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Le champagne c'est magique

Chapitre 1

Lesbienne
      Le Champagne est magique                                                             Il commençait a faire nuit. Véro était encore attablée à la terrasse couverte du vieux café. Après que ses copines soient parties, elle paraissait vouloir tuer le temps en rêvassant devant une autre flûte de champagne.  Cette absence ne durant pas longtemps. Salut ! lança Jane en arrivant. Véro leva la tête et au bout de son regard, qui semblait apprécier la nouvelle venue se fit un certain sourire. Jane sa plus jeune belle sœur avait la quarantaine épanouie. Assez maigre mais plutôt bien fichue, elle avait l’allure de ces femmes fines mais musclées, une « skinny » comme disent les anglo-saxons. Le contraire d’une Véro allant chercher sa beauté et son sex- appeal dans les rondeurs d’une cinquantaine bien sonnée.C’était deux belles femmes de la même taille, pas très grandes, les cheveux coupés courts. Mais à part cela, tout aurait dû les opposer. Il y avait pourtant une complicité que l’on pouvait lire dans leur look. Adepte du Perfecto noir Véro était chaussée de santiags au bout d’un jean extensible, noir aussi, qui lui faisait «un cul d’enfer»Jane était à peine différente : un autre Perfecto, un autre jean noir mais slim et une silhouette plantée dans une paire de boots à anneau. Un socle costaud qui, malgré son poids plume semblait vouloir dire je suis là. Le blond roux de l’image de Véro s’accordait bien avec le brun mat de celle de Jane. « Véro on y va » lança Jane -Oui on prendra la suite de l’apéro au resto ou bien je vais être pompette avant d’avoir avalé quelque chose. Elles descendirent à pied des ruelles vers le vieux marché pour arriver sur une placette où l a « Taverne des sirènes » avait installé sa terrasse.Une cantine où les habitués viennent se régaler de délicieuses crevettes d’ un beau rouge « rubis » que les marins pêcheurs locaux vont chercher vers 500 mètres de fond. Accompagnées d’une mayonnaise «maison» et d’un bon vin blanc elles sont, au début de l’été, le plat unique sur lequel les connaisseurs se ruent.« Bonsoir mesdames, nous avons eu un magnifique arrivage, ce matin » annonça la serveuse. -Alors deux crevettes et un petit Chablis -Demi ? -Non grande bouteille ... On va sûrement reprendre des crevettes…                                           « Tu veux nous saouler » dit en riant Jane -Tu vois mon portail est à cent mètres, donc je ne risque pas grand-chose répondit Véro. -Mais moi pour rentrer je dois prendre la voiture  -Et bien ce soir tu ne rentres pas ! Ton fils et ton mari sont partis pêcher à la montagne, tu bosses pas demain, tu restes dormir à la maison.-Mais j’ai rien ….— Un tee-shirt et une brosse à dent neuve, dans mon grand appart, j’ai. -Ok, je me lâche — Chaud devant, l’été arrive… ponctua Véro
Les crevettes furent englouties, comme le Chablis très frais et très bon, elles reprirent, à deux, un autre plat de crevettes avec une autre bouteille de Chablis qu’elles ne finirent pas mais qui était plus qu’entamée. Quand elles quittèrent la terrasse de la taverne après un simple café comme dessert, elles étaient déjà bien gaies et elles se tinrent par le bras pour arriver dignement jusqu’au portail. Quand l’ascenseur démarra, elles éclatèrent de rire quand Véro lança : «Heureusement qu’il n’est pas en panne ! » Son appart était au sixième, un toit terrasse, l’appartement de son enfance où elle avait grandi en fille unique.  Sans l’ascenseur l a montée aurait été un calvaire tant les escaliers n’en finissent pas de tourner pour rendre l’ascension, en principe, moins pénible.  Dès qu’elles poussèrent la lourde porte un courant d’air vivifiant les accueillit.« Rentre il faut fermer il y a de l’air ce soir ». Le voile des rideaux se dégonfla et reprit sa place. A travers on pouvait voir les lumières de la baie et plus bas celles du port. Elles posèrent leurs sacs et en écartant les rideaux et elles accédèrent à la grande terrasse aménagée comme un jardin. Véro se dirigea vers une large balancelle couverte et dit à Jane« Viens on se met là »On s’est goinfrées dit Jane en se laissant tomber sur la large banquette — Et on va digérer ajouta Véro en faisant un signe avec son pouce— Ha non ..pas de digestif, pas de liqueur — 3— Pas question de liqueur moi je digère au champagne, j’en ai toujours une bouteille au frais — Tu vas ouvrir du champagne !— Mais elle est déjà ouverte, je te l’ai dit le champagne c’est mon digestif et pas que. Tous les deux mois je reçois un carton de six bouteilles d’un blanc de blancs d’un petit producteur d’à côté d’Epernay. Et elle disparu pour revenir avec deux coupes et une bouteille presque pleine munie d’un bouchon garde bulle. Quand elle le retira le « pops » du champagne se fit entendre et elle remplit les deux coupes.-Tchin dit Véro en tendant sa coupe -Tchin repondit Jane  -Magique le champagne toujours magique     - Et en plus il est très- très- très bon ajouta Jane Véro remarqua que Jane n’avait pas tiqué et qu’elle avait descendu la moitié de la coupe, sans sourciller et avec délectation… alors que… le vin des crevettes, les avait déjà bien chauffées.C’est Jane qui tendit la première perche :     -Je te savais amatrice de champagne, mais je ne pensais pas que ça allait jusque là. -Oui c’est important pour moi le champagne, je ne suis pas une alcolo, mais depuis la mort de Jérôme ça a été mon meilleur médicament et c’est lui qui m’a permis de franchir un peu la ligne blanche …— La ligne blanche, mais tu es sage comme une image, une vraie maman modèle même depuis que les jumeaux sont partis de la maison. Ta seule folie, quand tu as quitté ton entreprise, c’est tes copines et moi. Tu prends tes deux fois quinze jours de vacances, en laissant ta vielle secrétaire s’occuper des affaires courantes, tu vas à un où deux salons dans l’année et tu étonnes tout le monde par la constance de ton humeur. Après six ans de veuvage, vraiment… vraiment tu étonnes tout le monde.— Tu veux dire qu’on est étonné que je n’ais pas refait ma vie ? -Aussi — Tu sais tout va très bien comme ça pour moi, j’ai assez de soucis avec l’entreprise et les enfants sans m’embrouiller d’une nouvelle relation qui finalement me boufferait ce qui me reste de liberté.— Mais le reste .. tu es encore une belle femme ?Véro avec un grand sourire répondit :«Le reste, c’est champagne et avec le champagne il faut faire attention… à la ligne blanche,….. le champagne laisse parfois voir ce que le plus souvent on ne voit pas » — Et avec moi qu’est ce que tu vois ?— La femme de mon beau frère jacques, une sage belle femme qui élève son fils et enseigne à ceux des autres.-Mais je n’ai pas toujours été très sage, avant Jacques …-Tu as fait les quatre-cent coups il fallait que jeunesse se passe …— Non j’en ai fait qu’un seul !                                                              -Houlà il devait être gros  -Oui et j’ai du en parler à Jacques avant de sortir avec lui. -Alors il devait être très, très gros !Il y eu un silence et Véro reprit avec toujours un grand sourire  « Alors on a franchi la ligne banche,… mais ce soir ce n’est que l’alcool test »  -In vino veritas répondit Jane et après s’être tue comme pour annoncer un aveu elle ajouta : « J’ai vécu six mois avec une fille avant de rencontrer Jacques » - Ha oui ! là on a roulé carrément à gauche, mais aujourd’hui c’est devenu courant.-A l’époque il y a vingt ans ça l’était beaucoup moins, même en fac les lesbiennes étaient regardées de travers et pas question de faire des coming-out ou de se tenir par la main dans la rue. Au début j’étais amoureuse mais très vite l’enfermement et la possessivité de ma copine on transformé l’insouciance en enfer. En plus comme j’étais la passive, la fille dans le couple, quoi, j’en ai pris plein la gueule. Que j’assumais pas, que je me lâchais pas, que je faisais des chichis pour aller dans les bars lesbiens. Un jour elle m’a tapé dessus, j’ai attendu la fin de ma seconde année de licence et sans dire au revoir, j’ai fui dans le sud. A Marseille j’ai rencontré Jacques, et je te l’ai dit avant de sortir avec lui je lui ai tout raconté.— il l’a bien pris ?— Oui il a très bien compris et dans nos moments chauds il m’appelle encore « ma petite gouine »— Et ça ne t’a jamais repris ?— J’ai été vaccinée je crois, j’ai eu trop peur de louper ma vie. — Et bien tu vois le champagne c’est magique …— Oui il y avait longtemps que j’avais besoin de le dire à une amie, mais tu sais les histoires de lesbiennes, on ne les raconte le plus souvent ..— Qu’à des lesbiennes continua Véro ..et bien non pas moi … jusqu’à présent au moins !— Je me doute, si tu n’en as pas le désir et si tu veux ta paix  ! -C’est bien que tu me l’ais dit  Et elle remplit à nouveau les coupes-Là tu vas vraiment nous saouler !— Le champagne est magique je te le redis ….Puisqu’on en est aux confidences, moi aussi je vais te faire un aveu ; l’homosexualité m’intéresse, pas la féminine … mais celle des mecs !— Attend j’avale un peu de champagne et tu répètes…— Je répète pour que Jane entende bien c’est l’homosexualité masculine qui m’attire. -Je ne comprends pas ! - Simple pourtant comme les hommes sont attirés parles couples de femmes moi ce sont les couples de mecs qui m’attirent.  - Et tu fais comment…ici ?   - Ici il ne se passe rien, ici je suis la Véronique qui fait son job et son devoir de mère dans les règles de l’art.-Mais tu fais quoi et où ?— Vient on rentre je vais te raconter, ici il commence à faire frisquet. Elles allèrent se lover dans un grand canapé. Avant elles s’étaient débarrassées de leur Perfectos et de leurs boots.«Tu veux un café avait demandé Véro» - Chaud avait répondu Jane avec un air coquin. Vite elles burent et Véro dit… j’y vais :-Les histoires commencent par il était une fois une veuve pas encore vieille qui était partie comme tous les ans à Rennes au salon ‘Artibat’ pour voir toutes les nouveautés en matière de stores et fermetures. Elle était descendue au Melchior et Gaspard un superbe hôtel -spa 5 étoiles. Il avait remplacé le vieil hôtel d’Ecosse où elle venait dans les années 2000 avec Jérôme.Jérôme n’était plus là et l’hôtel d’Ecosse non plus. En rentrant du salon elle alla se détendre au spa et se faire masser par une jeune femme qu’on avait voulue orientale pour faire plus authentique, une Vietnamienne polie, compétente. Le soir alors qu’elle s’attardait au bar de l’hôtel, un mec mur, qui portait encore beau, lui proposa une autre coupe de champagne, elle le fixa… et ne dit pas non. C’était un entrepreneur qui eut l’intelligence de ne pas lui parler d’entreprise mais d’engager la conversation en disant : «Et dire que c’est l’été indien à Ibiza »— Ibiza ?— Oui Ibiza c’est beau en automne quand les fêtards sont partis.— C’est le crachin Rennais qui vous inspire ? - Votre bronzage ! -Voilà comment a commencé une autre vie de Véro avec un autre jules qui justement s’appelait Jules.— Rien d’homo dans tout ça-Non tout a commencé classico- hétéro, petit resto et bon dodo. Un bon coup Jules juste ce qu’il faut de force et de persuasion pour s’abandonner. Avant de quitter Rennes je lui avais déjà accordé, ce que Jérôme avait mis tant d’année à avoir :… une sodo..Des numéros de portables et des mails pour écrire la suite de l’histoire et on s’est revu à Ibiza quand les jumeaux étaient au ski et là ça a été le grand saut.A Ibiza, sur les plages désertes de l’hiver, il m’avait parlé du Melltem, des vents étésiens et des Cyclades. De la blancheur crayeuse de Mykonos où il allait, fin mai faire de la voile dans les eaux bleues de la mer Egée.je lui ai dit début Juin pas avant, je dois finir de boucler la saison des stores. J’ai laissé 15 jours la direction la boite à Carole et les jumeaux à leur exams en disant que je partais avec une amie de fac «Juliette » pour visiter les sanctuaires des Cyclades au frais d’une grosse boite de toile d’ombrage qui soignait, au soleil de la Grèce, ses bons clients. Un bobard qui n’en était pas tout à fait un… - Tatan-tatan fit jane — Et même Tata.. Tu ne sais pas si bien dire reprit Véro. Un séjour paradisiaque, nous avons loué un voilier confortable et avec Jules en bon marin sachant éviter les pièges météo nous allions le plus souvent dans une petite crique, nus, sous le vent de la petite l’ile déserte de Rinia qui fait face à l’ilot sanctuaire de Délos. Le soir nous rentrions à Mykonos et j’avais remarqué qu’il y avait pas mal de couples d’hommes qui dinaient dans les restos. Un matin après que nous nous soyons installés dans notre petit paradis, un autre voilier est arrivé. Un Homme mûr et un beaucoup plus jeune se sont installés à l’autre bout de la crique. Bronzette et baignade jusqu’à ce que le plus jeune sans aucune gêne commence à faire à l’autre une fellation. Je n’en revenais pas, c’était la première fois que je voyais un mec avec un autre mec. Je pinçais Jules qui me répondit par un… chut !  Ils se levèrent allèrent dans l’eau en restant collés l’un à l’autre et je vis bien à leur mouvement lent que le jeune se faisait pénétrer par le plus vieux. Je serrais le poignet de jules et lui commença de l’autre main à me masser le sein. Ils revinrent sur la plage et le jeune s’allongea sur le ventre sur sa serviette le plus vieux alla directement s’allonger sur lui et le sodomisa.  La main de Jules était descendue vers mon sexe et me masturbait, j’avais lâché le poignet et lentement je lui rendais sa caresse. Quand le jeune homme se mit à gémir je sentis monter en moi un orgasme inouï qui fit dire a Jules qu’il avait eu peur de se faire émasculer tant ma main avait serré fort . Et puis… nous avons fait comme eux nous sommes allés baiser dans l’eau et en ressortant je me suis faite sodomiser sur ma serviette. Je ne savais plus où j’étais qu’elle heure il était, j’avais largué les amarres. Le soir à l’hôtel nous en avons parlé et j’ai dit à Jules que je n’avais jamais ressenti cela, il m’a dit moi si  ! Il m’a dit qu’il avait eu des relations homos plus jeune, chez les scouts marins, en Bretagne, mais qu’il n’avait pas persévéré. Je ne lui ai rien demandé …mais j’ai dit que Je comprenais maintenant que ça puisse être aussi fort. Le lendemain ils étaient déjà là sur la plage quand nous arrivions et Jules me demanda si je voulais changer de crique. Je répondis que bien sûr que non et que je n’étais pas prête à renoncer à un pareil aphrodisiaque ... Surtout au pays d’Aphrodite Le plus âgé s’équipa d’un masque et d’un tuba pour faire de la pêche sous marine, ce qui fit penser à Jules qu’il y avait aussi un équipement à bord du voilier. -Tu veux du poisson frais pour midi ? Je n’ai pas pu refuser, mais je me suis retrouvé seule dans la crique avec le plus jeune. Quand je suis allée me baigner, il est venu vers moi en me demandant avec une pointe d’accent portugais si j’étais française, comme son ami Georges. Que lui s’appelait Tim et qu’il adorait cette crique et y faire l’amour dans le vent sous le soleil. Il avait ajouté vous aussi je crois … et qu’il comprenait complètement, puisqu’il se sentait femme et qu’il ressentait les choses comme les autres femmes.Entendre parler un garçon comme cela, c’était pour moi la première fois et si je ne l’avais pas vu la veille jouir comme une fille en se faisant prendre par un homme, j’aurais sans doute pensé avoir à faire à un « myto » d’un nouveau genre.  Jules n’avait pris que deux petits poissons de roche dont nous mirent les filets à cuire dans du citron avant de les ajouter à notre salade. Nous allions manger quand Georges le copain de Tim sorti de l’eau avec un baracuda de près de 5 kilos. Tim après avoir parlé avec son copain vint vers moi et Jules pour nous inviter à le partager — On va le faire griller mais c’est beaucoup pour deux. Nous avons ramassé du bois mort ils avaient prévu du charbon et une grille. Jules avec l’huile le vinaigre et les aromates prévus pour la salade fit une sauce et sorti de la glacière une bouteille de Moscofilero un vin blanc grec sec et salin qui ne semblait attendre que cette rencontre avec la chair blanche et fine d’un Baracuda grillé.Repus nous avons fait la sieste sous les parasols, avant de remonter sur nos voiliers pour rentrer au port de Mykonos. Durant le retour Jules me dit qu’il avait parlé avec Georges avant que je me réveille, qu’il lui avait dit qu’il vivait avec Tim depuis deux ans. Qu’il l’avait rencontré sur le tournage d’un film gay qu’il produisait dans le quel Tim, un brésilien, était acteur. Qu’à demi-mot il lui avait fait comprendre que Tim n’était que féminin et que parfois il allait voir ailleurs pour satisfaire sa propre féminité, en somme qu’il ne serait pas mécontent de trouver à Mykonos « une bonne queue pour se faire enculer » précisa Jules avec malice , d’autant plus que non seulement Tim n’était pas jaloux mais qu’il était tout à fait près à en prendre sa part ..— J’ajoutais que décidément les mœurs homo étaient salés, ils en avaient jamais assez ! - Ce soir pour les remercier du repas de midi je les ai invité avait conclu Jules — je senti que je n’étais pas au bout de mes découvertes et de mon initiation. - — De La cuisine Grecque des boulettes, de la Moussaka et des bons vins et nous nous sommes retrouvés chez Georges qui avait une jolie maison sur l’île. Une de ces maisons blanches avec des balcons, aux rampes bleues qui sous les moulins à vent aux toits de chaume dominent des eaux turquoises de la baie.  La conversation se fit plus intime qu’au restaurant et nous apprîmes que le fantasme majeur de Tim était de se faire prendre par une femme ou un travesti, une sexualité qui au brésil n’était pas si exceptionnelle, vu le nombre de trans. Georges ajouta que dans ces moments là il aimait mâter Tim. Surtout quand une fille le prenait avec un gros god et qu’il l’entendait gémir avant de jouir. Tous ces discours homo et le muscat grec m’avaient porté dans un univers fantasmatique que les mains de Jules rendaient encore plus excitant. Je m’étais penchée sur son épaule et lentement il me caressait la nuque. Georges proposa alors de regarder un petit film de Tim en disant : « vous allez voir il est bouillant. »Sur un écran télé on vit Tim arriver en tenue de soirée, avec un couple qui devait avoir la soixantaine à peine entamée. Lui brun grand et svelte en smoking, elle une femme blonde belle bien en chair, une allure de Walkyrie enveloppée dans long manteau noir et rehaussée d’un regard bleu dominateur. Tim avec ses cheveux bruns coupés à la Beattles ressemblait à un adolescent endimanché qui fait ses premiers pas dans le monde.     La suite était moins glamour puisqu’on voyait Tim avaler la queue de monsieur pendant que madame équipée d’un god-ceinture lentement le pénétrait en écartant ses fesses bronzées. La scène dura une dizaine de minutes et Tim semblait y prendre un énorme plaisir. A la fin , le visage couvert de sperme, il s’était retourné pour se frotter et essuyer entre les seins de la grosse poitrine de celle qui venait de le faire exulter.  Ces images firent sur moi forte impression, elles furent pour moi une véritable révélation. Bien qu’impassible et souriant à Tim, Je me voyais, me sentais à la place de cette matrone blonde. A chacun de ses coups de rein, je l’accompagnais mentalement. Même si Je n’avais jamais vu de god-ceinture auparavant, j’avais l’impression que c’était un prolongement de moi même que je le maitrisais avec la puissance de mon désir. Jules m’avait offert un vibro doré qui m’avait initié aux doubles sensations. Mais là je venais de découvrir autre chose, je venais de découvrir le désir et le plaisir de pénétrer l’autre. Sans doute avais-je visualisé ce que j’avais ressenti et qui m’avais tant excité sur la plage quand j’avais vu la première fois Georges faire jouir Tim. La soirée se termina courtoisement sur des à demain et des baises main. En rentrant à l’hôtel Jules ressentit ma chaleur volcanique et me fit l’amour debout dès que nous eûmes passé la porte de la chambre. Tout de suite après allongés nus sur le lit, je lui dis, encore baignée de sueur, ce que j’avais ressenti et imaginé en voyant le film de Tim. Sa première réaction un peu stupide fut de me dire « ha tu n’avais jamais vu un god-ceinture ? » Je lui ais répondu : « où pourrais-je bien en avoir vu ! ».— C’est vrai tu n’es pas lesbienne et tu ne t’es jamais fait de mec Mais moi j’ai été lesbienne et j’ai pas non plus vu de god-ceinture et même pas de vibro intervint Jane. Elle continua : - A mon époque, c’était des instruments pour vielles vicelardes et nous faisions simplement des « broutes- minou » où l’amour en se frottant l’une à l’autre ou en s’enfourchant. Je sais qu’aujourd’hui, j’ai vu la série L word les lesbiennes de New-York se baladent avec ça dans leur jean pour baiser, elles aussi, leur copine debout dans les back room des boites.Je sais dit Véro moi aussi j’avais entendu parler, mais j’avais jamais vu de truc pareil en action, et reprenant le fil de son récit :  -Mais Jules a vraiment prit conscience qu’il y avait eu une tempête érotique dans ma tête et il m’a dit, « je vais faire quelque chose pour toi » avant de se tourner et de s’endormir. J’étais restée les yeux ouverts sur un indéfinissable infini avant de sombrer dans des rêves sans doutes troublés et étranges dont je ne me souviens même plus. Le lendemain à la crique je vis Jules discuter longuement avec Georges.  De temps en temps il me lançait des sourires qui semblaient vouloir dire : «Tes affaires avancent »  Tim et moi dissertions nus sur les coquillages ou sur comment se débarrasser de tous ces poils si mal placés de devant et de derrière. Une vraie discussion de coquettes dans un institut de beauté. La journée se passa et Jules me dit au retour, voilà ce que Georges propose un vrai producteur ce Gorges :— Ce soir après manger, nous les rejoignons à la villa et Tim restera avec toi pour t’initier. Moi je passerai la soirée avec Georges et j’assouvirai ses besoins de féminité …— Et bien tu vas payer de ta personne, pour exaucer mes désirs !— Je ne serai pas le seul … — C’est à dire — Et bien ton cul a tapé dans l’oeil de Georges et il voudrait bien lui faire subir les derniers outrages.— Et tu as dit oui !... sans me demander ?— Bien sur que non, je n’ai pas dit oui, mais j’ai dit qu’au meilleur des cas je serais là, il a répondu une double pénétration, j’ai répondu oui, mais si elle le veut.— Je suis restée silencieuse un moment et puis j’ai dit : « Pourquoi pas. Il veut me donner, mais il veut que je me donne. Il me fait payer le prix de mes envies même si au passage, il a le bénéfice de satisfaire, avec toi les siennes gratos. »— C’est un producteur je te l’ai dit …. ponctua Jules — Ok quand on rentre appelle le …et dit lui que je n’ai pas dit non … « Eh bé ! Quel baptême ponctua Jane. » -Comme tu dis ! conclut Véro. Mais là j’ai besoin de champagne pour continuer … et elles finirent la bouteille que Véro était allé chercher sur la terrasse. -Tu m’imagines discutant avec Tim sur un coin de terrasse, pendant que Jules et Georges débouchaient bien sûr du champagne au salon. Tim me disait qu’il était content de me faire autant d’effet qu’il savait que je ne l’avais jamais fait, mais que je ne devais pas m’inquiéter parce qu’il m’initierait avec précaution et « sensualité », mot, qui dit avec sa pointe d’accent portugais ajoutait à la promesse. J’allais chercher du champagne au salon et Jules me fit un clin d’œil auquel je répondis par le signe d’un petit bisou sonore. E revenant Tim tenait dans les mains le fameux god-ceinture et me le détailla. Il me montra un petit appendice et me dit « ça c’est pour toi de ton côté pour que tu me sentes bien » et il mit à hauteur de visage la partie noire caoutchouté qui simulait le penis.Je dis : « il est gros ! »Sans répondre Tim le porta à sa bouche et commença à l’engloutir en le suçant. Il le retira d’un coup et dit en riant :                                                     -« il faut bien ça ! »  Ensuite sa main se glissa entre mes jambes, me caressa, m’ôta mon string. Il s’agenouilla devant moi, bu un peu de champagne, passa sa tête sous ma robe et commença à me sucer avec délicatesse et application.Il s’interrompit pour prendre le god et me faire pénétrer la petite partie à l’arrière de ce pénis noir en me demandant si j’avais mal. Devant mon signe de la tête signifiant que non, il la retira pour pouvoir me faire enfiler l’insolite instrument.Je tendis les jambes et comme s’il m’avait mis des collants, il me fit remonter les sangles jusqu’à la taille. En me soulevant les fesses il avait fait re-pénétrer le petit appendice en moi. Il me demanda de me lever, dégrafa mon soutient- gorge et écarta les bretelles de ma robe qui tomba comme s’il dévoilait une antique statue.C’était une étrange sensation que d’être nue debout, sur mes talons aiguille, dans la nuit avec ce simulacre de queue imposant qui pointait vers les étoiles.Tim s’agenouilla me prit par le fesses et commença à sucer le god jusqu’à l’avaler.Je me demandais comment il faisait quand il se releva en embrassant au passage mon nombril et en aspirant la pointe de mes seins. Il me dit : « ils sont beaux » avant d’entamer un striptease impressionnant de ce corps si féminin dont la nature lui avait fait don. Quand il s’était tourné en ondulant pour présenter ses deux petites fesses musclées comme celles d’une fille il ressemblait plus à une vestale offerte à son dieu qu’à un homo en mal de sexe. Il s’appuya sur la pointe du faux pénis et lentement avec des mouvements circulaires du bassin il fit pénétrer entièrement en lui ce membre noir et lisse. En s’appuyant à la rampe bleue, il me dit en anglais « fuck-me now » Je le pris par la hanche et par la gorge et je commençais à aller et venir en lui. Il accompagna le mouvement en disant « yes like this ».Comme il n’était pas grand le prendre ainsi en levrette n’était guère compliqué mais il voulut aller sur un lit pour que je vienne sur lui et qu’il puisse me sentir sur son dos.Là c’est moi qui lui remis le god bien au fond et en m’allongeant sur lui. Sur cette peau ferme et lustrée par le soleil et la mer j’eu la sensation de faire l’amour à une anguille secouée par le plaisir de ce corps qui glissait entre mes seins. Ce fût divin et je me déchaînai tellement, quand l’orgasme vint, qu’il poussa un cri rauque pendant que moi doucement, je lui mordillais la nuque. Il se retira, se retourna pour de suite écarter les jambes et se réenfiler le god par devant. J’étais face à lui et je plongeais ma langue au fond de sa gorge comme si j’avais voulu me souder à lui par ce baiser. Nous avons repris nos mouvements jusqu’à un autre orgasme qui fut tout aussi puissant. -Ha oui …là !on est hors limites. Adieu les bornes dit Jane — Et tu sais que ce n’est pas fini repris Véro. Nous sommes retournés vers Jules et Georges qui semblaient avoir fait leurs petites affaires plus discrètement…..      Mais avant de te raconter la suite, je vais te montrer des choses. Et elle revint avec une besace de cuir souple marron et .. une bouteille de champagne en disant il va me falloir encore un peu de carburant.Du sac elle sorti le vibro doré puis le grand god noir qui fit pousser à Jane un bah ! d’admiration. -Ha oui ! c’est pas rien ! Des comme ça j’en ai jamais vu.En déclenchant brièvement le vibro Véro dit : » celui-ci aussi est pas mal … »Elle se servi du champagne après avoir fait sauter le bouchon.      -Vraiment tu veux finir de te saouler avec moi …     - Pourquoi non répondit Jane en riant.     -Et puis ça va t’aider …    - M’aider ?     -Je vais te montrer le film de Tim… tu veux ? Et elle tira de la besace une tablette.   - Du champagne et le film répondit Jane !   -Tu l’auras voulu …  Et Jane à son tour découvrit ces images qui avaient été un moment de révélation pour Véro— Ha oui c’est brulant, c’est même fou… Tim il me ressemble ! — C’est vrai dit Véro vous avez la même silhouette.. et il lui sembla entendre la petite musique du vibro .— Pire dit Jane, il est fin comme une fille, regarde ses fesses, on a le même cul !— Peut être dit Véro en souriant .. Comme j’ai pas vu ton cul… — Tu m’as vu en maillot à la plage …— C’est vrai mais vu ce que Tim a entre les jambes, je n’avais pas imaginé jusque là la ressemblance   Quand des gémissements s’échappèrent de la tablette, Jane avala d’un trait ce qu’il restait dans sa coupe la tendit et dit : « encore ! »— Encore Tim répondit Véro malicieuse ? — Non encore du champagne pour écouter la suite et la fin  - Ha oui la fin …         Et bien à la fin je te l’ai dit nous avons rejoint Georges et Jules qui étaient nus au salon. Tim s’est installé dans un grand fauteuil comme s’il allait voir un bon film au cinéma.Georges en masturbant Jules m’a présenté son sexe, je me suis agenouillé et j’ai commencé à le sucer, à l’avaler. Mais Jules s’est retiré et m’a mis celui de Georges dans la bouche ; je le jaugeais et me disais qu’il était plus fin que celui de Jules et qu’il me ferait sans doute moins mal. J’ai eu ma réponse. Jules s’est allongé, sur le tapis, sur le dos, lentement je l’ai fait monter en moi et j’ai commencé à le chevaucher en donnant des coups de reins profonds. J’ai vu Georges prendre un préservatif. Il s’est placé derrière moi, j’ai senti un doigt puis deux, m’ouvrir. Jusque là j’avais l’habitude avec Jules de sentir une double pénétration puisqu’il me baisait et en me masturbant par derrière avec le vibro. Mais là je sentais la chaleur d’un autre sexe me pénétrer, moins massif que celui de Jules mais qui ajouté au sien sur lequel je m’étais empalée, me fit découvrir une autre dimension où l’on perd vite pied. Tim m’a dit que j’avais vraiment hurlé et que j’avais bien mis cinq minutes avant de revenir à moi et demander à boire. Que j’avais été merveilleuse. Le lendemain je sui restée tranquille sur la plage, j’avais mal partout comme après ma première sodomie.— Eh bien, dit Jane, après ça, ça va être difficile de s’endormir ! mais elle ajouta je me suis fait un copain en brandissant le vibro doré… tu me le prêtes… — Bien sûr… il me semblait bien avoir entendu quelque chose …— - Oui pendant le film de Tim , nous avons fait connaissance dit Jane en repassant langoureusement le vibro allumé sur sa plate mais pointue poitrine.— Bon, encore une larme de champagne et on va se coucher tu dormiras dans la chambre côté port, elle a sa salle de bain, je vais te chercher un tee-shirt. Elles burent le dernier verre, et s’installèrent pour la nuit. Dans sa chambre, Véro éteint la lumière, allongée dans sa nuisette noire sur lit, elle repensait à l’aveu de Jane et qu’elle ait pu, de ce fait, trouver une complice pour lui raconter son autre vie. Elle se dit… mais c’est vrai que si Jane avait une queue, on aurait pu la prendre pour Tim et comme elle sait que j’adore le petit cul de Tim… va savoir si elle ne va pas se faire un film … des fois que ses pulsions d’adolescence reviennent comme un démon oublié. Elle n’eut pas longtemps à attendre la réponse, dans le noir de l’appartement elle entendit la petite musique du vibro, puis une respiration qui se faisait plus forte jusqu’à un gémissement qui laissait peu de doute sur ce que Jane faisait avec son nouveau copain à piles.                               En y pensant Véro glissa une main sous sa nuisette et commença à se caresser. Elle revoyait le petit cul de Tim quand tout à coup elle entendit taper doucement à la porte et la voix de Jane dire :— Véro tu dors … Elle alluma un chevet, mais en mettant la main devant ses yeux Jane dit : — Non éteint ! Le noir se refit et la voix de Jane dit : « C’est dur de dormir seule, je peux rester        avec toi »Véro s’écarta vers la gauche du lit et elle distingua Jane qui ôtait son tee-shirt avant de s’allonger nue à côté d’elle sur le ventre en enfonçant sa tête dans le coussin.-Véro lui caressa les cheveux en lui disant : « allez dors » — Pourquoi il te plait pas, il n’est pas aussi beau que celui de Tim mon petit cul !— Je crois que tu as dépassé la dose de champagne, c’est ma faute, je n’aurais pas du te saouler.-Mais je suis contente d’être saoule, sans être saoule je n’aurais jamais osé venir dans ta chambre. -Mais Jane tu es ma belle sœur tu ne peux pas parler comme ça, nous pouvons être amies, complices même, mais en voulant aller plus loin, tu vas faire exploser la famille.— Je te jure que cette fois- ci, je garderai mon secret, je ne dirais rien à Jacques, toi tu sais qu’on peut avoir une autre vie … -Mais moi quelle figure je vais faire devant ton mari, devant ton fils.— La même que celle que tu fais devant tes enfants quand tu leur dis que tu vas visiter des temples Grecs. Tu vas continuer à être tout à fait simplement la tata aimante qui ne cause de soucis à personne.- Tu es folle… - Alors tu ne m’as toujours pas dit si tu préférais mon petit cul à celui de Tim. Elle remit la tête dans le coussin et commença un lent mouvement de bassin pour faire remonter ses fesses… à la fin elle se masturbait.Dans le noir Véro devinait ce corps qui se trémoussait et laissait voir dans la faible clarté de la nuit ce dos et cette chute de rein jusqu’à ces petites fesses rebondies qui devaient connaître leur pouvoir.Comme si elle avait été attirée par un aimant sa main se posa sur cette courbure lisse et ferme. « C’est vrai qu’il est beau » se dit elle .Sa paume continua sa caresse pour en faire le tour.Jane sentit la main remonter sur ses reins suivre sa colonne pour venir malaxer sa nuque. Elle savait qu’elle avait gagné… Quand calmement elle se retourna, son regard se planta dans celui de Véro au dessus d’elle… et elles se fixèrent jusqu’à ce que leurs lèvres qui se cherchaient se joignent. Véro entrouvrit la bouche et elle savait que cette langue qu’elle sentait était celle d’une autre femme. Une langue légère fine, douce qui demandait qu’on la happe qu’on l’aspire. Ce fut un moment intense que ce long baiser initiatique duquel Jane ne se détacha que pour poser sa bouche sur la gorge et l’épaule de Véro pour fouiller cette peau à qui elle voulait tout donner et de qui elle voulait tout recevoir.Lorsque Jane qui avait écarté les bretelles de sa nuisette s’était mise à lui sucer un sein puis l’autre, Véro pensa à son premier flirt, a ce premier garçon qui avait posé une main sur sa poitrine Elle senti ses seins pointer et se durcir. Les mains de Jane passèrent alors sous sa nuisette la firent glisser vers le haut, la lui enlevèrent. Un long baiser se posa sur sa bouche, comme pour prendre définitivement possession. Cette bouche entama sa descente vers le nombril où elle s’attarda pour préparer Véro et bien lui laisser réaliser qu’elle allait se faire sucer par une fille. Quand elle commença à sentir de petits baisers à l’intérieur de ses cuisses Véro ouvrit ses jambes pour attirer ces lèvres qui s’approchaient de son sexe comme d’un sanctuaire. Quand elle senti la langue atteindre son clitoris, elle poussa très fort de ses deux mains sur la tête de Jane. Elle ne résista pas et se laissa aller à cette envie profonde de jouissance qui montait en elle .Sous ses fesses elle sentait des ongles qui s’accrochaient à sa peau, comme les griffes d’une chatte,. Jane savait y faire et elle ne semblait avoir rien oublié de ses amours de jeunesse. Sa langue titillait, ses lèvres aspiraient, ses dents mordillaient ce petit morceau de chair qui faisait réagir son corps tout entier. Jane senti monter un petit tremblement dans le ventre de Véro. il commença à provoquer des mouvements de bassins saccadés qui devinrent de plus en plus puissants jusqu’à un long cri qui la fit se cabrer en faisant le pont. Jane qui tenait Véro par les hanches l’accompagna délicatement quand celle-ci se reposa sur le lit dans une longue expiration.                                      En ouvrant les yeux, en allumant le chevet, elle fit un grand sourire et chuchota : «Ma petite gouine »Jane se pencha vers elle et avant de l’embrasser lui dit : «Eteint, baise moi, encule moi ». La lampe s’éteint et Jane revint avec la besace.— Regarde, il y a aussi un pot de lubrifiant.Véro ralluma à nouveau pour bien enduire le vibro d’un gel rose très visqueux. Jane allongée écartait déjà les jambes. Au contraire de Véro dont le sexe était complètement épilé il lui restait un petit triangle de poil au dessus de sa fente .Tu es bien épilée derrière demanda Véro ? - Je crois dit Jane en soulevant ses fesses en tirant ses genoux vers sa tête. Elle les avait à peine reposées que Véro laissa pointer le vibro vers son petit trou et en écartant avec deux doigts elle le fit pénétrer par des mouvements tournants. Quand il fut moitié entré elle tourna le bouchon pour le mettre en marche et commença des allers-retours qui firent que Jane s’étendit complètement en s’étirant sur le lit. Véro ré-éteignit la lumière et approcha sa bouche du sexe de Jane, elle souffla doucement sur les lèvres de sa vulve pour lui faire comprendre qu’elle allait lui rendre sa caresse. Quand elle posa sa bouche, qu’elle senti au petit renflement où était le clitoris, elle se dit dans sa tête : » ma première fille, moi aussi maintenant … »Cette masturbation annale rehaussée d’un « cunni » fit vite démarrer Jane qui commença à se tordre comme un ver. Avec ses ongles elle tirait sur ses seins presque inexistants en disant : « oui comme ça, encore, encore ! » Pour la première fois Véro goûtait à la saveur d’une femme et plus elle augmentait le rythme plus elle sentait le sexe de Jane se mouiller jusqu’à ce qu’elle éclate en se retournant sur le ventre comme si elle ne voulait plus qu’on la touche.Véro retira le vibro et pendant que Jane était encore assommée par cet orgasme violent, elle se leva pour enfiler en vitesse le god ceinture en prenant soin de bien se pénétrer de l’appendice. Elle prit une bonne dose de gel et le déposa sur le petit trou déjà bien élargi par le vibro.Jane dit « non pas déjà…. il est si gros » Mais Véro savait qu’elle ne devait pas s’arrêter. Elle entendit Jane pousser un han !et ensuite gémir en faisant des hou et des houlà jusqu’à ce qu’elle s’arrête de la pénétrer. Elle lui demanda : « ça va ? »  Jane répondit : « fuck me please- encule moi ! »  Véro y alla tout doucement mais c’est Jane qui au bout d’un moment se mit à donner de violents à-coups avec son petit cul. Véro s’allongea sur elle et l’agrippa en la serrant fort pour l’empêcher de bouger. Mais Jane se débattait comme un animal pris au piège. Véro dut lui mettre la main sur la bouche pour atténuer le hurlement qu’elle poussa quand en jouissant elle exulta. Elle resta prostrée un bon moment et quand elle se retourna, pour se mettre sur le dos, elle alluma et étira en étoile ses bras et ses jambes. Une fois bien revenue elle dit e en regardant le gros instrument noir : « Et maintenant avec ça … il va falloir que tu me baises » Véro avec une lingette nettoya la hampe du god et tendit un préservatif à Jane.‘ « Tiens couvre le. »— Jane mit le préservatif devant sa bouche et y fit pénétrer l’extrémité. Avec ses lèvres elle déroula le préservatif en suçant et avalant le god. Puis Elle se mit sur le dos et en remontant ses jambes et en se mettant du gel dit :    « Prends moi » Véro s’allongea sur elle. Si Jane n’avait pas de poitrine elle sentit ses pointes de seins durcies et électrisées par la lente pénétration. — Leurs bouches s’unirent à nouveau et elles ne firent plus qu’une pendant un long moment. Elles bougeaient, s’arrêtaient, se lâchaient, repartaient et s’enserraient jusqu’à se déchaîner ensemble dans une incroyable tempête qui finit par leur faire faire des bons sur le lit à en tomber. Jane dit à l’oreille de Véro :— «Le champagne est vraiment magique, voilà, maintenant avec sa baguette magique madame est une gouine »     Epuisées et saoules de plaisir elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre….
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