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De chambre à chambre

Chapitre 2

Erotique
Le drap de la walkyrie
Je me retournais une dernière fois, comme un adieu, en direction de Ludovic qui me lorgnait sans discrétion depuis sa chambre. J’étais assez contente de moi. J’avais confirmé l’ascendant psychologique que j’avais patiemment construit à mesure qu’il me reluquait, chaque soir, lorsque je me changeais, voir, me faisais de menus plaisirs. De cette façon, je pensais pouvoir réaliser tous mes fantasmes et expérimentations sexuelles en l’utilisant comme partenaire et cobaye. Brave petit soldat!... Qui, par ailleurs, n’était pas mal foutu. Visuellement charmant, mince, le visage fin, les traits légèrement asiatiques, quasiment imberbe, brun aux yeux noirs, ni petit ni bien grand, manquant peut-être de musculature mais on faisait avec. Pour ses dix-neuf ans et avec moi "en amante exceptionnelle, cela va sans dire", je le trouvais plutôt endurant, avec son petit sexe, et cela ne pouvait que s’améliorer. Je dis petit sexe, c’est vrai, mais gros sexe. Enfin pas non plus d’une largeur à en tomber par terre, mais tout de même d’une circonférence respectable. Finalement, je m’endormais sur ces pensées.
Le lendemain soir, après une journée banale comme vendeuse à mi-temps, je faisais preuve de beaucoup de self-control en me privant volontairement de lui. Ainsi, j’assurais définitivement la mainmise sur notre relation. Il fallait qu’il me désire et me respecte, comprenant que j’étais l’unique décideur de nos rapports. Le voir me regarder avec tant de convoitise et d’espérance dans ses yeux faisait presque pitié. J’étais à deux doigts de le rejoindre par delà la balustrade mais je résistais; après tout, il aura tout le temps d’en profiter plus tard et moi de même. Je continuais donc mon petit jeu obscène, enlevant un par un et avec sensualité mes vêtements, me pelotant voluptueusement les seins lorsque je retirais ma chemise, me frottant lascivement la vulve de mon shorty. Je finissais nue devant lui, seulement séparée par deux fenêtres et un trou de sept étages. J’aimais le sentir me contempler, m’examiner de haut en bas au cours de mes caresses, voir son pénis se tendre, grossir progressivement et mon bas-ventre s’enflammer, s’humidifier au rythme des passages de ma main sur ma gemme et de sa main sur sa pique. Des gouttes brûlantes s’échappait de mon vagin en ébullition et coulaient le long de ma jambe agréablement. Lui, s’astiquait convenablement et de plus en plus rapidement. Cependant, je remarquais que son regard s’échappait de temps en temps vers la droite et, plus que de simples coups d’œil, cela devenait carrément des œillades prolongées et licencieuses. Je notais d’ailleurs que cela n’était probablement pas une première, je venais seulement de m’en apercevoir. Je m’en voulais un peu parce qu’outre le fait, qu’ainsi faisant, je perdais de l’emprise sur lui, à droite de ma chambre se trouvait celle de ma petite sœur, Louise, et j’avais peur qu’elle fasse comme moi… sauf qu’elle, elle n’avait que seize ans. Toutefois, je n’osais pas aller m’en rendre compte par moi-même, je craignais une crise dans notre relation de sœurs que j’affectionnais par-dessus tout. Je laissais donc faire et me finissait, ce terme est le bon, rapidement.
Le surlendemain de notre chambre à chambre charnel, attendant le plus tard possible dans la nuit pour être certain que ma sœur dormait, je me glissais précautionneusement chez Ludovic, simplement vêtue d’un long drap blanc. La réaction était immédiate, il se jeta sur moi avec avidité, comme un chien en manque de sa chienne en chaleur. J’avais toutes les peines du monde à le rejeter sur son lit, après un baiser volé, et à l’immobiliser sur le dos:« Tiens toi tranquille, petit homme, laisse moi faire! »Je laissais tomber dans mes bras le drap qui m’entourait et, avec, recouvrait son visage de façon à le cacher entièrement. Après une protestation sommaire, il se laissait faire. J’étais donc nue devant lui qui ne pouvait me voir; seulement me sentir de ses doigts, qui traînaient justement sur ma poitrine, me massaient langoureusement, me réchauffaient. Je laissais échapper un soupir lorsqu’il descendait ses mains vers mes hanches, vers ma sombre pilosité pubienne, à la lisière de mon capuchon clitoridien. N’en pouvant plus, je me frottais sur son torse comme une déchaînée tandis qu’il continuait à titiller mon bouton et commençait à se tortiller sous moi. A travers son caleçon, je sentais son sexe fier et droit qui imprimait à ma fente de rugueux et divin frottis. N’y pouvant plus, je prenais sa main avec force et la replaçait un peu plus bas, à l’entrée de mes lèvres pubiennes. Comme un signal, il faufilait deux doigts à l’intérieur, rentrait et sortait un peu anarchiquement de mon antre. Puis, un plaisir fulgurant m’assaillit une première fois. Nous étions déjà bien en sueur.
Alors que Ludovic souhaitait enlever le drap qui le masquait, je l’empêchais fermement et lui glissait dans l’oreille:« Non, non… Le meilleur reste à venir. »Je longeais son corps du mien depuis le bas de son cou jusqu’au nombril, puis retirais sensuellement son caleçon. Sa verge en profitait pour respirer un instant puis je la prenais entièrement dans ma bouche. Ma langue la léchait, l’embrassait comme si ce fut aussi une bouche. Il s’en dégageait une odeur agréable bien que peu commune, forte et acide. Aucun centimètre ne fut oublié et Ludovic en redemandait. J’accélérais mes succions, il fourrait sa main dans mes cheveux sans toutefois oser presser ma tête sur son sexe. Ma salive dégoulinait de toute part tandis qu’il donnait de vifs coups de bassin de façon à rentrer encore plus profondément dans ma gorge. Volontairement, je restais longtemps jusqu’au bout du bout. Mon nez respirait son odeur forte, mélange de sueur et de virilité; je suffoquait presque... et il éclatait dans ma grotte et j’avalais, je buvais tout.
Loin de se terminer, la soirée ne faisait que commencer, toujours dans un silence relatif.Rapidement, grâce à mes caresses, il bandait à nouveau. Je l’enfourchais subitement; une cavalière sur sa monture; tantôt en amazone, tantôt en walkyrie. Je rythmais à mon envie, lui ne voyait toujours rien. D’un pas, j’imprimais un trot. D’un trot, je le galopais fièrement. Une heure de cavalcade presque sans pause. Je sentais le sang de son sexe vibrer, battre en moi. Mes jambes s’ouvraient et se fermaient d’excitation à chaque coup du mâle à sa femelle. Une chevauchée fantastique à la Wagner qui durait et durait. J’étais en feu, je bouillais littéralement, je pétillais, j’explosais. Un mince filet de liquide brûlant s’échappait de ma fente et le mouillait. Je restais près d’une minute allongée sur lui, à demi-consciente, son phallus en moi qui maintenait sans faille ses allées et retours avant de répandre sa semence.Finalement, je reprenais mon drap et m’en allait par la fenêtre sans un regard en arrière.
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