément. Laure sent les contractions de sa bite puis un liquide chaud se répandre en elle. En jouissant une deuxième fois, Yann manque de peu de provoquer son propre orgasme. Elle l’évite de justesse en respirant profondément pour faire baisser la tension et en se relâchant au maximum. Un comble alors qu’elle n’a qu’une envie : prendre son plaisir en même temps lui. Elle consulte le chronomètre au poignet de Yann : neuf minutes et dix-huit secondes. Elle est largement dans les temps, mais elle sait que le plus dur reste à venir car ils se retrouvent tous deux en terrain inconnu.
Après une très courte pause qui lui permet de laisser refluer cet orgasme tout proche, Laure recommence à masser le sexe de Yann à l’aide de ses muscles intimes tout en caressant sa poitrine. Pour la première fois depuis qu’ils se sont retrouvés, elle le sent commencer à perdre de sa superbe. Sans plus attendre, elle se dégage à regret, frustrée, et vient se placer à genoux entre ses jambes écartées. Elle empoigne une queue qui hésite encore entre un retour à la position repos et un nouvel essor, la nettoie du plus gros de leurs sécrétions mélangées d’un mouvement de la main avant de la reprendre dans sa bouche.
Laure entreprend une nouvelle une fellation, en déployant toute sa technique cette fois. Mais celle-ci se révèle insuffisante. L’incapacité pour elle de prendre la totalité de la hampe dans sa bouche et de la sucer sur toute la longueur s’avère être un handicap dans ces circonstances particulières. Après quelques minutes, même si l’érection de Yann retrouve une consistance très honorable, elle voit bien que son excitation ne progresse pas.

Elle glisse alors sa main gauche vers sa chatte et y introduit deux doigts. Une fois ceux-ci convenablement lubrifiés, elle les dirige vers l’anus de Yann, les y fait pénétrer et entreprend un massage de la prostate tout en continuant de le sucer et de le branler avec la main droite. Sous l’effet de ce traitement, son conjoint reprend de la vigueur mais, à quelques minutes de la fin du challenge, Laure pense que cela ne suffira pas.

Elle décide alors de jouer son va-tout. Elle abandonne la bite de Yann, libère son cul, l’enjambe à nouveau mais en lui tournant le dos. Elle s’empale une nouvelle fois en se laissant tomber sur lui… mais en s’enculant ce coup-ci. La lubrification de la queue de Yann avec sa salive, de son propre petit trou par les sécrétions qui ont ruisselé de sa chatte ainsi que sa pratique assidue de la sodomie rendent cette pénétration non seulement possible mais encore agréable.
Après quelques rapides va-et-vient, Laure sent à nouveau une bouffée de plaisir monter dangereusement en elle. Mais elle n’a plus le choix. Elle contracte son sphincter autant qu’elle peut, au risque de déclencher un orgasme auquel elle n’a pas encore droit. Pour se donner encore plus de chances, elle masse les couilles de Yann de sa main droite et introduit à nouveau deux doigts de sa main gauche dans son cul pour masser énergiquement sa prostate. Elle espère que ces stimulations alliées à la vue imprenable que Yann a de son côté pile réussiront à le conduire rapidement à son troisième orgasme.
De fait, elle sent que la bite de Yann a désormais repris une consistance très ferme. Elle entend son souffle s’accélérer à nouveau. Tout en tentant toujours de contrer la montée de son propre orgasme, ou au moins de le retarder jusqu’à ce que Yann ait éjaculé à nouveau, Laure exerce alors une pression plus forte sur la prostate, masse vigoureusement ses couilles et contracte son sphincter autant qu’elle le peut en bloquant sa respiration et accélérant ses mouvements. Juste avant de partir elle-même, elle sent le manche de Yann gonfler et durcir dans son cul avant d’être animée de contractions sporadiques. Il jouit. Elle peut alors libérer les digues qu’elle a érigées tant bien que mal et se laisser aller à un orgasme violent.
Après cette jouissance quasi-simultanée, Laure s’effondre sur les tibias de Yann, épuisée et en nage. Celui-ci reste allongé immobile, débandant lentement dans le cul de son épouse, vidé mais enfin soulagé. Puis il se redresse et attire Laure contre lui. Ils basculent tous deux sur le côté, tendrement enlacés. Toujours planté en elle, il lui embrasse la nuque et lui caresse les seins. Il lui murmure à l’oreille :
— Match nul.
Il ne peut pas voir le sourire satisfait de Laure qui se contente de lui répondre :
— Tu m’as trop manqué.
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